Une Première Confession De Françoise
Nous sommes en Juillet dernier, je suis entrain de faire des travaux dembellissement
chez moi, proche cinquantaine, blonde, de long cheveux, jai encore de beaux restes.
Je vis seule, jai un ami qui habite à plus de 300 Km. Nous nous voyons les week-ends
et les vacances.
Pour réaliser ces travaux, jai demandé au père du copain de ma fille ( elle 25 ans et
lui 26 ) de venir les faire.
Jean Pascal est un peu plus jeune que moi, divorcé, actuellement sans copines, le midi
nous prenons notre repas ensemble et discutons de tout, des s, etc
.
Ce jour, il fait un peu plus beau que les autres et je suis habillée dune courte jupe
blanche très moulante et dun tee-shirt rouge décolleté, Jean-Pascal est en short
genre athlétisme très dégagé sur les aines et dun maillot blanc, la discussion se
porte sur les rapports et besoins sexuels des uns et des autres. Dans le flot de la
discussion il minforme: jai un gros appétit et sans femmes actuellement
je te laisse
imaginer !
Il ne mest jamais arrivée de penser quoique ce soit avec lui, plus jeune, petit, ce
nest pas le type dhomme à me faire fantasmer. Mais la discussion ne me laisse pas
indifférente et je sens que malgré moi les propos que nous échangeons mémoustillent
Cela doit se voir car Jean-Pascal insiste sur certaines pratiques quil partage et je
ne suis pas en reste lui racontant par le détail certaines soirées en boite....
Le repas prend fin, il se lève et sapproche en me regardant dans les yeux, il porte
sa main sous mon menton, repousse ma tête en arrière et dans le même mouvement ses
lèvres se posent sur les miennes. Je suis surprise et sans réactions, je réponds à son
baiser, sa langue investit ma bouche.
Nos deux muscles se nouent, il retire sa main et la laisse glisser sous mon tee-shirt,
enveloppant un puis lautre de mes seins, appréciant le volume et lélasticité, il me
caresse par-dessus mon soutien-gorge, excitant les pointes qui durcissent sous son
contact.
.
La position assise que jai nest pas des plus confortables, mais cela ne freine pas
notre envie, je lui dis tout de même que le lieu est visible de lextérieur et que mon
voisin est souvent à sa fenêtre et quil pourrait nous voir. Au lieu de le calmer,
cette information semble au contraire le doper et tout naturellement il fait pivoter
la chaise. Du coup je suis face à son observatoire et risque dêtre vue par celui-ci.
Cela a aussi pour avantage de lui donner plus despace et délaissant ma poitrine sa
main se pose sur ma cuisse et disparaît sous la frêle étoffe, remontant vers mon
entrejambe. Plutôt que de le repousser, je mouvre et sa main se pose sur ma culotte.
Nétant pas insensible à notre petit jeu, il na aucun mal à se rendre compte de mon
état dexcitation. Jai une pensée furtive pour mon ami qui disparaît très vite
lorsque son majeur glisse sous lélastique de celle-ci et vient titiller mon bourgeon
damour, tendu comme un arc et réagissant à laudace de lintrus. Je ne veux pas être
en reste et ma main glisse sous léchancrure de son short, partant à la recherche de
son membre bandé qui nattend que cela. Toutes bonnes résolutions volent en éclats et
à présent seul le plaisir que nous allons nous donner compte.
Jean-Pascal nest pas grand mais la nature a été généreuse avec lui, je suis surprise
de ce que je tiens en main tant en longueur quen diamètre. Il men fait la remarque
et je ne peux quacquiescer tout en pensant quil aurait été dommage de me priver dun
tel attribut.
Puisque nous avons échangé sur le sujet durant le repas, je sais que ce quil apprécie
tout particulièrement est la douceur et lhumidité dune bouche gourmande. Jen ai
tout autant envie que lui et cest donc sans retenue que mes lèvres se posent sur
lobjet de ma convoitise et que je lengloutie.
mon nid damour, plus réceptif que jamais, jouvre mes cuisses au maximum afin de lui
faciliter lexploration, je pompe sur son dard, je ne suis plus quune femme désireuse
de prendre et de donner du plaisir. Lui nest pas mieux et il cherche à me donner un
premier orgasme puisque je lui ai confessé que jétais plus clitoridienne que
vaginale. Notre joute samplifie, cest à qui de lui où de moi aura lavantage de
procurer la première jouissance à lautre. Cest une espèce de suprématie qui est en
jeu. La tête renversée sans pour autant relâcher ma succion, les cuisses ouvertes, son
où ses doigts fouillant mon intimité je ne sais plus, les ondes de bien être se
répandent dans mon être, mon cerveau est déconnecté, son sexe grossit sous le
traitement que je lui distille, je pense quil va jouir au fond de ma gorge, mais
finalement cest moi qui suis la première à capituler, je me concentre sur ses doigts,
enserrant fortement mes cuisses sur sa main et dans un râle je me laisse aller au
plaisir. Il me faut quelques instants pour reprendre mes esprits, de sa main libre,
il caresse son sexe qui est resté bien droit, satisfait de lorgasme que jai eu et
fier den être lauteur. Je lui souris et lui propose que lon aille dans le lit des
s à létage que nous y serons mieux. En me levant, mon regard se porte vers la
fenêtre de mon voisin, il me semble que quelque chose a bougé, jespère que ce nest
quun effet doptique, je ne voudrai pas mêtre donnée en spectacle. Mais tout ceci
est vite oublié, Jean-Pascal me saisit la main et nous nous dirigeons vers cette
couche pour continuer nos ébats, tant pis pour les travaux, je suis encore toute
excitée et lui est sur sa faim. Avant de nous allonger, il me déshabille entièrement
et en fait tout autant, je suis nue sous ses yeux, sans aucune pudeur, nayant quune
envie
sentir son membre en moi.
oubliée, sa bouche se pose sur mon sexe, sa langue titille mon bourgeon et il boit le
nectar qui sen écoule. Il sallonge sur moi, à nouveau nos langues se soudent, je
sens son sexe contre ma chatte, jécarte légèrement les cuisses, il ondule des reins
et son gland vient glisser à lentrée de cette grotte quil va investir, son buste
écrase ma poitrine, nos deux corps ne font quun. Cest tout simplement merveilleux.
