Le Choix De Jules : Tamara Ou Manon : Épisode 18/18.
Manon et deux autres soumises en formation comme elle, dont elle ne connaissait même pas le prénom, vivaient dans une chambre individuelle dans lhôtel particulier dAndré. Son épouse Thérèse était elle aussi une dominatrice et parachevait leur formation en leur inculquant lamour lesbien et bien dautre chose. Rentrant quà laube, les filles étaient réveillées à 13 heures, prenaient un repas équilibré, puis étaient lavées, épilées, maquillées et habillées sous la surveillance étroite de la Maitresse.
Pour Manon, cétait la première au « le poste de garde ». En définitive, cet endroit était une grande bâtisse au milieu dune belle propriété en pleine forêt, à 20 km de la ville, appartenant à un belge, un cousin de Thérèse qui avait réservé une partie du rez-de-chaussée pour des soirées spéciale de BDSM quils appelaient ainsi « le poste de garde ». Ces soirées se déroulaient en principe un vendredi par mois, mais à certaine période de lannée, suivant la demande, il arrivait quil y en ait toutes les semaines comme actuellement, suite au confinement.
Bernard, un cinquantenaire se trouvait à laccueil, recevant et dirigeant les clients, habillé en soubrette ; talons aiguilles, bas-résille, petite robe noire et blanche, décolletée sur son torse poilu. Le premier spectacle donnant le départ de la nuit de folie, se nommait la chenille, Thérèse en premier et ses trois soumises dont Manon faisait partie, à la suite, elles formaient un vrai mille-pattes. Une chaîne de cunnilingus, réalisée par quatre femmes pratiquement nues, à quatre pattes sur le sol, lune derrière lautre, qui se donnaient allègrement au plaisir bucco-génital.
La plupart des participants regardaient le spectacle en riant, ces hommes et ces femmes présents à ces soirées étaient de tous les âges, allant de la trentaine pour les plus jeunes, jusquà soixante-douze ans pour le vieux. Dhorizons différents, de tous les milieux et de toutes ethnies, ils venaient là se réunir pour vivre ensemble une passion commune, quoique très diversifiée dans son expression.
Même le Maire de la ville avec son masque, portait un harnais et un petit slip de cuir aux pieds de Thérèse sa Dominante élégante qui lui fessait le cul avec sa cravache. En tant que soumises habillées de body en vinyle à coupes ouvertes sur les seins et à lentrejambe, Manon et les deux autres devaient sétendre et se faire ligoter sur un matelas et se faisaient fouiller lanus et le vagin, jusquà la jouissance, puis elles se faisaient fouetter vigoureusement par un homme ou une femme ou même un couple de dominants qui prenaient leur plaisir. Pendant quune autre était attachée à un lit et était masturbée à laide dun énorme vibromasseur et enculée par un sextoy géant et devait jouir bruyamment, à maintes reprises.
Quelques fois, elles se faisaient ligoter de la tête aux pieds avec la plus grande application que ce soit par une femme ou par un homme très concentré et visiblement passionné. Ne pouvant plus bouger, les soumises recevaient soit des coups de martinets, soit des coups de queues. Dautres fois, dans leur petite tenue, elles devaient combattre lune contre lautre, sur un ring improvisé. Cette lutte érotique devant un public en délire se finissait dans la position du 69 où elles devaient se doigter et se lécher. Thérèse aimait montrer sa domination, vêtue tout en latex elle promenait Manon ou une de ses soumises en laisse, allant dun participant à un autre qui lui infligeait une ou deux claques sur les fesses en la faisant se coucher devant eux pour leur lécher les pieds.
Manon connu ce soir-là le chevalet. Une magnifique pièce de bois, recouvert dun cuir matelassé, souvent appelée le cheval flambant ou chevalet de sexe ou banc de fessée ou encore le table de la discipline.
Le pire des sévices au niveau humiliation que connut Manon au « poste de garde », fut les trous de la gloire. Enfermée dans une pièce à peine plus grande quun WC, elle devait lécher, sucer les nombreuses bites de toutes les tailles et de toutes les couleurs. Ces fellations se finissaient en général par des éjaculations faciales ou buccales suivant la demande du type anonyme derrière la cloison. Si elle ne respectait pas leur demande, elle était punie. Dautres demandaient à Manon après la fellation de poser ses fesses contre la cloison et se faisait prendre par les queues sortant des trous réalisés dans le Placoplatre.
Dans cette pièce, Manon sétait sentie très rabaissée et humiliée, à tel point quelle commençait à se demander, si elle nallait pas trop loin dans ses délires. En réfléchissant, à ce quelle vivait depuis deux semaines, elle prenait conscience quelle était en train de perdre sa personnalité, cétait pourtant une femme de caractère qui navait plus son mot à dire, elle subissait sans rien dire. Néanmoins, ce fut elle qui avait choisi cette voie. Se serait-elle trompée ? Seule dans sa chambre, elle sétait mise à pleurer espérant que Jules puisse venir la délivrer car elle nen avait plus la force et savait que si Guillaume lui demandait de poursuivre sa formation, elle ferait ce quil lui imposerait.
