Leslie Hd62

Leslie HD62 – Seule avec un ami, suite et fin

Romain commença à me caresser tout le corps en prenant soin à n’oublier aucune partie,
d’abord ma poitrine qu’il caressa avec douceur en s’arrêtant sur les pointes qu’il
agaça du bout de ses doigts, puis de sa langue, faisant monter en moi un désir
fabuleux.
Il me refusait son sexe que je désirais caresser, me laissant dans les émois les plus
intenses et me faisant patienter d’une insoutenable façon.
Puis il descendit le long de mon corps, s’arrêtant aux endroits les plus sensibles me
faisant feuler et marquer à chaque fois qu’il touchait une zone érogène.
Puis il me prit en bouche pour me sucer, sa bouche chaude et douce autour de mon
membre me faisait gémir de plaisir, il savait sucer et n’en était surement pas à sa
première expérience.
Il m’écarta les jambes de ses mains afin que je m’offre grande ouverte à ses caresses
et puisse ainsi avoir accès à mon œillet. Il le caressa du bout d’un doigt en le
tournant sur le pourtour, me faisant vibrer par les sensations infligées.

Après quelques instants de ce presque insoutenable traitement ile se redressa et me
présenta sa queue pour que je le suce.
Il bandait comme un âne et sa verge était imposante, massive, je le pris en main et
m’aperçus que ma main avait du mal à en faire le tour, le membre de Romain était
vraiment très épais, les veines sur son sexe, gorgées de sang, lui donnait un aspect
presque agressif.
J’ouvris les lèvres et entrait avec difficulté le gland dans ma bouche et commençais à
agacer le gland du bout de la langue.
- Ohhh, dit Romain.
Avec difficulté j’entrais un peu de ce membre dans ma bouche, faisant gémir Romain de
plus belle, puis sans me prévenir il donna un coup de reins pour m’entrer son sexe le
plus loin possible au fond de ma gorge.
Prise d’un haut le cœur je me dégageais en disant :
- T’es fou, tu vas m’.

