Mon Jeune Professeur De Danse.
Ce dimanche 18 décembre au cours dune belle fête organisée par mon mari, un groupe de
danseurs folkloriques anime le spectacle. Dès les premiers regards échangés je sais
que jattire Laureano et que ce jeune garçon me plait. Nous danserons souvent un peu
éloignés, puis mains en mains, puis corps collés. Il me félicite, me sourit, souhaite
devenir mon professeur, me précise les dates et lieux de ses prochaines présentations
ainsi que les horaires des répétitions
au cas où
.Jeux plaisants du charme. On ressent
lun et lautre le plaisir de se côtoyer. On se retrouve souvent lun près de lautre,
hasard des circonstances voulues. Il parle, sourit et me fait danser. Il me
complimente et nous dansons encore. Mon mari me fait malicieusement remarquer notre
rapprochement fréquent
Au matin suivant, au creux du lit, JF me dit « je vais demander à Laureano de passer
jeudi pour quil te donne une première leçon de chacarera, tu veux ? Je pense quil
sera moins timide en mon absence et jaimerais te voir oser avec lui, vous découvrir
discrètement
» Baisers et amour suivent ses mots.
Sans rien en dire je suis excitée par cette idée, et lespérance de jeudi se fait
attendre.
Je reçois mon jeune professeur en jupe mi-longue, transparente, chemisier flou,
dessous de coton.
Jai placé le cd de musique dans le lecteur de mon ordinateur et nous entamons déjà
nos premières passes, à peine si les mains se frôlent. Autre danse, qui demande le
rapprochement des danseurs, les mains de mon cavalier effleurent puis font tourner mes
hanches. On reprend, on corrige, on sourit. Ses mains restent posées sur moi ou dans
les miennes pour écouter les explications. Puis on reprend encore, encore un peu. Un
verre pour souffler et sourire. Il me complimente sur ma grâce, ma souplesse, ma
ligne, sourire toujours.
courbent, me mènent, mattirent, méloignent, mattirent surtout
Souffler un peu le
temps de modifier le cd, Laureano sen charge. En fond décran lélève dénudée.
« Quelle jolie photo ! » Il ose et je baisse les yeux. « Non ne rougi pas tu es très
belle » La timidité sévanouie. Son regard à changer, ses mains plus fermes son
sourire plus homme. La danse sensuelle cette fois sans aucun doute, les mains
descendent sur le bas des reins passent dune épaule à lautre sans séloigner du
chemisier, effleurent ma poitrine. Il doit à nouveau retrouver une autre piste sur le
cd et passe bien volontairement par le fond décran quil laisse apparent et ne quitte
plus des yeux. Nous dansons maintenant autre chose que le folklore, collée à mon
professeur, il détaille ma silhouette de ses mains, il regarde lécran et commente de
ses gestes la rondeur des fesses, le galbe de la poitrine, la pointe dun sein.
« Ton mari rentre tard ? » le garnement est bien téméraire. Je le fais patienter un
peu en changeant la musique et disparaitre la photo excitante. Il ne sera pas long
pour à nouveau modifier la piste et révéler limage qui le trouble. Je le laisse me
séduire et ses mains senhardissent.
Il est charmeur, sa jeunesse me grise, son désir me comble déjà.
Je sais limagination de mon mari, sa certitude de ce qui va suivre.
Laureano tend mes mains y dépose un baiser quil décline le long de mes bras jusquaux
épaules, mon cou, ma nuque, mon oreille, ma joue, nos bouches
Je lentraîne sur le lit. « Laisse-moi voir tes seins si beaux » alors que ses doigts
dégrafent, parcourent et font dresser mes tétons. Il est doux et caressant impétueux
et sensible. Je nignore rien de sa virilité quil dresse le long de mes cuisses au
travers de son pantalon court. Il membrasse, menveloppe et plonge son visage dans
mes seins.
craignais son impétuosité, il se mesure, mécoute.
Je suis fébrile et réjoui de plaire à sa jeunesse, quil me désire et me flatte, me
rempli daise. Que mon mari imagine, aiguise mes sens.
Nous ressentons, profitons de nos attirances sensuelles, les peaux frémissent, les
sourires croisent les baisers, séchangent les frissons. Sourire et douceur,
frôlements des caresses, les envies se joignent et se mêlent. Le contact des peaux
samplifie, sétend, et vibre dans la chair et dans les têtes qui rêvent. Nous
profitons un long moment de nos douceurs sensuelles pas encore sexuelles. Baisers et
caresses se multiplient, se croisent, se joignent, pudiques presque. Le temps de la
nudité se profile, un bras puis lautre, vogue mon chemisier, je déboutonne sa chemise
délicatement, premier contact des bustes, des mains pour voir mes seins en entier
dénudés. Baisers et caresses encore, douceurs finesses frissons. Leffeuillage se
poursuit dans un calme apparent, je veux laider à maîtriser le temps. Je retiens ses
mains « caresses moi de tes yeux » et il le fait,
bien, je ressens le contact de son
regard qui me dévore. Nue et nu nous restons comme surpris de notre retenue, on
observe et détaille chaque instant, chaque souffle, chaque frisson. Volupté
incroyable, le désir immense contrôlé.
