Nudiste Sensuel Épisode 1 Et 2
Nudiste épisode 1
Jai déjà écrit ici une petite histoire, celle vécue dans les toilettes dun
supermarché quand jy accompagnais ma mère. Mais il y a longtemps. Javais un âge que
je nose révéler ici. Cela ne doit pas être autorisé ! Jétais en vacances avec mes
parents et des couples amis (mon père ne venait que le week-end)..Nous étions tous
naturistes et notre villa de vacances était à quelques encablures de la Grande-Motte.
Nous étions nus sur la plage nudiste toute proche. Tous se rhabillait avant de rentrer
à la maison. Sauf moi. Comme ma mère, (belle femme dailleurs) aimait me voir nu elle
mencourageait à rester ainsi, même sur les terrasses de la maison qui était abriées
du soleil par des toiles dont on changeait la position. Je ne devais revêtir un short
quà lintérieur de la maison pour les repas. Jétais un joli garçon blond on
nhésitait pas à le dire à le dire malgré une peau quasiment féminine ce qui ravissait
ma mère (mon âge que je dois taire ici !) mais jétais comme tous le disaient « un
garçon très fessu ». Jétais de plus, doté dun « organe de devant » assez long et
volumineux pour mon âge avec seulement un soupçon de pilosité à dessus dune longue
verge. Une peau de fille assortie dun tel organe pouvait étonner mais surtout
plaisait. La caractéristique de mes fesses joufflues me passera avec trois à quatre
ans de plus en grandissant encore ! Seul mon organe sara fortement dimensionné. Mes
fesses attiraient des regards tant sur la plage quà la maison. Les regards mais aussi
les frôlements plus ou moins discrets des mains des hommes amis de la famille et
invités aussi. Finalement cela mamusait mais je nencourageais pas ces gestes
toujours cachés. Mais mère ne mautorisait la baignade que le matin et après 15 heures
(après la digestion disait-elle !) Je restais le plus souvent allongé sur le sable,
fasciné par les filles qui passaient .
livre ouvert. Leur fesses surtout me produisait de fortes érections. Allongé sur le
ventre je creusais un peu le sable pour y loger plus agréablement mon organe plus gros
que celui de bien des hommes. Jéjaculais souvent en regardant le derrière des filles.
Aujourdhui encore, alors que jai 19 ans passé, je suis surpris non par labondance
que je ne jugeais pas mais par le nombre déjaculations qui me venait ! Il est vrai
quil en était de même dans le pensionnat où je me trouvais avec trois camarades
presque aussi souvent excités. La cabine de douche (une par chambre de quatre)
recueillait nos jets. Mais nous nallions pas au-delà de caresses manuelles
réciproques. La plage mexcitait plus fortement. Je courrais me tremper dans la mer
pour me laver. Il est évident que ces si jolies filles me trouvaient trop jeunes pour
accepter mes avances. Une seule fois deux filles bien moins jolies acceptèrent de
maccompagner derrière les dunes et cest ainsi de lune delles me montra comment la
faire jouir en passant mes doigts puis ma langue sur un petit organe quelle
découvrait devant moi. Je savais cela pour avoir lu quelques bouquins interdits mais
ici je le découvrais ! Sa compagne me suça le bout de ma bitte devenue rigide et
quelle trouva très grosse mais elle me fit éclater mon jus trop vite. Mon sperme
jaillit si fortement dans le sable quelles en rirent. Jaurais voulu les retrouver
toutefois ! Par contre ce sont des hommes qui souvent venait sallonger à mon côté.
Ils ne disaient que quelques mots en me désignant les dunes mais leurs soupirs étaient
autant dinvitations muettes. Voulaient-ils me branler comme le faisaient mes copains
du pensionnat sous la douche ? Pour marquer mon refus je me tournais à lopposé sans
comprendre que cette attitude, en présentant mes fesses charnues de manière plus
évidente ne pouvait que les exciter plus encore.
accompagnait la fin de leurs masturbations cachées par leurs serviettes métonnaient.
