Lesliehd63

Leslie HD63 – Une confidence de Laure

Un jour Laure m’a fait cette confidence que je vais vous conter.

« Cette année-là, je me souviens que pour me faire un peu d’argent de poche, j’ai fait
de la garde d’ à domicile pendant les congés scolaires, comme une fille au pair.
J’ai répondu à une annonce trouvée sur internet. Il s’agissait d’un couple
d’ingénieurs, parents d’une petite fille de quatre ans, qui habitaient dans le
quinzième arrondissement de Paris.
Ils cherchaient une jeune fille pour garder leur fille pendant les deux mois d’été.
Ils m’ont retenue sans se poser de question après une brève entrevue, ils me dirent
que je leur plaisais et que je correspondais exactement à ce qu’ils recherchaient.
Je me suis, donc, rendue chez eux le soir de la fin du mois de juin.

Lorsque j’ai frappé à la porte de cet immeuble moderne d’un bon standing du quartier
de Vaugirard, je me suis sentie tout de suite en confiance, sans trop savoir pourquoi.
Le jeune couple m’a accueillie chaleureusement, ils étaient plus agréables encore que
je ne l’avais imaginé lors de la première rencontre. Ils faisaient très cadres
dynamiques, à l’aise financièrement et paraissaient libérés.
Ils m’ont tout de suite invitée à me sentir comme chez moi et de ne pas changer mes
habitudes de vie, en fait je me suis assez vite sentie à l’aise.
Ils m’ont dit s’appeler Marc et Maude et m’ont très vite présenté le fruit de leur
amour, une petite Swann aussi gracieuse et jolie que ses parents.
Ce qui m’a immédiatement séduite chez eux, c’est de les sentir proches, tant dans
l’esprit que physiquement, visiblement amoureux, ils manifestaient une joie de savoir
que j’allais m’occuper de Swann.
C’est Maude qui dit :
- En plus Swann va avoir une jolie baby-sitter !
Durant cette première soirée, leur gentillesse me fit oublier mon inexpérience et
contribua à me sentir vraiment comme chez moi.

.

Elle était brune, plutôt mince, voire menue mais avec des formes féminines qui, je
dois le dire sans fausse pudeur, faisaient d’elle un joli brin de femme. Elle avait
beaucoup de prestance, celle d’une femme du monde sortant et sachant recevoir.
Sa façon de s’habiller, à la fois très coquette mais dans une simplicité pleine de
fraîcheur mettait en valeur toute sa personne.
Marc par son allure complétait parfaitement cette délicieuse harmonie qu’il partageait
avec son épouse. Il était lui-même beau et svelte. Ses cheveux à peine plus clairs
avaient de jolis reflets qui s’accordaient à la beauté d’un regard profond à la fois
doux et pénétrant.
Je dois répéter que j’étais véritablement émue par les regards amoureux qu’ils
s’échangeaient et par ces discrètes caresses par lesquelles ils témoignaient d’un si
fort attachement l’un pour l’autre et d’une vraie complicité.

Les premiers jours se sont passés dans une harmonie que je pourrais difficilement
décrire.
Swann avait un caractère facile tout en étant pleine de vie et d’une intelligence
aussi prometteuse que celle de ces parents.
Le seul problème qui se posait était l’aspect contraignant de leur travail qui ne leur
laissaient pas autant de temps libre qu’ils l’auraient souhaité, mais cela me laissait
finalement pas mal de liberté, et je ne m’en plaignais pas.

Un vendredi après-midi où rentrant à la maison, alors que je n’avais pas ce jour-là à
m’occuper de Swann qui était gardée par une de leurs amies, j’étais allée directement
dans ma chambre pour lire.
Seule en théorie dans cette maison à un moment j’entendis du bruit venant du bureau de
Marc, intriguée je me suis déplacée sans bruit vers le bureau dont la porte était
entrouverte.
J’ai discrètement jeté un œil pour découvrir une scène qui me surprit.
Marc était avec Maude dans le bureau, elle complètement nue et à quatre pattes, en
train de se faire baiser par derrière par Marc tout habillé qui avait son pantalon et
son boxer à ses genoux.
J’avais envie de partir et en même temps le spectacle me clouait sur place
Ils n’étaient pas en état de remarquer ma présence puisqu’ils me tournaient
pratiquement le dos, je me suis mise à me caresser en continuant de les regarder.
Ce couple amoureux était dans une attitude bestiale, et les propos obscènes qu’ils
tenaient décrivaient bien ce qu’ils faisaient.
- Tu aimes ça te faire enculer par ma grosse queue ! Dis-moi que tu aimes sentir
ma bite au plus profond dans ton trou du cul !
Et elle qui lui répondait avec une égale obscénité :
- Ohhh oui, c’est tellement bon ! Continue, continue comme ça, encore !
Et tout ça avec des cris de jouissance non dissimulés.

Je réalisais, tout en me caressant, que ce que je voyais cadrait assez peu avec
l’image si parfaite de leur couple de cadres, mais il en était ainsi.
Un peu abasourdie, je suis retournée dans ma chambre pour m’y enfermer en attendant
l’heure du diner, comme si de rien n’était.
Ce soir-là Maude était rayonnante, elle semblait étrangement belle, je veux dire plus
belle encore que d’habitude, comme une femme comblée.
Bien sûr, je n’ai pu m’empêcher de penser à l’origine probable de cet état, comme de
celle de ce parfum plus capiteux encore que d’ordinaire qui devait dissimuler sans
doute une action inavouable.

Le lendemain tout semblait normal, le couple avait repris son apparence, en fait elle
ne les avait jamais vraiment quitté devant moi, c’est juste que je les avais surpris
dans une position ne correspondant pas à ce qu’ils me montraient chaque jour, et qui
me faisait voir ce couple d’une autre façon.
Chacun est parti vaquer à ses occupations, et je me suis trouvée essentiellement à
m’occuper de l’appartement et de la charmante de Swann.

A suivre …