13 - Pute Et Soumise / Acte 2

Philippe fit immédiatement signe aux nouveaux venus d'observer le plus grand silence.
Christian et Daniel, deux autres de mes amis, prirent les plus grandes précautions
pour pouvoir profiter du spectacle. On n'avait pas souvent l'occasion de voir une
belle femelle comme ma femme en pleine action : de dos, ses jambes gainées de noir
bien écartées, elle semblait proposer sa croupe fendue pour assouvir les fantasmes les
plus fous ; elle offrait une vue des plus profondes de l'anatomie féminine jusque dans
les moindres replis secrets. Par gestes discrets, Philippe invita les nouveaux venus à
s'approcher. Hilare, Christian avança subrepticement jusqu'au canapé tandis que Daniel
resta en retrait. Maria ne s'aperçut toujours pas de l'imposture quand Christian fut
invité par Philippe à tâter la marchandise, et que sa main remplaça celle de l'amant
officiel dans sa fente écartelée pour la caresser et la fouiller. La farce devenait
scabreuse et l’invité maîtrisait de moins en moins le désir de posséder ma femme.
Sournoisement, Philippe commentait :
- Tu veux toujours te faire tirer, salope ?
- Oui, ça m'excite trop de sucer ta queue.
- Dis-le que tu en prendrais bien une autre par le con !
- C’est vrai, tu le sais très bien.
- Tu vas fermer les yeux et écarter les cuisses pour montrer ta chatte comme
s’il y avait d’autres mecs dans la pièce et que tu voulais qu’ils te baisent.
- Cochon, tu sais que c’est mon plus gros fantasme.
- Ne t'inquiète pas, tu vas te faire baiser tout de suite.
Philippe triomphait. Il fit signe à Christian de passer à l’acte. Celui-ci
défit son pantalon pour sortir son sexe déjà raide, se plaça entre les cuisses
écartelées et introduisit vicieusement le gland dans la fente lubrifiée à souhait ; je
pensais qu'il allait réussir à la pénétrer par surprise dans cette position quand ma
femme se rendit enfin compte que ce n’était plus des doigts mais un solide braquemart
qu’on lui enfilait dans le sexe.

Elle se tordit pour voir ce qui se tramait et
protesta :
- Mais qu'est-ce que vous faites ? Vous êtes fous ou quoi ?
- Mais c'est la femme de Bernard qui te suce ! Je ne savais pas que tu te la
faisais, tu ne t’emmerdes pas mon salaud !
- Je t'invite à lui passer dessus aussi, je ne suis pas jaloux.
- Laissez-moi, je ne veux pas !
- Regarde-toi, salope, les cuisses ouvertes et une queue dans la bouche ! Tu ne
vas pas jouer les pucelles maintenant. Vas-y Christian, baise-lui sa petite chatte de
salope pendant qu'elle me suce !
Ce dernier ne s’était pas retiré depuis qu’il avait introduit son gland dans
le sexe féminin et n’avait pas l’intention de le faire. Il ne pouvait pas contrôler
son désir. Les bras et le haut du corps bloqués par son amant, Maria, impuissante, vit
Christian ouvrir en force le compas de ses jambes pour s'installer entre ses cuisses.
Dès qu'il la pénétra, ce dernier commença à aller et venir en elle tandis que Philippe
forçait sa bouche malgré ses protestations. Mais si ma femme contrôlait sa volonté et
ses sentiments, elle ne contrôlait en aucune façon la générosité de son ventre et ne
tarda pas à subir la loi de son propre sexe. Son corps était maintenant complice de ce
forfait et s'abandonnait à la fornication. Philippe sentit ce changement radical et
encourageait Christian à la prendre en force ; il ne cherchait plus à la bloquer ou à
l'empêcher de bouger, bien au contraire puisqu'il savait qu'ils avaient vaincu cette
femelle maintenant plus que consentante. La soumission de sa maîtresse dut l'exciter
car il se raidit soudain en enfonçant son membre pour décharger au plus profond de la
gorge. La vicieuse déglutit plusieurs fois pour avaler le sperme de son amant qui
resta dans sa bouche. Il interpella le troisième larron :
- Et toi, Daniel, tu n'as pas envie de tirer ton coup toi aussi ? Tu préfères
une bonne pipe, peut-être ? Elle ne dira pas non, tu sais !
- Vous n'avez pas honte de la traiter comme ça ?
- Pourquoi ?
- Vous la traitez comme une putain.

- Elle aime la queue et on lui donne ce qu'elle est venue chercher.
- Elle est mariée, vous y avez pensé ?
- C'est à elle d'y penser, pas à nous. Et aussi à son mari qui n'a qu'à
surveiller sa Conchita s’il ne veut pas qu’on lui passe dessus.
- Là, tu marques un point.
- Allez, laisse-toi tenter, elle en vaut la peine. Et tu regretteras toute ta
vie de ne pas avoir profiter de l'occasion.
- Après tout, pourquoi pas, si elle est d'accord.
- Viens prendre ma place, tu verras comme elle suce bien.
- Arrête de proposer mon cul à tous tes copains ! Ce n'est pas parce que tu es
mon amant que je suis une putain. Si mon mari me voyait !
- Chez toi, tu peux faire comme si tu étais une épouse modèle, tu peux jouer à
la brave petite femme d’intérieur et tu écoutes ton mari. Ici tu ne joues plus les
mijaurées, on sait tous que tu es une salope et d’abord, tu fais ce que je te dis. Par
contre, les mecs, je vais vous demander de mettre une capote pour la tringler, si vous
voulez, vous pourrez décharger sur son visage ou dans sa bouche pour qu’elle avale,
mais pas dans sa figue, c’est mieux pour tout le monde.
