La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 29)

- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS-

Lalielou me sentant me contracter suivit mon regard . Ils étaient là, tous les deux
chaussés de bottes cavalières. Ils nous regardaient, la cravache dans les mains
fouettant rageusement le cuir de leurs bottes.

Nous étions pétrifiées. Qui était donc cet étrange personnage aux côtés de Monsieur le
Marquis ?

N'osant plus bouger nous restâmes blotties dans les bras l'une de l’autre, nous
attendant au pire, nous donnant de la force et du courage l'une l'autre. Je sentais
Lalielou trembler contre moi et je faisais de même. J'avais encore le souffle court de
ma récente jouissance !

- Regardez moi ces chiennes en chaleur qui se vautrent dans le stupre, Monsieur le
Comte de St-Vadier, regardez moi ses femelles indécentes. Je dois les rendre à leur
Maîtres, dignes du nom de "soumises" qu'elle portent ! Y parviendrais-je en si peu de
temps ? Se lamentait le Marquis. Il suffit qu'on les laisse un seul instant et voila
qu'elles en profitent pour se donner du plaisir sans y avoir été autorisées, mais que
vais-je bien pouvoir faire de vous ? Auriez-vous des idées mon cher voisin ? demanda
le Marquis en se retournant vers l'inconnu.

Je le regardais aussi. Grand, il me paraissait immense de la position où je me
trouvais. Le regard froid, il avait de petits yeux inquisiteurs, une bouche gourmande,
la main qui tenait la cravache était grande, nerveuse presque impatiente d'entrer en
action.

Nos regards se croisèrent. Je baissais les yeux immédiatement tant l'intensité des
siens me fit peur, d'une peur viscérale. On y voyait toute la perversité du mâle
habitué à sévir, contraindre, réprimer, et être obéit sur le champ.

Ils se regardèrent, complices joyeux de la bonne occasion que nous leur offrions,
comme s'il avaient eu besoin d'un quelconque alibis pour assouvir leurs perverses
fantaisies.

Ils se délectaient par avance de la punition qu'ils allaient nous
infliger. Mais le Marquis tenait, dès cet instant là, profiter de la situation.

- venez, cher Comte nous n'allons pas gâcher ce merveilleux spectacle qu'elles nous
ont offert, il faut profiter au contraire de chaque occasion dès que celle ci se
présente ! Puisqu'elles sont prête à recevoir, donnons leur de remplir ce vide
qu'elles semblent avoir.

Comment ça le "merveilleux spectacle" ! Ils nous avaient donc espionner. Depuis quand
étaient ils présents ? Qu'avaient-ils vu de nos ébats ? Je n’eus guère le temps de me
poser plus de questions. Ils franchirent la distance qui nous séparait d'eux en moins
de temps qu'il en faut pour le dire. Nous nous serrâmes encore plus, essayant de nous
conforter et de puiser dans l'autre la force qui nous manquait pour la suite de ce qui
allait, inévitablement, arriver. Nous essayâmes, en reculant, de retarder l'ultime
instant. Le Marquis arrivait d'un pas décidé vers nous.

Il saisit la main de Lalielou. Il rit à la vue des marques que mes ongles avaient
laissé sur ses épaules pendant notre étreinte.

- mais quelle furie a bien put te faire ça ? lui demanda-t-il en me regardant, nous
allons être obligés de lui rogner les griffes !

Lalielou se leva, craintive. Je restais au sol, tremblante. Le "voisin" du Marquis se
dirigeait vers moi. Je ne l'attendais pas et me levais avant même qu'il fut à ma
hauteur.

- je pense que j'ai trouvé la fautive, dit il en riant, qu'allons-nous faire de ces
deux là, cher Marquis ?
- puisse qu'elles sont en état de recevoir, nous allons donc profiter de ça, venez par
ici petites chiennes lubriques.

