Club D'Abattage 4

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Nous nous retrouvons seuls, abattus, pantelant, remplis de foutre. Je me dirige tant bien que mal vers les chiottes. J’ai besoin de boire un peu d’eau. Matteo me suit. Nous avons pris cher tous les deux. Au-dessus des chiottes, mon cul recrache un flot ininterrompu de foutre. Je vais me poser sur le lit en espérant récupérer un peu mais la porte s’ouvre à nouveau… Deux mec entrent. Ils sont en tenue de sport. Plutôt jeunes, bruns, barbe courte, assez beaux à mon goût. Ils se dirigent vers moi d’un pas assuré, le regard viril, presque méprisant. L’un des deux m’att par la laisse, me fout à genoux devant lui et d’une voix grave m’ordonne « suce ! » tout en tirant sur son pantalon de jogging pour le descendre au-dessus des genoux. Pas d’alternative, je m’exécute. Je prend sa bite en bouche et commence à pomper. L’effet est immédiat, elle grossit, durcit en quelques secondes. Elle est très belle, soyeuse, longue, très dure et assez grosse. Malgré tout ce que j’ai pris, je me régale de cette belle bite, d’autant que le mec me plaît beaucoup. Je passe mes mains derrière ses cuisses musclées et m’empale la gorge sur sa queue. « Wouah ! Putain, ouais !!! » le plaisir qu’il manifeste m’excite et me fait redoubler d’effort pour lui en procurer d’avantage, ainsi qu’à moi d’ailleurs. L’autre se tient debout juste à côté. Il a lui aussi baissé son jogging et tient sa bite à la main. Lui aussi à une superbe queue. J’aurais bien envie de le sucer aussi mais il ne s’approche pas assez. Il laisse son pote prendre son pied en attendant son tour. Mais où est passé Matteo ? Je continue à sucer avec plaisir, je m’applique à lui en donner le plus possible. Et ça marche… Sa bite devient dure comme du bois, palpite dans le fond de ma gorge et j’entends sa voix de stentor : « putain, aaaaahh, ouais, avale salope !». Il me décharge dans la gueule en tremblant un peu. A peine a-t-il finit de jouir qu’il sort de ma bouche et que je me fais agripper par les cheveux par l’autre qui prend sa place immédiatement.

Sa bite est un peu plus large que l’autre et les fonds de gorge sont plus difficiles, douloureux. Mais il m’excite lui aussi. Il a une belle gueule, des yeux clairs, un menton carré, très viril. Lui aussi manifeste son plaisir verbalement : « Hummmm, c’est ça, suuuuuce !!! ». Je me déboîte la mâchoire sur sa superbe bite, j’y met de l’entrain et bientôt lui aussi me remplit la gueule en râlant. Ils remontent leur jogging et se cassent sans un mot.
Je cherche Matteo. Il est derrière, de l’autre côté du lit, bien occupé lui aussi. J’étais tellement concentré sur les deux belles tiges que je venais de purger que je n’ai pas calculé les deux blacks qui sont rentrés. Matteo est à genoux devant eux et les suce à tour de rôle. Ils rigolent et se parlent en wolof. L’un des deux me fait signe d’approcher. Je fais le tour du lit et me met à genoux à côté de Matteo, pensant qu’ils veulent se faire les deux bouches, mais il m’att par la laisse, me relève et me jette brutalement sur le lit. Je m’attends à ce qu’il me baise à la missionnaire mais il me retourne, me fait avancer sur le lit et me fait mettre à quatre pattes. Pendant ce temps, l’autre a attrapé Matteo et l’a fait mettre lui aussi à quatre pattes. Nous nous retrouvons face à face, le cul en l’air, soumis, prêts à subir ces deux mâles noirs. Et quels mâles ! Ce sont deux athlètes, très typés Afrique de l’ouest, de superbes corps minces et musclés. Et surtout… deux bites circoncises démesurées… Même après l’entraînement intensif qu’on vient de subir, on va les sentir passer ces deux gourdins… Et effectivement, nous hurlons de concert quand ils nous pénètrent. Ils nous défoncent le cul en rythme. Les coups de bite sont violents, brutaux. On dirait qu’ils font un concours de défonce. C’est à celui qui tapera le plus fort, le plus profond. Nous nous retrouvons, Matteo et moi, oreille contre oreille, épaule contre épaule, à crier, pleurer, gémir en encaissant les coups de boutoir de ces deux casseurs de cul. Et ça dure, dure… le plaisir et l’excitation l’emportent sur la douleur.
Je perd la notion de l’espace, je ne suis plus qu’autour de cette immense bite qui me laboure le ventre. Je ne pousse plus qu’un cri d’extase continu, juste saccadé par les secousses des assauts de cet étalon noir en rut. Ils arrêtent simultanément leur pilonnage et sortent de nos culs. Je me sens cassé, vide d’un coup… Ils échangent leur place. Ils font le tour du lit, nous tirent un peu en arrière, ce qui fait qu’on se retrouve l’un en face de l’autre. Et la chevauchée recommence, ils redoublent même de brutalité. Ils continuent à se parler en wolof, rient aux éclats, se tapent dans les mains en nous défonçant. Le visage de Matteo est baigné de larmes, des grimaces de douleur se dessinent sur ses lèvres pendant que ses yeux sont révulsés par le plaisir. Je dois avoir la même expression, la même allure. Je suis tombé sur les coudes, le cul en l’air, flottant dans une espèce d’extase, subissant avec délices cette incroyable séance de défonce. Du plomb en fusion me coule dans le ventre, le plaisir est violent, dévastateur. Je hurle à pleins poumons tandis que le petit Matteo semble s’évanouir. La porte s’est rouverte sans que je capte rien, tout transporté de plaisir que je suis. Deux autres blacks sont là. Ils connaissent bien ceux qui sont en train de nous défoncer, apparemment. Ils se checkent, parlent et rigolent entre eux. Ils se dessapent et se rapprochent du lit de défonce. Ceux qui sont en train de nous déglinguer nous déplacent sur le lit sans arrêter de nous pilonner. Les deux nouveaux arrivants nous présentent leurs bites, tout aussi monstrueuses que celles qui sont en train de nous ravager le bas ventre. Et une nouvelle séance de double piston commence. Chaque coup de rein nous fait nous empaler la gorge sur la bite qu’on a dans la bouche. Puis ils décident de nous retourner. Ils nous mettent sur le dos, ceux qui nous défonçaient le cul laissent leur place à ceux qui nous ruinaient la gorge et le double démontage recommence de plus belle. On se retrouve tous les deux les jambes sur les épaules d’un mec, la tête renversée en arrière sur le bord du lit, pendant qu’un autre, debout, nous enfonce sa bite dans le fond de la gorge.
J’ai l’impression d’être un cochon de lait embroché. Et ils tapent, tapent, tapent tellement fort qu’on dirait qu’il veulent se toucher la bite l’un l’autre. Je ne sais pas depuis combien de temps ça dure. Je perd à moitié connaissance. Ils échangent leurs places, j’entends des grognements de plaisir, ils nous jouissent dedans des deux côtés. Je ne suis plus d’un vide-couilles, un déversoir à foutre… Quand ils s’en vont, nous ne sommes plus que deux loques recroquevillées sur le lit, ivres de jouissance, douloureuses et remplies de foutre.

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