Ces paroles balayèrent les dernières objections de ma femme. Quand Philippe se
retira de sa bouche, notre femelle en profita pour changer de position. Son partenaire
avait compris qu'elle ne se déroberait plus et la laissa se dégager, se retourner et
s'allonger sur le dos, les cuisses grandes ouvertes, dans une position plus
confortable. Il retrouva vite ses marques et prit appui sur ses genoux pour la
pénétrer avec un préservatif cette fois et reprendre son coït. La chérie ne protesta
pas plus quand Daniel lui présenta son sexe. Elle se contenta de hausser les épaules,
le prit dans sa main et le porta entre ses lèvres. Puis elle commença à le pomper tout
doucement en caressant les testicules.
Philippe pouvait être fier de lui : non seulement il avait possédé sa
maîtresse en la prenant par tous ses orifices, mais il venait de démontrer sa réelle
emprise sur elle en la livrant à d'autres hommes.
Il pouvait être fier de lui, il
avait transformé une épouse respectable en cette catin lubrique qui forniquait
allègrement avec deux mâles en même temps. Et moi, le mari mille fois cocu, je
regardai la scène avec une attention extrême, je ne voulais pas en perdre une miette,
le spectacle avait de quoi me rendre fou. A vrai dire, je bandais tellement fort que
j’en avais mal, je ne savais pas s’il fallait que je descendre rejoindre les autres et
attendre mon tour pour participer à cette débauche, ou bien me masturber en regardant
la putain se faire baiser. Inconsciemment, ma main se porta à mon sexe et je branlai
le mandrin dur comme la pierre. J’étais tellement excité que je déchargeai en quelques
secondes, sans toutefois me soulager vraiment, et surtout sans quasiment débander. La
situation était cocasse, moi le mari, en être une nouvelle fois réduit à me masturber
en regardant ma jolie femme se faire baiser sous mes yeux ! La cochonne se donnait à
celui qui s'agitait entre ses cuisses, tandis qu'elle jouait avec la queue de son
deuxième partenaire, alternant les mouvements de sa bouche avec de petits coups de
langue sur toutes les parties génitales. Ce traitement parut faire envie à Christian
puisqu'il proposa à son ami de changer de place avec lui. Sitôt dit, sitôt fait,
Daniel prit possession de son con et Christian put profiter à son tour du talent de
cette fameuse suceuse. Il avait passé une main dans le soutien-gorge que personne
n'avait songé à dégrafer et jouait avec les seins en faisant sortir par moments les
bouts tendus qu'il faisait rouler entre ses doigts avant de les remettre à leur place
et de reprendre toute une mamelle en main.
Le nouveau devait mieux convenir à sa chatte et surtout mieux la combler. Ce
qui devait arriver se produisit : Maria abandonna soudain le sexe de Christian pour
enlacer celui qui la baisait si vigoureusement.
Elle ne pouvait contenir la montée du
plaisir qui venait des profondeurs de son ventre et qui finit par la submerger. Elle
eut un orgasme brutal et violent tandis que Daniel jouissait en elle et remplissait le
caoutchouc qui l’empêchait de se répandre en elle. Christian branlait sa queue et
sentant la libération, dirigea les jets de foutre sur sa bouche et le reste de son
visage, douchant du même coup ses cheveux et sa poitrine.
Puis les deux compères se levèrent et s'essuyèrent le sexe avec la serviette
que Maria avait ramenée de la salle de bains et qui traînait au pied du canapé. Ma
femme, après avoir perdu toute dignité, restait prostrée aux pieds de ses vainqueurs
qui lui lancèrent le linge pour qu'elle puisse s'essuyer à son tour. Philippe lui
tenait maintenant la main, pour que tout le monde comprenne qu'elle lui appartenait ;
il déclara en lui flattant la croupe :
- Alors, elle est sympa ma copine, non ?
- Tu veux dire que je suis folle de faire tes quatre volontés.
- Moi j'ai apprécié que tu fasses ce que Philippe te demande.
- Ben voyons ! Comme ça, vous pourrez dire à tout le monde que je suis tellement
salope que vous m'avez sautée tous les trois.
- Nous sommes mariés aussi et personne n'ira dire quoi que ce soit. Ton mari
n'en saura rien, rassure-toi.
- J’espère. Mais ce ne sont pas vos femmes qui se feront traiter de putain,
c’est moi.
- Ton mari n’a pas à savoir que tu as couché avec nous.
- Maintenant que vous parlez de mon mari, je dois aller le rejoindre avant qu'il
ne s'inquiète.
- Va au moins te laver le cul avant de le retrouver.
- Le cul et le reste, tu sens le foutre à plein nez.
Maria haussa les épaules avant de quitter la pièce. Entre-temps, Christian
ramassa la culotte de Maria qui traînait à ses pieds. Il la porta à son nez pour la
humer et demanda :
- C’est elle qui l’a laissée là ?
- Elle l’a jetée là tout à l’heure.
- Elle sent bon cette salope, tu crois que je peux lui piquer ?
- Garde-là, ça te fera un souvenir.
- Elle va marronner, non ?
- Elle rentrera à la maison sans culotte, voilà tout.
- Tu as de la chance de te faire une nana comme elle.
- Elle te plait ?
- Plutôt oui, c’est une belle plante.
- Elle est plutôt gironde, et pas bégueule, vous avez vu.
- Je n’aurais jamais cru qu’une femme mariée pouvait se comporter comme elle,
tromper son mari avec n’importe qui, et même se taper plusieurs mecs ensemble, je
croyais que ces choses ne se passaient que dans les films pornos.
- Et pourtant, c’est la réalité, vous avez pu vérifier. En fait, ce sont les
femmes mariées qui sont les meilleurs coups. Elles sont rodées, savent ce qu’elles
aiment, et celles qui vont voir ailleurs en veulent, croyez-moi.
