Virginie : Premier Jeu Érotique En Public
Je me souviens toujours de ce soir là avec beaucoup de clarté, chaque fois avec un
petite poussée dadrénaline. Il faut dire que cette soirée fut pour moi le point de
départ dune période
disons particulièrement riche en découvertes.
Christophe et moi avions longtemps parlé de ce fantasme, sans toutefois le déflorer
dans ses détails. Je savais ce qui lexciterait. Il savait que jaimerais le vivre,
mais nous navions pas décidé dorganiser quoi que ce soit. Nous faisions confiance
aux circonstances.. Et à notre spontanéité.
Nous étions donc sortis ce soir là pour un petit restau en amoureux, suivi
probablement dun cinéma. Tout restait ouvert pourtant, et notre état desprit
pourrait aussi nous conduire à rentrer tôt. Cétait un soir de printemps, et nous nous
sentions à la fois très amoureux et dune humeur mutine. Je crois même quand jy
repense que son sourire annonçait clairement ce qui devait suivre. Il portait pour
loccasion son costume gris foncé accompagné dun T-shirt clair, bien conscient de
leffet de la tenue sur ma libido. De mon côté, jai su que javais fait le bon choix
dès ma sortie de la salle de bains. Son sourire, et surtout un long regard
dappréciation de bas en haut, me renseignèrent très vite. Javais choisi des
chaussures ouvertes, à talon haut, des bas légers couleur chair, une jupe portefeuille
sombre, assez près du corps, descendant jusquà mi cuisse
et pour compléter le tout
un chemisier clair que javais laissé ouvert jusquà la naissance de ma poitrine. Nous
avions ainsi lallure dun jeune couple de cadres, un peu guindés
ce qui était bien
loin de nous, mais nous apportait un plaisir supplémentaire.
Arrivés au restaurant, Christophe se gara et, comme a son habitude, se précipita pour
mouvrir la portière, sous le regard surpris dun autre couple.
navait rien de galant... Cétait un jeu devenu habituel entre nous : la position lui
permettait, avec ma complicité bienveillante, dapercevoir discrètement mes dessous
Si jen avais ! Jadorais voir ses yeux envieux, et impatients de savoir si jen
portais ou pas. Il fut un peu déçu, cette fois : je métais décidée « pour », comptant
jouer plus tard avec son désir.
Le restaurant, vietnamien, était plutôt chic. Les tables nétaient pas trop serrées,
une ambiance assez douce malgré une petite affluence, et une luminosité un peu forte à
mon goût, due en grande partie à la couleur très claire des murs, du sol et du
plafond. Lensemble des murs extérieurs était fait de baies vitrées, qui nous
donnaient limpression dêtre en vitrine, mais nous donnaient une très jolie vue sur
le coucher de soleil. Un jeune serveur un peu raide, vietnamien bien sur, nous guida
vers un coin de la pièce, entouré de quelques plantes vertes. Christophe et moi nous
sommes installés tous deux sur une banquette qui faisait langle, assez heureux de
notre position relativement isolée.
Le début du repas promettait une fin de nuit très agréable. Le vin me montait déjà à
la tête, et le regard de Christophe se faisait de plus en plus complice et appuyé. Ses
allusions joyeuses gagnaient en précision, et ses mains ne manquaient aucune occasion
de frôler mes bras, ou mes cuisses
Je me sentais déjà très excitée après le premier
plat, et jenvisageais déjà dinterrompre le repas pour réclamer lavant-goût dun
plat plus épicé
Cest là que Christophe remarqua le manège du jeune homme qui me faisait face.
« - Tas vu ?
- Quoi ?
- Le mec, la, comme il te regarde
Tas pas vu comme il mate tes jambes depuis
tout a lheure ?
- Aller, arrête de déconner, je suis déjà assez excitée..
- Si si je te promets, regarde »
Effectivement, ses yeux glissaient régulièrement sur mes bas, en faisant bien
attention à ne pas alerter sa compagne.
avions croisé sur le parking. Ils étaient jeunes, très jeunes même pour ce restaurant
dune certaine classe, et me donnaient limpression dêtre à leur premier rendez-vous.
Pourtant, le garçon affichait une certaine désinvolture. Il avait probablement invité
la fille dans ce restaurant un peu chic juste pour limpressionner
En espérant bien
sur une conclusion horizontale. Il nétait pas mal, physiquement. Et puis je trouvais
le mélange de niaiserie et dimpertinence assez charmant au final. Sa copine quant à
elle était assez quelconque, et surtout ne savait manifestement pas se mettre en
valeur. Cest dailleurs ce que Christophe releva :
« - Remarque, quant tu vois sa copine, tu peux comprendre
Y a pas photo
».
