Malle À Fantasmes: Libertinage 4 Rêve À La Réalité

Du rêve à la réalité

Alors que je me trouvais pleinement dans ma situation. Je ne sais si c’est la brise du lever du jour, ou le souffle tiède qui me caressa le cou ?

Résultat, je venais de réagir que tout ceci n’était qu’un mauvais rêve.

Je me trouvais nu, allongé sur mon bain de soleil, dans une fâcheuse position. En effet, malgré que l’espoir de ne pas l’avoir vécu, comment expliquer à celle qui se tenait debout, à ma gauche. Les bras croisés, dans un regard de désarroi, l’amour de ma vie.

- Que fais-tu dans cette position ?? Me dit-elle.
- Je… Je vais tout t’expliquer, Mamours… Mais avant, débarrasses-moi de mes liens… Lui demandais-je.
- Hum !! Je sais pas… Je vais te laisser dans cette position… Tu commences à m’exciter… Me dit-elle.

Elle en profita pour me chevaucher le visage. Alors que mes bras étaient solidement attachés aux accoudoirs et mes chevilles à chacun des pieds du bain de soleil.

Elle, n’avait plus que son lycra blanc, comme seul vêtement. Sa petite et ferme poitrine, pointait de ses mamelons roses, et d’un geste brusque, elle vint face à mon visage. Pour un face sitting, de qualité, et dans la foulée, donnant un mouvement de ses reins, pour se masturber.

Elle ne pût se retenir, à en jouir violemment. Puis, elle se releva, se tournant vers mon pieu, en érection, qu’elle attrapa à pleine main.

- J’te fais bander… Gros cochon… Allez… Parles… m’ordonna-t-elle, alors qu’elle me branlait vigoureusement.
- Je… Je voudrai que tu me détaches… J’ai mes bras et mes jambes que je ne sens plus… Lui suppliais-je.

Elle se pencha sur moi, sans lâcher sa prise.

- Je n’ai pas envie… Tu es ma chose, pour l’instant… Et c’est trop bien de changer les rôles… Tu as beaucoup de chose à me dire… Dit-elle, avant de me cracher au visage, tout en maltraitant ma queue.


- Aïe… Tu as raison, mais tu me fais mal… Suppliais-je, reprenant mon souffle à deux fois. Tout à commencer, après ton départ… Alors que je travaillais sur mes papiers… Je… Ah !!! Non… Arrêtes… Je… Je vais jouir… Ah !!
- Quel cochon, que tu fais… Ca te fais bander… T’es même pas capable de te retenir… M’humilia-t-elle… Continues, mon cochon…

Je n’avais pas pu me contenir, déversant à grande giclée, ma tiédeur, dans sa main. Elle l’essuya sur mon ventre, et pour me branler de plus bel. Je la découvrais sous un autre visage.

- Alors… Mon étalon… J’attends… Je vais te vider les couilles… Ce sera ta première sanction… Après, je verrai ce que je fais de toi… Me dit-elle. Toujours debout face à moi.

Avec beaucoup de mal, alors que sa min astiquait mon sexe, qui avait perdu de sa virilité. Je fermais les yeux, pour me concentrer sur ce que j’allais lui avouer.

- J’en étais où ?? lui demandais-je.
- Tu te trouvais au bureau… m’interrompit-elle. Et alors ??
- Il faut que tu saches que Bérengère n’a pas perdu de temps… En m’envoyant un SM… Me demandant si j’étais libre ?
- Ah !! La garce… Depuis que mon père l’a fait entrer dans la famille… Je n’ai jamais eu confiance en elle… M’avoua-t-elle. Mais continues…
- Je pensais qu’elle allait me rappeler… Eh bien, non… Elle s’est présentée au portail… Elle a sonné à l’interphone… J’ai… J’ai vérifié… En reconnaissant l’Audi… Je lui ai donné l’accès… Je ne pensais pas à ce qui allait suivre… Je suis sorti, l’accueillir en peignoir…
- Ah… C’est pour çà… Que je l’ai retrouvé dans l’allée… Je n’ose penser à ce qu’il va suivre… Dit-elle, d’un ton sévère, tout en me branlant énergiquement.


J’avais à nouveau, beaucoup de mal à contenir ma virilité. Ma queue en érection, je repris difficilement mes explications.

- Après ?? Demanda-t-elle.
- Je suis resté un moment devant sa voiture… Elle est descendue… Elle portait une liquette rayée blanche et bleue… largement ouvert, montrant ses seins nus et… Un leggings blanc… Qu’elle retira, en me demandant, s’il n’était pas de trop…
- Eh bien sûr… Te connaissant… Tu lui as dit qu’il était de trop ? Me dit-elle… Tu aimes trop ça ?? Vicieux… Laisses-moi deviner… Tu la baisé ? Sodomisé ? Quelle Chienne…
- Aïe… Non… Détrompes-toi… Je… Je… Je sais pas comment te dire… Bafouais-je.

