Sévices Militaire 2Ème Partie
Sévices militaire 2ème partie
Par Ballet boots - Le 25/12/2011
Le trajet ne dure pas longtemps, suffisamment pour avoir été projeté à plusieurs
reprises sur les parois de la camionnette. Le moteur s'arrête, la portière arrière
s'ouvre, le chef rentre pour me tirer vers les portes battantes. Il m'assoit à
l'arrière de la camionnette les jambes encore ficelées. En me détachant les pieds il
me dit :
- Ici y'a jamais personne. Je vais pouvoir m'occuper d'toi sans qu'on nous dérange !
Il m'att pour me mettre debout. Je me retrouve face à un hangar rempli de
véhicules militaires au rebus. Il fait nuit maintenant, autour du bâtiment il n'y à
rien, qu'un grand trou noir et le silence profond.
Il me passe la corde qui servait à lier mes pieds, autour du cou, comme une laisse.
Chaque fois que je change de position je sens ma salive imbibée du jus de chaussettes,
couler dans ma gorge.
Il m'emmène à l'arrière du bâtiment vers une petite porte, comme un chien, sans
ménagement. Passé la porte nous montons un escalier en bêton lugubre. Nous traversons
un long couloir, au bout duquel se trouve une porte blindée.
Il crie :
- Terminus tout le monde descend....
Il ouvre la porte et me tire vers l'intérieur.
Nous pénétrons dans une pièce pratiquement vide. Il n'y a qu'une table en bois avec
quelques chaises disparates autour. Dans un coin une kitchenette à l'abandon. Il me
colle contre une poutre en bêton, pourvu d'un anneau scelle en hauteur. Il passe la
corde accrochée à mon cou dedans et tire jusqu'à ce que je me retrouve face au mur. Ma
tête est tirée au point que je suis obligé de me mettre sur la pointe des pieds. Il
fixe l'autre bout de la corde à la poignée d'un vasistas.
Je me sens comme un Object, transporté et remisé dans un coin de la pièce. Sans rien
dire il disparait vers la pièce à coté.
le dos, engoncé dans la combinaison en caoutchouc qui m'enveloppe. Je lutte pour que
la corde ne se resserre pas plus sur mon cou.
J'essaie de crier mais rien ne sort de ma bouche que des sons étouffés par la
chaussette enfoncée dans ma bouche.
Après quelques minutes il ressort. Je n'arrive pas à le voir tout de suite, mais je le
sens juste derrière moi. D'un seul coup il se met à me claquer les fesses. Au début
doucement, puis avec violence. Puis il se coller dans mon dos. Je sens son sexe
frotter mes fesses avec fébrilité. Des sons sortent de ma bouche entravée que je ne
maitrise pas. Je suis partagé entre le plaisir et les douleurs.
Il att la corde liée à mon coup, et en me faisant tourner sur moi même il la fait
passer derrière ma tête. Je suis toujours étranglé sur la pointe des pieds mais
maintenant dos au mure. Il s'est changé, il porte une sorte de combinaison de moto en
cuir noir. Aux pieds, il chausse des Doc Martens qui montent presque jusqu'aux genoux.
Une paire de gants noirs, patinés recouvrent ses mains.
Il approche sa tête à quelques centimètres de la mienne :
- Alors......Comment tu me trouves habillé ?
Je grommelle quelques sons inaudibles. Il m'att par le menton en serrant pour
déformer mes joues :
- Alors réponds salope !
J'essai d'acquiescer mais ma tête est bloquée dans ses mains et la corde m'empêche de
faire le moindre mouvement. Il me gifle violement avec ses deux mains, ne me laissant
pas le temps de reprendre mon souffle entre deux. Je ferme les yeux pour me protéger,
mais en vain. Après quelques minutes, je le sens s'éloigner, je rouvre les yeux
doucement. Il est parti vers la cuisine pour aller chercher un pack de bière.