Effectivement, il ny avait pas photo
Et je me sentais flattée de ce regard
concupiscent. Christophe et moi nous sommes dailleurs compris dun seul regard. Nous
avons éclaté de rire
Je lai embrassé à pleine bouche, tout en flattant discrètement
sa braguette
Puis je me suis levée lentement, après avoir décroisé lentement mes
jambes pour attirer lattention du garçon, et sans oublier mon sac à main. En passant
à hauteur de sa table, mon regard a croisé le sien, et je lui ai souri. Il sest
étouffé.
Lorsque je suis revenue des toilettes, deux minutes plus tard, Christophe était rouge.
Son regard oscillait entre mes yeux, mes jambes
et mon sac à main, dans lequel ma
culotte avait échoué. Je me suis assise à ses côtés, et jai à nouveau frôlé sa
braguette. Il bandait de façon indécente
Je ne pouvais pas vraiment lui jeter la
pierre : javais moi-même pu vérifier a quel point jétais trempée. A sa main posée
sur ma cuisse, presque tremblante, je devinais à quel point il avait envie de remonter
jusquà ma petite fente.
Le deuxième plat est arrivé.
navait plus osé me regarder. Mais la légère agitation déclenchée par le serveur
attira son attention. Son regard se leva, et tomba bien sur comme un aimant sur mes
cuisses, que je ne croisais plus. Son regard se fit un peu brumeux et curieux. Je
crois quil distinguait mal ce quil voyait
quil ny croyait pas trop, non-plus.
Jai ouvert légèrement les cuisses, une petite seconde
Juste assez pour que ses yeux
se mettent à sortir quasiment de son crâne, et quil sétouffe à nouveau. Au milieu de
ses quintes de toux, son regard croisa le mien, juste au moment ou je le regardais
dun il aguicheur, tout en suçant mes doigts. Sa quinte de toux reprit de plus belle,
et je me demandai même si je nen faisais pas trop. Pendant tout ce temps, Christophe,
pour éviter de lapeurer, lui tournait le dos et regardait fixement mon visage. Nous
communiquions à voix basse, tels des ventriloques. Je lui décrivais chaque seconde de
la scène, et de mon mieux, mes sensations. Christophe était aux anges, et remontait
inconsciemment sa main vers le haut de mes cuisses. Il effleura un instant mon
clitoris, mais je le grondai en le remettant en place. Un peu de tenue tout de même.
Il éclata a nouveau de rire.
A mesure que le repas avançait, mes jambes oscillaient de plus en plus souvent entre «
ouvert » et « fermé », et les yeux du jeune homme sy posaient obstinément. Chaque
mouvement de mes jambes déclenchait des glissements entre mes lèvres, et de douces
vagues de plaisir. Je commençais à mourir denvie de prendre la sexe de Christophe
entre mes mains, tout en gardant mes yeux plongés dans ceux du garçon, qui commençait
à perdre toute prudence vis-à-vis de sa compagnie.
Peu de temps avant que le dessert ne soit servi, alors que javais retiré larrière de
la jupe de sous mes fesses et que je me sentais dégouliner sur la banquette, la jeune
compagne de notre spectateur se leva et se dirigea vers les toilettes.
quelques minutes le seul spectateur potentiel de nos mouvements. Toujours décrivant la
scène à voix basse à Christophe que je sentais à un cheveu de me sauter dessus, je
pris sa main pour guider son majeur vers ma chatte, et ly faire aller et venir. Je ne
quittai pas ma proie des yeux, qui cette fois gardait la bouche ouverte, et posait la
main sur son entrejambe pour cacher maladroitement une érection dune ampleur
surprenante. Je fis entrer le doigt en moi, puis le portai à ma bouche pour le lécher
de bas en haut, toute langue dehors. Javais alors les cuisses vraiment écartées, et
sentais mes lèvres elles-mêmes très gonflées.
Cest alors que la jeune fille revint, non sans faire sursauter le garçon, et
déclenchant un repositionnement urgent et sage de mes cuisses. Elle eut lair inquiète
de la pâleur du jeune homme. Inquiétude de courte durée malgré tout : larrivée dune
glace surmontée dun énorme tas de chantilly prit le dessus sur ses émotions. Il
navait quant à lui apparemment pas commandé de dessert.. Lémotion surement
Cest là que je me suis levée, lentement, le plus sure de moi possible. Cest là
finalement que tout se jouait. Cest là quil fallait assurer.
De ma table jusquà la sienne, je ne le quitte pas des yeux. Il nose pas lever les
siens. Mon cerveau lui hurle « mais vas y nom de dieu, lève les yeux ».. Ca ne vient
pas. Il me vient une idée. Avant datteindre sa table, alors que sa convive me tourne
le dos, je fais tomber une serviette dune table vide. Je me baisse pour la ramasser.
Accroupie, bien sûr, tout en veillant à orienter mon entrejambe avantageusement. Cette
fois son regard croise le mien. Un signe, un seul, il faut quil comprenne. Juste un
petit signe de tête.
