Lesliehd60

LESLIE HD60 - Dominique, suite et fin

Nous reprenons notre visite et arrivons à la salle donjon, spéciale SM, elle est
déserte, puis la salle avec une table de massage qui ferme à clé de l’intérieur,
personne dans celle-là aussi.
Nous nous installons finalement dans une salle plus vaste, qui ferme également à clé
de l’intérieur, mais qui est munie de glaces sans tain permettant l’observation depuis
l’extérieur.
Dans la salle d’à côté s’échappent les cris de jouissance d’une femme.
Marc poursuit la caresse qu’il avait entreprise dans le couloir, puis je me mets à
quatre pattes, les fesses bien en arrière vers les éventuels observateurs, mettant ma
chatte et mon petit trou du cul à disposition des regards curieux et je lui fais une
fellation.
Mais Marc, décidemment perturbé par les changements de rythme et de salles que je lui
impose, n’arrive pas à se concentrer, alors nous allons au bar nous se reposer.

Au bar nous prenons un café et nous nous installons dans des fauteuils, il y a de plus
en plus de monde dans le club.
Après un bon quart d’heure, nous retournons dans la salle aux voilages.
Nous reprenons la même place que tout à l’heure et Marc me demande de faire ensemble
un 69, moi au-dessus afin que les voyeurs voient bien mon intimité et mon petit anus
plissé pendant que je le sucerais.
- Cela donnera peut-être des idées à certains, me dit-il.
Tandis que nous sommes dans l’action, des gens passent et regardent un instant.
Un couple nous regarde, puis Madame et Monsieur s’installent juste à côté de nous.
De la place où il se trouve, Monsieur a une vue imprenable sur mon œillet.
Pendant que Madame s’agenouille par terre devant lui et se met à le sucer, ce dernier
me caresse tout doucement la cheville.
Je frissonne. Il est dans mon dos et doit observer mon œillet qui frémit de temps en
temps, cela m’excite de lui présenter de façon indécente mon trou plissé, et je pompe
Marc de plus belle.

Sa main est très douce, elle caresse ensuite mon mollet, puis ma cuisse.
Marc doit voir la main s’aventurer sur mon corps, mais il continue à me lécher la
chatte et à me caresser l’entrejambe de ses doigts, comme si de rien n’était.
Monsieur derrière mon dos, tout doucement, avec beaucoup de délicatesse, passe ses
doigts dans ma raie, me faisant à nouveau frissonner, un doigt d’attarde sur mon anus
caressant le pourtour plissé. Je ne peux retenir un gémissement de plaisir.

Madame arrête de sucer Monsieur et se rapproche de nous, et commence dès lors à me
caresser les seins. Ces sensations sont grandioses pour moi et je soupire de bonheur
pour les encourager dans leur entreprise.
Puis, quittant Marc, je me redresse et regarde Madame.
Elle a un corps magnifique, généreux, avec des courbes moelleuses, une peau douce, des
seins sont plus gros que les miens, avec des petits tétons fragiles.
Je me penche vers elle et l’embrasse, ma première expérience avec une femme. C’est
magique. Elle a les lèvres d’une douceur incomparable, sa langue est à la fois timide
et curieuse.
Marc nous quitte pour aller voir ailleurs.
Je commence à planer d’autant que le doigt de Monsieur n’a pas quitté ma rondelle et
s’enfonce doucement à l’intérieur me faisant sursauter.
Jamais je n’aurais cru prendre autant de plaisir à embrasser une femme et à me faire
doigter le cul en même temps.
Enhardie par mon audace, je lui caresse un sein, et l’embrasse dans le cou, sur
l’oreille, dans la gorge, sur le sein, titillant son téton de ma langue.
Elle se redresse et me présente son intimité, un léger triangle recouvre son pubis,
aussitôt j’explore doucement de ma langue cet univers inconnu.
Elle a des lèvres magnifiques, grandes et fines exposées aux convoitises les plus
folles. Je lèche sa petite chatte avec délicatesse.
C’est tellement doux que j’ai l’impression d’être sur un nuage.
Elle s’allonge et je me mets à cheval sur elle en 69, ce qui lui permet de me lécher
l’entrejambe à son tour.
Pendant ce temps, Monsieur me caresse à nouveau l’anus de ses doigts et maintenant
aussi de sa langue.

Je vois Marc qui s’occupe d’une petite nymphette qu’un vieil homme lui a confié, il va
la sodomiser pendant que Monsieur regarde en se branlant tout près d’eux.

Sur moi, Monsieur s’occupe de mon anus avec sa langue, j’adore cette caresse intime et
osée. Elle me procure de plus en plus de plaisir au fur et à mesure que j’arrive à me
détacher du sentiment de honte.
Beaucoup de couples nous regardent.
Ses mains sont douces, elles écartent mes fesses et sa langue pénètre mon intimité
anale, je suis dans un autre monde.
Monsieur introduit deux doigts dans mon cul, pendant que Madame aspire mon clitoris,
alors je pars dans un orgasme d’enfer.

Nous nous séparons et tout s’accélère, Je reste accroupie sur le lit et regarde Madame
qui s’allonge les cuisses ouvertes face à un homme qui plante sa grosse queue dans la
chatte Madame, la faisant glousser Madame de plaisir.
Occupée à regarder Madame se faire prendre, je n’ai pas fait attention que Monsieur
s’est installé derrière moi, je l’ai senti contre moi et ce n’est que quand Monsieur
me sodomise, qu’une douleur me vrille les reins me sortant de ma rêverie, et soudain
je jouis à nouveau.

Marc nous regardait en enculant sa nymphe, sous le regard attentif du vieil homme et
Marc me souriait en me regardant prendre mon pied, l’air de me dire :
- Voilà tes espérances comblées.
Monsieur, après avoir jouit en moi, protéger d’un préservatif, il s’est retiré et en
nous séparant, sans un mot, il m’a fait juste un petit sourire de bonheur qui voulait
dire que c’était bien.
Marc toujours occupé par sa nymphette, je lui ai fait un signe discret pour lui faire
comprendre que je revenais.

J’ai aux douches pour me rafraichir, et là pendant que je prenais ma douche, deux
couples sont entrés. Les deux femmes se sont gouinées devant moi sous la douche tandis
que les hommes s’occupaient de moi.
En fait je me suis faite enculée par l’un en suçant l’autre, ce fut bref et les deux
couples sont repartis comme ils étaient venus.
En sortant, pour aller retrouver Marc, je me disais que j’avais envie de revenir,
contente de cette première fois.

J’ai retrouvée Marc en discussion avec la petite nymphette qui ne devait pas avoir
beaucoup plus de dix-huit ans. Elle était si frêle et si menue qu’on aurait dit une
jeune fille.
Le septuagénaire me regardait avec envie en souriant.
Ophélie, donnait ses coordonnées à Marc en lui disant :
- Mon tuteur et bienfaiteur vous apprécie et vous invite un week-end dans sa
maison de campagne, bien sûr avec votre amie.
- Nous serions heureux de nous y rendre, répondit Marc.
- Nous serons avec des amis, et nous espérons qu’ils vous plairont.

Nous primes congé et sur le chemin du retour, je pensais que tout allait pour le mieux
et que j’allais enfin vivre comme je l’avais espérer.
Marc me raccompagna et passa la nuit avec moi, non sans que nous ayons fait encore
l’amour.
Le week-end est une autre histoire…

Mais le lundi matin au boulot j’ai entendu, dans mon dos, des hommes dirent :
- A la voir comme cela, elle s’est faite tringlée comme une reine.
Ce qui n’était pas tout à fait faux. »

A suivre…