J'ai les joues en feux, la capuche qui enserre ma tête me brûle. Je sens la sueur
dégouliner dans la combinaison en caoutchouc.
qu'il a pris soin d'accrocher à un lacet.
- Voilà ton nouveau collier, comme ça j'aurais plus à le chercher....
Il m'accroche autour du cou le lacet auquel est noué un décapsuleur. Puis il inaugure
avec amusement sa nouvelle invention en ouvrant sa bouteille de bière.
- A la tienne !
Il avale pratiquement la bouteille d'un seul coup. Il s'approche de moi au point que
je sens le souffle de son nez sur mon visage. Je sens l'odeur de la bière que je
déteste. Sa bouche est maintenant à quelques centimètres de mon nez, lentement sa
bouche s'entrouvre pour laisser sortir un rot qui n'en finit pas. Je suis obligé de
respirer ses effluves.
- Hummmmmm ! Ça fait du bien....Une bonne roteuse....
Il se penche à nouveau sur moi et me rote à nouveau dans le nez en prenant soin de
bloquer ma tête pour que je ne me tourne pas. Il retourne vers la cuisine pour allumer
une cigarette et reprendre une bière. Il revient se placer devant moi, son genoux
vient se placer entre mes jambes, puis remonte pour m'écraser les testicules. Je
pousse un gémissement sourd.
Amusé il me dit :
- J'espère que la fumée te dérange pas ?
Puis il se colle à mon nez pour faire sortir la fumée. A chaque inspiration je me sens
. J'essaie de retenir ma respiration au maximum, mais il joue avec en
attendant que je m' pour me cracher la fumée dans le nez. En me souriant il se
saisit de sa deuxième bouteille de bière et l'ouvre avec mon nouveau collier
décapsuleur.
- À ma soubrette....
Il boit à nouveau la bouteille cul sec. Arrivé au bout il à un moment d'absence, puis
il se reprend.
- Je vais te faire profiter de ce délice....
Il att ma tête dans ses mains, puis vient coller sa bouche sur mon nez. Il se met
à me sucer et à me lécher le nez, puis il enserre mon nez complètement avec sa bouche
et reste collé dessus.
me laisser aller. Je respire maintenant à travers sa bouche, il se met à roter en
continu. Mes yeux se mettent à pleurer. Pendant plusieurs minutes il reste comme ça,
en alternant de me sucer et de roter.
Des larmes coulent de mes yeux. C'est un mélange de désarroi et de picotements à du à
la bière. Il s'éloigne enfin de mon visage. Je prends une grande bouffée d'oxygène.
- Bon ! Si on passait aux choses sérieuses....J't'ai pas amené jusqu'ici pour te sucer
le nez.
Il décroche la corde qui me retient par le cou à l'anneau. Je peu remplir à nouveau
mes poumons d'air frais. Il me couche par terre, et m'attache à nouveau les pieds et
les cuisses avec la corde qui servait à m'. Avec une autre corde il ligote mes
pieds repliés sur mes fesses en prenant soin de faire quelques tours de mes cuisses
pour bien m'immobiliser. Il s'éloigne et revient avec 2 bottins qu'il place au pied de
la poutre. Puis il me soulève pour me plaquer dos à la poutre, mes genoux posés sur
les bottins. Il se saisit de longues sangles qu'il avait préparées pour me fixer
solidement sur la poutre. Je suis rapidement écrasé contre la poutre, je ne peux plus
bouger la moindre partie de mon corps, seul ma tête reste un peu libre. Pour finir il
retire les deux bottins sur lesquels mes genoux reposaient. Je me retrouve suspendu
plaqué dos à la poutre, face à lui. Il se recule comme un sculpteur ferait en
regardant son travail.
Il reprend une cigarette et une bière et vient se placer devant moi avec satisfaction.
