Une Expédition Marquante
Pendant plus de cinq ans, jai effectué des missions en Amazonie pour
le compte de lOMS, en temps que médecin épidémiologiste, accompagnée par un guide
local et un autre Médecin, biologiste, qui plus tard deviendra mon mari. Cest lors du
troisième voyage dans une tribu, que cette histoire mest arrivée ; javais 35 ans.
(Que cest loin)
Après deux courts voyages de préparation, la mission était de vivre
six mois, en totale autarcie parmi un peuple primitif, afin dy faire une étude
parasitaire. Si ce voyage me passionnait, professionnellement, jangoissais cependant,
car vivre au milieu dune tribu, sans en connaitre la langue (merci notre guide) ni
leurs coutumes, me faisait un peu peur, malgré la présence de mon collègue, lui déjà
très habitué à ce genre de déplacement.
Après une longue remontée en pirogue de lamazone, nous avons débarqué
au bord dune trouée darbres. Trois hommes nous attendaient. petits, hirsutes, le
corps couvert de cicatrices formant plus ou moins des dessins, simplement recouvert au
niveau du sexe dune sorte de pagne ; et de plus sinistre, le visage fermé, nous
dévisageant des pieds à la tête ; après palabres avec notre guide, chargeant notre
matériel, ils nous font signes de les suivre et commence alors une marche harassante,
au milieu dune foret intense, humide , grouillante de bruits , qui me font frissonner
; très rapidement je suis en sueur, tant par la chaleur et la difficulté davancer,
mais surtout dappréhension ; après plus de cinq heures de marche ,à la tombée de la
nuit nous débouchons sur une grande clairière, contenant en tout trois grandes huttes
sur pilotis ; des s, nombreux, sont groupés derrière leurs parents ;
manifestement, lambiance ny est pas ; deux hommes se détachent et notre guide fait
les salutations dusage ; nous apprenons quil sagit du chef et du sorcier-
guérisseur.
et il gesticule devant nous. En guise de paroles de bienvenus, notre guide nous
informe que nous sommes tolérés, à condition de respecter les usages de la tribu.
Cela promet.
Grosse surprise, notre hébergement se fait dans la case commune, une
immense paillote surélevée, notre matériel étant stocké à labri de lhumidité ; pas
d'intimité, homme et femme vivent dans la même pièce, seuls les plus grands s
et les vieux vivent à part ; une case par contre étant réservée au sorcier ; la
cuisine étant faite au sol. Un coin de la hutte nous est attribué ; épuisée, je
mallonge sur la natte, toute habillée et je mendors. Le jour est levée quand je me
réveille ; plus personne dans la pièce et toujours en pantalon et chemise, je descends
; une vielle femme, entièrement nue, les seins plats et tombants, me tend une galette
et une écuelle de lait ; pas un homme en vue, seules les femmes sont présentes et tout
en vacant à leurs occupations, elles me dévisagent, et mévitent. Cest avec
soulagement que Phil (le médecin) et le guide arrivent (nom imprononçable, pour nous
ce sera pat) ; en short et torse nu, je découvre leur physique avec plus de détails :
deux beaux mecs, musclés, mat de peau. Un peu de bien dans cet univers hostile ; je
décide de me changer et quand je reviens, short et débardeur moulant ma généreuse,
mais néanmoins ferme poitrine, Phil ne peut sempêcher de sifflet « beau gabarit,
mais attention aux coups de soleil ». la journée se passe à préparer notre matériel et
à finaliser notre travail ; la présence de ces deux mâles, à moitié nus ,la chaleur
aidant, réveille en moi de doux émois, et il me faut beaucoup defforts pour me
concentrer et sur ma couche le soir, une furieuse envie de me caresser me taraude le
ventre ; recouverte par le duvet, simplement vêtue dun caleçon et dune petite
chemise, ma main trouve le chemin de mes seins, dont les tétons traduisent mes envies,
puis rapidement de mon ventre ; autour de moi, tout le monde dort, et le plus
discrètement possible, mes doigts samusent vers le clito en érection, avant denvahir
ma chatte ; elle est déjà mouillée et le va et viens de mes doigts a vite fait de
mapporter le plaisir ; les lèvres pinçaient pour ne pas gémir, je me triture le
bouton et soudain la jouissance arrive, fulgurante ; je ne peux retenir un petit cri
de plaisir et affolée, je regarde atour de moi ; heureusement rien ne bronche.