Ils nous firent mettre à genoux au milieu de la "salle d'eau" côte à côte. Ils se
placèrent devant nous. Nous comprimes tout de suite ce qu'ils désiraient.
Ils
écartèrent légèrement les jambes. Je levais les mains vers le pantalon de l'ami du
Marquis pour en extraire un sexe qui, vu la bosse qui se dessinait sous la braguette,
devait déjà être de bonne taille. Il me gifla si violemment que j'en fut projetée à
terre. Je me redressais, frottant ma joue. Je le regardais sans comprendre,

- tu feras ça sans tes mains, mets les derrière ton dos ! dit il en sortant lui même
sa verge. Il bandait déjà. Je levais la tête pour le saisir avec ma bouche. Encore une
fois il me gifla et m'ordonna :

- tout doucettement petite garce, prend ton temps pour faire connaissance, embrasse
la, câline là, tu verras elle adore ça !

Le Marquis, trouvant l'idée bonne, ordonna à Lalielou de faire pareil.

Nous croisâmes donc nos mains dans notre dos et entreprîmes de faire "connaissance"
avec les sexes qui se présentaient à nous.
J'embrassais doucement celui du Conte. Je le léchais par petits coups de langue vifs
et rapides. Puis je l'embrassais de nouveau. Je remontais tout le long de la hampe
avec ma langue bien étalée pour l'envelopper au maximum.
Arrivée en haut j'embrassais l'endroit où la verge s'attache au pubis, juste dans le
petit plis qui se forme à cet endroit là. Je sorti ma langue sans enlever ma bouche.
Je le titillais et redescendais lentement le long du sexe. Il commençait à prendre une
belle ampleur.
Je descendis ainsi jusqu'à la naissance du gland. Là encore j'en fit le tour avec ma
langue, insistant sur le frein comme si je voulais la passer au travers.
Je continuais ainsi jusqu'au méat où perlait une goutte que j'aspirais. Puis je fis
entrer le bout de ma langue dans ce petit trou si doux essayant d'en entrer le
maximum. Mais sans les mains pour tenir la verge, elle dérobât à mes caresses et je la
lâchais, je n'avais pas encore eu le temps de la reprendre dans m bouche que le conte
m’agrippa par les cheveux de ses deux mains et me dit :

- ouvre ! ce que je fis non sans quelques craintes.


La queue était longue mais, également, et surtout, très épaisse. J'ouvris donc la
bouche autant que je le pus, attendant qu'il y entre. Quand il vit que j'étais prête
il s'approcha de moi, posa sa verge sur mes lèvres et attendit, regardant et profitant
du spectacle que j'offrais, et, sans prévenir, et dans un même mouvement, poussa sur
ma tête avec un force inouïe et propulsa son bassin contre ma bouche. Il fit entrer
sa verge en une seule fois. Je sentit son gland heurter ma glotte, atteindre mes
amygdales, puis en forcer le passage, jusqu'à ce que ma bouche écartelée viennent
cogner son pubis.

Je n’eus même pas le temps d'avoir peur. Il se retrouva au fond de ma gorge, sans m'y
avoir préparée. Je pleurais à chaude larmes sans pouvoir exprimer l'horreur que je
ressentais. Je me sentais violée par la bouche. Empalé par ce vit énorme, mon corps se
révulsait contre une telle introduction.

Mais le Comte n'en avait que faire. Il commença tout de suite un mouvement de piston
infernal. J'essayais de le repousser de mes mains, je pleurais, n'arrivais plus à
respirer, j’étais secouée de convulsion de répulsion. Il se cramponnait à ma tête
faisant aller et venir son sexe puis le ressortant juste assez pour sentir son gland
passer l'anneau de mes amygdales et rentrait aussitôt.

Je me débattais. J'avais peur. J'allais mourir asphyxiée par ce sexe qui me torturait
la gorge. Puis, juste au moment où je pensais que j'allais m’effondrer, il se retira.
Je pris une grande inspirant. Pleurant, hoquetant, toussant tout à la fois. Je lui
frappais le ventre des mes poings, la haine dans les yeux et la rage au cœur. Il prit
mes mains me forçant à arrêter de le frapper. Il riait de mon impuissance !

