Paula
P A U L A
Je savais quelle sappelait Paule parce que je lavais connue quand elle était une
collègue de ma mère et maintenant, elle se faisait appeler Paula. Javais dix ans à
lépoque et je venais chercher ma mère à son travail en sortant de lécole.
Aujourdhui, cest plutôt linverse. Ce sont les mères qui viennent chercher leurs
s.
Mais aujourdhui, jai vingt ans de plus. Paula, elle, en a presque soixante.
Cinquante-neuf et demi pour être exact. Et si elle a vieilli, elle na pas vraiment
changé car elle avait déjà cette forte poitrine quand je lai connue et jespère pour
elle que ses seins avaient une meilleure tenue et quils ne lui tombaient pas sur le
ventre.
Ça ne lempêche pas dêtre toujours aussi sexy et cest aussi pourquoi je lui ai cédé.
Elle ne ma jamais posé de questions sur mon passé et pas plus sur mon nom, ma famille
et jai vite compris que la seule chose qui lintéresse est davoir un étalon sous la
main. Tout ce que je sais sur elle cest quelle a été mariée si elle na pas eu
ds et quelle est divorcée depuis pas mal dannées.
Malgré son peu de curiosité, je me demande encore parfois si elle sait vraiment qui je
suis, en plus dêtre un amant toujours bien disposé. Si elle a fait le rapprochement
avec le petit garçon quelle connaissait. Il y a cinq ans, alors que je faisais barman
au Café de la Gare, je lai vue arriver. Elle était avec un type plutôt jeune et elle
lui parlait comme je naurais jamais voulu quon me parle. Elle lui donnait des ordres
et lui il répliquait comme à larmée, les doigts sur les coutures du pantalon.
- Tu vas arrêter de courir après cette petite gourde, lui avait-elle dit sans
sapercevoir que jentendais tout ce quils disaient.
- Mais je laime, avait osé répondre le gringalet !
- Et tu crois quelle taimera toujours quand elle saura que je tencule avec mon
gode, lui avait rétorqué la femme !
Le type était pâle.
ma commandé deux cafés. Elle est revenue seule, une heure plus tard. Le café était
désert à cette heure.
- Vous aviez compris quoi, ma-t-elle demandé ?
Jai fait semblant de ne pas savoir de quoi elle parlait mais elle a insisté :
- Je sais bien que vous écoutiez, a-t-elle continué ! Je mappelle Paula et vous me
plaisez beaucoup ! Vous baisez ?
- Vous quoi, ai-je fait ?
- Vous baisez, a insisté Paula ? Vous nêtes pas eunuque par hasard ! Voilà, si vous
en êtes capable, vous me plaisez, on baise et si ça me plaît on continuera ! Vous
verrez aussi que je ne suis pas une ingrate ! Je sais me conduire avec un amant !
Je la regardais sans la voire. Elle était bien maquillée. Ses cheveux relevés en
chignon. Son tailleur beige et sa forte poitrine si difficilement contenue que les
boutons du chemisier semblaient en voie de lâcher prise. Paula sest éloignée du bar
pour faire une pirouette et jai vu ses jambes. Des jambes magnifiques moulées dans
des bas dont la couture était parfaitement droite. Des bas quon ne voit plus trop de
nos jours.
- Alors, ça vous intéresse, ma dit alors Paula quand elle sest rapprochée du bar ?
Jhabite à deux rues dici ! Vous pouvez bien vous absenter un moment ?
Peut-être avait-elle deviné que cétait lheure de ma pause avant le rush de la sortie
des bureaux. Jai averti ma patronne que je la prenais et elle sest soulevée de sa
chaise pour me donner son accord. Elle passait toute sa journée vissée dessus, et
devant sa caisse, nen sortant que pour aller, une ou deux fois par jour faire un
petit besoin.
- Je vais faire un petit besoin, me disait-elle à chaque fois ! Vous faites patienter
les clients ?
Je faisais patienter les clients et je ne touchais jamais à sa caisse des fois que
Je
lavais souvent entendu raconter à ses fournisseurs quelle sétait faite voler, quil
ny avait quelle pour tenir la caisse correctement
Je suis sorti du café.
mattendait au dehors et je lai suivie jusquà chez elle. Jai compris bien plus tard
que javais dû avoir lair ridicule de me conduire comme un petit chien quon promène.
