Leslie Hd56

Leslie HD56 – En déplacement, Sophie et Valérie, suite

Nous sommes allées dans ma chambre, car celle de Sophie n’avait pas de grand lit, nous
nous sommes allongées un moment, moi entre les deux nymphes.
À chaque mouvement de l’une ou de l’autre, je sentais leurs corps nus contre le mien,
ce qui m’excitait terriblement, me laissant dans une érection permanente.

Vers dix heures, Sophie dormait et Valérie se leva et me fit signe de la suivre
En nous levant, nous avons vues Sophie se retourner sur le côté et plonger dans un
profond sommeil.
Valérie m’emmena dans la chambre de Sophie et là elle me dit :
- J’ai envie de toi !
Ses seins étaient dressés et ses yeux pleins de désirs, elle me demanda :
- Je te plais ?
- Ohhh oui, dis-je.
Elle avança vers moi et saisit mon membre qui était en érection, soupesa mes bourses
en me disant :
- T’es drôlement bien équipée.

Je commençais à lui caresser le dos, puis le ventre et enfin ses seins où je
m’attardais, ils étaient durs et les bouts ont pointé sous mes doigts. Elle feulait,
en me masturbant et en disant dans un souffle :
- Comme c’est bon, tu sais faire.
Puis mes doigts ont trouvé son sexe tout mouillé, montrant son excitation. Je passais
ensuite à ses fesses, les caressant un moment avant de m’insinuer entre, pour caresser
son petit trou.
Je me suis agenouillé devant elle et j’ai glissé ma tête entre ses cuisses, saisissant
ses fesses j’ai plaqué son sexe sur ma bouche et ma langue a commencé à la fouiller.
Elle a rapidement poussé de petits grognements.
Je me suis redressée pour lui sucer les seins pendant que mes doigts s’insinuaient
dans son sexe et son anus.
Elle mit sa main valide sur ma tête pour me faire redescendre vers son sexe, en disant
:
- Lèches-moi encore, c’est trop bon !
Je lui obéis et dégustais son petit minou glabre aux lèvres apparentes en lui mettant
le majeur dans le sexe et l’index dans le cul.

Il ne lui fallut pas beaucoup de temps
de ce traitement pour prendre son pied.
Ça à bien duré une minute, elle a eu deux ou trois orgasmes coup sur coup.
Je me suis relevé, et je l’ai embrassé, puis elle s’est agenouillée devant moi, a
saisi mon sexe de ses mains puis l’a mis dans sa bouche.
Tandis qu’elle m’aspirait entre ses lèvres, sa langue caressait mon gland. Sensation
vraiment divine de cette bouche chaude et douce entourant mon sexe, j’étais prêt de
jouir, le sentant elle s’est relevée et m’a dit :
- Prends-moi, là debout comme une salope.

Elle se colla à moi, mit son bras autour de mon cou, je saisis ses petites fesses et
la soulevais pour qu’elle s’empale sur mon sexe.
Elle descendit lentement, savourant l’un et l’autre cette lente pénétration.
Une fois totalement empalée, elle marqua une pose avant de commencer à monter et
descendre. Elle était brûlante et trempée, extrêmement serrée et sa mouille coulait
sur mon sexe.
À un moment, elle se releva plus pour me faire sortir d’elle, elle reposa alors les
pieds par terre, se retourna face à la cloison et se cambra m’offrant son petit
derrière.
Je me plaçais derrière et la pénétrais d’un seul coup.
Je sentais son petit cul rebondit contre moi à chaque pénétration. Je prenais mon
temps et savourais chaque seconde.
Elle haletait de plus en plus sous les pénétrations que je lui infligeais avec
douceur, son orgasme n’était plus très loin, elle feulait en disant :
- Ohhh, oui comme tu me prends bien.
Elle se cambra un peu plus et je sentis son sexe se serrer autour de ma queue, elle
jouissait en soupirant.
Elle mit sa main entre ses cuisses et se masturba le clitoris, ce qui lui provoqua un
second orgasme.
Je n’avais pas encore jouis et continuais à la pistonner calmement, puis elle m’arrêta
en posant sa main sur ma hanche, elle se dégagea et saisit mon sexe.
Elle le tenait fermement et le positionna sur son petit trou, en me disant :
- J’aime autant par là et tu pourras jouir en moi au fond de mon cul.
Je poussais et mon membre pénétra facilement en elle, Valérie acceptais mon membre
sans problème, son trou était chaud et étroit, mais elle n’avait pas de douleur,
certainement habituée à cette pénétration par les hommes profitant de la sodomiser. Je
commençais des va-et-vient lents et profonds pour qu’à chaque pénétration elle profite
au maximum des sensations de mon sexe entrant et sortant de son étroit boyau. Elle me
guidait en disant :
- Continue comme ça, c’est trop bon et tu es douce et attentionnée.
Je voulais lui donner un maximum de plaisir, lui faire voir que la brutalité n’était
pas de rigueur dans cette pénétration intime.
- Ohhh oui, rentre bien à fond, comme ça doucement, c’est bon. Tu vas encore me
faire jouir.
Elle se masturbait le clitoris pendant que j’allais et venais dans son cul. Elle
gémissait de plus en plus et je sentais que je n’allais pas tarder à venir et à jouir
en elle.
- C’est la première fois que je vais jouir du cul, me dit-elle, les hommes sont
des brutes et ne sont pas doux comme toi.
- Je vais jouir, lui dis-je.
- Ohhh oui, vides-toi en moi, je veux te sentir jouir au fond de moi, me dit-
elle.
Je m’enfonçais alors profondément en elle, le plus loin possible et éjaculais au fond
de ses entrailles, tout au fond de son cul. Je la sentis se tendre et serrer ses
fesses, elle jouissait elle aussi.
- C’était merveilleux, me dit-elle, je ne pensais pas que ce pouvait être aussi
bon.
- Pour moi aussi c’était merveilleux, lui dis-je.
- Je ne donnerais plus mon cul au premier venu, maintenant, mais toi tu pourras
le reprendre quand tu le veux.

Nous nous sommes retournées dans la chambre et doucement nous avons réveillé Sophie,
moi l’embrassant et Valérie lui faisant minette.


En se réveillant sous nos caresses elle a murmuré :
- J’ai envie de faire l’amour.

A suivre…