Sucrerie
Orginal... me voilà consigné dans la salle de bain.... tu mas gentillement demandé de
bien vouloir y attendre pendant que tu te prépares... Original, car généralement je me
serais plutôt attendu à ce que tu te prépares dans cette pièce plutôt que dans la
chambre... Mais admettons, que ne ferais-je pour toi.... Et puis, tu as argumenté ta
requête dun si tendre et profond baiser que je ne pouvais y apposer résistance. Je
tavoue aussi que la curiosité me pousse justement à me plier à ce petit jeu.
Cinq bonnes minutes et pas un bruit.... Et puis, de derrière la porte, jentends
-Tu peux venir
Doucement, je mexécute. Que mas-tu réservé ?
Je rentre dans la chambre. Lumière tamisée, volets fermés. Je nai pas à te chercher
très longtemps.
- Maintenant, à toi de me déshabiller... mintimes-tu
Et quelle tenue ! Tu es allongée sur le lit. Depuis le temps que je promets de te
dévorer, tu me donnes loccasion. Comment es-tu arrivé à cette tenue en si peu de
temps ? Mystère, mais les questions seront pour plus tard. Il est temps de mexécuter.
Tu as couvert ta poitrine dun très sayant soutien gorge de .. chantilly. Rien ne
laisse entrevoir cette poitrine succulente dont je raffole. Tu as pensé même aux
bretelles... Un nuage de sucre glace recouvre une partie de tes épaules...
Sur ce plat et si doux ventre, tu as stylisé un corsé au fil de
. miel. Ces longs
traits mamène jusquà ton bas ventre. Coquetterie féminine oblige, la culotte devait
être coordonnées au reste. La séparation avec ton ventre est matérialisée par un belle
et voluptueuse ligne de crème. Tu as astucieusement réparti de jolis biscuits à thé
triangulaires pour orner ton bas ventre. Enfin, à lapproche de ce désert onctueux, je
découvre que tu as constellé le dessus de tes jambes avec quelques pointes de chocolat
en poudre et de sucre glace.
Il serait dommage que je me salisse. Me tenant au pied du lit, te faisant face, je me
déshabille. Jentame alors une lente et délicieux progression gustative.
Je saisis une de tes chevilles pour relever ta jambe. Je porte ton mollet à ma bouche.
Je ne veux pas en perdre une once. Du bout de la langue, je retire chaque particule de
chocolat noir. Son amertume est compensée par les petites points de sucres glaces. Je
remonte ma main le long du dessous de ta cuisse pour mieux assurer ma prise. Tu
essayes de rester impassible. Il faut dire que je savoure cette mise en bouche et ma
langue na de cesse de trouver la moindre pincée de sucre. Va pour la jambe gauche.
Voyons si la droite est aussi bien... relevée. Je repose lautre jambe, légèrement
écartée. Cette fois, je me couche sous ta jambe pour commencer à lécher les poussières
que tu as laisser tomber dans la précipitation. Du creux de ton genou, je remonte sur
le devant. Il ny a pas de doute : tu as su doser avec merveille les quantités....
Mais mon regard est déjà attiré par cette première lingerie blanche. Il mest
difficile dabandonner le goût de ta peau. Javancerai en remontant le bout de ma
langue par lintérieur de ta cuisse. Ta culotte soffre à moi. Je lève les yeux vers
toi. Tu tattends à ce que je te dévore, mais au dernier moment, jesquive et dévore
léchancrure sucrée. Tes hanches se dévoilent sous mes lèvres gloutonnes. Ton bas
ventre nest plus couvert que par quelques biscuits. Jen retire un, couvert de
chantilly. Je le plonge sur ton ventre pour lenduire de miel et je goutte ces
textures. Bientôt, seul un léger voile doré témoigne de la présence du nectar. Jen
retire sa subtance par quelques coups de langues appuyés. Ton ventre se creuse à
chaque tentative.
De tes dessous de crème, seul persiste ton soutien gorge. Je plonge ma bouche entre
tes seins pour en retirer cette agrafe virtuelle.
sein me vouer ! Je passe de lun à lautre, goulûment. Je retire le capuchon de crème
qui occulte encore le bout dun sein à pleine bouche. Je me délecte, tant de ces
sucreries que de ce quelle cache et que je dévoile. Il ne sera pas dit que jaurais
fait le travail à moitié... Aussi belle quelle ait été, il nen subsistera aucune
trace. Les bretelles seront un prétexte pour te débarrasser du sucre que tu as mis sur
tes épaules.
Je suis maintenant au dessus de toi. Tu plonges tes yeux dans les miens. Ma
dégustation touche à sa fin. Du moins pour ce qui est de la partie décorative. Mais
alors que je mapprête à tembrasser, tu me saisis par les hanches et tu nous fais
basculer. Cette fois, les rôles sont inversées. Je suis à ta merci.
Tu te redresses légèrement et tu inspectes brièvement mon corps : je ne sais
visiblement pas bien manger.... miel, chocolat, chantilly parsèment mon corps, tout
mon corps. Satisfaite et au combien gourmande, tu suggères :
- Jai tout dun coup.... très faim. Tu me laisses goutter ?
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