Le Contrat - Chapitre 1

Elle est au bar, belle comme un matin d’été. Son paréo noué autour de son coup
s’arrête au ras de ses fesses. Assise sur un des tabourets du bar, elle a les cuisses
légèrement écartées, laissant entrevoir sa fente glabre. Elle boit un cocktail vert
amande avec une paille et me fait un petit signe de la main quand elle me voit rentrer
dans la pièce, ma serviette autour de la taille.
- Toujours aussi belle, lui dis-je en glissant un baiser dans son cou
- Et toi toujours aussi flatteur. Tu veux un cocktail ? Le mien est délicieux.
J’opine et en quelques secondes un second verre arrive sur le bar. Angela a un corps
fait pour l’amour. Relativement petite, elle est légère comme une plume. Elle est
parfaitement équilibrée. C’est le résultat de plusieurs opérations de chirurgie
esthétique, augmentation mammaire, réduction des fesses, et de beaucoup de
gymnastique. Il faut le dire qu’elle a le temps et les moyens. Riche héritière d’une
dynastie de banquiers, elle passe ses journées à voyager, à s’occuper d’une de ses
associations d’aide aux femmes battues, à entretenir son corps, à dépenser son argent
en article de luxe et à magnifier sa beauté dans les salons d’esthétique. Et puis
entre tout ça, elle baise comme une folle. Une vraie nymphomane qui a besoin de jouir
trois ou quatre fois par jour.
C’est comme ça que je l’ai connue et que je suis devenu un de ses amants réguliers.
Nous baisons toujours à l’extérieur, jamais chez elle. Je ne sais d’ailleurs pas où
elle habite. Chaque séance de jambe en l’air est mémorable. Elle est complètement
fascinante et fascinée par le plaisir. Elle le donne autant qu’elle le reçoit, sans
toutefois jamais s’engager.
- J’ai une folle envie de toi. Je me suis fait pomper par ma nouvelle commerciale
cette après-midi, et ça m’a donné envie de plus.
- Ça tombe bien, parce que je n’ai pas encore baisé de la journée et j’ai la chatte
qui va se ressouder si je n’y mets pas un chibre.


