Zéla
Les voyages en avion par les vols intérieurs sont quelques fois la cause de rencontres
imprévues. Entre Toulouse et Paris je suis assise à coté dun noire magnifique. Elle
ne fait pas attention à moi. Je peux détailler son visage, visage régulier, malgré une
légère tendance à des traits africains. Le peu que je vois de son corps montre un
poitrine qui ferai laffaire dun homme normalement constitué, je ne peux
quapercevoir son ventre. Par tempérament je suis portée vers les filles: Je lui dirai
bien deux mots.
Comme souvent lhôtesse de bord passe pour voir si tout va bien. Ma noire tourne la
tête pour répondre que tout va bien avec un léger accent. Jengage la conversation:
- Je suis brésilienne, en France depuis 5 ans.
- Ca doit vous changer du brésil ?
- Pas tellement, les hommes me draguent autant sinon plus.
- Ce nest pas bien grave, belle comme vous êtes vous devez faire des conquêtes !
- Pas toujours, alors je préfère rester seule.
- SI je vous invitais chez moi ?
- Entre femmes ? Pourquoi pas.
- Ce soir par exemple.
- Daccord je viendrai.
Je me demande si elle sait que jai envie delle. On verra ce soir: je ne risque pas
grand-chose. Jai le temps de préparer un peu de cuisine, je me prépare en prenant une
douche pour être nickel. Seulement, voilà quand je me douche jai pour habitude de me
caresser avec le jet. Je ne suis pas la seule dans ce cas, daprès ce que me disent
mes amies. Je jouis rapidement en pensant au corps de la brésilienne. Je fantasmais
sur mes caresses et le siennes. Enfin jai joui comme il fallait, deux fois, une fois
par devant et lautre plus rare, mais meilleure par lanus. Jaime sentir le jet chaud
sur le cul. Jai beau préférer les filles, mes trous restent ceux dune femme normale.
Je ne met pas de culotte ou vêtement approchant.
hôtesse »: mini jupe à mi cuisse, boléro sarrêtant entre les seins et le nombril,
assez pour montrer presque tout. Cest il me semble une tenue sexy. La dernière fille
qui est tombée dans mes filets me le disait.
Jai mis des fleurs dans le vase et posé des revues olé olé sur le divan. Jespère
surtout ne pas avoir fait tout ça en vain.
Il est 21 heures, enfin quelquun sonne. Jouvre la porte pour voir une beauté noire:
Je me croirais à Cobacabana, devant une de ces filles qui sont pleine de choses
agréables à voir et à toucher. Elle nest pas comme moi, sinon que se jupe est un peu
plus courte, elle me montre plus que la moitié de ses cuisses. Le haut est
transparent.
Ou elle me cherche ou elle est naturelle ainsi. Je ne sais ce que je préfère. Elle
membrasse sur les joues, moffre un cadeau: un énorme bouquet de roses rouges qui
expriment les sentiments, le désir. Elle ne pouvait pas exprimer mieux ce que je
ressent. Jespère quelle pense comme les fleurs. Avant de passer à table nous prenons
un apéritif: nous parlons de sa profession: avocate internationale, de ses clients
souvent bizarres, je lui parle de la mienne: organisatrice de congrès, de mes voyages
en France et à létranger, particulièrement en Asie du Sud est. Ce lieu lintrigue:
- Cest vrai ce quon dit sur le sexe en Thaïlande ?
- Oui, cest vrai des client mont confirmé quils avaient eu pas mal doccasions de
faire lamour avec de jeunes garçons, certains lont fait.
- Ca doit faire bizarre de voir des hommes ensemble.
- Cest vrai jen ai vus, cest plutôt excitant.
- Je nen ai jamais vu.
- Ceux que jai vu faisaient un 69, comme un couple hétéro ou des filles ensemble.
- Vous avez vu des filles ensemble.
- Oui, cest-ce que je pratique souvent quand je trouve une belle partenaire comme
vous.
- Je nai jamais essayé avec une autre fille, on dit que cest très agréable.
- Pour moi, cest le pied, jaime baiser les filles depuis que je suis jeune, je ne
suis plus vierge, jai mal été dépucelée, cest pour ça que jai choisi une autre
fille pour la suite de ma sexualité. Il nempêche que jaime jouir par derrière avec
une bite dhomme ou un gode, comme je lai fait cet après midi.
