Jules & Nathan - 2
17h46 : Jules ne prit même pas le temps de nouer une cravate, il saspergea de
déodorant, et enfila une chemise propre.
- « Jules, files-en une sil te plait ! » dit Nathan
Il sexécuta et en lança une sur le lit à son attention.
- « Actives-toi BG ! »
Quelques minutes plus tard, ils sautèrent dans le cabriolet de Jules à destination de
lHôpital.
Sur la route, pas un mot, les deux médecins étaient en pleine phase de re-
concentration.
Arrêtés au feu, Jules lança un sourire à Nathan, le genre de sourire qui ferait fondre
un hypothermique.
- « Jules, si tu me regardes comme ça en bossant, je vais craquer
»
- « Promis, je ne regarderai que tes fesses ».
Arrivés à lHôpital, on ne leur laisse pas le temps de shabiller. Gisèle,
linfirmière en chef, les attendait de pied ferme :
- « Dr. Myringo
» dit-elle dun ton solennel en tendant une blouse à usage
unique, des gants, et des lunettes anti-projections à Jules. « Tiens, mais cest Dr.
Zombie de ce matin, je ne me souviens pas vous avoir bipé ? » lança-t-elle après
sêtre aperçu de la présence de Nathan.
Les deux médecins se regardèrent affolés : ne venaient-t-ils pas de se faire griller
en arrivant ensemble, à peine habillés, alors que seul Jules avait été appelé
?
- « Je suppose que vous étiez réfugié chez votre ami pour lui raconter votre
exploit de ce matin ? » ajouta-t-elle.
- « Exactement ! » sempressa de répondre Jules. « Quest-ce quon a ? » ajouta-
t-il pour changer le thème de la conversation.
- « Explosion industrielle. Une dizaine de patients arrive, au moins trois poly-
traumas. Le Dr. Laroy (le chef de service) compte sur vous. »
Pendant que linfirmière préparait Nathan, Jules empruntait le couloir vers le parking
des ambulances, passant son stéthoscope rouge autour de son cou, enfilant sa blouse,
ses lunettes, et ses gants.
: tout le service était là, attendant les ambulances, prêt à bondir sur le premier
brancard.
Ladrénaline montait, cétait pour ça quil avait fait médecine, pour ces moments-là.
Tous ces sacrifices, ces heures passées à bosser, cette jeunesse en partie gâchée,
cétait pour ça. Cétait comme dans les séries médicales quil regardait étant gamin,
on sattendait à voir débarquer George Clooney en Dr. Ross ou encore le Dr. Carter.
Nathan prêt à son tour, vint se placer à ses côtés. Ils se regardèrent dans les yeux
puis furent interrompus par les premières sirènes audibles. Un convoi dambulances
rouges et blanches pointait à lhorizon.
- « Dr. Myringo, au triage ! » hurla le Dr. Laroy de sa voix grave.
La première ambulance se gara, les portes souvrirent : cétait le début dune longue
journée.
Jules était au triage des patients, cest-à-dire quil examinait le plus rapidement
possible les patients sortant des ambulances afin de déterminer leur état, et donc la
salle et le personnel nécessaire, puis il attribuait le patient à un médecin. Il
excellait là-dedans !
Nathan lobservait, les yeux remplis de fierté
et damour. Il regardait son Jules qui
était là, son stéthoscope rouge vissé aux oreilles, donnant ses consignes aux
infirmières et médecins autour de lui, passant dambulance en ambulance...
Puis Nathan fut vite ramené sur Terre :
- «
Nathan ? Nathan ! Putain tes sourd ? Lintoxication au monoxyde de
carbone tu prends ? » hurlait Jules.
- « Euh ouai, pas de soucis »
- « Salle 2. 100 de Célocurine® et préparez de quoi lintuber. Prévenez le
service doxygénothérapie hyperbare » disait Jules à linfirmière à ses côtés.
Jules et Nathan passèrent leur journée à lHôpital, pas de repos, pas de pause. Il
fallait gérer les ambulances, lhélico, sans oublier les patients habituels qui
saccumulaient.