Il s'assoit sur le tabouret qu'il place juste devant moi. Il ouvre sa braguette tout
doucement. Il colle le trou béant qui s'est ouvert, sur mon nez. Une odeur d'urine et
de moisissure m'envahie. Il sort son sexe à moitié bandé, mais déjà impressionnant,
doucement il se frotte sur mon visage en me parlant :
- Bon je vais te dire une fois pour toutes les règles essentiels que tu devras
respecter quand tu m'suces :
1 - Tu m'susses quand j'veux et ou j'veux sans jamais discuter !
2 - Tu m'susses aussi longtemps que j'en ai envie, même si ça dure une heure ou
deux.
3 - Quand je jouie t'avales tout...jusqu'à la dernière goutte. Je ne veux rien voir à
côté, rien dû tout !
4 - Quand je me suis vidé les couilles dans ta bouche, tu garde ma bite toute mole
jusqu'a c'que j'la retire... Même si ça dure une heure !
5 - Et enfin quand tu m'susses tu me regardes dans les yeux, pour bien voir qui tu
susses !
Dis...."Oui maitre"
Je fais un effort incroyable, mais je n'entend qu'un son incompréhensible sortir
- Humm....mmmmm.
Il commence à retirer la bande adhésive qui fait le tour de ma tête. La colle tire sur
ma peau. Il ne reste bientôt plus que la chaussette qu'il laisse dan ma bouche :
- Je sens que tu t'es régalé avec ma chaussette.... (rire).
Une dernière chose, quand j'aurais retiré la chaussette de ta gueule, j veux plus
entendre la moindre parole, compris ?
A nouveaux je m'entends sortir un son incompréhensible.
Il finit de retirer la chaussette de ma bouche, puis vient frotter avec frénésie son
sexe sur mon visage. Une odeur incroyable du au manque d'hygiène se dégage de son sexe
humide de transpiration.
- J'vais te parfumer à la bite....pas mal hein ! Une bonne bite c'est comme un bon
fromage, faut q'sa ai du caractère.
La mienne j'l'affine dans mon cuir pendant des mois...
Après plusieurs minutes il se recule. Je suis imbibé de la puanteur de son sexe, je me
retiens de ne pas vomir. Il s'assoit sur le tabouret devant moi. Il a repris une bière
et une clope. Il s'approche de moi pour me sentir.
- Hummmmm !.....quelle bonne odeur de bite....
Puis violement en me regardant dans les yeux il m'att le menton et serre mes joues
pour resserrer mes lèvres. Je sens sa bouche aspirer la mienne. Sa langue pénètre
profondément. Il se met à sucer la mienne comme si il voulait l'aspirer. Puis il se
rapproche encore plus pour se coller contre moi. Ses mains frottent avec rudesse ma
tête, j'ai l'impression qu'il va me dévorer.
Il se lève met son sexe devant ma bouche brulante.
- Montre moi ce que tu sais faire avec ta bouche....Allez vas-y.....suce.....
Il rentre juste le bout de son sexe entre mes lèvres, et avec ses deux mains fait
tourner ma tête de plus en plus vite. Je le sens grossir à l'intérieur de ma bouche.
Puis il se met à gémir et s'enfonce violement au fond de ma gorge. J'ai l'impression
d'...ma tête cogne contre la poutre, j'ai envie de crier, mais plus rien ne
sort....D'un seul coup l'étreinte se fige, son sexe bloqué au fond de ma gorge, je
sens sa semence m'envahir. J'ai du mal à respirer, j'ai l'impression de vomir de la
salive, mais il est tellement enfoncé profondément que rien ne sort. Après des
secondes sans fin il se retire. Une giclée de sperme et de salive jaillit de ma gorge,
j'ai l'impression d'exploser, je suis en feux.
Il se rassoit sur le tabouret pour récupérer. Ses yeux agars plongent dans les miens
complètement vides.
- Je vais t'apprendre à m'sucer comme y faut salope. Tu vas devenir un expert, ou
plutôt une experte.
En se relevant il m'applique une magistrale paire de claque qui malgré sa violence me
sort de ma torpeur. Il repart un peu titubant vers la cuisine.
- Ça m'a ouvert l'appétit tout ça ! J'ai une dalle !