- Ca jaime bien me faire sodomiser.
- Vous savez que vous me donnez réellement envie de vous.
- Vous voudriez quon fasse lamour ?
- Jaimerai bien.
- Ca pourrai attendre que la nuit se prolonge.
Elle me calme à juste titre: jallais lui sauter dessus, une invitée, une brésilienne,
si elle refusait jaurais eu lair dun allumeuse.
Nous mettons la table ensemble, cest vite fait pour deux femme. Elle aime
heureusement le vin: jai un bourgogne capiteux dont elle se souviendra.
Nous parlons cette fois de tout autre chose, elle me décrit les menus de sont nordeste
natal. Elle me livre son prénom: Zélia. Joli nom. Nous préparons le café pour le boire
au salon. Encore sur le divan, Zélia remet la conversation sur lamour. Sans le faire
exprès mon boléro souvre sur ma poitrine: elle peut voir mes seins: je nen ai pas
honte, au contraire, jaime mes seins. Jécarte les cuisses, elle peut voir mon minou.
Je montre exprès mes atouts. Elle semble me suivre quand sa jupe souvre sur ses
cuisses.
- Je nai rien contre un essai avec une fille, me dit-elle.
Elle na pas à le répéter; ma bouche est vite sur la sienne. Je suis surprise quand je
sens sa langue venir dans ma bouche. Quel baiser long et plein de promesses. Pour la
suite je commence à moccuper delle en passant ma main sur son genoux et la montant
entre ses cuisses. Elle les ouvre quand ma main est presque sur sa chatte. A cet
instant elle fait allégeance en prenant un de mes seins dans sa main pour le caresser.
Cest à croire quelle a fait ça toute sa vie. Elle le fait gonfler, mon téton pointe
vers lavant. Il a besoin de sa bouche. Elle me caresse lautre sein de la même façon.
Jai trouvé sa chatte entièrement mouillée. Ce nest pas difficile daller caresser
tous ses secrets. Et quels jolis secrets: je les vois maintenant en entier, ses lèvres
roses, son clitoris encore caché, surtout son trou mignon: celui de son cul où je
compte bien aller. Jarrive à prendre toute sa chatte dans une main. Je la serre un
peu, il me semble avoir une éponge. Je ne mens pas en disant que le sexe de Zélia est
une merveille de la nature.
Elle enlève mon boléro: ma poitrine est à sa disposition: elle en profite pour la
prendre à deux mains. Si cétait possible je crois que mes seins deviendraient
énormes. Enfin elle oublie ma poitrine pour descende vers ma chatte. Enfin sa main est
sur mes points faibles. Elle ne fais pas comme moi, elle fait comme pour elle quand
elle se branle. Cest bon, elle peut me faire et le veut jouir. Je résiste
suffisamment pour que je prenne son bouton sous mon doigt. Là je suis à mon affaire,
je sais parfaitement masturber une autre fille. Ce nest que la pulpe du majeur qui se
pose sur lui. Je frôle simplement sans surtout appuyer. Elle ne tient pas longtemps
avant de gémir. Ses jambes souvrent encore plus. Jattend un bon moment avant daller
plus vite. Là, pour elle cest la tempête qui monte dans son corps. Ses gémissement
deviennent un grand cri quand elle jouit.
Jarrête pour ne pas tout lui donner à la fois:
- Cétait bon, je ne pensais jamais quune fille me fasse autant jouir.
- Jaime les filles, jen ai lhabitude. Attends je nai pas fini.
- Et toi ?
- Fais comme tu veux, branle moi ou suce moi, tu recommencera après.
- Après quoi ?
- Après que tu ai encore joui comme je le veux.