Nous sommes montés dans lascenseur. Elle a ouvert sa porte et je lai suivie à
lintérieur de lappartement et quand la porte sest refermée, Paula sest enfin
tournée vers moi et ce fut pour me mettre la main aux couilles.
- Jai vu que tu avais une bonne paire, a-t-elle commencé ! Jespère que le reste est
à la hauteur !
Paula a commencé à me malaxer les boules puis le bout de ses doigts a commencé à
chercher ma bite sous le tissu du pantalon. Ils remontaient de mes couilles et tout le
long de ma verge. Paula sétait accroupie et elle continuait à mexplorer quand elle a
levé son visage vers le mien.
- Jai limpression que je ne vais pas être déçue, ma-t-elle dit en me faisant un
large sourire et jai aussi limpression que ta mère ta fait avec un âne, non ?
Elle a ouvert mon pantalon et elle a essayé dextraire ma bite de mon caleçon mais je
bandais déjà et cétait plutôt difficile. Paula sest énervée et jai dû sortir ma
bite moi-même et je suis resté là, devant Paula, la bite au garde-à-vous, et presque
collée sur mon ventre.
- Oh, mon dieu, a ajouté Paula, je suis tombé sur le frère jumeau de Rocco Siffreddi !
Ça doit faire combien ? Vingt-cinq, trente ? Je me suis déjà faite montée par des
noirs et ce nétait pas aussi gros, a-t-elle encore insisté !
Nous sommes restés sans bouger, face à face, moi debout, elle accroupie et elle a
commencé à toucher ma bite et à soupeser mes couilles puis elle sest relevée et elle
ma dit quil était temps que je vois mon cadeau et elle a entrepris un striptease.
Paula a retiré sa jupe et au-dessous elle avait un jupon puis elle a retiré sa veste
et son chemisier et jai commencé à voir sa poitrine, le profond ravin qui séparait
ses seins puis elle a retiré son jupon et jai vu son porte-jarretelles noir dont les
jarretelles étaient accrochées à ses bas et Paula a dégrafé son soutien-gorge dans son
dos mais elle nest pas allée plus loin.
- Je mettrais bien des Lejaby, a ajouté Paula, mais ils ne sont pas capable den faire
à ma taille et puis ce nest plus ce que cétait et je suis obligée de mettre des
Triumph !
Le suspense devenait insoutenable et jétais là, avec ma bite en lair
- Tu es impatiente, lui a dit Paula en me la caressant du bout des doigts ! Tu as très
envie de te cacher, non ?
Paula ma alors regardé dans les yeux :
- Tu as une copine ?
Je lui ai répondu que non mais elle a insisté. Maintenant, elle voulait savoir si
javais eu une copine.
- Tu as eu raison, ma-t-elle répondu quand je lui ai dit quen avais eu une mais que
je lavais quittée mais je ne lui ai pas dit que javais menti parce que cétait ma
copine qui mavait quitté quand elle mavait surpris en train de me branler dans la
salle de bains. Je venais de la prendre et je lui avais laissé un bon paquet de sperme
au fond du vagin mais je narrivais pas à débander et javais dû me branler pour
arriver à me calmer. Elle avait fait ses bagages et je ne lai jamais revue.
- Moi aussi, jétais conne et jétais une mauvaise amante quand jétais jeune, a
ajouté Paula ! Je faisais lamour mais en fait je me conduisait comme une pute avec
mon mari et maintenant je vais te faire avoir du plaisir et je vais me faire plaisir
aussi !
Paula a fait glisser les bretelles de son soutir sur ses bras et peu à peu, ses seins
se sont libérés des bonnets. Ils nen finissaient pas mais le soutien-gorge a fini par
disparaître et les seins se sont affalés sur le ventre de la femme, avec les mamelons
cinq centimètres au-dessous du nombril. Je nen revenais pas. Sous le poids des seins,
le haut sétait aplati et la poitrine nétait plus quune paire dénormes boules sur
le ventre de Paula.
- Tu me plais, a-t-elle ajouté, et tu verras que je peux être gentille avec toi si on
sentend bien !
Après mavoir montré ses seins, Paula a retiré sa petite culotte.
complètement épilée et elle navait plus aucun poil sur le ventre et si son clitoris
pointait au bout de son capuchon, ses petites lèvres pendaient comme une paire de
steaks quelle aurait eu entre les jambes.