Au détour dun couloir, Nathan avait réussi à attr Jules :
- « Jules, jai pas envie de rentrer chez moi après une journée comme ça
»
- « Ne tinquiètes pas, tu peux venir dormir à lappart. Je prendrai soin de
toi tu verras. »
Jules esquissa un sourire et posa sa main sur la joue de Nathan :
- « Allez courage, plus que quelques heures ! »
6h14 :
« Les gars vous avez bien bossé, rentrez chez vous et je ne veux pas vous voir de la
journée ».
Ce message du chef de service rendit aussitôt le sourire aux deux amoureux, ils
allaient pouvoir passer le reste de la journée ensemble.
6h23 :
La porte de lappartement de Jules claqua et les deux sacs volèrent sur le fauteuil,
bientôt suivis par deux paires de pompes.
Jules, qui avait déjà la moitié de sa chemise déboutonnée vu quils avaient débutés
dans lascenseur, était collé à Nathan dans un baiser fougueux. Sans plus attendre ils
se dirigèrent directement vers la chambre.
Nathan sempressa darracher la chemise de Jules, de le coucher sur le lit, et de se
mettre à califourchon sur lui « Jattends ce moment depuis hier soir ! ».
A son tour, il déboutonna sa chemise exhibant son torse musclé, et se jeta sur la
bouche de son partenaire, avant de descendre tendrement sur son cou, puis ses
pectoraux, ses tétons, tout en caressant ses abdos
Il remonta pour mordiller le lobe
de son oreille et lui chuchoter « Jules, je suis amoureux
».
- « Et moi jai adoré bosser avec toi Nathan
»
Là-dessus Nathan sarrêta net, puis se releva, toujours à califourchon sur Jules.
- « Putain mais tu penses quà ton travail ?! »
Il reboutonna sa chemise, se leva et quitta la chambre
- « Bébé, attends ! » cria Jules en courant après lui.
Nathan se retourna, regarda Jules dans les yeux et marqua un temps
« Tu mas appelé
comment ? »
Jules était là, torse-nu, exhibant sa musculature dessinée, les premiers boutons du
jean dégrafés mais portant toujours sa ceinture, ses cheveux mi- longs en bataille,
les yeux usés par la journée quil venait de passer
Il avait une façon de mettre les
mains dans les poches en remontant ses épaules qui, mélangée au reste le rendait PIRE
que sexy !
- « Comment veux-tu que je résiste à ça, et que je te fasse la gueule ? » dit
Nathan, alors incapable de défaire ses yeux de Jules.
- « Nathan, je nai jamais ressenti quelque chose daussi intense pour
quelquun. Je ne veux pas que tu partes ou que tu me fasses la gueule. Je nai
absolument pas envie de te faire du mal
Durant tout ce temps passé à lhosto, je nai
pas arrêté de penser à toi, à hier après-midi et
»
Sans lui laisser le temps de finir sa phrase, Nathan avait déjà sauté dessus, passé
ses bras autour de son cou et lui roulait une pelle magistrale. Ils atterrirent contre
le mur et Nathan sabaissa aussitôt, finit de dégrafer le jean et dabaisser le
caleçon pour enfin faire sortir ce quil attendait tant : les 18cm de Jules. Aussitôt,
il se mit à lécher sa tige de haut en bas, descendant parfois pour embrasser ses
couilles, pour ensuite mieux revenir sur son magnifique gland rose.
Jules était appuyé contre le mur, les mains dans les poches arrières de son slim, les
yeux au ciel, la respiration forte et entrecoupée de petits gémissements. Durant cinq
bonnes minutes, Nathan safférait à satisfaire son mec du mieux possible, aucun mm² de
queue nétait laissé au hasard. De temps à autre il passait une main sur ses
magnifiques abdos et relevait les yeux pour voir Jules gémir de plaisir. Ce dernier
sortit une main de sa poche, la plaça dans les beaux cheveux mi- longs bouclés de
Nathan, et le fit remonter tout doucement.
Il marqua un temps, le regarda dans les yeux
avant de sortir « Nathan
moi aussi je
taime.» Nathan ne put sempêcher de sourire, ce sourire qui lui donnait une si jolie
petite fossette dans la joue droite. « Tu es vraiment canon Nat » rajouta Jules en
posant une main sur sa joue, avant de se pencher pour lembrasser tendrement dans le
cou.
Il descendit ses mains sur les fesses musclées de Nat, les pelotant, les caressant.
