Jules & Nathan - 1
(Je tiens à préciser que ceci est une fiction, les noms et prénoms sont totalement
choisis au hasard et ne désignent aucune personne pouvant exister).
Jules a 27ans, les cheveux châtains mi- longs, les yeux bleu foncés. Il mesure 1m80
pour environ 70kg. Ayant fait du sport dans sa jeunesse (handball, natation), il est
assez fin, musclé et dessiné. Sa barbe de trois jours et son look de dandy décontracté
: cravate slim desserrée, veste de costume, jean et derbies, ainsi que la « gueule
dange » quon lui a souvent attribué lui ont permis de ne jamais rencontrer trop
dobstacles avec la gente féminine. Interne en 3ème année de médecine, il bosse
actuellement dans un service dUrgences dune grande ville dont le nom importe peu.
5h55 : Mains dans les poches et poches sous les yeux, Jules se dirige vers la salle
des casiers du service. Sa garde devait finir à 5h, mais entre les suivis à terminer,
lAVP homme contre 4x4 arrivé entre temps, et la relève qui avait du retard, il avait
dû une fois de plus faire des heures sups et se contenter de caféine pour tenir
debout.
Les salles des casiers nétaient pas mixtes, il en existait une pour chaque genre.
Cétait une salle toute en longueur, de chaque côté lon trouvait des casiers
métalliques de couleur bleu alignés, on pouvait en compter pas loin dune dizaine par
mur. Au milieu, deux bancs permettaient aux médecins, infirmiers et autres étudiants,
de prendre appui pour se changer. Enfin au fond, derrière de grands panneaux vitrés
floutés, se trouvaient des douches communes qui du fait du manque de pudeur quelles
imposaient, ne trouvaient que peu de preneurs.
Jules arriva devant son casier où sur une étiquette on pouvait lire « J. Myringo ». Il
composa le code, et ouvrit la porte. On y trouvait des bouquins médicaux, du
déodorant, et sur la porte un poster danatomie.
avec les filles, Jules navait pas grand choses dautres que son travail dans sa vie
qui, il faut le dire, lui prenait une bonne partie de son temps. Cétait un étudiant
brillant, qui excellait dans la pratique de la médecine et récoltait ladmiration de
ses supérieurs. Il ne regardait jamais au temps quil pouvait dépenser pour ses
patients, revenait sur son temps libre pour des suivis ou simplement pour tenir
compagnie à des patients qui navaient aucun entourage.
Jules ôta son stéthoscope Littmann rouge quil avait autour du cou et le rangea dans
son sac à dos. Il ôta sa blouse, et la rangea dans son casier. Cest à ce moment
quentra Nathan dans la salle des casiers.
Nathan était brun, les cheveux mi- longs lui aussi mais avec de jolies bouclettes et
des yeux noisettes. Comme Jules il cultivait sa barbe de trois jours mais avec un look
beaucoup plus standard. Ancien rugbyman, il était lui aussi très bien bâti et sa
silhouette était digne de celle des calendriers des Dieux du Stade.
Jules et Nathan se connaissaient depuis tout petit, et étaient de très bons amis.
Ayant fait leur scolarité ensemble, et ayant suivi le même parcours détudes
supérieures, ils étaient très proches et se connaissaient parfaitement.
Cest cette affection qui avait fait rester Jules une heure de plus, car la relève qui
narrivait pas, cétait Nathan.
« Excuse-moi pour le retard Jules, jai complètement merdé pour me lever, je ne suis
même pas douché, et avec les embouteillages sur la route enfin bref
». Pendant quil
sexcusait, il posait son sac sur le banc et déposait une tape amicale sur les fesses
de Jules, comme ils avaient lhabitude de le faire entre eux pour se chamailler.
Sans même détourner le regard de son casier, Jules esquissa un sourire et rétorqua «
Ne tinquiètes pas Nat, je ne suis pas à une heure près et jaurai dû rester de toute
façon.
Nathan qui navait pas eu le temps de se préparer, se résolut à utiliser les douches.
En deux temps trois mouvements, il était nu sous la douche, nayant aucun soucis de
pudeur avec Jules vu le nombre de fois où ils avaient partagés des vestiaires ou même
des douches dans leur jeunesse.
Cependant, Jules ne put sempêcher de scruter la silhouette de Nathan, le matant tout
en étant caché derrière la porte de son casier. Bon nombre de fois il avait eu des
sensations bizarres à voir son pote, il le matait en douce, et il lui arrivait même
parfois le soir dans son lit, de se branler en simaginant des ébats fougueux avec
lui. Son torse musclé, ses abdos dessinés, ses quelques poils dessinant « le chemin
du bonheur »
Alors quil matait, une bosse commença à se faire sentir dans son jean.
Il sempressa alors rapidement denfiler son sac et de sortir en jetant un : « Je
tattends au bureau des infirmières pour la transmission ». En effet, avant de partir
linterne devait transmettre les dossiers à la relève afin dassurer un suivi optimum
des patients.
