Leslie Hd58

LESLIE HD58 - Dominique

Nous avons hébergées une amie de Laure venue à Paris pour quelques jours, elle venait
pour un salon et son patron lui avait demandé de l’accompagner pour l’aider à tenir le
stand de l’entreprise avec lui.
Très libérée elle avait adoptée sans problème les règles de la maison, elle nous avait
vue nues avec Laure et cela ne lui posait pas de problème, ayant elle-même adoptée de
vaquer dans la maison de une nudité intégrale.
Pas plus d’ailleurs, qu’elle n’était offusquée de mon état de transexuelle. Bien au
contraire elle s’y intéressait et me posait des questions lors de nos diners.
C’est tout naturellement qu’un soir elle nous compta une de ses diverses de ses
aventures passées.
Tout d’abord, Dominique est une belle femme, mince au petit derrière bien cambré,
entièrement épilée et prenant soin de son corps, les hanches peu étroites et la
poitrine d’une adolescente, elle pouvait éveillé les désirs de plus d’un mâle et ne me
laissait pas indifférente.

Ce soir-là elle nous confia :
« Cela faisait plusieurs semaines que je pensais sérieusement à faire de l’échangisme,
j’y avais déjà pensé déjà avant, j’avais longuement fantasmé longuement là-dessus,
mais j’avais peur d’en parler ouvertement à mon copain du moment, et de passer à
l’acte avec ou sans lui.
Cela aurait brisé mon image de petite fille sage et prude que je montrais à cette
époque.
Mais une période de remise en question de nos relations et de ma sexualité, puis une
séparation, peut-être momentanée, histoire de faire le point m’a rendue ma liberté et
m’a décidée à découvrir de nouveaux horizons.
Je désirais aller à la rencontre de nouvelles sensations fortes et me laisser emporter
par des hommes autres que mon copain.
Je voulais connaitre les émois de deux filles ensemble ainsi que les parties à
plusieurs, avoir, pourquoi pas, deux mecs pour moi dans mon lit qui s’occupent de moi,
m’emmenant sur des sentiers interdits.


Et pourquoi pas aussi, participer à des groupes où tout est permis et où seul compte
le plaisir et la jouissance, faire de l’échangisme.

Cette année-là, pour Noël, je suis partie chez un vieil ami d’enfance, pour qui
j’avais fantasmée, mais, à l’époque, trop timide nous nous sommes perdus de vue sans
que rien ne se passe entre nous
Je ne l’avais pas vu depuis dix ans, et c’est à l’occasion d’un salon que je l’avais
revue, il m’avait demandé de nous revoir et je luis avais dit pourquoi pas.
J’avais l’espoir et le projet fou que lorsque je le reverrais il me fasse l’amour pour
attr le temps perdu.
Chez lui, rien ne se passa comme je l’avais rêvé et notre rencontre fut un fiasco, le
charme du passé ne se réveilla pas et je rentrais frustrée de ce week-end sans même
avoir fait l’amour.

Cette tentative ratée, quelque peu frustrée, ne m’a pas découragée et plus que jamais
le désir de devenir une libertine s’éveilla en moi, mais il me fallait concrétiser.
Je voulais aller dans un club libertin, mais accompagnée, comme il n’était pas
question d’y aller seule, je pensais à me faire accompagner par un collègue.
Celui-ci me draguait depuis longtemps et aurait bien voulu que je cède à ses avances,
l’occasion était trop belle et il accepta sans hésiter.
Je l’ai prévenu que si nous avions une aventure lors de cette soirée, ce serait celle
d’un soir sans plus et qu’il ne devait rien attendre par la suite.
Après quelques recherches, ensemble, sur les différents forums, il s’est avéré qu’un
club était une bonne adresse pour faire nos premiers pas.
N’ayant de compte à rendre à personne, nous nous y sommes rendus un jeudi soir.

J’avais la crainte que des hommes seuls viennent satisfaire leur besoins primaires en
profitant de moi, mais Marc me rassura en me disant que je ne craignais rien en sa
présence.

Je pouvais m’en douter car il devait drôlement bander pour moi et être rempli de
désirs pour accepter mon idée.
De toutes les façons, il ne pouvait que s’en réjouir, il pourrait faire des rencontres
et assouvir des relations que le quotidien ne pouvait lui offrir.
J’avais peur de ne pas avoir le physique pour plaire, mais l’allure physique dans ce
genre d’endroit n’est pas vraiment un obstacle même si elle contribue à faire des
rencontres plus facilement.
Marc me rassura en me disant que j’étais belle comme un cœur et que plus d’un homme
serait d’accord pour me tirer.

En fait, avec mes 1,60 m, brune aux cheveux indécemment longs, les yeux couleur
noisette en amandes, hérités de ma grand-mère vietnamienne, deux petits seins de jeune
fille, les hanches étroites et le cul bien cambré, j’étais, comme on le dit, une jolie
gonzesse, comme le disait mon collègue il émanait de moi un petit quelque chose de
sexuel.
Marc rajouta :
- D’ailleurs les collègues du bureau disent que tu sens le cul.
Pas très galant, mais rassurant tout de même.
Marc, quant à lui, bisexuel, se retrouverait quant à lui, comme un poisson dans l’eau
lors de cette soirée qui je l’espérais serait réussie et pleine de surprises.

Se trouvant dans une impasse, là où on ne s’attend vraiment pas à trouver un club, la
discrétion était assurée pour les protagonistes que nous étions.
Nous sommes entrés et nous avons été accueillis par une jolie réceptionniste.
On paye et on récupère les clés de notre casier, puis nous nous rendons au sous-sol
pour nous déshabiller dans le vestiaire mixte, où chacun se change à la vue de tous.
Dans chaque casier il y a un peignoir sorti directement du pressing, une serviette, et
un peignoir, et dans la poche du peignoir une boite de préservatifs, à utiliser selon
les envies de chacun.
Nous nous sommes déshabillés, moi un peu gênée tout de même, tentant de me cacher aux
regards de Marc, osant à peine regarder les autres personnes présentes.

Marc quant à lui, complètement à l’aise, a exhibé sa nudité à tous, me laissant
découvrir son membre, de belle dimensions au repos.
- J’ai fait le bon choix, me suis-je dis.

A suivre…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!