Sans voir ce qu'il fait j'entend des bruits de papiers déchirés, puis de four,
d'assiette...Il se met à parler tout seul :
- Pendant que ça chauffe j'vais en profiter pour pisser un boc ! Mais comme j'ai pas
le courage de sortir sur'l palier j'vais prendre le pot de cambre.
Il disparait pour revenir avec un grand pot de chambre. Il s'approche de moi, hôte le
couvercle.
- T'as déjà fait pissotière ?
Il me met dans la bouche la poignée en bois placé en haut de l'anse.
- Je te conseille de bien serrer les dents. Si jamais ça tombe j'préfer pas imaginer
c'qui vas t'arriver.
Je me retrouve à tenir le pot de chambre avec mes dents. Il se place debout devant
moi, son sexe en avant. Il se met à uriner en commençant par m'envoyer une giclée sur
le visage. Je sens l'odeur me pénétrer. Je le regarde pisser devant ma tête son sexe à
10 cm de moi. Plein de petites gouttelettes rebondissent sur ma bouche légèrement
ouverte pour me permettre de retenir la poignée en bois entre mes dents.
Arrivé au bout il secoue les dernières goutte vers mon visage, puis s'essuie sur mon
nez.
- Pratique...maintenant j'ai un chiotte sur place.
Il repart me laissant avec le pot entre les dents.
Les sangles qui me plaquent contre la poutre commencent à me faire souffrir
horriblement. J'ai l'impression d'être en feux.
Mon maitre s'installe à table, avec ce qui me semble être une pizza ainsi que quelques
bière. Pendant tout le repas il feuillette un magasine. Je ressens rapidement une
douleur dans ma mâchoire crispée de peur de laisser tomber le pot. Après un bon quart
d'heure, repu, il revient vers moi. Sans rien dire il ouvre sa braguette et se remet à
uriner à nouveau. Tout en souriant il prend un malin plaisir à m'asperger de temps en
temps le visage.
- Je t'ai préparé un p'ti repas gastronomique, tu vas m'en dire des nouvelle....
Après s'être essuyé à nouveau le sexe sur mon visage il repart vers la cuisine. Je
lentends ouvrir une conserve. Lorsqu'il revient il tient une boite de cassoulet entre
ses mains. Il att le pot de chambre, le pose devant moi et se rassoit sur le
tabouret, muni d'une cuillère. Il m'enfourne une première bouchée.
- Bon, j'ai pas que ça à fouttre alors tu te magnes de m'avaler ça !
En une ou deux minutes il ma fait engloutir la boitte. Je termine essouffle, sans
avoir eu le temps de reprendre ma respiration. Immédiatement il me fait engloutir une
bière d'une seule traite. J'ai un haut de cur, je me retiens de vomir en fermant les
yeux et en essayant de penser à autre chose.
Les sangles qui se desserrent me font rouvrir les yeux. Il me repose par terre sur le
flanc, puis détache mes jambes et mes bras. Je suis complètement ankylosé, des fourmis
plein les jambes, presque incapable de bouger. Sans me laisser le temps de me remettre
il me passe les mains dans le dos pour les menotter, puis c'est au tour de mes pieds
d'être entravés avec des menottes. Je commence à ressentir une grande envie d'uriner,
après les 2 bières avalées, et le temps, au moins 4 ou 5 h qu'il me retient
prisonnier. J'hésite à lui demander d'uriner, mais j'ai trop envie, je me lance.
- Il faudrait que j'aille au toilettes s'il vous plait maitre.
- Lève toi !
En disant cela il m'att par les épaules pour me mettre debout. Le corps encore
tétanisé, j'ai du mal à trouver l'équilibre. Il approche le tabouret, puis pose le pot
de chambre dessus. Il se colle derrière moi, puis ouvre la fermeture de la combinaison
au niveau de mon sexe. Avec son autre main il att mon sexe pour le sortir juste au
dessus du pot.
- Allez ! Dépêche toi de pisser !