- Et c’est tout bénéfice. Tu la baises et c’est son mari qui paye les factures.
- Moi, ce qui m'étonne le plus, ce n’est pas que tu la baises, mais c'est que tu
arrives à en faire ce que tu veux.
- Une femelle, ça s'éduque ! Au début, elle était fidèle, sérieuse, presque
coincée du cul. Avec ce genre de bonne femme, il faut savoir attendre le bon moment.
J’avais envie de me la faire depuis longtemps, mais ça n’a pas été facile de trouver
l’occasion d’une première fois. J’ai compris que j’avais une chance quand je l’ai vue
en furie contre son mari qui venait de la tromper. Croyez-moi, je n’ai pas laissé
passer ma chance.
- Et son mari ?
- Son mari ? Je crois qu’il n’a rien compris au film, il était aux premières
loges pour voir sa femme le faire cocu, et cette petite salope a réussi à l’exciter à
tel point qu’il est venu se branler pendant que je la baisais sous ses yeux.
- Incroyable !
- Après, c’était du gâteau. Je me suis rendu compte qu'elle grimpe aux rideaux
dès que tu lui fais reluire la fente. Au lit, c’est le pied total, elle est soumise,
elle accepte tout, et elle en redemande toujours, un vrai festival. J’ai même réussi à
la sodomiser le premier jour.
- Elle devait déjà l’avoir fait avec son mari ou avec quelqu’un d’autre.
- Penses-tu ! C’est moi le premier qui lui ai cassé la rondelle.
- Je ne le crois pas. Et tu l’encules encore ?
- Pas plus tard que tout à l’heure avant que vous arriviez. Elle y a eu droit,
la petite chérie, tamponnée recto verso avec finition buccale. Je me suis tapé son
cul, sa chatte, et je me faisais sucer quand vous êtes arrivés. C’était trop bon. Elle
voulait encore prendre un petit coup dans la figue, mais c’est vous qui l’avez
fourrée.
- Je ne comprends pas. À croire que son mari ne la baise jamais.
- Tu parles, elle m’a dit qu’il la tringlait tous les jours et qu’elle prenait
son pied avec lui. Non, elle en veut plus, il lui en faut beaucoup plus, c’est tout.
- C’est un vrai volcan, cette femelle.
- Elle est portée sur la queue comme ce n’est pas permis et c'est facile d’en
faire ce qu’on veut. A chaud, c’est une bombe atomique, une vraie nymphomane. Une fois
qu’on a compris comment elle fonctionne, il suffit d'un peu de persuasion pour en
faire profiter les copains.
- Pourquoi ? Tu comptes recommencer avec d’autres mecs ?
- Bien sur, j’ai des amis qui se feront un plaisir de la baiser, tu parles, une
femme mariée comme elle, il y a des amateurs.
- Et tu crois qu’elle sera d’accord ?
- Aujourd’hui, c’était une sorte de test, après ce qu’elle a fait avec vous sans
protester, je crois qu’elle se fera tirer par qui je veux, c’est sans problème.
- Nous, on peut te remercier pour l'invitation. Son mari par contre doit être
plus cocu que ravi.
- J’espère qu’il ne saura jamais que moi, son ami Daniel j’ai sauté sa femme. Je
ne sais pas si je vais pouvoir le regarder en face après lui avoir fait ce coup là. Sa
femelle est bonne mais c’est un bon copain tout de même.
- Sur, c’est même un meilleur copain avec la femme qu’il a. Pauvre Bernard, cocu
comme il est, j’espère qu’il n’est pas jaloux.
- Je crois qu’il s’en fout un peu qu’on se tape sa femme.
- Ce n’est pas possible.
- Je t’assure, d’ailleurs, il sait que j’ai déjà baisé sa femme, et je suis sur
qu’il était conscient du risque d’une récidive aujourd’hui.
- Et il est venu avec elle quand même ?
- Tu vois, il est venu et il la laisse toute seule, il a bien vu que j’ai dansé
avec elle.
- Moi j’ai même remarqué comment tu la serrais en dansant, je voyais bien que tu
la draguais et que tu cherchais à la coincer dans un coin. Je me suis dit que tu avais
du picoler pas mal pour draguer une femme mariée devant tout le monde et la peloter
devant son mari. Il faut dire que tu n’es pas très discret.
- Je bandais trop. Lui aussi m’a vu faire et pourtant il n’a rien dit.
- Il a ment vu comme tout le monde que tu lui as mis la main au cul.
- D’autant plus qu’il sait que je l’ai déjà niquée une fois. Il devrait savoir
que je ne vais pas me priver de recommencer à la première occasion, elle est trop
bonne, sa petite femelle.
- Qui ne dit mot consent.
- Dans ce cas précis, c’est vrai. C’est un peu comme s’il avait mis sa petite
femme à ma disposition.
- Je comprends que tu ne te gênes pas pour te taper sa femme.
- Tu vois bien, je pense qu’il est plus ou moins au courant de ce qu’elle fait
cet après-midi.
- Je n’arrive pas à le croire qu’il le sache et qu’il laisse faire.
- Remarquez, il croit certainement qu’elle cherche juste à se faire sauter en
bonne mère de famille qui veut sortir de la routine et veut s’encanailler un peu.
Comme il est brave, il se dit qu’un petit coup de queue entre les deux gros orteils ne
lui fera pas de mal, ça ne prête pas à conséquence. Il ne se doute sûrement pas de
tout ce que fait sa femelle dès qu’il a le dos tourné. Il ne doit pas se rendre compte
à quel point sa femme est salope. Remarquez, c’est mieux comme ça, il s’imagine qu’il
est gentiment cocu mais comme il ne sait rien de plus, il est heureux. S’il l’avait vu
à l’œuvre tout à l’heure, il aurait eu une attaque. Avouez mes beaux salauds que vous
vous êtes régalés à la baiser.