Nathan arriva, les cheveux encore mouillés, les yeux rouges, dans son pyjama qui le
moulait et le rendait plus que sexy. « Alors Champion, je técoute ».
« Monsieur Martin, AVP contre 4x4. Intubé, drainé pour un hémothorax gauche. Les
précisions sont dans le dossier, il est monté en chirurgie. Le gamin en 2, suspicion
de méningite
».
Cétait un des moments préféré de Nathan, il se plongeait dans les yeux de Jules où il
pouvait observer toute la concentration et la détermination du jeune homme, mais aussi
et surtout, il le matait comme pas permis. Il navait quune envie, lattr par sa
cravate et se jeter sur ses lèvres. Comment en était-il arrivé là, lui, Nathan, qui
navait encore jamais maté un mec auparavant.
le simple fait de se frotter les yeux suite à la fatigue, il trouvait ça des plus sexy
sur Jules. Il en profitait pour jeter un il dans lencolure de sa chemise, pour
espérer entrevoir ses pectoraux dessinés, et son torse de rêve.
- «
et sous Salbutamol. Nathan tu mécoutes ? »
- « Oui désolé, je suis assez mal réveillé
» répondit Nathan troublé.
- « Eh bien tu diras à ta nouvelle conquête de te laisser dormir un peu la nuit.
Ça tévitera cette tête de zombie
tu vas faire flipper tous les patients. »
- « Je nai pas de nouvelle conquête, mais je te remercie pour le compliment ».
- « Je te charrie BG. Bon en cas de soucis tu me bipes ma poule. Tchuss. »
Nathan regardait Jules séloignait, son sac sur lépaule, même si ce nétait pas
spécialement le sac quil regardait, mais plutôt le postérieur musclé de son collègue.
15h00 : Linterphone réveille Jules « Putain, qui vient me faire chier à cette heure ?
»
Encore en demi-sommeil, vêtu dun simple caleçon, il décroche « Moui ? »
- « Cest Nathan, ouvre ».
- « Quest-ce que tu branles ici, tes pas de garde ? »
- « Ouvre, je texplique. Je tai ramené ton whisky »
Etait-ce la curiosité ou la présence dalcool qui avaient fait changer davis Jules,
aucune idée. Celui-ci ouvrit, et se dirigea vers le dressing pour y enfiler un T-Shirt
blanc à col V profond, comme il adorait en porter, mais apparemment, recevoir son pote
en caleçon ne lui posait pas de problèmes puisquil nenfila pas de jean.
Il passa une main dans les cheveux pour se recoiffer, et « Toc, toc ».
- « Cest ouvert mon chou ».
Ce genre de surnoms était habituel entre les deux.
- « Yop ! » dit Nathan en entrant. Il posa la bouteille sur la table basse et
alla taper la bise à Jules.
- « Alors, tes pas de garde ? »
- « Le PU/PH ma congédié pour aujourdhui.
présentable, de la maturité et de la rigueur », dixit. »
- « Il est mal placé, même en forme il fait peur lui. Et une fois sur deux, il
oublie de consulter des patients
»
- « Cest faites ce que je dis, pas ce que je fais
Bon, un jack du coup ? »
- « Allez fais péter ».
Cétait monnaie courante pour ces deux-là de se retrouver autour dune bouteille pour
discuter du boulot, des filles, de la crise
Soudain, une raideur anormale fit son apparition dans le caleçon de Jules, ce qui
néchappa pas à lil alerte de Nathan « Tu as lair en forme dis-donc
Je te fais
tant deffet que ça ? » lança-t-il avec son habituel sourire en coin.
- « Oh putain, excuses-moi
» balbutia Jules, gêné, étant donné quen réalité ce
nétait que le résultat des pensées qui lui traversaient lesprit, se voyant encore
embrassant tout le corps musclé de son compagnon.
- « Tinquiètes pas, on connait tous ça au réveil ! »
- « Ouai, si tu le dis
»
Il fallait admettre que Jules avait été gâté, une superbe tige denviron 18cm,
merveilleusement proportionnée, qui surplombait deux magnifiques couilles, le tout
parfaitement entretenu par son propriétaire.
- « Eh ben, je commence à comprendre la raison de ton succès auprès des dames »
ne put sempêcher de lancer Nathan.
- « Daprès ce que jai vu sous la douche à lhosto, tu nas pas à te plaindre
non plus
»
Et là, cest le drame ! Jules venait dadmettre devant Nathan quil le matait sous la
douche ! Il ne savait plus quoi faire, se sentait au bord de la syncope lorsque Nathan
lança :
- « Ça me rassure, je ne suis pas seul à mater mon meilleur pote alors ».
Jules releva la tête, regarda Nathan dans les yeux, son sang ne fit quun tour, et il
se jeta sur la bouche de Nathan. Ce dernier qui nattendait que ça, se laissa faire et
commença à caresser le dos de son pote. Il glissa ses mains sous son T-Shirt, puis le
releva et le fit ôter à Jules, afin davoir une vue sur ce magnifique torse imberbe
quil matait tant durant la transmission des dossiers.