- ah que je les aime quand elles se rebellent comme ça, vous avez raison Marquis au
moins celle là me donnera du plaisir,
- JAMAIS, lui hurlais-je
- ah ah qu'elle me plait, pourrai-je vous remprunter Marquis ?
- je suis désolé cher Comte, elle ne fait pas partie de mon Harem.
Son Maître me l'a
confiée en stage pour que je la "forme".
- la bonne aubaine que voila ! Puis je vous y aider ?

Je regardais le Marquis, qui avait rejeté sa tête en arrière, gouttait les caresses
que lui donnait Lalielou avec application. Je m’attendais au pire, craignant que trop
désobéissante, il préfère me confier au Conte.

- pourquoi ne resteriez pas jusqu'à ce soir, ainsi vous pourriez en profiter toute la
journée ?
- oh non , je vous en prie ... Monsieur le Marquis, le suppliais je juste avant que le
Comte me reprenne la tête.
- et cette fois sans les mains me dit-il avec un sourire carnassier.

Je remis mes mains dans mon dos. Une terreur folle m’assaillir quand il posa ses mains
derrière ma tête. Je pleurai bien avant qu'il ne me remette sa verge dans la bouche.
Mais cette fois il fut plus doux. Et je compris que la proposition de Monsieur le
Marquis était pour beaucoup dans la relative douceur qu'il imprima à la fellation. Il
me laissa, même, faire comme je le souhaitais.

Comme je craignais qu'il ne recommence que je m’appliquais à le satisfaire du mieux
que je pouvais, emmenant sa verge loin dans ma gorge, ce dont il raffolait
apparemment. Les deux amis calquèrent leur va et vient sur un même rythme et bientôt
Lalielou et moi avions les queues en gorge profonde au même moment. Ils se reculaient
de concert et nous pouvions respirer en même temps !

Bientôt, imperceptiblement, le rythme s'accéléra et juste à l'instant ou je sentais la
verge du Comte gonfler dans ma bouche, le Marquis s'arrêta au fond de la gorge de
Lalielou et dit tout à trac :

- si on changeait de bouche pour changer de plaisir ?
- excellente idée ! mon cher Marquis c'est vraiment une excellente idée ! ne bouge
pas, me dit il ! il fit encore un aller retour profond qui me monta les larmes aux
yeux et ils changèrent de place.

Je jetais un rapide coup d’œil à Lalielou. Elle avait l'angoisse au fond des yeux,
mais me sourit quand même, semblant me dire :

- courage ma soeur, je lui renvoyais un sourire timide,

Je baissais la tête pour qu'elle ne vit mes larmes. J'aurai tant aimé à cet instant la
prendre dans mes bras et lui rendre les caresses qu'elle m'avait donné, lui donner
tout cet amour que je sentais en moi. Mais le Marquis était arrivé à sa place. Il prit
mon visage dans une main me forçant à relever la tête et à le regarder.

Il écrasa une larme avec son pouce, me fit ouvrir ouvrir la bouche en appuyant
doucement dessus. J'avais presque la sensation de douceur dans ses gestes. Je le
regardais cherchant à lire dans le regard qu'il posait sur moi à genoux, à ses pieds.

- doucement me dit 'il, fait connaissance avec elle, si tu sais être gentille elle le
sera aussi.

Je regardais sa verge gonflée de l’excitation que lui avait procuraient les caresses
de Lalielou.
Elle se redressait fière et arrogante que je m'occupa d'elle. Elle était moins épaisse
que celle qui avait violé ma gorge mais bien plus longue. Je frémis, mais une certaine
excitation me gagna quand je commençais à l'embrasser, à la suçoter, à la lécher sur
toute sa longueur jusqu’à atteindre le pubis du Marquis.
Je redescendis,et ne voulant pas attendre plus longtemps je l'embouchait. J'en
apprécia la douceur, la délicate finesse de la peau. Je tournais ma langue autour du
renflement du gland, la ressorti et titillais le méat, y faisant entrer et sortir le
bout de ma langue. Je le léchais et récupéra la perle qui s'y formait. Je la pris sur
ma langue et l'avala avec gourmandise.