Il le fit doucement tourner pour lamener à son tour contre le mur, déboutonnant un à
un les boutons de sa chemise tout en continuant de lembrasser.
bleue ciel totalement déboutonnée, il la fit doucement glisser pour finalement la
laisser tomber au sol, avant de remettre ses mains sur les joues de Nat, que ce
dernier dépose ses mains sur les fesses de Jules, et quils recommencent leur pelle
majestueuse.
- « On retourne dans la chambre ? » dit Jules avec son sourire enjôleur.
Pour acquiescer Nathan recolla ses lèvres sur celles de Jules, passa ses bras autour
de son cou et le tira vers la chambre.
Là, ils sécroulèrent sur le lit, Jules attrapa la télécommande de la chaine hi-fi sur
la table de nuit, lança la musique, mit loption « Repeat » et monta le son à fond.
Cétait « Cheap and Cheerful The s ». (http://www.youtube.com/watch?
v=Zlrb6wOW6e0).
Il dégrafa le jean de Nathan avant quil nexplose, le fit glisser et le jeta au bord
du lit. Idem pour son joli caleçon à carreaux. Aussitôt il se jeta sur son sexe pour
le sucer à pleine bouche. Il sattarda un moment sur ses couilles, quil embrassait et
caressait dune main, le branlant de lautre, avant de remonter prendre en bouche ses
17cm. Nathan observait Jules sactiver sur son membre, tout en gémissant.
Puis Jules abandonna la bite de Nathan, pour lui relever délicatement les jambes et se
lancer dans un anulingus. Sa langue sactivait sur son trou, rythmant les
gémissements de Nathan qui se tordait de plaisir. De temps en temps il en profitait
pour glisser un doigt ou deux.
Quelques minutes plus tard, tandis quil remontait embrasser Nathan, il en profita
pour semparer dun préservatif dans le tiroir, de louvrir avec ses dents, et de
lenfiler.
Dune main il dirigeait son sexe contre le trou de Nathan, de lautre il lui caressait
la joue tout en lembrassant.
Ces deux mecs étaient tellement en fusion, leurs lèvres et leurs corps collés, quil
aurait été impossible de les séparer !
Jules pénétrait doucement les entrailles de Nathan, le regardant dans les yeux,
passant ses jambes autour de sa taille. Puis les mouvements sintensifièrent, tout
comme le plaisir de Nathan, dont la musique avait de plus en plus de mal à couvrir les
cris.
Jules lui, était concentré, décidé à offrir le plus de jouissance possible à son
partenaire, il le regardait dans les yeux en souriant ou lembrassait pour couvrir ses
cris, pendant que dune main il le branlait au rythme de ses pénétrations. Sa
respiration était forte et saccadée, des gouttes de sueur perlaient sur son front et
se mélangeaient à sa mèche de cheveux ce qui le rendait encore plus viril et sexy.
Durant cinq bonnes minutes, Jules lima Nathan, alternant rythme lent et langoureux,
avec rythme rapide et plus sauvage, suivant la musique qui hurlait dans lappart.
Nathan fermait les yeux et se mordait les lèvres, quand elles nétaient pas collées à
celles de son mec, tant il prenait son pied !
- « Jules, Jules, je vais
»
Interrompant sa phrase, de longs jets de sperme jaillirent sur le torse de Nathan qui
hurlait littéralement de plaisir le prénom de son amant « Jules, Jules ! », et qui
peinait par la suite à reprendre son souffle
Jules, qui tenait toujours la bite de Nathan dans la main, vint se coller contre lui
pour lembrasser, et au passage enduire son torse du sperme encore chaud de son
amoureux, tout en continuant ses vas et viens.
Puis, après quelques gémissements, il déversa à son tour un flot de sperme qui vint
remplir la capote.
Les deux amoureux étaient là, lun sur lautre, reprenant leur souffle parfois
accentué dun petit rire ou dun petit « Ouah ! ». Jules, sétait rassis sur le lit,
se maintenant à larrière en appui sur ses mains tandis que Nathan était toujours
allongé, les jambes pliées, sourire aux lèvres.
Jules fut le premier à reprendre son souffle :
- « Vas falloir te remettre, on a toute la journée devant nous je te rappelle
Je te sers un verre ? »
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