- Monte-moi, ma alors dit Paula en se penchant sur le lit. Elle a posé les mains à
plat sur le drap et elle a écarté les cuisses.
Je me suis approché par derrière et jai appuyé sur le bout de ma bite pour être à la
bonne hauteur mais Paula ma demandé pourquoi je ne métais pas déshabillé et du coup,
je me suis déshabillé en vitesse puis je me suis enfoncé. Le vagin était chaud et
humide et ce fut facile de le pénétrer mais Paula ma repris :
- Te trompes pas dorifice ! Je te demanderai de menculer quand on se connaîtra mieux
!
Jai donc limé et limé et limé et le vagin se serrait de plus en plus sur ma bite
jusquà me faire mal.
- Attends, ma demande Paula ! Arrête-toi ! Fais une pause !
Je me suis arrêté de limer. Javais bien senti que jécrasais le bout de ma bite sur
son utérus et je pensais que cétait à cause de ça quelle me faisait arrêter, parce
que ça lui faisait mal. Je commençais à comprendre ce qui marrivait et jétais aux
ordres, les mains bloquées sur les hanches de Paula et jattendais quelle me dise de
continuer quand elle ma dit de lui toucher les seins. Jai lâché la main gauche et
jai posé les doigts sur son sein gauche, ment.
- Quest-ce que tu attends pour attr lautre, ma rugi Paula ? Tu ne sais pas que
les femmes ont deux seins ?
Jai donc agrippé lautre sein et jai commencé à les triturer, depuis les côtes
jusquau mamelon, ce qui devait bien faire quarante centimètres à vue de
doigts !
Jen ai même trituré les mamelons, les faisant rouler au bout de mes doigts et même en
les pinçant.
- Quest-ce que tu en penses, ma alors demandé Paula ? Ils te plaisent ? Je sais bien
que pour les hommes cest jamais aussi gros ! Ce quils voudraient, cest que les
femmes aient des pis de vache et encore ! Cest pour ça que les jeunes femmes ne
peuvent pas rivaliser !
Paula a insisté pour que je lui réponde. La première fille que javais eu était aussi
plate quun garçon, et ça ne lavait pas empêchée de me faire lamour assise sur mon
ventre et javais jugé après que ce nétait pas très excitant cette absence de seins.
Du coup, javais rompu avec elle pour essayer de me trouver une autre copine bien
mieux pourvue.
- Est-ce que tu te rappelles si ta mère te donnait le sein, ma soudainement demandé
Paula ?
Je ne men rappelais pas vraiment parce que tout ce que dont je me souvenais était que
ma mère racontait à mes tantes quelle mavait donné le sein jusquà deux ans parce
que je ne pouvais avaler rien dautre que son lait et plus tard, une de mes cousines
sétait moquée de moi en me rappelant ça et je lui avais sauté dessus et je lavais
embrassée sur la bouche et je navais pas été capable daller plus loin.
Six heures sonnaient au clocher de léglise et six heures, cétait la fin de ma pause
et jallais être en retard pour reprendre mon service si je ne finissais pas
rapidement. Quand jai dit ça à Paula, elle a très bien compris mais elle a voulu que
je termine mon travail et jai rattrapé ses hanches et je me suis remis à limer
jusquà ce que jéjacule au fond de son vagin. Je suis allé à la salle de bains pour
me laver et Paula my a rejoint. Elle ma regardé faire. Je la regardais. Ses nichons
lui pendaient sur le torse.
- Tu me dois un orgasme, a-t-elle insisté, mais comme tu as une belle queue
vraiment
une belle queue, je veux que tu vienne finir ton travail ! Tu finis à quelle heure ?
- Huit heures !
Je me suis rhabillé. Paula était encore nue quand elle ma raccompagné à sa porte et
elle ma retenu par le bras :
- Tu veux que je me masturbe en tattendant, ma-t-elle encore demandé ?
Jai appuyé sur le bouton de lascenseur et je me suis retourné vers Paula en
attendant que lascenseur arrive. Elle sencadrait dans la porte de son appartement et
elle avait du sperme qui coulait sur ses bas. Elle a posé deux doigts sur son clitoris
et elle a commencé à se caresser. Je suis entré dans lascenseur. Paula avait refermé
la porte. A huit heures moins cinq, alors que jessuyais une dernière fois le comptoir
du bar, elle sest hissée sur un des tabourets.