Il me demande si je suis fidèle, je réponds quil mest déjà arrivée lors de mes
sorties en boite doublier mon ami et de rentrer emprunte de la sève dun autre. Mon
récit exerce sur lui un accroissement de son désir et mon nid damour humidifié de la
jouissance que je viens davoir souvre, laissant Jean-Pascal sintroduire en moi. Il
le fait avec beaucoup de douceur, appréciant centimètre par centimètre la domination à
laquelle je me soumets. Son gland dilate les parois de mon vagin, je confirme le
plaisir quil me donne en feulant telle une chatte en chaleur, il minvestit
entièrement et lorsquil est au plus profond de mon être et de mon intimité il se
bloque afin que je puisse prendre conscience de lénormité de sa virilité. Il se
retire, laissant un vide en moi, je me colle à lui et le supplie de me prendre
bestialement, du coup son sexe perfore ma chatte et cela durant plusieurs minutes, je
suis secouée de toute part, il accélère, ralentit, je le supplie à nouveau, je crie,
je lui dit que je laime, quil se vide en moi, que je veux sentir son plaisir
exploser en moi, des orgasmes se déclenchent à chaque fois que son sexe bute au fond
de mon utérus, je suis une poupée de chair, je vais au devant de son pieu, de son
dard, de sa queue, il retient sa propre jouissance pour user et r encore plus de
moi, il veut que je limplore sans doute, que jaccepte sa domination de mâle et moi
de femelle soumise, il a raison, je ne suis plus moi-même, je suis une chienne qui
attends la récompense de son maitre.
vient agacer mon illet anal ce qui nest pas pour me déplaire, il pense que je vais
me donner entièrement à lui, il a sans doute raison, pourrai je lui refuser quoique ce
soit ?
Elle finit par arriver, il se cambre, sempale au fond de ma chatte, quelques
soubresauts de sa queue et un déluge de sperme jaillit en moi. Je jouis en même temps
pour la énième fois de suite, il retombe sur moi, nos lèvres se soudent, nos corps
sépousent. Nous reprenons conscience un peu plus tard, sa virilité est dressée, me
laissant aucun doute sur la suite de laprès-midi. Je lui dis quand même que les
s sont susceptibles de rentrer, il nen a que faire. Au contraire, il glisse sa
main sur mon ventre puis plus bas, jouvre le compas de mes cuisses et un doigt
revient visiter lantre gluant de mon nid damour. Je ne suis pas en reste et ma main
empoigne son vit, jentame des mouvements de haut en bas, une goutte perle au sommet
de celui-ci, je me contorsionne et ma langue vient recueillir le nectar qui sen
échappe. Il en profite pour faire glisser son doigt de ma raie fessière à ma chatte,
récupérant la sève de nos ébats pour humecter mon illet que souvre à lintrus. Un
doigt puis un deuxième viennent dilater mon conduit des plus intimes, mon muscle anal
sassouplie. Il me demande de me mettre sur le ventre, se couche sur moi, mécarte les
lobes fessiers et tenant sa lance dune main la positionne sur sa cible. Il pousse et
mon corps souvre à lui à nouveau. Je suis adepte de la sodomie, mais la taille de mon
assaillant moblige à me cramponner aux draps. La douleur est vite remplacée par un
bien être et notre joute sexuelle reprends de plus belle. Cette fois, il redouble de
violence dans ses gestes et de plus il me gratifie de tous les mots, chienne, salope,
catin
Au lieu de moffusquer, jen viens à lui répondre : oui vas y je suis ta pute,
ta chienne. Il défonce mes reins, une jouissance exceptionnelle est entrain de prendre
corps en moi, présageant une explosion toute aussi forte que les précédentes. Quand
enfin, il libère sa lave au fond de mes intestins, je me laisse aller et un torrent de
jouissance me submerge. Nous restons soudés ainsi, peu à peu je ressent son sexe qui
perd de sa consistance et sextirpe de mes reins, laissant comme un peu plus tôt un
sentiment de vide en moi. Il est temps pour chacun de nous de nous rhabiller et de
laisser croire quil ne sest rien passé. Jaère la pièce pour faire disparaître cette
odeur très caractéristique du sexe. Cela faisant, japerçois mon voisin à sa fenêtre,
la fenêtre de la chambre étant au dessus de celle de la cuisine, il me jette un regard
inquisiteur, as t il vu quelque chose ? Jean-Pascal descends dans la pièce pour
continuer son travail où du moins pour laisser croire aux s quil la fait. Je
retourne à mes occupations, je débarrasse la cuisine, puis je vais dans la salle de
bain du haut pour enlever toutes traces de nos ébats. Je suis jupe retroussée et
jambes écartées entrain de me rafraichir lorsque Jean-Pascal fait irruption et sans
préliminaires me plie sur lévier, son sexe est à nouveau bandé, il se colle à moi et
me pénètre une troisième fois, rapidement, égoïstement. Quelques allers-retours, il se
répand dans mon ventre, se réajuste et repart comme si de rien était. Ainsi sachève
cette première joute sexuelle ensemble.
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