Je repris la verge de Monsieur le Marquis. Il me m'imposa rien, me laissant faire à ma
guise. J'en profitais et lentement, doucement, pour qu'il ressente bien le passage
étroit des amygdales, ouvrant ma bouche aussi grand que je le pus, je poussais ma tête
jusqu'à son pubis. Le passage en fut plus facile, mais plus long. Je sentis sa verge
passer ma luette, mes amygdales et plonger dans ma gorge.
Je la laissais là. Je maintint ma bouche contre lui le plus longtemps possible. Je me
reculais pour respirer et recommença. Je m'habituais de mieux en mieux à son passage.
Mon corps acceptait sans plus trop de difficulté, ce que je lui imposais.

Le Marquis entama un mouvement, d'abord calqué sur le mien, mais bientôt il en
accéléra la cadence. Il avait des mouvements amples, profonds, profitant de toute ma
bouche et allant le plus loin qu'il pouvait dans ma gorge. Puis il augmenta le
mouvement.
Je me préparais à recevoir son jouissance. Il me prit la tête dans ses mains, me
regarda comme pour demander un accord, et puissamment, propulsa son ventre contre ma
bouche, ses mains se crispèrent sur ma tête et me tinrent plaquée contre lui.

Je sentais que sa verge était gonflée d’excitation et le passage fut difficile, mais
poussée par les spasmes de la jouissance du Marquis elle se déversa en jets puissants
directement dans ma gorge. Il resta au fond un moment jusqu'à la fin des soubresauts.
Je commençais à manquer d'air et poussais ma tête contrez ses mains à la recherche
d'une goulée d'air. Il se recula un peu sans sortir de ma bouche, il resta, posé, sur
ma langue :

- nettoie la maintenant ! Ce que je m'appliquais à faire. J'aspirais les dernières
gouttes de sperme qui étaient encore dans sa verge, j’en appréciais le goût un peu
âcre. Elle conservait sa taille, refusant de perdre de sa superbe. Je la nettoyais
aussi longtemps qu'il le jugea nécessaire, l'aspirant, la léchant.

Mon envie était grande d'y mettre les mains, mais je n'en fit rien bien sûr, me
contentant de l'embrasser à plusieurs reprises.
Le Marquis se recula et se rajusta. Il me caressa la joue, descendit jusqu'à mon sexe.
Il passa une main sur mes lèvres, elles étaient gorgées, mon sexe coulait tout seul.
Il pinça mon clitoris ce qui me fit gémir et me cambrer vers sa main :

- reste à genoux le temps que je discute avec mon ami de la suite des événements à
venir et de décider de la punition pour votre conduite inqualifiable. Qui plus est, je
t'ai entendu dire JAMAIS, c'est un mot que tu ne dois pas dire, tu le sais n'est-ce
pas ?

Oh oui je le savais, cela faisait un mois que mon Maitre m'avait interdit plusieurs
mots et celui-ci en faisait partie.

Je restais donc là à genoux. Je baissais la tête n'osant regarder vers Lalielou. Le
Comte n'avait pas encore jouit et je ressentais la peine qu'elle devait avoir à garder
cette énorme queue dans sa bouche. Puis j'entendis le Conte ahaner, râler et se
contracter, quelques gargouillis me parvinrent. Lalielou dut, elle aussi nettoyer la
verge qui venait de se déverser dans sa gorge.

Il se réajusta et sans un geste, sans un regard sortit de la pièce, récupérant sa
cravache avant de sortir. Le Marquis nous regarda longtemps, tourna autour de nous,
revint se placer devant nous :

- Je ne veux pas que vous bougiez, j’exige que vous restiez à genoux jusqu'à ce que
quelqu'un vienne vous chercher quand nous aurons décider de votre sort. Il sorti à la
suite de son ami. Le bruit de leurs bottes décrut rapidement, nous laissant seules à
genoux.

Je regardais vers Lalielou, elle pleurait en silence.

- Lali ? Lali, je t'aime ...

(A suivre ...)

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