- Un martini dry, a-t-elle fait !
Je lai servie.
- Dépêche-toi, ma-t-elle recommandé en me glissant un billet dans la main ! Jai
envie que tu me fasses jouir !
Jai donné largent à ma patronne et je lui ai demandé si je pouvais partir. Elle a
regardé la pendule. Jai retiré mon tablier et jai pris ma veste. Paula mattendait
un peu plus loin sur le trottoir.
- Comment tu embrasses, ma-t-elle demandé en passant son bras sous le mien ?
- Comment jembrasse, lui ai-je répondu ?
Paula ma poussé dans le renfoncement dune porte cochère et elle a collé sa bouche
sur la mienne. Elle ma fourré sa langue et quand elle ma lâchée, elle ma rappelé
quelle avait besoin de ma queue et quelle saurait être gentille avec moi. Elle avait
remis la jupe et la veste de son tailleur et elle était nue en dessous.
- Tu vas me baiser, insista-t-elle ! Je sais être une vraie chienne, tu verras !
Jai vu. Une fois chez elle, elle sest mise à quatre pattes dans lentrée de
lappartement et elle ma offert ses fesses puis après quelques allers et retours dans
son vagin, elle sest retournée pour venir me sucer la bite comme laurait fait une
chienne avec un chien puis elle ma mordillé les couilles.
- Va, maintenant, ma-t-elle dit après quelques minutes ! Tu peux me couvrir !
Je suis monté sur Paula et je lui ai fait son affaire et elle a joui plusieurs fois
cette salope avant que je narrive à éjaculer à nouveau.
- Voilà, tu es content, ma demandé Paula !
Nous étions restés à quatre pattes. Javais mal à la bite et mes bourses pendaient
vides quand Paula les a serrées dans son poing. En fait elle les serrait de façon à ce
que mes couilles soient rejetées le plus loin possible de ma bite. Elle les tenait et
je ne pouvais plus bouger tellement ça me faisait mal.
- Je suis déjà jalouse, a ajouté Paula ! Et je ne veux plus que tu regardes dautres
femelles que moi ! Tu as quel âge ?
- Trente ! Vingt-neuf, lui ai-je répondu !
Je ne savais plus où jen était. Quand elle ma dit son âge, jai su quelle avait le
même âge que ma mère. Elle ne lâchait pas mes couilles et nous étions restés à quatre
pattes.
- Jadore ta queue, a insisté Paula ! Je ne me suis jamais fait mettre par une bite
aussi grosse !
Je ne répondais rien. Il y avait déjà un bon moment que nous étions immobiles dans
lentrée quand Paula ma dit que je bandais puis elle a ajouté quelle avait envie de
me branler et sans attendre ma réponse, elle sest mise à me branler, le bras entre
mes cuisses, par derrière, comme elle aurait trait le pis dune vache et en quelques
minutes, jai éjaculé. Elle avait mis son autre main par dessous et elle avait fait
comme une coupelle pour récupérer mon sperme. Elle a laissé ses mains sous mon ventre
et je nosais plus bouger.
- Si tu restes avec moi, a ajouté Paula, tu pourras me faire tout ce que tu veux !
Tout ce que je veux moi, cest que tu sois toujours avec moi !
- Mais, mon travail, ai-je protesté ?
- Je te paierais, ma-t-elle répondu en éclantant de rire ! Tu penses déjà à ta
retraite ? Si tu veux, on se marie ! Tu verras que tu ne pourras rien regretter !
Elle sest relevée et elle a marché délicatement vers la salle de bains et quand je
ly ai rejointe, Paula contemplait mon sperme qui remplissait tout le creux de sa
main.
- Jai lu que cétait bon pour la peau, a-t-elle dit, puis elle a renversé sa main sur
son sein gauche et elle a étalé ma semence sur son autre sein avant de sen mettre sur
les joues et sur le coup et je lai regardée faire et javais deux maîtresses parce
que Paula se reflétait dans le miroir.
- Tu manges avec et tu passeras la nuit ici, a-t-elle ajouté ensuite et jai bien
compris que cétait un ordre.
Elle ma emmené sous la douche et elle ma savonné sur tout le corps avant de me
demander de la savonner.
- Je te plais, ne cessait-elle de me demander ?