- L’envie était trop fort me dit-il, je n’ai pas résisté à cette tentation.
Il s’excusa, bien que je ne lui en veuille pas, les désirs parfois font faire des
trucs complètement fous, et il me dit :
- Peu de filles acceptent de me sucer en voyant mon sexe, et n’acceptent que la
pénétration de leur chatte en hurlant.
- Je m’en doute car toutes n’aiment pas défoncées par des gros sexes.
- Certaines recherchent des hommes bien pourvus, mais la peur les fait reculer
au dernier moment, pour les hommes c’est différent, ils sont un peu fous et se font
volontiers défoncer par des gros membres.
Alors que je le reprenais en bouche, il rajouta :
- Tu as déjà été enculée par de gros calibres ?
- Cela m’est arrivé, mais il faudra que tu sois très doux.
Nous avons continué de nous donner du plaisir en nous suçant à tour de rôle, puis
alors que l’excitation était à son maximum Romain me proposa :
- Encules-moi !
En disant cela il se positionna en levrette devant moi et je me suis mis e à le
sodomiser à sa plus grande joie, je savais bien qu’après ce serait mon tour, mais je
n’y pensais pas trop occuper sur son petit trou.
Je ne jouis pas en lui, et un peu plus tard il m’installa sur le dos, les cuisses
grandes ouvertes et un oreiller sous les reins.
- Ainsi je te verrais pendant que je te prendrais, me dit-il.
Alors qu’il positionnait son gland sur ma rosette après m’avoir enduit le trou de gel,
ainsi que son membre.
Je pris mon sexe d’une main pour le branler, l’autre main sur son ventre pour
l’arrêter si jamais il s’avérait que je puisse le recevoir.
Il poussa doucement son sexe en moi, m’ouvrant lentement le trou de son membre qui
résistait. Une légère douleur apparut car mon œillet résistait refusant de s’ouvrir
plus pour accueillir mon amant.
Romain n’insista pas sentant ma main sur son ventre le repousser, mais restant à
l’orée de mon anus il commença à effec de petites poussées en moi.
Cette action eue pour effet de me détendre et m’habi petit à petit à cette
intrusion en moi, je sentais que je me détendais et que j’acceptais ce membre qui
entrait en moi inexorablement.
Je ne pus m’empêcher de lui dire :
- Comme ça, oui, comme ça.
Le plaisir et les sensations commençaient à monter dans mes reins, cette folle
intrusion dans mon corps m’excitait et la douleur faisait place à l’envie.
Alors que je me branlais de ma main, un petit coup de rein, pus appuyé que les autres,
fit entrer le gland de Romain en moi.
- Waouh, dis-je, c’est énorme, tu me fends en deux.
- Tu es serrée comme une pucelle, me dit-il.
La paume de ma main pressait sur son entre afin de lui faire et de l’empêcher d’aller
plus en avant en moi, je m’habituais doucement en laissant la légère douleur
disparaitre.
Je savais malgré tout que même si je l’acceptais et qu’il me sodomise, de toute sa
longueur, il lui faudra être très doux pour ne pas me déchirer les chairs.
- Sois doux, lui dis-je.
- Je vais t’enculer en douceur, comme une petite salope, et tu en redemanderas
tellement je vais te faire jouir.
J’avais le bout du sexe de Romain dans le cul, son gland enfoncé au-delà de la
couronne, et je le provoquais en lui disant :
- Tu me parais bien sûr de toi.
- Celles que j’ai réussies à enculer en ont redemandées.
- Et les autres ?
- Elles se sont sauvées en courant et en hurlant.
Tout en me parlant, j’ai senti que Romain me voyant détendue en avait profité pour
progresser en moi, et je lui en ai fait la remarque :
Petit salaud tu profites de la situation et tu m’enfonces ton gros sexe en moi.
Dis que tu n’aimes pas et je te laisse ainsi !
Non, non, dis-je, continues.
Il poussa en moi encore et j’ai senti son sexe progresser dans mes chairs intimes,
c’était divin, tant pas l’impression d’être complètement possédée que par l’étrange
situation de cet instant.
- Leslie, dit Romain, ohhh Leslie.
- Oui, tu me possèdes, dis-je.
- Pourquoi avoir attendu tant de temps.
- Chut, prends-moi et fais-moi jouir !
Romain me regardait droit dans les yeux, scrutant chaque une de mes réactions. J’avais
les yeux exorbités par la démesure de cette pénétration, la bouche grande ouverte je
recherchais un peu d’air et gémissant des :
- Ohhh, ohhh.
J’ai senti ses couilles butés contre mes fesses, Romain était au plus profond de moi,
mes chairs écartelées par son membre.
Le plaisir est monté d’un seul coup et j’ai jouis du cul une première fois.
Certainement du fait de l’avoir complètement accepté et de me sentir complètement
investie.
- Maintenant, me dit-il.
Et il s’est mis à aller et venir en moi, lentement mais inexorablement, faisant
coulisser dans mon étroit fourreau son gros membre raide.
Il m’a fait encore jouir deux fois en me prenant ainsi, puissamment mais avec une
énorme tendresse en scrutant mon visage et observant mes réactions.
Puis il jouit en moi me remplissant les entrailles de sa chaude jouissance me faisant
basculer dans une semi-inconscience.
J’ai senti que Romain me branlait et il m’a fait jouir sur mon ventre comme dans un
rêve.

En reprenant mes esprits, il était toujours en moi, son sexe bandé et dur, j’avais le
ventre couvert de ma propre jouissance, alors il s’est retiré de moi et je l’ai à
nouveau sucé pour le faire jouir dans ma bouche.
Il a seulement dit :
- C’était extra !
Nous nous sommes allongés côte à côte un moment caressant d’une main nos sexes encore
bandé et réclamant encore plus.
Nous avons reposé ainsi un moment, puis Romain à adorer me reprendre le cul, me
laissant ensuite le sodomiser à nouveau et jouir en lui.

Le lendemain en nous quittant nous savions que nous nous reverrons, ne sommes-nous pas
des amis de longue date, mais nous savions aussi que nos relations ne seraient plus
les mêmes et que lors de nos prochaines rencontres le sexe viendrait se mêler aux
confidences.

A suivre…