Leslie Hd64

Leslie HD64 – Une confidence de Laure, suite

Deux jours plus tard alors fois j’étais seule dans la maison en train de réviser mes
cours, j’entendis Marc rentré plus tôt que d’habitude.
Il s’assura, après être entré dans la maison, que j’étais là en venant frapper à ma
porte, en disant :
- Ah, vous êtes là, je suis rentré.
Je fus, à cet instant convaincue que s’était bien ma présence qu’il voulait.
Peu de temps après, il est revenue dans ma chambre pour me demander de le suivre dans
son bureau, là où je l’avais vue avec Maude l’autre jour.
Il m’a fait m’asseoir sur le petit canapé et, après m’avoir apporté une boisson, il
s’est assis à son bureau.
Il a rapidement pris la parole, et à cet instant j’ai pensé qu’il n’allait pas me
parler que de mon emploi et de la petite Swann, il y avait dans ses yeux comme du
désir et de l’envie.
- Avec Maude, nous vous apprécions beaucoup et nous vous trouvons tous les deux
très belle, humm, disons même désirable.
Il allait droit au but dans ses propos, mais je ne savais pas où cela allait nous
mener, il continua de sa voix douce et mélodieuse :
- Il se fait que nous sommes un couple, disons heu, libre, humm à vrai dire
libertin.
Il était un peu gêné, mais cela ne l’empêchait pas de s’exprimer, Marc est venu
s’asseoir à côté de moi sur le petit canapé, et puis il m’a dit doucement :
- Excuses-moi mais je dois t’avouer qu’avec Maude tu nous fais de l’effet !
Il faut dire que depuis que je suis arrivée chez eux, ils me tutoient et m’ont demandé
de faire de même si je le souhaitais
- C'est-à-dire, demandais-je.
En fait, je savais précisément ce qu’il allait me dire, mais j’attendais qu’il me
précise.
- Disons que nous serions heureux de t’avoir dans notre couche.
Nous y voilà, il me proposait un trio avec Maude.
- Dans un premier temps bien sûr, puis comme nous pratiquons l’échangisme, nous
serions vraiment heureux que tu participes à nos soirées, enfin, si tu le veux bien
sûr.

A cette époque, j’avais déjà gouté au plaisir du sexe avec mes copains, je n’étais
plus vierge et j’en avais éprouvé du plaisir, mais je n’avais jamais fait participer à
des relations de groupes, pas plus que je m’étais faite sodomisée même si j’avais
laissé mes copains me doigter le cul, mais comme j’étais déjà délurée la proposition
ne me choqua pas.

Dans notre position sur le canapé, il s’approcha de moi, comme pour tester ma
résistance à sa proposition et aussi mon consentement, et approcha son visage près du
mien.
Cela peut paraître incroyable, mais je ne fis aucun mouvement de recul en exprimant
simplement toute mon innocence, comme une petite coquine.
Il a posé ses lèvres sur les miennes et m’a donné un baiser en disant :
- Montre-moi ton corps !
J’ai tiré un peu sur mon tee-shirt vers le haut, et son visage s’est illuminé, ne
portant pas de soutien-gorge, il avait ma poitrine nue sous les yeux et pouvait
découvrir les reliefs de ma poitrine.
Mes jeunes seins étaient assez menus mais bien formés et fermes, peu différent de ceux
d’aujourd’hui, mais aussi un peu plus gonflés que d’habitude.
Nous sommes restés ainsi immobiles quelques instants encore, lui regardant, puis il y
a eu ce mouvement de son visage qui vint se blottir entre mes seins.
Son nez semblait enivré par mon parfum vanillé, d’autant plus que je m’étais douchée
juste avant sa venue.
Après, il a embrassé l’un deux alors qu’il caressait l’autre du bout des doigts avec
une infinie douceur.
Brusquement, j’ai ressentie le plaisir monté en moi, je jouissais de ses caresses si
tendres. Sa bouche et sa langue ne faisaient que lécher, sucer, tournoyer autour de
mon mamelon pendant que l’autre excitait, par des caresses plus appuyées de sa main,
mon sein.
J’avais l’impression que mon être entier était transporté vers une jouissance encore
inconnue, je me laissais aller en basculant sous son étreinte de plus en plus
insistance.
A cet instant je me suis dit, alors, qu’il aurait pu faire ce qu’il voulait de moi.
Et puis il s’est écarté de moi, en disant :
- Tu es si jeune et si belle, tu vas faire des ravages dans nos connaissances !
Il avait compris que je ne refusais pas ses propositions, et il rajouta :
- Maude, ce soir, sera ravie !
Je suis retournée dans ma chambre pour me préparer à aller chercher Swann à la
maternelle, puis je me suis occupée de ce petit bout de chou, puis je l’ai couché
avant de rejoindre le couple pour diner.

Le diner s’est passé normalement, sans allusion sur la suite à donner à nos relations,
mais je suis certaine, aux yeux d’envie que me lançait Maude, que Marc avait parlé à
son épouse de la séance de l’après-midi, ce n’est juste qu’au moment du dessert que
Maude, confirmant mon intuition, dit :
- Marc m’a fait part que vous ne refusiez pas notre proposition et tu m’en vois
ravie.
Elle se leva et déposa un baiser sur mes lèvres en disant :
- Nous allons bien nous entendre !

A suivre…