Après la conversation avec Tamara, Bénédicte sétait empressée de prendre contact avec le propriétaire du club « Le Libertin » et avait obtenu la permission de venir passer une soirée découverte le samedi suivant, cest à dire le 23 mai 2020.
À lintérieur, ils pénétrèrent dans une imposante salle, de près de 200 m2, dont léclairage tamisé et lambiance qui y régnait faisait penser à une discothèque. Le bar était à gauche en entrant, plusieurs personnes, hommes et femmes y étaient installées soit, sur de grands tabourets ou debout devant le comptoir. Thérèse leur désigna une femme, la cinquantaine dont le mari était à ses côtés, embrassant à pleine bouche un garçon qui aurait pu être son fils. Au centre de cette grande salle, sur une estrade surélevée, une autre femme installée nue sur un matelas faisait lamour en public avec un homme pendant quun autre couple attendait son tour pour sexhiber.
Thérèse leur expliqua que sur cette estrade, tous les clients pouvaient suivre le spectacle, les acteurs étaient des volontaires et ne simulaient jamais. De temps à autre, quelques femmes venaient y danser en faisant un strip-tease, avec ou sans partenaire. Puis elle enchaina en désignant les divans, fauteuil et tables basses garnissant la salle, expliquant que cet endroit était un lieu de rencontre. Installés sur les canapés, il y avait déjà une dizaine de couples attendant la venue dun des quinze hommes seuls ou dun autre binôme marié ou non, présents à lintérieur du club.
Dailleurs, un de ces couples, avait déjà trouvé un partenaire. Le mari assis à droite de sa femme, regardait linconnu dun soir assis à gauche de son épouse, en train de lui peloter les seins pendant que les doigts de son autre main glissé sous sa robe, sinsinuaient sous sa petite culotte et la masturbait, sous les frémissements de la femme dun certain âge.
En effet à la suite du bar, se trouvaient deux portes, ils empruntèrent celle de droite donnant sur un couloir séparant des pièces, meublées de petites tables, chaises et dun grand lit. Au fond de ce long corridor, se trouvaient des toilettes et une salle de douche. À lentrée de chaque chambre sans porte, sur un écriteau qui pouvait être retourner à sa guise, on pouvait lire du côté recto « Respectez notre tranquillité », les voyeurs ne pouvaient que regarder. Le côté verso « bienvenue » était une invitation pour dautres partenaires.
« En principe, ce nouveau couple ainsi formé se retrouve ici, comme vous pouvez le constater, tout est très propre. Sur cette desserte se trouve des serviettes de bain, les savonnettes sous blister, un distributeur de préservatifs, lhygiène est très importante pour nous ainsi que pour les clients. » Avait dit Thérèse avant de visiter la suite. Arrivés devant une chambre ouverte, dont lécriteau indiquait « Bienvenue » un homme était placé derrière sa partenaire restée debout au milieu de la pièce, la déshabillant, il fit glisser la fermeture éclair de la robe et lui enleva lentement, puis baissa sa petite culotte le long de ses longues jambes tout en admirant le minou glabre que cette femme entretenait régulièrement.
Lhomme la trentaine lallongea sur le dos sur le matelas recouvert dune alèse en plastique jetable puis plaça sa tête entre ses cuisses lui faisant un cunnilingus, tout en lui doigtant la vulve et son anus. Si cette femme mouillait, lui bandait fortement. Ne pouvant plus attendre, il se déshabilla rapidement, enfila un préservatif et sallongea sur elle en la pénétrant, tout en lui malaxant les seins quil semblait trouver formidables. Tout cela devant le mari et deux couples de voyeurs, qui mataient leurs ébats.
À cet instant, un autre type la cinquantaine, un peu bedonnant et surtout poilu, voyant linvitation de lécriteau, était entré et demanda au mari qui se masturbait sil pouvait se joindre eux. Avec laccord de celui-ci, il se déshabilla et vint lui aussi mettre sa verge en érection dans la bouche de cette femme qui le suça volontiers, pendant que le premier la limait toujours. Tamara fut tirée par le bras par Bénédicte qui suivait Thérèse dans le couloir.
Dans cette chambre, les deux couples se trouvant nus sur le matelas, ne désiraient pas être dérangés, les deux maris sétaient échangés leur épouse. Elles étaient toutes les deux à quatre pattes en levrette, lune se faisait remplir le vagin assez sauvagement, tandis que lautre se faisait sodomiser avec force. Le visage des deux femmes se faisait face et leur langues sorties de leur bouche se frottait et se léchait mutuellement. Ne pouvant pas restées dans lencadrement de la porte à mater, Thérèse les amena à la chambre suivante.
