À La Botte De Ma Soeur 2

AVERTISSEMENT - CETTE HISTOIRE FICTIVE PEUT CHOQUER LA SENSIBILITÉ DES LECTEURS NON
AVERTIS.

Avant de regagner ma chambre, humilié, j'avais passé un bon quart d'heure à lécher les
pieds de ma sœur. Dans sa chambre, à l'insu de nos parents, je m'étais appliqué à
passer ma langue entre ses orteils et à insérer soigneusement ceux-ci un par un dans
ma bouche, comme elle me l'avait ordonné. En bon animal docile, j'obéissais à ses
directives avec passion car elles animaient les désirs enfouis en moi, mes désirs les
plus refoulés.
Elle m'avait de nouveau giflé plusieurs fois. Lisbeth me tenait. J'étais à la
fois inquiet et satisfait. Je ne sais pas comment elle s'était débrouillée mais elle
se trouvait à présent en position pour me faire chanter, pour user de moi comme elle
le voudrait. Elle savait des choses que je ne voulais pas ébruiter, notamment le fait
qu'être humilié par une femme me faisait terriblement bander. Je pus le vérifier une
fois que je fus de retour dans ma chambre : j'étais en érection. Je poussai la porte
de ma chambre et allai me coucher. Après m'être soulagé plusieurs fois dans la nuit en
repensant aux délicieux orteils de ma frangine, je m'endormis.

Au petit matin, je fus réveillé en sursaut par une gifle de Lisbeth, une de
celles qui avaient hanté ma nuit. Je n'ai pas de réveil-matin. D'habitude c'est maman
qui me réveille avant de partir au boulot mais ce jour-là, Lisbeth a volontairement
laissé les parents partir travailler et leur a assuré qu'elle me réveillerait à temps
pour que j'aille en cours. Or, il était déjà trop tard. Lisbeth se tenait debout, à
côté de mon lit, vêtue du long t-shirt qu'elle met pour dormir et d'une petite
culotte.
Elle me dit sur un ton moqueur :

« Allez, debout ! La grasse mat' c'est terminé, branleur ! »

Pour ne pas me laisser le temps de discuter, elle tira ma couette et se
dirigea vers la fenêtre pour ouvrir mes volets.

La lumière du jour pénétra dans la
pièce et choqua ma rétine. À cet instant, je m'étais imaginé avoir seulement rêvé la
scène de hier soir dans sa chambre. Mais oui, c'était ça : j'avais rêvé ! Un sourire
se dessina sur mon visage.

« Grouille-toi, me lança Lisbeth, je compte sur toi pour me préparer le p'ti déj' ! Et
efface-moi ce putain de sourire de ta face, trou de cul ! »

Non, je n'avais pas rêvé la scène d'hier.
Hâté par Lisbeth, je quittai mon lit en vitesse pour enfiler mon bas resté
plié sur ma chaise roulante mais elle me défendit d'enfiler quoi que ce soit : je
devais rester en boxer, elle n'avait pas le temps de m'attendre, je devais aller avec
elle dans la cuisine tout de suite. Évidemment, l'idée de rester avec elle dans cette
tenue m’embarrassait puisque je pouvais être pris d'assaut par une érection matinale à
tout instant ou même être excité par ses douces formes qui pouvaient balloter
librement sous ces vêtements légers.
Je fus donc traîné de force jusqu'à la cuisine, en boxer. Ma sœur s'assit à la
table et me réclama quatre biscottes beurrées ainsi qu'un bol de café. Dos à elle, sur
le plan de travail, je m’exécutai. Mes doigts tremblants tenaient le couteau qui
prélevait le beurre pour l'étaler sur la biscotte nerveusement. Je répétai le geste
quatre fois, je versai le café (sûrement déjà fait par les parents) dans un bol et
j'apportai le tout à Lisbeth, qui n'avait pas manqué entre temps de me reprocher ma
mollesse et ma lenteur. Quand je posai le plateau sur la table, elle soupira :

« T'es vraiment débile comme mec, toi ! Je t'avais dis six biscottes ! M'enfin... tant
pis ! Assieds-toi en face de moi et regarde-moi bouffer, ça sera ta punition pour ne
pas avoir suffisamment tendu l'oreille, connard. »

Lisbeth voulait me faire croire que je n'étais même pas capable de mémoriser
un chiffre.
C'était très humiliant mais il était encore plus humiliant et languissant
de la regarder manger le petit déjeuner que j'avais préparé alors que j'avais moi-même
très faim.
Assis à la table en face d'elle, je l'observai saisir une des biscottes
beurrées, la plonger dans le bol et la ramener à sa bouche toute dégoulinante de café.
Ensuite, j'écoutai les craquements issus de sa mastication qui précédaient la
déglutition. Le mouvement se répéta pour la deuxième biscotte. Lisbeth ne me regardait
pas, ses yeux étaient perdus dans le bol de café, sa tête était baissée.

Peu après qu'elle eut saisit la troisième biscotte, je sentis quelque chose
caresser mon entrejambe : Lisbeth frottait son pied contre mon sexe, par-dessus le
seul vêtement que je portais. Pour comprendre ses intentions et savoir qu'elle
attitude je devais adopter, je cherchai son regard, en vain. Lisbeth demeurait
silencieuse, continuait à manger sa troisième biscotte et ne me regardait toujours
pas. Je ne savais pas quoi dire ni quoi faire mais ce qui était certain, c'était que
je bandais et qu'à coup sûr, Lisbeth l'avait remarqué. Elle l'avait d'ailleurs
sûrement cherché. Au fur et à mesure, les frottements étaient de plus en plus appuyés,
mon érection de plus en plus importante. Ma respiration s’intensifia, Lisbeth saisit
sa dernière biscotte. Mon cœur battait la chamade. Le vacarme que faisait la biscotte
entre les dents de Lisbeth m'hypnotisait, la pression de son pied sur mon sexe dur
était encore plus insistante. Lorsque submergé par le désir je fermai enfin les yeux
pour me laisser aller, le pied de Lisbeth se retira aussi subitement qu'il était venu
et la musique des biscottes s'arrêta.
Lisbeth releva la tête. Moi, j'étais bouche bée. Et frustré. Lisbeth avait
stimulé mon désir et je savais qu'elle ne le satisferait pas. Pas encore. Pas
aujourd'hui.
Elle jouait avec moi.

« Débarrasse ! », m'ordonna t-elle avec fermeté.

Avant de me lever, j'hésitai. Debout en face d'elle, elle apercevrait mon
boxer complètement distendu par mon sexe raide dont le gland baveux avait sûrement
entaché le tissus.
Je reculai ma chaise pour me lever, rouge de honte. Lisbeth regarda vers mon
entrejambe sans aucune surprise et afficha un sourire satisfait que je perçu comme une
moquerie.

À ce moment, je compris que ma sœur augmenterait chaque jour un peu plus son
emprise sur moi.

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