- Parles… Salaud… M’ordonna-t-elle, tirant sur mon sexe, cherchant à me martyriser.
- Aïe… Tu… Tu te trompes… Je… Je me suis retrouvé soumis… Elle s’est appuyée au capot de la voiture… Se débarrassant de son leggings… M’obligeant à rester à quatre pattes… Pour que je la lèche… Puis, elle me doigta… Sodomisant avec un gode… Après m’avoir passé un anneau pénien…
- Ah… Oui… Elle te l’a laissé… Et pour la première fois, tu t’es fait taquiner l’anus ? Pauvre mamours… Et après ? Me dit-elle, en prenant pitié de ma situation.
- Elle a dû surprendre Gilbert, à nous mater… Lui dis-je.
- Et ???
- A partir de là… C’est le trou noir… Je me suis retrouvé… Comme je suis… Lui dis-je. Tu dois me croire… Je ne t’ai pas menti…
- Je te crois… Mais là… A cet instant… Je suis partagée à m’expliquer avec ma chienne de belle-mère… Ou aller rendre visite à notre voisin… Je crois que je vais commencer par aller voir notre cher voisin… Qu’en dis-tu ?? Je vais avant tout, vérifier ton anus… Alors… Dit-elle, en se levant pour venir s’agenouiller au pied du bain de soleil.
- Non… Mamours… Je… Je… Veux pas… suppliant.
- Je vais faire ça bien… Tu n’es pas le premier… Et tu ne seras pas le dernier… En plus, je ne te laisse pas le choix… Me dit-elle.

Elle se pencha entre mes cuisses, et sous mon regard, dans une gêne totale. Elle écarta mes globes fessiers, à deux mains, pour en constater, effectivement, que mon anus a été trifouillé. Puis relevant la tête vers moi.

- Sans nul doute, Mamours… Tu as été trifouillée du cul… Il y a encore du gel qui s’en écoule… La seule chose positive… Tu as pu voir ce que cela fait de se faire sodomiser… Dit-elle avec un sourire narquois. Tu es encore bien dilaté du cul… Voilà… Une petite vidéo… Une belle photo de l’ensemble… Hum… Ça m’excite tout ça…


D’un geste, elle se leva pour venir chevaucher ma tête. Et sur un 69, alors que je subissais son facesitting, elle plongea sur ma queue.
Trouvant l’anneau, preuve qu’il s’était bien passé quelque chose. Puis, elle bascula sur mon enfle de douleur, qu’elle empoigna entre son index et son pouce. Le serrant un peu plus, et l’avalent goulument, pour une fellation gourmande. Tout ceci, en venant osciller de son entrecuisse, détrempée, à demi-avalée ses grandes lèvres roses et ruisselantes, sur mon visage. Et dans un rythme effréné et cadencé, elle en jouit de sa caresse clitoridienne. Laissant échapper un long jet de sa tiédeur. Mais pas pour autant rassasiée, et que sa fellation n’en finissait pas. Elle se releva, retira son lycra, lourdement alcoolisé. Pour me le planter sur le visage, puis, me tournant le dos, elle chevaucha ma queue et s’y planta d’un coup. Oscillant ardemment, dans l’espoir de me faire jouir. Voyant que ça ne suffisait pas, elle eut la bonne, ou mauvaise idée, de me doigter l’anus.

- Aïe… Criais-je. Tu me fais mal… Salope…
- Tiens… Ca s’est pour ta salope… Me répondit-elle.
- Ah…

La douleur était insoutenable, elle venait de rajouter deux doigts. N’étant pas suffisamment dilaté, je ne pouvais m’empêcher de crier. Mais, je ne sais si le fait de me doigter ou quoi. Alors qu’elle s’agitait sans fin sur mon pieu, jusque là, insensible à l’oscillation. Je ne pus retenir le puissant orgasme, qui m’envahit. Déversant mon épais foutre, d’un jet.
- Eh bien, dis donc… S’il te faut deux doigts dans le cul, pour te faire jouir… Je vais être obligée d’investir… Bon… En attendant, mon mignon… Je vais aller rendre visite à notre voisin… Il doit avoir des choses à me dire… Je te laisse comme çà… Reprends des forces, il va en falloir… Allez Mamours… Pas de bêtises… Me dit-elle, dans un regard vicieux et pervers sur mon sexe avachi entre mes cuisses. Je te prends ma petite culotte… En échange d’infos…
- Attends… Ne me laisses pas comme çà… La suppliais-je.
- Tu es très bien comme çà… A tout… Me dit-elle.

Je me retrouvais exhibé à ceux dont je n’avais pas encore croisé du regard.
Mes voisins, du côté cuisine, qui par chance, pour moi, ma paraissait absents. Cherchant par tous les moyens de me débarrasser de mes liens, mais rien à y faire.

Je ne pouvais que subir mon humiliation, exhibition de celles qui m’abandonnait. L’une comme l’autre, elles ne paye rien pour attendre.

Mais tout ceci, nous le trouverons dans un prochain chapitre… En espérant que vous vous êtes fait plaisir de me lire…









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