Je ne lui répondais pas et elle ajoutait que si je venais vivre avec elle je pourrais
lui faire tout ce que je voudrais.
- Tu pourras menculer si tu veux, a-t-elle ajouté en éclatant de rire ! Il est temps
que je connaisse ça !
Jen ai profité pour lui demander qui était ce type avec qui elle était entrée dans le
café. Elle ma répondu que cétait une erreur et cest tout ce que jai su sur ce
type. Nous sommes sortis de la douche et jai commencé à lessuyer quand elle ma dit
que je navais pas à me faire de souci parce quelle ne pouvait plus avoir d à
son âge. Elle a ajouté quelle avait longtemps cru que seule les mères pouvaient avoir
du lait mais quelle en avait de temps en temps. Je lui ai demandé quel goût ça avait
et Paula ma demandé pourquoi je ne men souvenais pas. Elle sest ensuite reculée
pour se serrer entre mes bras et elle a ajouté quelle me ferait téter quand elle en
aurait, mais ce quelle ma dit ensuite la faite pleurer.
- Je ne sais pas vraiment si jaurais voulu avoir des s, mais ce que je regrette
le plus est de navoir jamais été enceinte ! Jaurais tant voulu avoir le gros ventre
!
- Et les vergetures, ai-je rétorqué !
- Oh, ça, ça passe, a ajouté Paula, mais jaurais vraiment voulu avoir le gros ventre
! Oh, attend, a-t-elle encore ajouté, si tu restes avec moi, jai une de mes nièces
qui est lesbienne ! Elle voudrait faire un avec son amie ! Je lui demanderai et
tu pourras taccoupler avec elle !
Paula a rajouté quelle nous surveillerait pour que ça naille pas plus loin puis elle
a préparé un dîner. Ça mallait, dautant plus que cétait bon et que je faisais aussi
la cuisine et après avoir fait la vaisselle, nous sommes sortis et jai compris
quelle avait envie de me montrer à ses connaissances. Dailleurs, nous sommes entrés
dans un immeuble et nous avons grimpé au denrier étage. Une femme nous a ouvert. Elle
aussi avait un amant plus jeune quelle puis un autre couple est arrivé et un peu plus
tard, Paula a voulu que ses amies voient comme jétais fait car elle ma sorti la bite
et les couilles du pantalon et elle ma branlé jusquà ce que jai une belle érection.
Ses deux amies étaient folles et encore heureux que les deux minets soient restés dans
le salon. Paula a fini par tout remballer et nous sommes retournés chez elle.
- Demain, je travaille, ma-t-elle annoncé ! La société que dirigeait mon mari était à
mes parents et maintenant cest moi qui dirige !
Elle semblait si sûre delle. Après quelques câlins, nous nous sommes endormis. Le
lendemain je suis retourné travailler au café. Travailler, faire lamour à Paula.
Faire lamour à Paula et travailler. Au bout dune semaine de ce régime je nen
pouvais plus. Et comme jétais comme le poisson au bout de lhameçon, jétais ferré
moi aussi. Jai donné mes huit jours à ma patronne ou plutôt je lui ai dit que je ne
viendrais pas travailler la semaine suivante. Elle a semblé surprise mais il ny avait
rien à faire.
Paula nen demandait pas plus. Ce week-end-là, elle ma emmené à Deauville. En fait,
elle a secoué un porte-clef sous mon nez et je lai suivie dans lascenseur et quand
jai vu la Jaguar dans le parking, je nen suis pas revenu.
- Tu sauras la conduire, a-t-elle ajouté ?
Jai pris le volant. On avait ouvert la capote et nous avons filé sur lautoroute
jusquà Deauville. Elle avait un appartement près du port et juste derrière la plage
et nous avons fait les planches. Je navais jamais connu ça, le plaisir davoir de
largent, rencontrer des gens aussi riche de nous, mais on a déjà fait les boutiques
pour mhabiller puis nous sommes rentrés chez Paula.
Jai alors commencé ma vie de femme dintérieur. Dhomme dintérieur, à faire le
ménage et la cuisine, à faire lamour à ma maîtresse et ça fait cinq ans que ça dure.
Paula a oublié sa promesse de me faire rencontrer sa nièce. Nous rencontrons des gens
dans des soirées mais elle me tient bien en laisse et elle ne me tolère aucun écart
mais je men moque.
Pour linstant.
F I N
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