- C’était super.
- Vous avez vu comment elle a gardé son petit con bien serré, un vrai fendu de
jeune fille et pourtant elle adore qu’on la défonce, elle est trop bonne cette
femelle.
- C’est sûrement parce qu’elle n’a pas eu d’s, ma femme n’est plus
pareille depuis qu’elle a accouché.
- Elle est serrée, mais elle mouille tellement que ça coulisse tout seul.
- Elle aime la queue, ça se voit.
- On peut dire qu’elle y met de la bonne volonté. Je n'ai jamais vu une femelle
aussi chaude.
- Pour sûr, je n'avais jamais vu une femme jouir comme elle. Je voudrais bien
voir la mienne crier comme ça quand je la baise.
- Amène-la ici, on s'en occupera aussi.
- C'est malin. Mais je crois que ta copine a son compte pour aujourd’hui.
- Penses-tu ! Il suffit de la chauffer un peu, et ça repart au quart de tour, je
compte bien lui fourrer sa petite chatte avant qu’elle retourne avec son mari. Le
dernier petit coup, pour la route !
- Je ne pense pas qu’elle reparte au quart de tour comme tu le dis.
- Qu’est-ce que tu paries ? Je lui branle un peu le minou et elle va en
redemander, vous allez voir.
- Tu vas l’épuiser, son mari ne va pas comprendre de la voir fatiguée à ce
point.
- Elle va me vider les couilles avant d’aller le rejoindre, ça, elle n’y coupera
pas.
- Tu vas la baiser juste avant ? Tu n’as pas peur qu’il s’en aperçoive s’il la
touche ?
- C’est certain qu’il va être surpris, d’abord la dame a perdu sa culotte, et en
plus elle a sa petite chatte poisseuse de foutre.
- Ça ne te gêne pas ?
- Au contraire, ça m’excite qu’elle aille rejoindre son mari avec mon foutre
dans le ventre.
Maria revint et Philippe lui fit signe de s’approcher, ce qu’elle fit comme
une bonne petite femelle bien dressée. Elle réussit à ronchonner quelques mots :
- Vous n’avez pas vu ma culotte ?
- Qu’est ce qu’il y a ? Tu as perdu ta culotte ?
- Je ne sais pas, je l’avais laissée là et elle n’y est plus.
- Pauvre chérie, tu vas devoir partir sans culotte.
Comme pour vérifier, Philippe lui palpa les fesses puis releva la jupette pour que
tout le monde puisse en juger par soi-même, effectivement, Maria n’avait plus de
culotte, sa jolie toison de brunette ravissait la vue. Il continua de lui caresser les
fesses puis la fit asseoir sur ses genoux. Il s’amusa ensuite à pincer les pointes des
tétons avec ses lèvres et avec ses doigts, ce qui eut pour résultat de les faire
jaillir à en percer le chemisier. Maria se laissait faire comme un toutou, avec une
docilité exaspérante pour moi. Il lui fit écarter les genoux pour la caresser à son
aise, et continua la conversation avec une main sous la jupette :
- Tu sais, ma chérie, tu es mieux comme ça, ton minou a besoin d’air frais, avec
tout ce qu’il s’est enfilé aujourd’hui.
- Philippe a raison, tu auras moins chaud.
Ce dernier continuait de converser comme si de rien n’était, mais il n’arrêtait pas de
caresser ma femme. D’une main, il jouait avec ses tétons, roulait, pinçait, suçait
les pointes en érection, s’amusait à les faire sortir et rentrer du chemisier. On ne
voyait pas ce qu’il faisait de l’autre main sous la jupette, mais il s’activait entre
les cuisses ouvertes. Il ne cherchait pas à être discret, au contraire, il était
facile de deviner ce qu’il faisait tant ses gestes étaient ostensibles : il s’amusait
avec le minou, fouillait la fente, taquinait le bouton d’amour, branlait la femelle
qui ouvrait davantage le compas de ses cuisses quand il accélérait le mouvement du
coït avec ses doigts. Ses deux là s’étaient trouvés, un mâle dominant qui avait
totalement soumis cette femelle et qui voulait le montrer, et une femelle, mon épouse
en l’occurrence, satisfaite et bien docile, et qui ronronnait de plaisir sous les
caresses de son maître.
- Tu es bien, ma chérie ?
- Hum ! … Oui
- Ça te plait ?
- J’aime bien, oui.
Sous les yeux de ses partenaires, Maria prenait du plaisir à se faire caresser, elle
s’exhibait sans pudeur, surtout aux yeux de Daniel qui était assis en face et qui
était aux premières loges. C’est vrai qu’elle n’avait plus rien à leur cacher, ils
avaient tout vu d’elle, ils l’avaient prise comme ils avaient voulu, l’heure n’était
plus ni à la pudeur ni aux chichis. Les seins à l’air, cuisses ouvertes, elle léchait
les lèvres de son amant et cherchait ses baisers. Chacun pouvait apprécier la
démonstration de Philippe, cette femelle lui appartenait corps et âme. Il continua :
- Regardez-moi cette belle petite chatte.
- C’est vrai que c’est une sacrée belle chatte.
- Et affamée avec ça !
- Tu mouilles ma petite chérie.
- Je n’y peux rien, tu me rends folle.
- Tu veux que j’arrête ?
- Non, continue, au contraire.
- Si je continue, tu vas encore te prendre un coup de queue.
- Tant que tu veux.
- Tu ne devais pas aller retrouver ton mari ?
- Ça peut attendre un petit peu.
- Et que va dire le propriétaire quand il verra que cette belle petite moule est
pleine de foutre ?
- Je ne sais pas comment, mais je trouverais bien une explication.
