Ma Nouvelle Vie

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Ma vie à changer depuis le décès de mon conjoint il y a 2 ans. J’ai abandonné toutes débauches et tendances masochisme, je me suis rangée.
L’assurance vie de mon époux m’a permis de vivre tranquillement pendant une bonne année ou j’ai découvert l’existence de ma belle-fille. Fille cachée de mon ex conjoint, tout juste 18 ans, déscolarisée, rebelle et très imbue de sa petite personne.
Mais toute bonne chose a une fin et, pour subvenir au besoin de princesse d’Emilie, j’ai dû chercher du travail, à 48ans !!
Par chance, un hôtel (pas cher avec un nom de voiture de course) recherchait une réceptionniste et, avec mon 95C il parait que je présente bien.
L’entretien d’embauche fut une formalité et, dès le lendemain, j’étais en poste.
Un petit travail plaisant, en contact avec tous les clients, dans le petit village de Gémenos. Bref, tout allait bien, dans une nouvelle vie tranquille et posée, même ma belle-fille devenait moins désagréable, trop occupée avec ses petits copains.
Un évènement allait pourtant changer ma nouvelle vie tranquille, la vente de l’hôtel pour en faire des logements sociaux, des logements pour travailleurs immigrés.
En peu de temps, les clients sont devenus des locataires, logés gratuitement et, de réceptionniste, je me suis retrouvée gardienne, essayant de garder un semblant de calme dans cette nouvelle population.
Ça se passe plus ou moins bien, j’essaie de ne pas trop braquer ces jeunes venus « travailler » pour ne pas faire de vagues.
Fini les corsages et jupes pour aller travailler, maintenant c’est pull ou t-shirt et pantalon pour ne pas éveiller les hormones de ces males.
Mais même habillée comme ça, je sens certains regards se poser sur mes formes et, certains commentaires fusent de temps en temps.
Seulement un jour, un jeune, plus téméraire que les autres viens me voir, derrière ma vitre de protection et mon hygiaphone, téléphone à la main me demande

- Tu me montre tes seins ?

Rouge de colère, je lui dis de se calmer, qu’il ne faut pas parler comme ça aux femmes mais il insiste.



- Montre-moi tes seins et je te montre ma bite

J’essaie de le raisonner, lui dire que ce n’est pas une façon de me parler, de rester polis et courtois mais il me coupe la parole

- Je sais que tu aimes les grosses bites toi !

Tout en lançant ça, il me fait voir son portable, à travers la vitre de protection, faisant défiler des photos d’un blog de sexe, montrant la Chienne Ophélie suçant des grosses bites.
En voyant cela je me remémore cet après-midi ou mon ancien maitre m’avait laissé aux mains de mon voisin et de ses amis. Apparemment il n’avait pas qu’r de moi, il avait aussi fait un blog sur cette expérience.
Je sens mes jambes se dérober sous l’effet de surprise. Malgré cela, je rembarre le jeune, l’insultant de pervers et de maître chanteur, essayant de cacher tant bien que mal ma peur.
Pour toute réponse, le jeune noir recule, tout en souriant, me faisant un clin d’œil en moulant son sexe à travers son survêtement.
Je me refugie dans ma loge, tremblante de peur et d’énervement.
Mon esprit part dans tous les sens, que va-t-il se passer ? est ce qu’il va montrer ses vidéos à tout le monde ? es ce qu’ils vont essayer de me violer ? pourquoi a-t-il une si grosse bite ?.....
Cette dernière question me fait frémir malgré la situation. J’essaie de me calmer, et bizarrement, la journée passe sans encombre.
18H, l’heure du départ, je me précipite dans ma voiture pour rentrer chez moi et tout oublier. Enfin essayer de tout oublier. Mais a peine partie, je vois sur le bord de la route le jeune black, assis au bord de la route, agitant son téléphone portable.
Tout va très vite dans mon esprit, il est là pour moi, me fait du chantage….
Qu’est-ce que je fais ? j’accélère ? je l’écrase ? je m’arrête ?
Tout s’embrouille, et d’instinct, je m’arrête à son niveau.
Tout sourire, il monte dans ma voiture, à l’arrière, s’installe au milieu de la banquette, dans mon champ de vision du retro.


- Roule ! ordonne t’il

Sans un mot je redémarre, jetant des coups d’œil dans le rétro.

- Tu vois connasse, tu m’aurais montré un nichon, je t’aurais laissée tranquille, profitant des vidéos.
- Mais….. je….. bredouillais
- Ta gueule !

Instinctivement je baissais les yeux et, me mordais la langue pour ne pas répondre oui monsieur.

- Tu vas me trouver un endroit tranquille pour que tu me suce mon zob.