Les langues se mélangeaient, on nentendait plus dans le loft que la respiration
profonde et saccadée des deux nouveaux amants.
Jules à son tour, fit ôter son maillot à Nathan et commença à embrasser son torse, ses
tétons, à descendre sur ses abdos et sur la trainée de poils qui, partant du nombril,
indiquait le chemin vers la zone tant attendue. Ses mains se baladaient partout, au
grand plaisir de Nathan qui poussait des soupirs de plaisir tout en passant sa main
dans les cheveux de son amant.
Jules dégrafa le bouton, puis les pressions unes à unes, et fit glisser le jean aux
pieds de Nathan, avant de lenlever totalement et de le jeter sur le côté. Il remonta
poser ses lèvres sur celles de Nathan, et ce dernier en profita alors pour poser ses
mains sur les fesses quil avait tant maté. Il glissa une main dans le caleçon de
Jules et le fit glisser, se retrouvant alors nez à nez avec son engin, qui ne
demandait quà être pris en bouche.
Il fit alors sasseoir Jules à sa place, sabaissa, et entama une fellation sur sa
tige. Il léchait le membre de haut en bas, avant de continuer sur le gland quil
dévorait. Jules, une main dans les cheveux de Nathan, lautre sur son épaule, était
aux anges, poussait des soupirs de plaisir en regardant vers le ciel, tant la
jouissance était forte. Voir son Nathan, là, accroupi, son chibre en bouche, le
regardant dans les yeux, suffisait déjà à lui procurer un plaisir énorme. Sentant
quil allait venir, Jules posa sa main sur la joue de Nathan « A mon tour maintenant
».
Ils se relevèrent, Jules mis une main sur chaque joue de son partenaire, et lembrassa
tout en lemmenant vers la chambre où ils tombèrent sur le lit.
Jules, une main sur le torse de Nathan, descendit et soccupa à son tour de son
paquet.
Nathan était lui aussi bien servi, environ 17cm avec une morphologie similaire à celle
de Jules.
Il safférait à donner le plus de plaisir possible à son partenaire, cherchant les
zones préférées de ce dernier, accélérant le mouvement lorsquil le demandait ou au
contraire, ralentissant lorsquil sentait quil allait venir. Durant cinq bonnes
minutes, on nentendait que les gémissements et les soupirs de Nathan, se mélangeant
aux bruits de succion faits par la bouche de Jules, qui ne tarda pas à insérer un
premier doigt dans lorifice de son compagnon, aux anges ! Pendant quil jouait avec
son doigt, Jules remontait pour embrasser tendrement le cou de son amant.
- « Jules, je
je taime ! »
- « Moi aussi je taime Nathan, moi aussi » dit-il en continuant dembrasser le
cou de ce dernier.
Les deux amants étaient là, lun sur lautre, leurs torses et leurs sexes collés, se
regardant dans les yeux
- « Jules, jai envie que tu me
»
- « Chut
» répondit-il en plaçant un doigt sur ses lèvres, « ne dit rien ».
Il ouvrit un tiroir, en sortit un préservatif et lenfila sur ses glorieux 18cm, quil
positionna à lentrée du trou de Nathan.
Il commença par appuyer en douceur, et par étapes, afin de faciliter le passage
- « Jules, ça me
»
- « Laisse-faire, je suis médecin » dit-il en esquissant un sourire.
Après quelques minutes dadaptations, les mouvements devinrent de plus en plus
fluides. Le bassin de Jules ondulait et dune main il branlait Nathan dont les jambes
étaient serrées autour de sa taille. On ne pouvait entendre que les souffles haletant
et les baisers des amants, qui étaient-là, faisant lamour, à la fois dans le plus
grand romantisme, et le plus grand silence possibles. Jules embrassait les lèvres, le
cou, le torse de son partenaire, qui lui était aux anges. La respiration de Nathan,
suivait le rythme imposé par la pénétration de Jules, qui savait doser la cadence pour
faire durer le plus longtemps possible, ce plaisir quils partageaient.
Puis Jules vint coller sa tête contre celle de Nathan, et les yeux dans les yeux,
ensembles, ils jouirent comme jamais ils navaient jouis auparavant. Le torse de
Nathan était maculé de son propre sperme, alors que Jules avait rempli la capote.
Il se retira, enleva le préservatif, et vient lécher le moindre recoin du torse de son
compagnon, avant de venir lembrasser une dernière fois, et de se blottir dans ses
bras.
Les deux amants seffondrèrent, et sendormirent là, Nathan allongé, Jules dans ses
bras.
Ce repos fut de courte durée
17h45, le bipper de Jules sonne, celui-ci se précipite, encore nu « Dr. Myringo
Explosion industrielle, requiert votre présence. »
- « Nathan, habilles-toi on y va ».
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