Je me relève, et me dirige vers les toilettes, sans un nouveau regard.
Il ny a quun cabinet de toilettes, mixte. Un petit lavabo, sous un miroir. Une porte
donne vers la salle de restau. Une autre vers les toilettes à proprement parler.
Jappuie mes mains sur le lavabo. Je souffle. Je me regarde dans le miroir. Je souris.
Mon cur bat. Puis je me retourne, et je massois sur le lavabo. Je me décale un peu.
Je pose un pied sur le rebord du lavabo. Dirigée ver la porte. Mon sexe est ouvert,
offert. Jai envie de le titiller, mais jattends. Mon cur bat comme jamais, mon
souffle est court. Jattends. Le sang pulse à mes oreilles, ma gorge, mon ventre.
Jattends encore. Pourvu quil vienne. Pourvu que personne dautre nentre. Pourvu
que
La poignée a bougé. Elle descend timidement. La porte sentre-ouvre. Un il se
glisse. Il ne va pas plus loin. Cest bien lui.
Je lui commande, avec un aplomb que je ne me connaissais pas : « Entre ». Il hésite
encore. « Allez ». Il pousse la porte, entre
reste debout, maladroit, devant la porte
fermée. Une bosse énorme déforme son pantalon. Il me regarde, hébété.
« Lèche moi ».
Cest venu tout seul, je ny ai pas réfléchi une seconde. Cette fois il ne traîne pas.
Il sagenouille, colle sa bouche contre ma fente, et lèche. Trop vite, trop fébrile.
Je lui prends la tête.
« Doucement. Doucement. Là, comme ca. La petite bosse. Lèche la petite bosse. Oui, là,
doucement, oui. Vas-y. Suce la entre tes lèvres. Oui. Cest bien comme ca. Plus fort,
tu peux y aller plus fort.».
Il lèche, avec application. Sa main est descendue dans son pantalon, et il se caresse.
Il a sorti son membre. Il ma lair très dur. Très gros aussi pour son corps un peu
frêle. Je lengloutirais bien. Mais jessaie de ne pas y penser. Lexcitation du
moment, laccumulation de tous ces instants, je pourrais me laisser aller à jouir à
linstant. Jai envie de jouir. Jai envie, même de crier et de lui demander de me
pénétrer.
La porte a bougé à nouveau, lentement. Je nai pas peur. Cest Christophe. Cétait le
deal. Il entre en silence. Le garçon nentend rien, tout à son uvre. Christophe
sappuie sur la porte, et regarde. Il regarde le jeune homme sucer avidement mon
clito. Il le regarde se branler de plus en plus fort. Il regarde mes yeux dans les
siens, emplis de plaisir, au bord de la jouissance. Je ne tiens plus. Je tire sur la
tête du garçon pour lattirer à ma bouche, et je lui dis « prends moi ». Je garde sa
tête entre mes mains. Je ne veux pas quil voie Christophe. Je ne veux pas quil
débande, je ne veux pas quil senfuie. Je veux quil me prenne.
Il entre dun coup. Il est effectivement très gros en moi. Maladroit, aussi à ce
niveau, mais très gros. Aucune importance, je suis si trempée que je pourrais
probablement accueillir deux fois plus gros. Je veux quil me pénètre à fond, le plus
loin et le plus fort possible. Dune main je prends ses fesses, et je tire vers moi,
puissamment. Il jouit, je le sens. Il gémit, et je le sens déjà ramollir, mais je me
sens remplie de sa semence. Il na pas du baiser depuis longtemps. Cest allé trop
vite, et puis je me suis trop retenue, avant. Je nai pas joui. Mais le garçon a
aperçu lombre de Christophe derrière lui. Cette fois il sursaute, et débande à une
allure impressionnante. Il bredouille un « pardon », probablement sans savoir ce quil
dit. Il remonte son pantalon, et commence à sortir. Je lui fais « attends ». il se
retourne. « Essuie toi. Tu vas sentir la chatte a des kilomètres ». Sans rien dire, il
sapproche du lavabo. Je me pousse et plaque Christophe contre la porte. Pendant que
ma jeune proie se savonne le visage, Christophe me soulève, et me pénètre directement,
violemment. Il est debout, je ne touche plus terre. Tout mon poids porte sur son
bassin. Il sait parfaitement comment me faire jouir. Sa queue vient semboiter en moi
de façon si parfaite, juste ou jaime
A peine quelques secondes, et lorgasme monte,
et prend tout mon univers. Je ne pense plus qua ca, au sexe de mon homme qui me
remplit. Le jeune homme sessuie. Il me regarde jouir. Christophe gémit. Nous
étouffons nos cris, autant que possible.
Nous nous embrassons. Le garçon nest toujours pas sorti. Je le regarde. Lui dis
merci. Lui fais un petit signe : « Chhhht ». Jouvre la porte.
Je ne lai jamais revu.
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