Le lendemain matin est moins plaisant : jai oublié les moustiques,
voraces en ces régions et jai de nombreuse bouffioles sur le corps, sans parler
dhorribles démangeaisons. Et ici les produits européens sont nuls. Cest la même
petite femme qui vient à mon secours ; constatant les dégâts, elle me fait signe de la
suivre et une écuelle pleine dun liquide elle me fait comprendre que je dois quitter
mes vêtements et de mallonger sur ma couche ; elle menduit alors de sa potion, ses
mains sont agiles et bientôt tout mon corps est enduit ; rapidement les douleurs des
piqures sestompent ; un vrai bonheur dautant plus quelle continue à parcourir ma
peau qui frémit aux contact de ces mains qui maintenant la caressent ; des pieds à la
tête, ses doigts voltigent et une douce chaleur monte dans mon ventre ; me faisant
mettre sur le ventre, elle écarte mes cuisses et sa main saventure à lintérieur du
triangle, frôlant à chaque passage et de plus en plus près, mes lèvres, largement
offertes ; me regardant dans les yeux, un sourire aux lèvres, elle enfonce deux doigts
dans la chatte ;une décharge traverse mon corps et je me cambre, désirant cette
caresse ; ses doigts tournent dans le vagin, gagnant à chaque fois un peu plus de
pénétration ; jai limpression dêtre écartelée , mais je moffre le plus possible à
cette possession qui me dévore ; dune poussée plus violente, cest toute la main qui
me prend ; je ne peux retenir un cri, mais elle nen tient pas compte, glissant dans
le conduit lubrifiée, Au fond de ma matrice, pleine de mouille, elle mamène à une
grande jouissance. Epuisée de plaisir, je meffondre sur ma couche ; quand je reprends
conscience, elle a disparue.
Parée contre le soleil et les moustiques, je rejoins Phil qui a
commencé le travail des premières analyses et je lui rapporte leffet de longuent
pour les moustiques, et la possibilité den avoir la composition de ce produit aussi
efficace ; il a un grand sourire, un peu moqueur
« Il ny a pas que pour les moustiques quil est efficace » je pique mon phare, mais
je fanfaronne
« Pourquoi dis tu cela ? »
« Je suis monté pour prendre des affaires, mais il est vrai que tu étais trop occupée
; je dois dire que le tableau était plaisant » je ne sais plus où me mettre ; Phil
est un copain, mais uniquement de boulot
« Au fait, si tu as de nouvelles envies cette nuit, appelles moi ! » et en riant à
pleine gorge, il sen va ; bouleversée, je comprends quil ma entendu, et je peux en
déduire quil nest peut-être pas le seul.
gros. Bizarrement, le premier effet de gène sestompe rapidement et cest plutôt
lexcitation qui me fait mouiller et je suis obligée daller me changer, une tache
indiscrète marquant mon short. Pendant une huitaine de jours, tout se passe bien, mise
à part quelques plaisanteries grivoises de mes deux comparses ; par contre, lambiance
avec les villageois est tendue ; peu ou pas de contact avec eux, en dehors de la
vielle femme, toujours aussi gentille avec moi ; les femmes nous évitent, et les
hommes ne paraissent que le soir, pour le repas et pour la nuit. Par contre, très
rapidement, jai pu constaté que la nuit, lactivité de ceux-ci était manifeste ;
couchant dans la même pièce queux, il était facile de voir que les relations
sexuelles étaient fréquentes ; à priori, pas de couple formé ; les hommes couchant
indistinctement avec plusieurs femmes, au gré de leur choix, acte rapide, sans gène ,
sans aucune retenue ; et sans manifestation de plaisir de la femme ; il la chevauche,
sans préparatif et reparte leur plaisir accompli ; sans doute lexplication des
nombreux s et de la présence de plusieurs femmes enceintes. Parfois une de ces
femmes quittait la case pour ne revenir quau matin ; nous avons compris que la
destination était la case du guérisseur. Ma nuit était alors parsemées de plaisirs
solitaires, et plusieurs fois, jai pu constater que il en était de même pour mes
compagnons.