- Toi, tu es une drôle de cochonne. Ton mari a du souci à se faire.
Christian réussit à se décider :
- Bon, nous devons partir maintenant, allez, salut et merci pour tout Philippe.
- Salut les gars, moi je vais rester un peu avec ma copine.
- Bonne bourre alors.
- Merci. Vous voulez rester pour voir comment il faut la baiser ?
- Non, on sait que tu vas la faire décoller, on te fait confiance.
- Attends qu’ils partent pour le faire.
Ils quittèrent la pièce tous les deux et Maria resta avec Philippe. Elle avait un peu
repris ses esprits et se leva. Après avoir essuyé et lavé les traces les plus visibles
de ses rapports adultères, elle rechercha à nouveau sa petite culotte, elle s’en fit
une raison, elle devrait s’en passer. Puis elle se rhabilla. Devant la glace, elle put
constater que ses vêtements étaient maculés de sperme et tâchés de grosses auréoles.
Puis elle renonça à réparer les dégâts devant l'ampleur du désastre.
Philippe l'attendait assis sur le canapé et l'invita à venir à ses cotés.
Maria s'assit en soupirant profondément puis prit la parole après un long silence :
- J'ai plein de sperme partout sur mes vêtements.
- Question foutre, il faut reconnaître que tu as été bien servie.
- Si tu savais comme j'ai honte de moi !
- Pourquoi ?
- Tu te rends compte ? Je voulais simplement faire l’amour avec toi, et je l'ai
fait avec deux autres hommes en plus. Trois ! J'ai baisé avec trois types cet après-
midi.
- Ça te fera une trentaine de centimètres de saucisse de plus au compteur. Tu
dois en avoir pris quelques mètres depuis la dernière fois, non ?
- Si tu crois que je tiens une comptabilité ! Non, j’ai honte, c’est tout.
- Où est le mal, puisque tu as pris ton pied ?
- Mais là, justement ! Non seulement on me traite comme une grosse salope mais
en plus j'aime ça et je jouis comme une folle.
- Ne te prends pas la tête avec ça. Moi je savais depuis le début que tu serais
une sacrée affaire. En fait, tu aimes tellement le sexe que tu craques pour toutes les
queues. Tu es faite comme ça, c'est tout.
- Tu crois que je suis devenue nymphomane ?
- Disons que tu es une fille très chaude. Ton ventre est un vrai volcan quand tu
t’excites. Tu aimes trop la queue pour dire non.
- Je n’aurais pas pu te dire non, j'avais envie de toi et tu m'as fait l'amour,
je sais que ce n'est pas bien de tromper son mari mais je ne dois pas être la première
qui le fait.
- Sûrement aujourd’hui pratiquement toutes les femmes mariées trompent leur mari
une fois de temps en temps.
- Ça, ce n’est pas très moral, mais c’est normal. Mais je n'en reviens pas
d'avoir joui si fort avec ces deux types. Le pire, c'est qu'ils ne me plaisent pas du
tout.
- Tu as raison, ceux-là ne méritaient pas de te baiser. Ils ont eu de la chance
d'être là au bon moment.
- Et que surtout tu leur as proposé de profiter de la situation sans me demander
mon avis !
- Je savais que tu en avais envie. Je connais tes phantasmes. La prochaine fois,
je te présenterais des mecs qui te plairont. Tu verras, tu jouiras beaucoup plus fort.
- J'avais oublié que je t'avais raconté ça. Tu profites de mes phantasmes pour
me pervertir encore plus.
- Ca fait partie de ton éducation, j’ai des projets pour toi.
- Ne me dis que tu t’es fixé des objectifs.
- Pas vraiment des objectifs, mais des trucs que je voudrais que tu fasses.
- Me sauter le premier jour, ça faisait partie de tes objectifs ?
- De mes objectifs non, de mes phantasmes, oui.
- Et quoi d’autre ?
- De te prendre ton petit cul.
- Bien, ça tu l’as eu aussi, et dès le premier jour.
- De t’emmener dans une partouze.
- Je l’ai fait aussi, pas avec toi, mais je l’ai fait. Quoi d’autre ? Me faire
baiser par tes copains ?
- Par exemple.
- Comme cet après-midi ?
- Ça ne compte pas vraiment, disons que c’est une répétition.
- Je ne sais pas si je dois aller plus loin.
- Tu préfères continuer à te masturber en y pensant ou passer à l'acte comme une
grande fille et faire l'amour avec les mecs que tu veux ?
- Faire l'amour, bien sur. Mais ce n’est pas si facile de réaliser un phantasme.
Il faut que je me fasse à l'idée de coucher avec plusieurs hommes en même temps.
Aujourd'hui, c'était un accident mais si je le fais une prochaine fois, ce sera
prémédité. S’habiller en conséquence, se mettre en condition, se rendre dans un hôtel
et entrer dans une chambre en sachant d’avance que des hommes m’attendent pour me
baiser, c’est un pas que je n’ai pas encore franchi. Il faut que je m'habitue à cette
idée.
- Bien sûr.
- Tu me laisses un peu de temps ?
- Dans quelques semaines, j'organiserai une petite fête pour toi. On prendra
une superbe chambre d'hôtel et tu viendras nous rejoindre. Et là, ma belle, tu auras
trois ou peut-être même quatre mecs bien foutus et surtout bien montés pour t'envoyer
en l'air. Plutôt quatre, il faut penser qu'un de nous filmera tes exploits, ça le
reposera un peu.
- Tu veux me filmer ?
- Ce serait bête de ne pas le faire. Il y a plein de gens qui paieront cher pour
te voir à l'œuvre. En plus du plaisir, on prendra du fric.
- Mais tu risques de la vendre à des gens qui me connaissent.