Aucun nosa toutefois poser une main indiscrète qui aurait été vue sévèrement par les
autres plagistes ! Mon silence et mon attitude les décourageaient. Et pourtant cest
en dehors de la plage que jeus la faiblesse de me laisser caresser par un homme. Et
cest ici que je me dois de reprendre ce que jai évoqué ici il y a plusieurs mois. (à
suivre)
Nudiste Episode 2
Ce jour là je devais accompagner en voiture ma mère et une de ses amies vers un
supermarché assez proche. Les supermarchés des plagistes en quelque sorte car la tenue
des clients était des plus légère. Arrivé là, jai préféré les attendre en restant
dans la galerie marchande plus attrayante. Un petit besoin impérieux me conduisit vers
les toilettes. Jétais seul ce que je souhaitait car devant lurinoir je devais
baisser mon short en tissu synthétique qui était plutôt un shorty en couleur et sans
braguette. Jétais nudiste mais je savais me tenir ! Cest alors que mes fesses
charnues étaient à lair, un homme jeune vint se placer à mon côté, ouvrit sa
braguette et put se soulager. Mais son regard dut se fixer sur mes fesses joufflues.
Il mobservait. Mieux encore il se tourna vers moi en souriant et en faisant le geste
de la masturbation. Par effronterie et presque par limpatience davoir été observé,
je fis de même pendant quelques secondes. Il avait une grosse bitte. Moi je ne bandais
pas mais comme je lai dit mes organes génitaux volumineux devait le surprendre pour
mon âge. Je le savais et les montrer à cet homme obscène était ma réponse insolente !
Nous nétions que nous deux dans ces toilettes heureusement.
Lhomme, nullement vexé fit un sourire admiratif mais gentil. Il minvita à entrer
avec lui dans une cabine.
pourrions tous les deux pratiquer cette petite affaire somme toute banale et que je
faisais souvent moi-même et avec mes copains du pensionnat. Il ouvrit une des cabines.
Cétait la plus grande. Celle réservée en principe aux handicapés. Je le suivis. Il
fut nu presque tout de suite. Jai baissé mon short très léger. Il me le quitta
totalement en me caressant. Jaimais son attitude et mon organe devint aussi raide que
le sien. Il était accroupi devant moi et sa bouche absorba mon gland mais sans le
sucer. Cela mexcitait plus encore. Cest alors quil me demanda de me retourner pour
caresser mes fesses. En fait cétait sa langue qui me caressait. Il me fit écarter les
cuisses. Jétais réticent mais il savait si bien me caresser ! Dune main ferme il me
fit me courber et sa langue qui caressait mes fesses sintroduisit dans mon trou
intime. La sensation qui me saisit fut très forte. Il arriva à me faire gémir ! Peu
après il se leva et sa bitte très raide se frotta à cet endroit. Il me rassura tout de
suite sur son intention. Il ne ferait que la frotter entre mes deux hémisphères
fessiers qui le tentaient. « Je mirais pas plus loin ! » me rassurait-il. Je compris
quil voulait seulement jouir sur mon cul en le caressant de cette façon et tout de
suite après il me sucerait ! Ce quil fit. Sans tricher. Mais son frottement contre
mes fesses dura longtemps. Je lentendais souffler très fort. Il chuchotait « ah ton
cul ! » sans arrêt, puis il poussa un cri rauque et je me sentis arrosé de sa semence.
Il me fit retourner, saccroupit, me tourna et absorba ma bitte. Excité depuis le
début je sentis venir léjaculation et je le voulus le prévenir. Mais loin de me
lâcher, ses deux mains appuyées sur mes fesses me firent comprendre quil voulait tout
absorber. Ce quil fit.
quil mouillait sous le robinet du petit lavabo me lava les fesses encore humide de
son sperme. Il se rhabilla. Il maida même à remettre mon short et avant de nous
quitter il me remercia. Il sortit après mavoir recommandé dattendre une minute avant
de sortir moi-même.
Jattendis à nouveau dans la galerie marchande. Ma mère et son amie arrivèrent un
quart dheure plus tard. Je les ai aidé à ranger leurs achats dans le coffre. Je
métendis sur la banquette arrière et ma mère fut étonnée davoir dû me réveiller
devant la maison.
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