Ici, se trouvaient deux femmes, la bonne quarantaine, une un peu ronde, une brune aux cheveux mi- longs, lautre une belle blonde dont la poitrine était imposante. Entièrement nues mis à part leurs bas auto fixant, elles étaient avec trois hommes chacune. Après sêtre fait prendre dans leurs trois orifices, elles se mirent à genoux dos à dos et chacune delle suçait lun et branlait les deux autres. Léjaculation des six hommes, recouvrit leur visage et leur poitrine, avant que les quatre spectateurs présents, ayant suivi le spectacle, vinrent également se masturber et sépandre sur leurs yeux et leur chevelure.
Dans le couloir où était restée Tamara, plusieurs hommes et femmes linvitèrent à les accompagner en lui demandant « Tu baises avec moi ? » « Tu veux nous rejoindre avec ma femme ? » Ne voulant pas leur dire non catégoriquement et ne désirant pas passer pour une mijaurée, elle refusait leurs offres en répondant quelle ne restait pas, quelle devait partir. Cela avait bien amusé Bénédicte qui connaissait la pudeur de son amie :
Tu vois ici, cest très académique et sans amour, ce nest que du sexe.
Thérèse leur dit : « Là, vous avez vu ce qui se fait couramment, nous allons passer à autre chose, si vous voulez bien me suivre. » Retournées au bar, après avoir bu une coupe de champagne, ils prirent la deuxième porte à gauche. Un escalier menait à létage où deux pièces étaient équipées de croix de St André, chaînes et menottes qui descendaient du plafond, tout ceci pour satisfaire les adeptes du BDSM. Sur lune delle, une jeune fille était écartelée et était littéralement maltraitée, recevant des coups de cravache et de martinet par deux hommes qui frappaient sans retenu.
Cen était trop pour Tamara qui, malgré la couleur de sa peau était un devenue très pâle. Elle se tourna vers Bénédicte en lincitant à partir :
Non ! Jen ai assez vu. Dit-elle en dévisageant la jeune flagellée qui en la regardant cria : « Help ».
Tu as raison Partons maintenant. Répondit Bénédicte en sexcusant auprès de Thérèse.
Dans le couloir, Tamara demanda à Thérèse pourquoi cette jeune fille appela au secours. Celle-ci, lui répondit tout naturellement que cette jeune soumise ne demandait pas de laide, elle avait prononcé son mot « code » probablement. En expliquant que la dominée choisissait un nom quelconque, quelle communiquait à lavance à son Dominant. Lorsque la douleur devenait insupportable, la personne dominée prononce ce mot « code » afin que le Dominant arrête de frapper. Une fois remontée dans la voiture, Tamara sexclama :
Mais oui ! Il me semblait bien la connaitre, cette fille qui se faisait fouetter.
Qui est-ce ? Une amie à toi ?
Oh que non ! Cest Manon Marchand ! Quest-ce quelle a changé, cest à peine croyable.
Tu la connaissais, cette petite garce ?
En effet, Tamara, curieuse de nature et assez jalouse, lavait rencontrée un jour lorsquelle était venue accompagner Jules qui lui faisait des cours particuliers avant quelle parte en Martinique. À ce moment-là, Manon navait pas encore couché avec lui, elle lavait trouvée mignonne et navait pas jugé bon de sinquiéter car cette jeune fille vêtue dun jean délavé et dun sweat à capuche, semblait être une adolescence très sérieuse et à aucun moment, elle ne vit pas Jules la regarder autrement quune élève tout à fait ordinaire en restant concentré sur son travail :
Bénédicte, ça te dérangerait de maccompagner chez lui, il faut que je lui parle maintenant, jai pris ma décision.
Bien sûre, ma chérie. Que penses-tu faire ?
Pressée de le joindre au téléphone, Tamara navait pas répondu à Bénédicte qui restait absorbée par sa conduite. Jules ne répondait plus à tous les appels quil recevait, néanmoins lorsque quil vit le nom de Tamara safficher sur lécran, il se précipita pour décrocher :
Jules, je suis avec Bénédicte, pouvons-nous passer chez toi, jai à te parler, cest urgent.
Ok ma princesse tu peux venir. Jétais au lit, jallais mendormir.
Lorsque les deux femmes entrèrent dans son appartement dont la porte nétait toujours pas fermée à clé, Jules prenait une douche dans la salle de bain. Elles sétaient regardées en levant les yeux au ciel et en riant, Bénédicte sesclaffa en disant : « Ça se voit quil na plus de femme de ménage. ». Cétait un vrai bazar, rien nétait rangé, le lit était défait, la couverture qui protégeait les coussins du divan trainait sur le sol, de la vaisselle sale était en éparpillée sur lévier et une fine couche de poussière recouvrait les meubles :
Écoute Tamara, pendant que tu lui parleras, je vais commencer à faire la vaisselle et ranger un peu. Dit Bénédicte en reposant la couverture sur le canapé.