- C'est le but du jeu, je commencerais par faire le tour de tous tes amis. Ils
l’achèteront les premiers et ce sont eux qui paieront le plus cher, ce sera meilleur
pour eux justement parce qu’ils te connaissent et qu’ils connaissent ton mari.
- Et moi qui voulais que personne ne sache que tu es mon amant ! Tous nos amis
vont savoir que je ne suis qu’une grosse cochonne.
- Ne t’inquiète pas pour ça !
- D’autant plus que beaucoup le savent déjà.
- Et comment ils le sauraient ?
- Ne fais pas l’innocent, je sais que tu as raconté à plusieurs amis que tu as
en commun avec mon mari que tu as baisé sa femme.
- C’est vrai, j’ai du le dire à quelques uns.
- Tu vois, j’en étais sure.
- Tu sais que pour tous tu es une femme sérieuse.
- Je préférerais qu’ils continuent à le croire.
- Hypocrite ! Heureusement, tu es plus cochonne qu’hypocrite.
- De toute manière, tu les as déjà convaincus du contraire.
- Quelques intimes savent que tu es une sacrément bonne affaire au lit.
- Et maintenant, Christian et Daniel vont s’empresser d’informer ceux qui ne
savaient rien, comme ça, tout le monde saura que je suis une cochonne.
- Daniel, je ne crois pas mais l’autre, tu as raison, il va s’en vanter, tu
parles, il n’a pas l’occasion de baiser une femme comme toi tous les jours.
- Je suis folle de l’avoir fait. Maintenant, tous les amis de mon mari savent
que je suis une salope.
- Tu vas les faire bander pour toi et tu vas rendre leurs femmes malades de
jalousie.
- Je n’ai pas fini d’avoir des propositions malhonnêtes. Tous les hommes que je
connais vont vouloir coucher avec moi.
- C’est chouette, non ? Tout le monde va fantasmer sur toi en te voyant à
l'œuvre.
- Je ne crois pas que mon mari sera très content de me voir baiser avec
plusieurs types.
- Tu comptes lui montrer la cassette ?
- Je lui raconterais tout avant de la lui donner.
- S'il supporte mal le spectacle, tu trouveras bien le moyen de le consoler.
- J'espère au moins que ça en vaudra la peine.
- Ce sera ta fête, tu vas te régaler. Et nous serons avec toi tout le week-end.
- Tu pourras baiser tant que tu voudras pendant deux jours et une nuit si ton
mari te permet de rester.
- Je vais être morte s'ils sont tous comme toi.
- Je te promets que tu retourneras chez ton mari gavée de bite, on va te
défoncer, ton petit cul et ton joli minou auront besoin de repos. Je crois même que
ton mari ne pourra pas te tringler avant plusieurs jours tellement tu seras irritée.
- Ça promet !
- Tu veux que j’invite une autre fille ?
- Tu crois que je ne suis pas à la hauteur ?
- Ce n’est pas ça, je sais bien que tu es capable de vider les couilles de
plusieurs hommes, non mais ce serait une copine bisexuelle.
- D’accord, tu veux que je baise aussi avec une femme. Et devant vous je suppose
?
- Tu supposes bien, devant nous et devant la caméra, ça nous permettra de
recharger nos batteries et ça nous excitera en même temps.
- Et que veux-tu que je fasse ?
- Tu ne t’occupes de rien. La seule chose que tu ais à faire, c'est de courir
acheter une grosse réserve de préservatifs. Je veux que tu rentres chez toi la fente
ouverte du cul à la moule mais je ne tiens pas à ce que tu reviennes chez ton mari
avec un petit inconnu dans le ventre.
- Ouverte du cul à la moule ! Mon mari va me . Je ne tiens pas à tomber
enceinte sans vraiment savoir de qui, ce serait trop.
- Surtout s'il te sort un négrillon !
- Pourquoi ? Tu vas inviter des copains noirs ?
- Un peut-être. Tu es raciste ?
- Non, pas vraiment, mais je n'ai jamais été avec un noir.
- Il va te plaire, je sais que tu vas apprécier sa grosse queue. Et je peux te
l'avouer, je lui ai souvent parlé de toi et de tous tes talents.
- Tu lui as raconté que je couche avec toi ?
- Bien sûr. Je lui ai même donné une photo de toi en maillot.
- Et qu'a-t-il dit en me voyant ?
- Antoine meurt d’envie de faire la fête à la chatte d'une belle petite
bourgeoise blanche comme toi. On a fait ensemble quelques projets te concernant, ça va
te plaire.
- Et à mon cul aussi si j'ai bien compris.
- Tu as tout compris.
- Tu es un drôle de vicieux, tu sais ! Et tu as dit à tes copains que je suis
mariée ?
- Que tu es mariée et que tu baises par tous les trous ! Ça les a rendus fous de
pouvoir se taper une salope qui trompe son mari. Tu crois qu’il ne va tiquer si tu te
fais tirer par un noir ?
- Je ne sais pas, il trouve déjà que je suis une salope quand je le trompe avec
toi, alors avec un blanc ou un noir…
- Je t'appelle dans quelques jours, d'accord ?
- Bon, d'accord. Je suis folle, mais c'est oui.
- Mais dis-moi, j’y pense tout d’un coup, et si tu proposais à ton mari de venir
?
- Mon mari ? Pourquoi faire ?
- Pourquoi faire, mais pour qu’il profite aussi pardi ! S’il veut, je peux
inviter une copine, il pourra se la taper et puisqu’il est un peu voyeur, il se fera
sucer en nous regardant te baiser. Ce serait bien.
- Je vais essayer de lui en parler, je verrais s’il est partant.
- Et toi ?
- Moi, je t’ai déjà dit oui, je viendrai avec ou sans lui, c’est promis.