Je sens sa main ganté de cuir sérer mon sexe de plus en plus fort. Rapidement je me
retrouve en érection malgré ma terrible envie d'uriner. Son autre main passe en
dessous et vient enserrer mes testicules. Il se frotte dans mon dos tout en remuant
mon sexe. Je me retrouve incapable d'uriner.
- Bon ! Tu pisses oui ou merde, j'vais pas y passer la soirée.
Il remet rapidement mon sexe dans la combinaison, sans que jaie eu le temps de
protester.
- Non maitre j'ai très envie mais...
Tout en refermant la combinaison il me coupe.
- Ta gueule c'est trop tard ! Viens dans la chambre !
Il me traine dans la pièce à côté ou se trouve un grand lit et une armoire.
Il me dépose assis au pied du lit. Le fait de bouger a réactivé mes douleurs à la
vessie.
Je me dis qu'il va bien falloir qu'il me ramène dans ma chambrée car si non mon
absence va rapidement poser un problème.
- Maitre....Il faudrait peut être que....He...Que je retourne avec les autres...vous
pensez pas....hum.....maitre.
- J'ai dit que t'étais à l'infirmerie jusqu'à demain, donc tout le monde s'en fout de
toi !
Moi qui croyait qu'il me libérerais ce soir je vais pouvoir repasser. Il ajoute :
- Demain c'est de début d'la perme de noël qui dure 12 jours. J'me suis dit qu'au lieu
d'aller te faire chier chez toi, j'allais te prendre avec moi. Un p'ti stage intensif
de dressage, qu'est ce que t'en penses ?
- Mais c'est impossible, j'ai prévenu ma famille. Et je dois partir...
Il me coupe en me giflant de toutes ses forces. Je bascule sur le lit. Il me redresse
et continue de me gifler en me tenant avec son autre main.
- Tu termines toujours tes phrases par maitre! Et tune'me contraries jamais !
- Oui maitre !......Je m'excuse maitre !
- Tu vas téléphoner chez toi et dire qu' t'es réquisitionné pour faire des gardes et
donc q'tu rentreras pas du tout.
Je me rends compte qu'il a tout prévu pour en arriver là. Quand je suis resté à la fin
du cours, il savait déjà que tout se passerait comme ça. Il à même certainement
planifié d'autre choses que je n'imagine même pas. Je commence à comprendre que je
suis réellement son prisonnier, qu'il fait absolument ce qu'il veut de moi. Je
n'arrives plus à réfléchir avec ma vessie qui me fait un mal de chien, les bières que
j'ai bu qui me tournent la tête, la combinaison en caoutchouc dans laquelle je macére
depuis 6 heures ainsi que tous les sévices qu'il m'a infligé. Je suis épuisé, je n'ais
pas la force de lutter...
Il sort son téléphone.
- T'as pile une minute pour expliquer que tu n'rentreras pas. Au bout d'une minute
j'coupe ! Compris ?
- Oui maitre. Mais...c'est compliqué....par ce...
- Ta gueule ! Donnes moi le numéro !
Après quelques secondes de réflexion je me dis que je n'ais pas d'autres solution et
que c'est moi qui me suis mis dans ce pétrin après tout, même si j'aurais jamais cru
en arriver là. Je lui donne résigné le numéro qu'il tape au fur et à mesure. Pourvu
qu'il n'y ait personne ça me laisserait le temps de peut être faire quelque
chose....Il me colle le téléphone en dessous de la capuche sur mon oreille, de tel
sorte qu'il tient tout seul. A la troisième sonnerie on décroche, C'est mon père qui
répond.
- Bonjour papa. Je peux pas rester longtemps par ce que je n'ais plus d'unités.
Pendant qu'il me répond mon maitre met sa montre sous mes yeux en me montrant qu'il ne
me reste plus que 45 sec. Je suis obligé de couper mon père.
- Papa je n'ais pas le temps. Faut que je te dise que je ne pourrais pas rentrer
demain, par ce que j'ai été consigné à la garde pendant toutes les vacances.