Pour nous il fallait que le contact se fasse rapidement, car nous
avions besoin que les hommes nous fassent connaitre les plantes quils utilisaient
pour se préserver ainsi, car en effet peu ou pas de bobos dans le village, et si un
quelquun se blessait ou se brulait, il était remis en peu de jour, après passage chez
le sorcier. A ma demande, pat prit contact avec le chef afin dessayer daméliorer la
situation.
nétait gagnée.
« Tout vient du marabout ; nous ne faisons pas partie de la tribu et
il interdit aux hommes de nous parler car nous ne sommes pas initiés » je reçois un
coup sur la tête, tout ce voyage pour rien, il faut absolument y arriver
« Et que faut-il faire pour être initiés ? Pat semble particulièrement
gêné
« Vas-y accouche, qui a-t-il de si terrible ? » Je suis à peine
aimable ;
« Daccord, mais accroche toi ! pour nous accepter dans sa tribu,
nous devons subir les initiations communes à tous les adultes ; si pour les hommes,
cela ne pose pas trop de problème, par contre pour toi, il faut que tu acceptes,
dabord de te dévêtir comme les autres ,comme nous dailleurs, là encore cest
possible sans doute, par contre tu dois aussi appartenir au chef, ainsi quau sorcier
; il existe un droit de cuissage et toutes les femmes, en âge de procréer, doivent,
avant de se faire prendre à leur volonté, par les autres leur appartenir . Tu
comprends ma stupeur et les difficultés à venir. » Je suis abasourdie, si le problème
des vêtements peut encore sétudier (je suis naturiste donc habituée à vivre nue), je
ne me vois pas accepter la deuxième condition. Le reste de la journée se passe
difficilement et cest le cur gros que je me couche ; je pense aux conditions et
comme les autres femmes, je mallonge nue ; ce nest pas trop difficile car la chaleur
est telle que cela est plus confortable ; à distance, Phil lui aussi est nu et il se
caresse le sexe dressé ; ma main descend entre mes cuisses et oubliant tout, je me
caresse franchement ; je découvre ainsi que je prends du plaisir à mexhiber devant
quelquun, dautant plus que je constate en tournant la tête que Pat lui aussi me
regarde ; peut-être aussi dautres yeux car lobscurité ne me permet pas de voir plus
loin. Il ne faut pas longtemps pour jouir, fixant la queue qui bientôt crache sa
semence ; enfin détendue, je mendors.
Les jours suivant ont été un peu plus calme, mais toujours pas de
contact avec les hommes, donc pas de travail intéressant. Un soir mes deux compagnons
mannoncent quils ont décidé de se mettre comme les indigènes et quils vont
participer à la soirée dinitiation prévue pour eux ; en effet la nuit tombée, pour
une fois tout le village est réuni, les femmes dun coté , les hommes autour du chef ;
je découvre que pat et Phil ont tenu parole, ils ont quitté, la totalité de leurs
vêtements et ils portent le pagne ; pour eux le cérémonie consiste essentiellement à
un rasage complet de leurs corps, y compris de leurs attributs sexuels ; il est vrai
que tous les indigènes sont imberbes, tant sur le corps que sur le sexe, y compris les
femmes : leur pubis est glabre, laissant la fente visible ; pour eux pas de problème.