Mon instinct me souffle que JF soit revenu, je sais quil sera discret. Mais je sais
quil est là et observe peut être
« Mon mari sait que tu es là, tu le sais bien sûr. Ce que tu ne sais pas cest quil a
envie de te voir me faire plaisir, ne soit pas gêné, notre couple vit ainsi » jattire
Laureano vers moi pour le tranquilliser. « Continue sil te plait, encore des caresses
». La suite est délectable, nous la dégustons tous. Ce jeune amant saura garder des
forces suffisamment longtemps pour me combler avant de nous entrainer vers le
paroxysme des plaisirs partagés.
discrète de mon mari, il mécoute et donne mes espérances. Assouvis, nous partagerons
une coupe avant son départ, même si chacun évolue dans ses rêves éveillés. Surprise
davoir guidé un jeune amoureux dans son apprentissage du temps et des rythmes. Il
mapprenait les pas et les passes, il a découvert le tempo du corps féminin, au rythme
dun danseur doué. Le voyage au soir, continue en couple, coquinement exhaussé.
Ce qui suis est la partie intime pour lecteurs avisés de cet après midi décole.
Jai écrit par le détail les gestes de Laureano, mes indications, son respect de mes
demandes. Je guide et contrôle sa fougue. Je nai pas oublié limpétuosité de son âge,
je sais quil ne pourra retenir son besoin de jouissance. Je lui dis que je veux le
voir jouir pour quil puisse ensuite prendre mon temps. Adorable il se laisse
conduire, le prof de danse devient élève du plaisir. Alors, allongé sur le dos je le
contemple sexe dressé et caresses de mes lèvres son torse et de ma main sa cuisse
jusquà effleurer boules et membre virile. Son visage est rouge convulsif, Sa
bandaison extrême. Il grimace et balance son bassin en avant comme pour défoncer le
vide. Sa raideur dans la main, je frotte mes tétons jusquà sa jouissance quil
explose en jet violent bassin relevé mains à plat sur le drap, raide comme sa queue je
contemple son éjaculation et lui dit mon excitation. Sa fougue passe entre mes doigts
pour poisser mes seins. « À toi maintenant, pour moi ».
Je prends sa position et lui demande baisers et caresses, je guide son visage et ses
doigts. Mon clito à sa langue, ma vulve pour ses doigts. Il me réjoui, je lui indique
le rythme et place ma main pour quil voit le plaisir croître. Appliqué il regarde et
bande de nouveau. Jai envie de jouir pour lui, frénétique je me masturbe.
rougeur de mon visage, les lèvres qui se pincent, mes gémissements, mes sursauts. Je
joui en plaquant sa bouche sur mon sexe alors que mes doigts me fouillent. Il me goûte
puis me sourit. Depuis la porte ouverte de la galerie JF dit « continue Laureano,
cest bien, donne encore à Muriel la beauté du plaisir » Je ressens son trouble
passager, sa retenue dun instant. Puis dans lenvie il reprend les douceurs. Cette
fois je lui ouvre le chemin de la pénétration que je veux. Jaime sentir en moi le
sexe tendu de mon amant. Ce moment excitant du partage des corps. Sa queue est ferme
longue et plutôt fine. Il prend le temps de lents mouvements. Il sait son impétuosité,
il a compris mon rythme. Jévite de me fermer sur son sexe pour ne pas brusquer sa
vigueur. Sa retenue si volontaire est jouissive et délicieuse. Il veut prendre mon
temps, ce respect me comble et mattendrie, et finalement mentraîne plus rapidement
vers le besoin. Alors je magite et me sert sur son membre pour quil me prenne.
Jagrippe ses fesses, ouvre grand les cuisses, relève mon bassin entier. Il se dresse
sur ses bras crispés, fermes, tétanisés et il plonge en moi, me transperce de sa queue
et de son jus. Je profite, il joui. Jouvre les yeux sur son visage dhomme en rut.
Jeune amant impétueux. Epanouis nous sommes
Un sourire, il se retire et sallonge contre moi pour de nouveaux baisers dans le cou,
un bras traverse ma poitrine, sa main enserre mon sein. Insatiable
Il nest même pas
gêné par la présence de JF qui a suivi nos ébats depuis la porte ouverte et quil
découvre.
« est- tu satisfait de ton élève monsieur le prof de danse ? » dit JF avec un sourire
dans la voix. Je réponds pour lui « On a un peu inversé les rôles, il est très
attentif, perfectionniste et veux bien faire ce que je lui enseigne
» Jajoute «
Laureano veux tu encore apprendre un peu du rythme des femmes
? » Il reste
silencieux, intimidé enfin ?...pas si sûr, dans un sourire esquissé, il glisse sur
moi, embrasse mes seins ma bouche, son sexe déjà raide sur mes cuisses. Soit, je veux
bien prolonger le cours ma foi, et nous repartons délicieusement pour un nouveau
voyage vers les plaisirs.
Cette fois je le laisse aux commandes de mon corps, il me ravit et sait me donner
dans le tempo. Il caresse de ses doigts, de sa langue et de son sexe tout mon être.
Tout entier partout. Il fait naitre mes frissons, mes gémissements, mes cris aussi,
mes encore, mes oui et mes non
Il est beau, virile, souriant, « aimant » tendre et
vigoureux. Il prend lassurance mesurée, écarte mes jambes, mes cuisses, mes fesses,
lisse mon anus et mon sexe, visite de sa langue mes orifices envieux. Il boit mon
plaisir, celui quil fait naitre et que je lui donne. Il a si bien appris, je suis en
confiance, abandonnée il me fait jouir, clito en feu. Il me retourne pour masser mon
dos et bientôt mes fesses. Je repli mes jambes pour moffrir en chienne. Il me prend
ainsi. Mains ancrées sur mes hanches, il pilonne, laboure, écrase. Je sens son plaisir
son désir. Je veux mon orgasme avec le sien. Retiens toi encore, encore
.Explosion
implosion simultanée, je cris il râle, instant de plénitude partagée on seffondre
heureux. Accomplie je souris à JF. Il me prendra sous la douche, bientôt.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!