- Tu ne vas pas le regretter, ma belle. Mais pour le moment, il faut que je te
mettre un dernier petit coup, tu m’as fait bander avec tes histoires de cul.
- Cochon !
- Tu n’as plus envie ?
- Tu sais bien que si.
Le cochon monta vite fait sur sa maîtresse et la prit sur le champ. Sans que la bête à
deux dos s’en rende compte, je vis une femme entrer dans la pièce, s’étonner de la
scène, ressortir, revenir avec une autre femme pour lui montrer subrepticement le
spectacle d’un adultère en direct. La nouvelle venue sortit un portable et prit
discrètement quelques clichés, sans doute pour les commenter avec d’autres commères.
Philippe voulait faire durer le plaisir et calma l’intensité de ses assauts, il
s’arrêta de la saillir et demanda :
- Je m’arrête, sinon je décharge tout de suite. Tu veux que je me vide dans ta
bouche ?
- Non, viens dans ma chatte.
- Tu ne prends toujours pas la pilule ?
- Non, en fait, nous aimerions avoir un bébé Bernard et moi.
- Et si ce n’est pas ton mari le vrai père ?
- Il veut un de moi, mais je n’arrive pas à tomber enceinte. En fait nous
commençons à penser à un bébé éprouvette, alors il s’est déjà fait à l’idée que le
père génétique puisse être un autre que lui.
- J’adorerais te mettre enceinte.
- Ce serait génial, je préfèrerais être enceinte de toi que d’un donneur inconnu
de la banque du sperme.
- Je te promets de tout faire pour ça, tu peux dire à ton mari que ton banquier
personnel va venir directement faire les dépôts au fond de ta chatte.
- C’est drôle, ça, le banquier qui vient à la maison.
- Je te promets de te baiser tant qu’il le faudra, tu verras, je vais
t’engrosser.
- Prend moi mon chéri, viens dans mon ventre.
- À partir de maintenant, c’est là que je veux décharger, je ne gaspillerai plus
mon sperme ailleurs, dans ton cul ou dans ta bouche.
- Ce n’était pas du gaspillage, mais je suis contente, c’est dans ma chatte que
j’aime le plus te recevoir.
Les assauts reprirent de plus belle. Madame apprécia et contre toute attente eut
encore un bel orgasme. Décidément, elle était insatiable. Son amant déclara :
- Bon sang, que ça fait du bien !
- Moi aussi j’ai bien aimé.
- Si tu as envie de te faire sauter, tu sais que tu peux compter sur moi.
- J’adore. Tu me baises mieux que personne.
- Même mieux que ton mari ?
- Bernard me fait très bien l’amour, mais je jouis plus fort avec toi. Peut-être
que c’est la même chose pour toutes les femmes mariées, nous jouissons plus fort avec
nos amants qu’avec nos maris !
- C’est possible, c’est le coté interdit qui vous excite.
- Sans doute ! qui qu’il en soit, si tu es près de chez moi, appelle-moi, je
serais heureuse de te voir.
- Pour te faire sauter ?
- Cela va sans dire.
- Et ton mari ?
- Il faudra qu’il se fasse une raison, j’ai toujours envie de ta queue.
- Ça tombe bien, j’ai l’intention de tout faire pour te mettre en cloque. À ce
propos, je crois savoir qu’il y a des périodes où les femmes sont plus fécondables que
d’autres.
- Oui, c’est vrai, quelques jours dans nos cycles sont plus favorables.
- Alors ton mari devra être coopératif, ces jours là, je te baiserai de manière
intensive, si possible jour et nuit.
- Je n’ai jamais découché.
- Alors, je te baiserai chez toi, en fait, on pourra se relayer, ton mari et
moi, ce serait bizarre si tu ne tombais pas enceinte au bout de quelques mois avec la
minette suralimentée.
- Je compte sur toi, je serais toujours là pour toi, quand tu veux et où tu
veux. Tu peux me prendre à la maison dans mon lit ou à l’hôtel, comme tu veux.
- Maintenant, je vais aller rejoindre les autres, j’espère que tu as ton compte
pour aujourd’hui. Tu devrais aller retrouver ton mari, tu ne crois pas ?
- Si, tu as raison mais je vais me laver d’abord.
- Non, ne te lave pas tout de suite, laisse le foutre faire son travail.
- Mais ça va couler le long de mes jambes, vu qu’un de ces deux vicieux m’a
piqué ma culotte.
- Ça te gêne ?
- Non, je vais juste essuyer ce qui coule, ce n’est pas la première fois que je
me promène sans culotte, j’aime bien, au contraire. Mais c’était une jolie culotte que
mon mari m’avait offerte.
- Alors la boucle est bouclée, ton mari t’offre une culotte, toi tu la mets, moi
je l’enlève, et un autre te la pique, c’est drôle, non ?
Philippe quitta la pièce le premier, puis Maria se leva à son tour. Elle alla se
laver, et à son retour, son regard fut attiré par mon blouson sur le portemanteau.
Elle jeta un regard circonspect dans toute la chambre et s'enfuit plus qu'elle ne
partit. Je descendis derrière elle, récupérai mon blouson et sortit à mon tour. Je
savais qu'elle ne se montrerait pas en public avec ses vêtements souillés et allai
directement à la voiture où elle m'attendait.
Je démarrai sans un mot et pris l'autoroute pour m'arrêter à la première aire
de repos. Elle était déserte, à part le camion à coté duquel j’avais stationné la
voiture.
Maria demanda :
- J'ai vu ton blouson sur un portemanteau et je voulais savoir si tu étais à
proximité.
- A coté, oui.
- Alors, tu as tout vu ?
- Pratiquement tout vu et entendu, oui. Je dormais au dessus de vous sur la
mezzanine quand vous êtes entrés.
- Tu penses que ta femme est une putain ?
- C'est Philippe qui te l'a dit ?