Je restais sans réaction, stupéfaite de sa demande, réfléchissant à un endroit discret ou je puisse me faire humilier par ce petit con.
Les kilomètres défilent et je ne trouver aucun endroit, sans réfléchir aux conséquences, je décide de me garer dans mon allée de jardin, ça sera plus discret que dans la rue.
Dès le moteur éteins il sort son énorme sexe, le secouant comme pour attirer mon attention.
Je me retourne, obnubilée par cet engin qui malgré moi m’attire. Depuis combien de temps n’ai-je pas touché un sexe d’homme ? 6 mois ? 1 an ? je ne me rappelle même plus…
En levant les yeux, je vois qu’il filme avec son portable, de peur de représailles, je n’ose rien dire.

- Alors connasse, qu’est-ce que tu veux ?

Je ne réponds pas, pas envie de rentrer dans son jeu malsain, juste envie de le sucer pour qu’il parte vite. Mais il insiste, et je me doute que ça va durer le temps qu’il obtienne sa réponse.

- Te sucer. Ma réponse est à peine audible.
- Non, mieux que ça connasse !

Il me fait mettre au milieu des 2 sièges avant, bien en face de lui, mon visage à quelques centimètres de sa bite.

- Dis-le connasse, dit que tu as envie de me bouffer ma grosse queue parce que tu es une vieille pute à blacks.

Je résiste tant bien que mal, mais il me donne des coups de gland sur mes joues, mon menton, m’encourageant à dire ce qu’il attend, et lorsque je sens monter la chaleur de mon bas ventre, je cède.


- Je veux bouffer votre énorme queue car je ne suis qu’une veille pute à blacks !

Fier de lui il retourne son téléphone, pour se filmer tout en s’exclamant :

- Vous voyez les gars, les vielles femelles blanches sont de vraies putes pour nous !

Je vois avec effroi qu’il est en face-time avec 2 jeunes qui n’en perdent pas une miette. Et, qui font des Oh Ouais quand ils me voient avaler la bite de leur copain d’une seule traite.
J’essais de la prendre en entière dans ma bouche, salivant dessus comme la dernière des salopes, essayant de lui lécher les couilles tout en ayant son énorme queue dans ma bouche.
Je coule, je sens ma chatte devenir une fontaine, son odeur acre et amer m’excite au plus haut point.
Je me sens enfin chienne, enfin à ma place, au bout d’une grosse bite.
Je le vois poser son téléphone sur la banquette, l’objectif face à moi pour ses copains. Il pose ses mains sur ma tête, et commence à me baiser la bouche, imprimant le rythme et la profondeur qu’il désire. Mon instinct de chienne revient à toute allure et, tout en me faisant baiser la bouche, je mets les mains dans le dos, en signe de soumission. Je bave, suffoque sur son énorme pieu mais je mouille, je profite de cet acte violent, et humiliant.
Il me tire les cheveux en arrière, libérant ma bouche d’où un flot de salive sort. Je me demande en moi-même comment expliquer toutes ses taches de salive sur le sol de ma voiture.
Il tient sa bite d’une main, l’agitant devant mon nez, sachant pertinemment mon envie de la prendre de nouveau.
Il se branle devant moi, je me sens frustrée de ne pas l’avoir dans ma bouche de chienne, j’ai envie de la sucer de nouveau mais il me tient par les cheveux, à 10 cm de son gland qui gonfle toujours.
Je le vois qui se tend, et je me tiens prête à la première giclée, du bon foutre chaud.
Son méat s’ouvre et je vois apparaitre ce liquide blanc tant désiré, j’ouvre la bouche pour recevoir ce premier jets, acre et visqueux.

J’avale comme une affamée et, je le vois serrer la base de son sexe, fessant gonfler sa queue au maximum et, d’un coup relâche la pression et un flot de sperme m’arrive sur la face, me recouvrant presque en totalité, un flot continu arrive.
J’ai l’impression qu’il me pisse du sperme sur la face, j’en suis recouverte jusqu’aux cheveux.
Il fini de se vider sur le sol de m voiture, tout en souriant, il contemple son œuvre et, le fait voir à ses amis via son téléphone. Ils sont tous hilares et me traite de tous les noms.
Sans explications ni un mot, il sort de ma voiture, remonte son pantalon et s’en va.

Je reste abasourdie par cet acte violent et excitant et, met plus de 10 minutes avant de sortir de ma voiture.
Je me précipite dans la salle de bain pour prendre une bonne douche, nettoyer toute cette salive et sperme qui goutte sur moi.
Malgré la peur de retourner à mon boulot demain, ne sachant pas qui était en communication, je jouis rapidement sous l’eau chaude, espérant secrètement que ce jeune salop profite de moi.
……

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!