Leslie Hd65

Leslie HD65 – Une confidence de Laure, suite

La table débarrassée, je suis venue à la demande de Maude m’asseoir sur ses genoux de
Marc installé dans le canapé.
En m’asseyant, ma jupe s’était relevée et je sentais contre mes cuisses en partie
dénudées les muscles fermes des cuisses de Marc au travers du tissu de son pantalon.
Cette sensation me fit fondre doucement et je me sentis soudainement mouiller.
Il pouvait maintenant, s’il le voulait, me violer devant Maude, je ne l’aurais pas
empêché.
Maude m’a regardé dans les yeux et au bout d’un moment sans gêne apparente, elle a dit
:
- Donnez-vous de plaisir, pour le moment moi je regarde !
Elle s’installa sur une chaise en face de nous et écarta les jambes en relevant sa
jupe en découvrant son pubis imberbe, la cochonne ne portait pas de culotte.
Marc dans mon dos porta ses mains sur ma poitrine pour caresser mes seins au travers
du tissu de mon tee-shirt, puis il me le fit ôter, et je me suis retrouvée poitrine
nue devant Maude, qui commenta :
- Une bien jolie poitrine et ses petits seins sont tous à fait charmants.
Elle porta alors ses mains sur son bas-ventre pour commencer à se caresser.
La soirée s’annonçait être chaude et je savais que j’allais finir dans le lit de mes
deux employeurs, en plus j’en avais envie car les caresses de Marc commençaient à me
faire de l’effet, il y avait un certain temps que je n’avais pas fait l’amour alors
c’était l’occasion rêvée.
Je me soulevais légèrement et fis un mouvement du bassin pour faire glisser ma culotte
le long de mes cuisses, puis je pliais mes jambes, ce qui fit remonter un peu plus ma
jupe sur le haut de mes cuisses et montrer ainsi à Maude ma vulve imberbe.
Puis me saisissant de ma culotte du bout des doigts, je la fis glisser le long de mes
jambes et elle tomba à mes pieds, l’intérieur humectée de mon désir que je ne
contrôlais plus.

Maude s’en aperçut en voyant le fond de ma culotte humectée de mes sécrétions et dit :
- Elle mouille déjà cette petite cochonne.
Dans ce bref mouvement, mes fesses frottèrent contre Marc et je pus sentir un instant
une forme engageante entre ses jambes.
J’étais désormais cul nu, presque offerte aux désirs de Marc, il passa une main devant
moi et commença à me doigter la vulve. Il a agacé mon clitoris du bout du doigt le
faisant saillir de sa gangue et m’électrisant le bas du ventre.
Maude se doigtait devant nous en ne perdant rien du spectacle que nous lui offrions.
Alors je me suis penchée en avant afin qu’il puisse glisser facilement ses doigts dans
ma raie de mes fesses et me caresser.
Il n’a pas tardé à approcher sa main pour me caresser, mais le sentant hésitant, hors
de moi, je lui ai dit :
- Tu peux le caresser !
Je ne me reconnaissais plus et malgré le fait que je leur montrais que je n’étais pas
trop coincée avec eux et que le sexe me branchait, personne ne m’avait sodomisé et que
si j’appréciais qu’un garçon me mette le doigt dans le fion, j’étais encore vierge du
trou du cul.
Mais Marc, un homme m’offrait la possibilité de vivre cette nouvelle sensation, alors
je me laissais aller en attendant.
Maude l’encouragea en disant :
- Elle est d’accord, caresse lui le trou !
- N’aie pas peur, tu peux y aller tout doucement, dis-je.
Au début, je dois avouer que je n’étais pas naturellement détendue, son majeur a
d’abord frôlé ma rosette ce qui m’a fait légèrement sursauter comme si j’avais reçu
une légère décharge électrique, puis un frisson dans tout mon corps s’en est suivit
lorsqu’il a commencé à doucement masser mon anus.
La caresse était agréable, amis ma position plutôt instable me coupait de mon plaisir,
alors je me suis levée, j’ai ôté ma jupe, et je me suis placée, nue, à genoux sur le
canapé, ma tête posée sur les coussins et le cul tourné vers Marc.
Dans cette posture mes fesses relevées et entièrement nues s’offraient plus
franchement à ses attouchements.
- Comme ça se sera beaucoup mieux ! Dis-je.

Sa main retrouva facilement le vallon chaleureux, l’autre s’occupait à flatter
délicatement ma chatte ruisselante.
J’ai adoré cette position, petite chatte avide offerte aux caresses de Marc devant son
épouse qui se branlait en feulant.
Il faisait courir ses doigts dans le sillon de mon cul, frôlant les reliefs de mon
postérieur si ferme et arrogant dans la position impudique dans laquelle je me
trouvais.
Complètement offerte à ses caresses, gémissant quand son doigt s’attardait sur mon
anus, il me fallut attendre un moment avant qu’un doigt me pénètre la rosette et me
fasse sursauter en hurlant de plaisir.
- Suce-le ! M’ordonna Maude.
Je me retournais et défis doucement sa braguette, mes doigts dégagèrent son sexe
gonflé et la hampe de chair, qui ne demandait que cette libération, se tendit tout
près de mon visage.

Marc avait repris son massage particulier auquel j’étais en train de m’abandonner, son
doigt maintenant ne quittait plus mon anus qui s’ouvrait lentement.
Je m’apprêtais à prendre le membre de Marc entre les lèvres quand un vague souvenir me
revint.

La fellation est une pratique qui m’est bien plus familière et que j’adore, je trouve
super cette pratique de donner à son partenaire su plaisir rapidement et dans des
lieux tant insolites que variés.
C’est un garçon rencontré en boîte de nuit qui me fit découvrir cette pratique et je
me suis vite rendue compte que j’adorais la sensation d’un membre dans ma bouche, de
sentir le membre enfoui au fond de ma gorge palpiter de désir.
J’ai sucé dans des endroits insolites augmentant mon excitation, une folle période que
je ne regrette pas.
Mais revenons à ce sexe magnifique qui s’offrait à mes lèvres, puisque j’avais devant
moi une queue de belles dimensions, réveillant en moi l’excitation et l’émotion de
cette période passée et quand j’ai embouché la belle verge de Marc j’ai retrouvé les
sensations du passé.

A suivre…