Je vois sur sa montre qu'il ne reste plus que 15 secondes.
- Je te laisse papa, ça va couper. Tu embrasses maman et tu....
Je n'ais pas le temps de terminer qu'il me retire brutalement le téléphone pour couper
la communication.
Je suis abattu. En acceptant de dire ça à mes parents je viens d'accepter mon
emprisonnement pour les 12 jours à venir. Maintenant plus personne ne s'inquiètera de
mon absence.
- Tu vois, simple comme un coup d'file...Hé hé hé....
Je sens des larmes envahir mes yeux, doucement elles se mettent à couler.
Il s'approche de moi et se met à lécher mes joues. Puis doucement il se met à
m'embrasser. Je sens ses bras m'enlacer. Pour la première fois je sens en lui de
l'humanité et même de la tendresse. En me laissant aller je sens le plaisir monter.
Son attitude me rassure, j'avais besoins de ce geste protecteur.
Tout en continuant à m'embrasser il m'allonge sur le lit puis s'allonge sur moi.
Il ouvre la fermeture éclaire pour sortir mon sexe.
L'érection atténue légèrement mon envie d'uriner. Il se met à me masturber tout en se
frottant sur moi.
Puis il se tourne pour commencer à lécher mon sexe, il ouvre sa braguette qui se
trouve juste devant ma bouche. Son sexe gonflé sort pour venir se placer contre mes
lèvres. Je me mets à le sucer en même temps que lui. Progressivement en même temps que
l'excitation monte je sens que je rentre de plus en plus profondément en lui et lui en
moi. Il me serre de plus en plus fort. En même temps que je sens son sperme monter, je
sens le mien arriver de façon fulgurante. Dans une ultime étreinte nous jouissons en
même temps. J'avale toute sa semence jusqu'à la dernière goutte.
Nous restons quelques minutes comme ça avec nos sexes dans nos bouches.
Il se relève encore essoufflé, att une bière qu'il boit d'une seule traite.
- Hahhhhh !!!! Une bonne pipe, une bonne bière et une clope, que demande le peuple.
En allumant une cigarette il me redresse pour m'assoir sur le lit. Il att dans le
placard un sac de couchage militaire couvert de caoutchouc qui normalement sert pour
dormir dehors à même le sol. Je tente à nouveau ma chance :
- Il faut absolument que j'urine maitre. S'il vous plait je n'en peux plus maitre.
Il place sa main sur ma bouche en me disant de me taire. Il me fait entrer dans le sac
de couchage les mains et les pieds toujours menottés, puis referme la longue fermeture
éclaire qui monte jusqu'à mon cou.
Il prend les sangles qui avaient servis à me fixer contre la poutre et se met à me
saucissonner dans le sac de couchage.
- Voilà comme ça tu vas être très sage cette nuit. Tiens avales ça !
Il sort deux cachets d'une boite, puis att une bouteille de bière. Il place les
deux cachets dans ma bouche et me fait boire la bière cul sec. J'ai la tête qui se met
à tourner, j'ai du mal à me tenir assis. Il reprend la chaussette qui avait déjà servi
de bâillon, puis l'enfonce encore toute mouillée de ma salive dans ma bouche. Avec la
bande adhésive en faisant plusieurs tours il obture définitivement ma bouche. Il me
bascule dans le lit puis me roule pour me positionner sur le dos près du mur.
Je sens mes yeux se fermer lentement. Il se penche vers moi et me susurre à l'oreille
:
- Si tu pisses cette nuit, m'réveille pas surtout !
Je sens ma vessie se relâcher, je me mets à uriner doucement. Le liquide chaud coule
lentement vers mon dos pour se répandre partout. J'ai l'impression d'uriner pendant
plusieurs minutes. La douleur s'estompe, je me sens partir, la lumière s'éteint, je
sens l'urine arriver jusque dans mon cou et descendre dans mes pieds.
J'ai l'impression de flotter.....bercé par les vagues.....
A suivre...
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