Souvenir De Jeunesse
Souvenirs de jeunesse
La lecture du récit sur les colonies a fait remonter un souvenir de jeunesse,
totalement oublié jusquà ce jour, mais qui aujourdhui me fait bander et réveille des
envies enterrées.
A lépoque, javais 16 ans et mon copain 17 ; nous avions en commun une
profonde amitié basée sur notre complicité sportive, mais aussi grâce à une amie, que
nous pratiquions tous les deux, sans aucune jalousie ; il faut dire quelle avait du
tempérament, et il lui plaisait de nous avoir tous les deux pour amants, sans que cela
lui amène des complications, le tout pour le bonheur de tous. Notre complicité et
notre envie daller plus loin, nous a amené à organiser une soirée à trois, comptant
bien la posséder ensemble et rendez vous est donné chez mon copain en labsence de ses
parents ; pour moi pas de problème mes parents sachant que jétais chez mon copain
avait donné leur accord.
Au dernier moment, c'est-à-dire alors quelle devait déjà être avec nous, elle
sest décommandée, nous laissant sur notre faim ; trop tard pour changer notre
programme, seule notre conversation et la télé pour nous satisfaire. Cependant très
rapidement, cest sur nos relations avec elle que nos récits se sont portés, chacun
racontant plus ou moins les doux exploits. Pour ma part, très vite mon sexe a gonflé
et un regard vers mon copain ma prouvé que je nétais pas le seul à être exciter. La
surprise est venue quand, ouvrant son pantalon, il a commencé à se caresser, tout en
continuant notre brulante conversation ; je lavais déjà vu à poil dans les douches,
mais jamais en érection ; bien membré, le gland décalotté et turgescent ; en me
regardant, il me dit : « ne te gène pas, toi aussi tu bandes, je le vois ! » lenvie
était forte, mais sa présence était encore un obstacle. Puis se levant, choisissant
une cassette, il se dirige vers la télé et commence alors un film porno et sasseyant
à coté de moi, il se branles en regardant le film ; un trio de deux mecs et dune
fille ;« au moins la vue à défaut du physique » devant nous non seulement ils baisent
la nana, mais en plus , ils se tripotent allègrement ; cest la première fois que je
vois deux mecs se caresser et je dois reconnaitre que je suis particulièrement excité
; soudain Paul se tourne vers moi et ouvre mon pantalon, « vas-y ne te gène pas , tu
en as aussi envie que moi » et sortant mon sexe, il le branle ; je devrais être
choqué, bien au contraire, je baisse mon pantalon et la tige tendue , mélange de
plaisir et de défendu, je moffre à cette caresse « cest la première fois ? » je dois
lui avouer que si je me branle souvent, jamais un mec ma touché ; « tu aimes ? et
sans attendre ma réponse, il se penche et gobe mon sexe ; une décharge me parcourt le
corps, puis se retirant il vient me lécher, du gland jusquaux couilles ; sa langue,
chaude et ardente me pénètre le méat puis à nouveau il me suce en me malaxant les
boules, les tirant en arrière ce qui provoque une première jouissance ; je sens mon
plaisir monter et jessaie de me retirer, mais il magrippe, avalant ma semence
jusquà la dernière giclée ; mon corps est parcouru de frisson et je réalise que je
viens de jouir avec un mec.
Paul me prend la main et la pose sur sa tige ; elle est dure, la peau est
douce, une goutte perle au bout du méat ; je la caresse, fébrilement, essayant de lui
apporter le même plaisir que quand je me branle ; pour lui cela ne suffit pas et me
prenant les cheveux, il me fait pencher sur ce sexe qui mattire ; jen avais envie
mais je nosais pas ; maladroitement je le suce, enfonçant timidement le mandrin entre
mes lèvres ; puis petit à petit je menhardis ; jai soudain envie de le faire jouir
et de boire sa jute ; cette idée mélectrice te de nouveau je bande ; je découvre un
nouveau plaisir et mon ventre est envahit par une douce chaleur ; cset lui qui
maintenant me baise la bouche et parfois son gland vient toucher le fond de mon palais
; je sens bientôt son membre parcouru de spasmes et ses jets sécrasent sur mon palais
; surpris je ne peux tout avaler et me redressant, Paul me lèche les filets qui
sécoulent au coin de mes lèvres, puis cest un véritable baiser , sa langue me
fouillant la bouche ; dabord rétif, je lui réponds, et cest un véritable baiser
damoureux qui nous unis, long et langoureux. « Jai envie de toi, viens
.. » me
prenant par la main, il mentraine vers sa chambre.
Sue le parcourt nos vêtements ont vases et cest complètement nus quil me
renverse sur le lit, sa bouche avalant à nouveau ma queue , bandée par lenvie ; sa
langue me parcourt la tige puis ,mécrêtant les cuisses, il investit mon sillon ;
quand sa langue me touche lanneau, je ne peux retenir un gémissement de plaisir ; un
jet de salive atterrit sur lanneau est un doigt vient en titiller lentrée ; quand il
sincruste, je ne peux retenir une crispation, appréhendant la douleur, mais il reste
doux et bientôt son doigt me pénètre, dilate le conduit qui doucement sélargit et
cest bientôt un deuxième doigts qui me branle le cul ; il ny a plus de crainte, je
sais quil va me sodomiser et jai envie dêtre sa chose, .
au bord du lit, son gland vient doucement frotter mon anneau, glisse sur lentrée puis
remonte le long su sillon, avant de percer doucement la résistance ; le conduit se
dilate et la queue me pénètre, lentement, mais fermement ; la douleur du début a
disparu , laissant place à une montée rapide du plaisir ; bientôt ses couilles
viennent frapper les miennes ; ressortant sa queue, il recommence , mais cette fois il
me percute puissamment , senfonçant dune seule traite et commence alors une baise,
rapide profonde, jusquà la garde à chaque coup de queue ; je gémis, sous les coups
de butoir, jencaisse sa queue avec bonheur, ambrant mes reins pour quil aille plus
loin, plus fort ; ma queue tendu me fait mal, jai envie de jouir, mais jai aussi
envie que le plaisir dur ; puis cest la délivrance ; il se cabre et sa queue me
déverse ses flots de jute ; ses jets , nombreux et chaud me frappe les entrailles et
soudain jexplose, criant mon bonheur et jéjacule sans mêtre touché.
Repus de plaisir, le sommeil na pas tardé à me prendre, mais la nuit fut
courte. Et cest à plusieurs reprises quil ma réveillé ; au petit matin, après
mettre fait plusieurs fois enculés, cest les yeux cernés que je repartis, sachant que
maintenant que jaimais me faire prendre par un homme.
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