Elle me masturbe comme elle a commencé à faire. Elle me fait du bien, sans plus, si je
jouis, cest presque par accident, parce que je dirigeais ses doigts. Je reprends sa
bouche, nos langues jouent encore. En passant ma main le long de la colonne vertébrale
jarrive à lui donner encore envie. Je lui fait écarter les fesses: jarrive à mettre
un seul doigts sur le rectum tout doux. Jen sens les stries; Je caresse à ma façon en
faisant le tour du cul sans y entrer: elle ne tarde pas à en jouir. Au moment de la
jouissance mon doigt entre en elle: je prolonge son orgasme. Jenlève le peu de
vêtements que je porte: elle est nue aussi. Pour ajouter de lérotisme à notre jeu,
nous nous levons, nous sommes sein à sein, pubis contre pubis et nos mains sur les
fesses. Elle a envie de me caresser le cul, je la laisse faire, jaime trop ce genre
de privautés pour men passer.
Elle passe sa main entre mes fesses, arrive à mon anus où jouvre comme je peux le
cul. Elle entre une phalange, la ressort, devant mon geste den vouloir encore, elle
entre tout le doigt, le fait aller et venir. Jaccompagne ses mouvements pour partir
dans un orgasme rare, le meilleur quelle mait donné. Je sens son doigt quand mon
sphincter de referme à chaque spasme. Décidément elle sait faire de bonne choses.
Nous revenons assises: elle écarte les cuisses pour que ma tête passe; Je vais en
avoir pour un moment avec ma bouche sur sa chatte. Pour être plus à laise, elle pose
ses cuisses sur mes épaules. Je commence par son puits de plaisir. Jaime lécher les
filles à cet endroit: elle y ont un zone cachée que beaucoup ignorent. Cest mon
endroit préféré. Ma langue entre sans problème dans un con plus que mouillé. Elle
gémit quand le bout de ma langue est sur son point G. Jy suis, je nen parts plus,
même si elle le demande. Je tiens à la crever à la faire jouir. Elle hurle ses
orgasmes, jen suis satisfaite. Elle jouit ainsi plus de 20 minutes sans arrêt. Je
marrête, obligée par des douleurs dans la langue. Je la remplace par deux doigts dont
la pulpe est tournée vers le haut. Cest plus long mais elle jouit encore.
Ce qui métonne en la léchant est de voir la différence de couleur entre ses chairs
intimes et sa peaux naturelle. Cest encore plus excitant de la lécher. Elle est
presque morte. Je ne la fait plus jouir. La nuit est longue, et le matin est propice
pour la suite.
Par contre elle tient à me sucer également. Je cède parce que je meurt de désir de
jouissance. Elle met sa tête entre mes jambes, monte lentement: elle file directement
sur le clitoris. Elle le prend dans la bouche, le suce pour le lécher dedans. Je
caresse sa tête pendant ce cunnilingus parfait. Je jouis en lâchant à mon habitude une
bonne dose de cyprine.
Nous allons nous coucher: un long baiser conclue notre amour du moment. Elle tombe
littéralement de sommeil. Jai encore envie de me branler le cul. Jai assez de
cyprine pour mouiller deux doigts. Je les entre lentement entre mes fesses: mon cul
aime particulièrement cette façon. Je les fais aller et venir jusquau moment ou je
pousse un léger cri de délivrance.
Jai la chance le lendemain en me réveillant de voir Zéla dormir les jambes ouvertes.
Jen profite pour passer encore ma tête entre ses cuisses. Elle se réveille quand ma
langue est sur son clitoris. Son gout fort de femme qui a bien baisé mexcite encore
plus. Ma bouche sest emparée de son bouton. Si je le lèche une fois pour quelle
jouisse, je le prend dans la couche, je laspire, le rejette, laspire à nouveau: elle
part encore dans un orgasme aussi fort que la veille. Pour finir je le garde dans mes
lèvres pour le lécher doucement.
Elle veux me rendre ce que jai fait, alors je me tourne complètement pour faire un
69. Nos langues seules jouent dans nos sexes, sauf quand je décide de faire participer
nos culs à la fête. Je récupère mon gode spécial cul pour le lui mettre. Je
démultiplie son plaisir. Elle ne peux répondre quen enfonçant deux doigts dans
lanus. Nous devenons déchainées, hors de la morale normalement admise. Etre
homosexuelle féminine ne me gêne pas. Il semble quelle non plus: nous visons ensemble
depuis plus de 5 ans. Nous faisons rarement appel à un mec, juste pour une bonne
sodomie.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!