Jules était en short et teeshirt, ses cheveux encore mouillés nétaient pas coiffés. Il fit « Salut Bénédicte » en se dirigeant immédiatement vers Tamara, tout en la fixant dans les yeux, essayant de chercher dans quelles dispositions elle était. Sapercevant quelle avait un léger sourire, il sapprocha delle et la prit par les épaules, en lui faisant deux grosses bises sur les joues. Tamara mit ses deux mains sur ses joues encore humides par la douche et lui fit claquer ses lèvres sur les siennes :
Je taime Jules, je veux vivre avec toi, nous élèverons notre ensemble.
Notre ?
Oui mon amour, cest le tien, jen suis certaine maintenant.
Sen était suivi un long baiser plein de tendresse, Tamara était à présent allongée sur lui sur le divan, lorsque Bénédicte demanda à la jeune martiniquaise : « Je suppose que tu ne rentres pas avec moi ? » :
Merci Bénédicte, je passe la nuit ici. Tu veux bien mon amour.
Merci pour tout surette, passe le bonjour à Jérôme.
Leur nuit de retrouvailles fut grandiose, pour lun comme pour lautre. La soirée passée « au Libertin » avait probablement aidé à lexcitation de Tamara qui avait su faire preuve de beaucoup dimagination. Ils sétaient aimés comme jamais ils navaient eu loccasion de le faire. Avant de sendormir, sa princesse lui parla de Manon quelle vit au club, en disant que cette fille ne méritait pas de subir tous ces sévices. Elle était quasiment certaine que la jeune fille le regard vitreux nétait pas très consentante et lui expliqua pourquoi :
Jules, si jai bien compris les deux gars qui frappaient Manon auraient dû arrêter lorsquelle a prononcé son mot code : « HELP ». Pourquoi ne lont-ils pas fait. Je suis presque certaine quelle voulait mon aide, elle me fixait droit dans les yeux lorsquelle lavait crié.
Quest-ce qui te fait dire ça ? Cest insensé, elle doit ten vouloir à mort et si ça se trouve, elle ne ta même pas reconnu.
Si mon chéri, Help veut dire en anglais « au secours » tu es bien prof danglais non ? et tu connais non seulement André mais aussi Guillaume, elle le sait. Je suis certaine quelle me demandait de te prévenir. Jules tu dois la sortir de là.
En entendant Tamara, Jules était furieux, il létait contre lui bien sûr mais sa colère se reportait principalement sur Guillaume qui lavait déjà probablement entrainée chez André afin de la transformer en soumise. Dès le lever, pourtant assez matinal, il était allé chez leurasien, Tamara avait tenu à laccompagner. Lorsque Guillaume avait ouvert la porte, Jules se précipita sur lui, le pris par le col et en le décollant littéralement du sol, lobligea à le suivre afin dabréger les séances quil imposait à Manon.
Tamara fut impressionnée par la force quavait son chéri, pourtant ce nétait pas un garçon violent de nature. Néanmoins, Guillaume ayant pris peur, sexécuta immédiatement et monta dans la voiture. Arrivés chez André, celui-ci ne voulant pas dennuis, demanda à Thérèse daller chercher Manon dans sa chambre. Leurasien dut payer le Maitre avant de déguerpir lorsque Jules lui dit :
Je ne veux plus que tu tapproches delle, sinon je te tue de mes propres mains. Tu mas bien compris ?
Leurasien était déjà parti en courant prendre un taxi lorsque Manon descendait les escaliers. En voyant Jules et Tamara, elle comprit que la jeune martiniquaise quelle avait aperçue la veille, avait compris son message et avait convaincu son ami à venir la sortir des griffes des Maitres Dominants. Elle sétait précipitée et sauta au cou de son prof danglais, prit Tamara à bras le corps et lenlaçait très fort en lui disant : « Merci Tamara soit heureuse avec ton homme ».
Jules accepta de la proposition de Tamara, il quitta son appartement au 10e de la banlieue nord et sinstalla définitivement chez sa princesse des îles en attendant la venue du bébé, prévu aux alentours du 15 décembre. Ce fut ensemble main dans la main quils allèrent chez les Pennys, leur annoncer quils partaient avec eux en vacances au mois daoût en Normandie. Quant à Manon, elle essayait de reprendre une vie normale chez Richard avec sa mère Karine qui avait enfin remercié Jules de lui avoir retrouvé sa fille. Il était prévu quils soient tous invités au mariage de Tamara et Jules prévu en mars 2021, si la covid le permettait.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous aussi, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par e-mail, avec votre aide, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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