Par contre il nen est pas de même pour Phil, car le rasage est fait devant tout le
monde, par un homme et rapidement sous les attouchements, il bande rapidement ;sa
queue est large et courte et sa vision me rappelle une nuit passée ; le rituel se
continue par la vérification de leur gland pour vérifier quil circoncis et par des
scarifications sur la poitrine : ils sont maintenant adoptés, ce qui signifie entre
autre quils peuvent baiser avec les femmes et cela se termine par des danses et une
boisson, peu agréable, mais qui petit à petit chauffe les tempéraments et je constate
que mes deux lascars, le sexe bien tendu sous leurs pagnes quittent lassemblée en
bonne compagnie ; ce qui me perturbe car je commence à être en manque de sexe , moi
aussi.
A mon retour dans la case, je retrouve mes deux acolytes, ils ont changé de
femmes et baisent ardemment ; à mon tour ,je réclame à Phil de me prendre, mais
surprise, ils nont pas le droit ; le chef doit être le premier et nul homme ne doit
me posséder ; cest une horreur pour moi, car autour de ma natte, plusieurs indignes
baisent, ainsi dailleurs que mes deux loustics ; la nouveauté attire et les femmes
dociles écartent les cuisses ; pendant ce temps ,je ne peux que me branler jusquà
épuisement.
Le lendemain, je constate que le climat a changé et quenfin, il est possible
de les suivre en foret. Erreur, seuls les deux hommes ont ce droit ; je reste
cantonner à mes expériences au camp. Le lendemain, je décide de quitter mes vêtements
; je nai pas le temps de sortir de la case que la vielle femme me retient et me
montre mes poils pubiens ; elle me fait comprendre que je dois les raser ; pourquoi
pas ! cet elle qui sen charge et comme au premier contact ses gestes sont doux et
précis ; en un rien, je nai plus un poil, et elle menduit dune huile la peau rasée
; à nouveau ses mains frôlent mes lèvres et pleine de désir jécarte les cuisses, lui
prenant la main je la pose sur ma chatte ;quand ses doigts me pénètrent, une décharge
me transperce et avançant mon bassin, je moffre à une longue et douce pénétration ;
comme la première fois sa main me dilate le col et bientôt, quand elle me touche le
fond de la matrice, jexplose de bonheur ; comblée, je lui dépose un baiser sur les
lèvres ; surprise, elle sécarte et un doux sourire aux lèvres elle senfuit ; et
cest dans le plus simple appareil, un bob sur la tête, enduite de crème contre le
soleil que je descends da la case ; les femmes sont déjà au courant , elles
mentourent , me frôlent les seins, parfois même le somment de ma fente. Je ne les
comprends pas mais à leur comportement je constate quau moins par les femmes, je
suis acceptée. Il me reste à me faire accepter par le chef, et pour cela, il faut que
jaccepte de me livrer, ce qui nest pas encore prêt dans ma tête. Il ma fallut
encore deux jours avant de prendre ma décision ; officiellement pour pouvoir
travailler, en réalité lidée de cette double saillie me chauffent le ventre et
souvent la nuit, je me caresse, émoustillée par lidée enfin de pouvoir faire lamour.
Il me reste encore un écueil, passer par mon guide, le seul pouvant me faire
comprendre du chef. En mécoutant, je constate que son pagne sest vite relevé « tu as
bien compris que tu vas être prise devant tout le village et ce par deux fois ? » un
signe de tète lui confirme mon accord et ses yeux brillent dexcitation. « Il faut
aussi que tu pense que par la suite tu risque, cest même sur, davoir de nombreuses
sollicitations, les autres hommes ayant sans aucun doute envie de prendre la femme
blanche§ » je navais pas pensé à cela, mais je repousse lidée ; ma décision est
prise et je me dois de lassumer. Sur ce, il se dirige, le sexe toujours bandé, vers
la case du chef.