Sans rien dire, je la prends par la main, et l’emmène dans un des petits salons. Celui
auquel je pensais est déjà occupé par un jeune couple se prodiguant de gentilles
caresses. Nous nous arrêtons pour les observer, ayant laissé la porte ouverte.
Ils doivent avoir dans les 30 ans. Elle, blonde, a une paire de seins énormes sur un
corps bien en chair. Lui, châtain clair, a un corps athlétique, bien proportionné sans
toutefois être bodybuildé. Sa serviette a glissé et révèle une belle érection sur
laquelle louche Angela. La fille tourne le regard vers nous. Elle a un petit sursaut.
Elle ne s’attendait sans doute pas à nous voir là. Du coup, il tourne aussi ses yeux
dans notre direction.
- Vous voulez vous joindre à nous, demande-t-elle candidement ? Nous avons à peine
commencé.
- Avec plaisir, répond Angela, tout en rentrant dans le salon.
Elle monte sur le lit, tout en dénouant son paréo. Je la vois alors de dos, son cul
parfait, ses jambes fines et sa chatte qui se devine.
- Angela, dit-elle juste avant de poser ses lèvres sur celles de la fille.
- Béa
- Jérôme
- et Marc, dis-je en finissant.
Angela n’a pas attendu que je me présente pour poser sa main gauche sur la queue de
Jérôme. Du bout des doigts elle la caresse, passant des couilles au gland.
- Vous venez souvent ici ?
- une ou deux fois par semaine, me répond Jérôme.
- on se retrouve après le boulot, histoire de se détendre.
- comme nous, reprend Angela tout en me faisant un clin d’œil.
- et parfois, on fait de bonnes rencontres, indique Béa, en me prenant par la main et
défaisant ma serviette.
Angela continue de jouer avec la queue de Jérôme, alors que Béa prend la mienne dans
sa main droite et entreprend de me branler doucement. En quelques secondes, je suis en
érection. Sans attendre, elle prend ma bite entre ses lèvres. Elle est très douce,
rien à voir avec ma nouvelle commerciale.
Elle me pompe doucement, prenant son temps
pour faire tourner sa langue autour de mon gland.
Angela en profite pour faire de même avec la queue de Jérôme, avec un appétit que je
lui connais bien. Nous n’avons pas fermé la porte et sentons des présences passer dans
le couloir.
Sans trop attendre, Angela demande à Jérôme de la prendre. Elle lui glisse une capote
sur la queue et l’attire en lui. Elle adore qu’on la regarde baiser et Béa ne se prive
pas, pas troublés par son homme faisant l’amour à une femme rencontrée il y a cinq
minutes à peine. Leurs deux corps sont à l’unisson. Elle ondoie du bassin sous les
coups de rein de Jérôme, lents et profonds. C’est beau de les voir baiser tous les
deux.
Béa s’est arrêtée de me sucer pour regarder Angela et Jérôme. J’en profite pour partir
explorer son corps et ses seins lourds. Je lui caresse les épaules, puis mes mains
descendent son dos et saisissent ses seins, lourds, ce qui lui arrache un frisson.
Elle n’en continue pas moins à regarder son homme. Une main sur sa poitrine, l’autre
flatte ses fesses et entreprend une exploration de sa chatte, parfaitement épilée.
Elle soupire sous ma main. Elle est trempée. Je mets alors un préservatif et enfonce
ma queue en elle.
Elle se cambre pour bien m’aspirer tout au fond et remue les fesses pour mieux
apprécier cette pénétration. Je la prends en levrette, là, profitant tous les deux du
spectacle que nous offre Angela et Jérôme.
Un couple s’est arrêté à la porte pour nous regarder tous les quatre. Je leur souris.
Puis soudain, sans prévenir, comme à son habitude, Angela demande deux queues. Je me
retire de Béa, et me couche sur le dos. Je fais venir Angela qui se place au-dessus de
moi et présente son cul à mon dard. Doucement, centimètre par centimètre, je l’encule.
Une fois bien au fond, elle fait venir Jérôme qui la baise dans son vagin.
Enfin, pour
parachever son œuvre sexuelle, elle demande à Béa de placer sa chatte au niveau de sa
bouche pour qu’elle puisse la sucer pendant qu’elle se fait prendre par ces deux
queues.
Nous nous déchainons tous les trois et avons un peu de mal à bouger en rythme. Le
spectacle est cependant du goût de couple qui nous observait. Ils en profitent pour
baiser dans le couloir en nous regardant. Couché sur le dos, j’ai le cul de Béa en
contre plongée. J’y plongerais bien mon vit. Je sens que je n’aurais sans doute pas le
temps. Le savoir-faire et le cul d’Angela ont bientôt raison de ma jouissance et
l’orgasme me saisit d’un coup, éjaculant dans ma capote.
Je sens Jérôme se tendre, alors que le corps d’Angela est saisi de tremblements
annonciateur de son orgasme. Elle éjacule alors, nous inondant, tout en continuant à
lécher la chatte de Béa. Je reste dans son cul, reposant ma queue dans son fourreau.
Béa jouit alors, en même temps que le jeune couple. Je vois l’homme éjaculer sur le
visage de sa compagne, cette dernière léchant la queue pour profiter de ce nectar.
- Qu’est-ce que c’était bon, s’exclame Angela, en faisant sortir ses deux mâles de ses
orifices, et en s’approchant des lèvres de Béa. Je vois aux capotes de ces messieurs
que ça leur a plu autant qu’à moi.
- Vous êtes incroyable, lui répond Jérôme. Une vraie déesse du sexe.
- Il faudra se revoir, renchérit Béa. Je n’ai pas eu ma dose de bites.
- Nous sommes là toutes les semaines, le même jour à la même heure, pour notre session
hebdomadaire, indique-je.
- Nous allons nous organiser alors, finit Béa.
- Et nous pourrons nous joindre à vous, demande la fille du couple qui baisait dans le
couloir ?
- Mais bien entendu mes amours, dit Angela, en allant rouler un patin au bel inconnu,
puis à la fille. J’espère bien pouvoir profiter de cette belle bite, dit-elle en la
flattant de sa main droite, et de cette chatounette, tout en caressant la chatte de la
fille.
En attendant, à la semaine prochaine. Je vous laisse.
Elle s’éloigna vers les douches, en nous envoyant des baisers. Il ne me restait plus
qu’à aussi tirer ma révérence pour aller retrouver ma femme qui devait m’attendre.

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