- Tu sais très bien que Christian et Daniel m'ont baisée après Philippe.
- J'ai vu ça, oui. J’ai entendu aussi que tu comptes te faire mettre par quatre
types en même temps.
- J’ai promis de le faire, c’est vrai. Mais tu peux venir si tu veux.
- Charmante attention, on invite le mari à venir comment on baise sa femme !
- Si tu le prends comme ça, évidemment !
- Tu comptes aussi te faire baiser par un noir.
- Je l’ai dit aussi. Ca te gêne ?
- Noir, arabe, blanc, tu te fais mettre par qui tu veux, la question n’est pas
là, la couleur de la saucisse importe peu. C’est juste que tu sois devenue un garage à
bites, comme l’avait prédit ton copain Philippe.
- Si c’est ce que tu penses !
- Qu'est ce que je dois faire maintenant ?
- Puisque tu es devenue une vraie putain, enlève ta jupe que j'en profite aussi.
- Si c'est ce que tu veux !
Elle enleva donc sa jupe une nouvelle fois, abaissa le dossier de son siège et
écarta les cuisses pour que je puisse la sauter. Je la pris rapidement, sans chercher
à la faire jouir, comme on tire un coup avec une prostituée et la priai d'aller se
laver cul nu aux toilettes de l'autoroute. L'apprentie putain s'exécuta et s'éloigna
en offrant ses fesses aux regards. Je la regardai en songeant que la femme que je
venais de baiser sentait le foutre des autres hommes qui l’avaient possédée avant moi
: les queues de ses amants avaient laissé un goût acre dans sa bouche et leur
empreinte dans son sexe. J’avais volontairement éludé le point qui me semblait le plus
grave, ma femme voulait un , et peu lui importait de savoir qui lui faisait, son
mari ou son amant. Cette pensée me faisait mal, je me sentais trahi.
Ce fut le moment que choisit le chauffeur du camion pour se manifester en me
faisant sursauter de surprise :
- Salut ! on dirait que c'est un bon coup, pas vrai ?
- Pour sûr, elle est bonne, cette femelle !
- Et elle prend combien ?
- Trente euros la pipe, cinquante pour la fourrer recto ou verso, comme tu veux.
Ca t'intéresse ?
- Merde, en plus elle donne le cul ! Je suis un peu fauché en ce moment, mais
j'aimerais bien me la faire. Tiens, la voilà qui revient. Elle a une belle touffe, la
salope.
Je me régalai moi aussi du spectacle un peu insolite de cette jolie femme
marchant presque nue sur une aire de repos d'autoroute. Elle devait sentir nos regards
concentrés sur son pubis. En silence, elle vint vers nous, ouvrit la portière de la
voiture, prit sa jupe mais n'eut pas le temps de s'habiller avant que le routier ne
l'interpelle :
- Attends, ma belle, ne t'habille pas tout de suite. Je vais me retrouver
complètement à sec, mais tant pis, voilà tes cinquante euros. Tu peux monter dans le
camion si tu veux.
Incrédule, Maria m'interrogea du regard comme pour me demander ce qu'elle
devait faire. Elle s'en remettait à moi, mais volontairement, je ne fis absolument
aucun geste comme si j'étais totalement indifférent. Elle hésita un bon moment, puis
haussa les épaules. Elle jeta sa jupe sur le siège de la voiture et grimpa dans la
cabine du camion. Elle y resta plus d'une demi-heure avant de redescendre. Elle reprit
sa jupe, la passa rapidement puis s'assit sur le siège avant.
Je démarrai aussitôt. Maria me demanda :
- Pourquoi as-tu dit à ce type que je faisais des passes à cinquante euros ?
- Juste pour savoir si tu étais capable de baiser pour du fric.
- Maintenant, tu le sais. Voilà tes cinquante euros.
- Non, garde-les, tu les as gagnés.
- Oui, avec mon cul.
- J'espère que ton client a été satisfait.
- J'ai tout fait pour qu'il en ait pour son argent. Puisque tu veux tout savoir,
je l'ai d'abord bien sucé, et quand j'ai vu qu'il allait exploser, je lui ai proposé
de me sauter. Rassure-toi, lui, il a mis une capote avant de me monter dessus.
- Encore mieux qu'une vraie putain.
- Il s'est vite aperçu que je n'en étais pas une. Tant que je le suçais, je
pouvais donner le change, mais après je n'ai pas pu m'empêcher de l'embrasser ni de le
caresser. Il parait que les professionnelles ne le font jamais.
- Personne ne baise comme toi, ni une professionnelle ni une salope amateur.
- Il m'a fait parler en me baisant. Quand il a su que nous étions mariés, il a
trouvé la situation salace puis il s'est excité à l'idée d'être le premier à me baiser
pour de l'argent.
- Et toi, ça t'a excité de faire la putain ?
- La vérité, c'est que j'ai eu un gros orgasme quand il a joui.
- Alors tout le monde est content ?
- Le routier, plutôt, oui ! Il m'a dit qu'il allait se rappeler de moi et m'a
demandé mon prénom.
- Et tu lui as donné le vrai ?
- Il sait qu'il a baisé une certaine Maria. Moi par contre, je ne connais pas
rien de lui.
- Tu connais déjà sa bite, ce n’est pas si mal.
- C'est toi qui l'as voulu ! je lui en ai donné pour son argent. Il a payé et il
m’a baisée.
- Tant qu'à être cocu, je préfère que ton cul soit une tirelire. On peut gagner
pas mal de fric si tu fais payer tous ceux qui te passent dessus.
Ces dernières paroles lui clouèrent le bec pendant tout le voyage et la petite
putain médita longtemps sur sa nouvelle condition. Ce qui eut pour effet de la rendre
plus sage pour un bon moment.

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