Lintronisation a lieu le soir même. Cest la vielle femme qui vient me
préparer, en me faisant boire dabord ce liquide aphrodisiaque (très vite mon corps a
envie) , puis elle menduit la pointe des seins dune couleur rouge, avant de masser
les lèvres puis lanus dune crème de même couleur ; sous ses doigts je mécarte,
souhaitant quelle me fiste, mais cest sur mon anneau quelle sactive, le dilatant
avant dy enfoncer plusieurs doigts. Je ne suis plus que fontaine et ma cyprine
sécoule entre mes cuisses ; soudain cest le vide, elle sécarte et me prenant par la
main, elle memmène jusquau centre de la place, ceinturé par lensemble de la tribu ;
à mon arrivée, une clameur sélève et jai soudain peur ; en effet au milieu, une
sorte de grande natte surélevée est dressée et auprès se tiennent les deux hommes qui
doivent me posséder. Cest le chef qui lance les hostilités ; me prenant par la main,
il massoie sur la paillasse et retirant son pagne , je découvre enfin son sexe,
encore au repos ; sapprochant de ma poitrine , il le frotte sur mes mamelons,
retirant ainsi le rouge étale par la vielle femme ; le gland ainsi coloré, son sexe
prend de la vigueur et cest un sexe de belle facture que je découvre ; court, épais,
tendu ; il se retourne alors vers la foule et montre son gland rougi ; un grondement
monte et une sourde mélodie envahie la place ; mallongeant sur la couche, il se
penche sur moi et prenant son sexe à pleine main il le présente à lentrée de ma
grotte et dune seule poussée, il me perfore le ventre ; même préparée, je ne peux
retenir un cri de surprise couvert par le brouhaha des indigènes ; puis il se retire
et à nouveau montre son sexe enduit de crème ; je comprends quil prouve sa possession
de mon corps ; la mélodie sest amplifiée, obsédante et quand à nouveau il me possède,
il rythme ses coups de butoir selon les à-coups de la mélodie ; possédée, enivrée par
la boisson et les sons, je ne me maitrise plus : je jouis et quand , rapidement
dailleurs, il se répand dans moi, la chaleur de sa semence me fait hurler je suis
sienne, je suis offerte devant tout le monde et jy prends du plaisir, et de ma chate
coule le flux de mon démentiel plaisir. Il se retire alors , une goutte de sperme
perlant su son méat ; il le montre ainsi à tous, signe de sa force ; une clameur
sélève alors ; brutalement il me retourne et le sexe toujours bandé, il se présente
sur mon anneau, de la même façon, il me pénètre, sans préparation ; je ne peux retenir
un hurlement de douleur, couvert à nouveau par les cris de la tribut ; cette fois la
saillie est beaucoup plus longue, plus possessive ; il me sodomise avec violence, ses
couilles frappant à chaque fois mes lèvres ; je ne suis que jouissance ; je ne suis
plus contrainte , je moffre ; il ne me comprends pas , mais sans doute e par la
boisson, je mécarte les fesses pour une plus grande saillie ; quand enfin il jouit,
je ne sais plus où je suis ; seul mon corps réclame ; je ne suis pas rassasiée.
Une rumeur monte brusquement ; et un mouvement de foule se produit ; je découvre alors
larrivée dun homme affublé dune sorte de masque, portant dans une main un bâton et
dans lautre une chandelle allumée. Il port encore son pagne mais il est tendu à
lhorizontal ; en arrivant près de moi, il jette ses ornements et arrache le bout de
tissu ; apparait alors un membre bandé, pointant vers le ciel, de taille démesurée ;
je ne sais si cest ma vue qui est brouillée, mais il doit faire au moins 30 cm, et
certainement plus de 6 de large ; le gland décalotté est encore plus gros ;il est
parcouru de spasmes ; son rictus est effrayant, et ses incantations me fond peur ; ma
jouissance a disparu et quand son sexe sapproche de mes lèvres, je me contracte ;
avec un hurlement, il senfonce entre mes lèvres, sans arrêt, jusquau fond de ma
chatte ; la brulure est intense ; les chaires distendues par le chibre, jessaie de me
défendre, mais ses paroles gutturales me paralysent soudain ; sa main se promène au
dessus de mon corps , sans me toucher et subitement, je nai plus mal, au contraire
une douce chaleur monte dans mon ventre, et je sens ma vulve shumidifier ;
contrairement au chef, il nest pas brutal, bien au contraire, il me possède avec
douceur, profondément, me faisant doucement monté en jouissance ; il est sur de lui et
ses yeux me transperce, mettant à nu mes pensées ; je deviens sa chose, je suis à lui
et il le sais ; il ne me prend pas il sinvestit dans mon corps ; sa queue comprimée
au début a gagné le combat ; je ne subits plus je ne donne , je moffre à son pouvoir
et quand après un long moment de possession, il répand sa semence, je repense aux
règles de la tribut « prendre les femmes en mesure dengendrer » et dans mon corps
soudain jai envie quil me féconde ; un profond frémissement me parcourt le ventre et
je me sens pleine.
Quand je reprends conscience, je suis dans sa case, et à sa merci ; mon envie
est entière et ouvre mon triangle, offrant à sa vue et à sa queue, le chemin de mon
désir. Toute la nuit, jai subis, ou plutôt jai été prise par cet homme, sans doute
plein de pouvoir, car je nai jamais vu son sexe pendant ; contrairement au chef, il
ne ma pas sodomisé, mais plusieurs fois, 5 ou 6 fois à mon souvenir, il ma remplit
de sa semence, poussant à chaque fois un cri de victoire ; sans pouvoir le comprendre
, je me suis offerte à lui, profitant de sa raideur permanente pour jouir, avec
toujours cette sensation quil me féconder à chaque fois.
A mon réveil, je me retrouve dans ma case, Phil, inquiet auprès de moi ; il
na aucun geste équivoque et je lui en sais gré ; ses questions sont plutôt portées
sur mes souvenirs et je dois reconnaitre que le souvenir de la nuit est encore
présent, et je lui avoue que je ne regrette rien, bien au contraire, mais je ne lui
traduis pas cette sensation que jai eue .puis à nouveau je replonge dans un profond
sommeil.
Les jours suivants, jai pu constater que lintronisation avait porté ses
fruits ; laccueil des hommes a changé et je peux enfin commencer mes recherches ;
grand changement aussi la nuit car plusieurs nuits, les hommes du village sont venus
mhonorer, parfois plusieurs la même nuit ; seuls mes compagnons semblaient me
respecter, trop à mon gout, car javais envie de faire lamour avec Phil, je crois que
je commençais à éprouver des sentiments pour cet homme plein de charme et toujours à
mes petits soins. Le séjour arrivait à sa fin, et avant de lui appartenir, je voulais
effec une dernière démarche.
A la tombée de la nuit, profitant de labsence de mes acolytes, je pris le
chemin de la case du sorcier ; je voulais retrouver cette douce sensation, mais aussi
ses nombreuses pénétrations ; à ma vue, il repoussa la compagne sur sa couche, et
mallongeant à sa place, il me caressa le ventre, tout en me faisant boire sa potion ;
leffet fut immédiat et à nouveau mon corps fut parcouru dune étrange chaleur, ma
vulve shumidifiant immédiatement. Je me suis offerte, donnée, soumis à ses nombreuses
possesions, moffrant même à une sodomie qui me laissa lanneau dilaté comme une
pièce; et à chaque éjaculation, la même sensation : celle dengendrer. A mon retour,
Phil mattendait, doux et prévenant ; je me blottis dans ses bras « fait moi lamour,
à partir daujourdhui, je suis à toi et personne ici ne pourra plus me prendre. Je
viens de me faire saillir par le sorcier, jai aimé tout en souhaitant quil
mengrosse, car cest une période faste pour moi. Si tu le veux encore je suis à toi,
tout en sachant que je suis peut-être pleine. »
Cest sans regret mais le contrat professionnel remplit et pleine despoir que jai
quitté la tribu.
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