Pour Un Service
l faut toujours rendre service
Nos amis devant effec un voyage, je leur avais promis de garder leur
labris, une petite chienne dun an ; je devais la prendre chez eux vers 18h ;pour des
raisons de simplicité pour moi cest vers 14h que je me rends chez eux ; ayant leur
clé, cest sans difficulté que je rentre par la cuisine et ma première surprise est de
ne pas y voir la chienne, la deuxième est dentendre du bruit dans le salon ; je nai
pas loreille très fine, cependant il est assez facile den reconnaitre lorigine ;
quelquun fait lamour et même prend son pied car les paroles sont assez explicites
(vas-y cest bon , plus fort
. puis voix dhomme .on va te remplir jusquau
fond
.. le tout suivis de grognements et de cri de jouissance). Le on me surprend
et alors que jallais me retirer discrètement, je mapproche de la porte du salon et
je découvre un spectacle qui me laisse abasourdi : une femme est prise en double ;
doù je suis, je ne peux reconnaitre les personnages, mais il mest facile
didentifier au moins la femme : Martine est en train de se faire prendre par deux
mecs et à voir les gabarits il ny a pas son mari. Ils ne peuvent me voir et je reste
un peu à jouer les voyeurs ; elle se fait pistonner allègrement et rapidement, ma
queue se gonfle mais ne tenant pas à me faire remarquer, je me retire discrètement, me
promettant de revoir plus tard la question. Je reviendrai chercher la chienne plus
tard.
Martine est une petite femme aux formes très généreuses, avec de gros seins,
lourds et tombants (vus lors de baignade chez eux) ; on ne peut pas dire quelle soit
attirante, à part un joli minois. Et si parfois elle nous avait confié que son mari
avait moins denvie, il métait difficile denvisager quelle se faisait sauter ainsi.
Toujours est-il quelle avait franchi le pas, et en plus avec deux mecs.
brusquement, lenvie de découvrir son réel appétit me fait échafauder un possible
parti. Au lieu de reconduire la chienne, je lui demande de passer à la maison, laprès
midi à une heure donnée pour que nous ayons un peu de temps libre ; un peu étonnée du
changement, elle accepte cependant et comme convenu, elle arrive vers 14 heures. Comme
par hasard, un peu après un copain arrive ; la trentaine, cest un joyeux luron, chaud
lapin, beau mec et toujours près pour une petite aventure ; mis au courant
précédemment, il courtise immédiatement Martine qui ne sait pas comment se comporter,
repoussant, de plus en plus timidement les avances, de plus en plus osées.
Manifestement ma présence la gène et pour débrider la situation, je lui avoue que
jai été un spectateur involontaire de son équipée, et que cela ma donné des envies ;
son visage sempourpre, mais elle ne bronche pas et quand Maurice lui passe un bras
autour du cou, cette fois elle ne se retire pas ; conquérant, il prend place et sa
main bientôt se pose sur la généreuse poitrine soulevée par la respiration qui sest
accélérée ; mais ses yeux , toujours posés sur moi sont encore inquiets ; à mon tour
jinvestis la place et lui écartant doucement les jambes, je remonte doucement vers le
pubis, pour lui caresser lentrejambe à travers son pantalon ; ses yeux se ferment,
sa bouche souvre et sen échappe de petits gémissements ; le corsage est ouvert et
ses seins jaillissent bientôt , gros , lourds, une large auréole marron et un gros
téton déjà en érection ; Maurice lui maltraite les pointes qui rougissent sous les
tiraillements ; le pantalon est vide descendu, le slip suit rapidement laissant
apparaitre une longue fente, deux lèvres gonflées et une toison noire, fournie au
dessus de la fente ; mes doigts se frayent rapidement un chemin dans la chatte déjà
pleine de cyprine ; écartant au max ses cuisses, elle mouvre le chemin et cest toute
ma main qui la fouille ; je la branle , m'enfonçant jusquau poignet et elle ne tarde
pas à feuler de plaisir ; Maurice lui a sorti son membre gonflé, le gland turgescent
et sans aucune retenue, elle le gobe et lavale au plus profond de sa gorge ; lui
prenant la tête, il se branle fougueusement entre ses lèvres.
« Prend moi, donne moi ta queue ! » cest Maurice qui le premier réagit ; se
couchant sur la moquette, il lattire sur son ventre ; sans aucune difficulté elle se
plante sur sa queue, semmanchant jusquau pubis « putain elle est trempée, ça
glisse comme dans du beurre ; elle est tellement ouverte que je la sens à peine ;
Martine sest plaquée sur lui, elle le chevauche , lenfourche avec vigueur ; ainsi
postée, je contemple le mandrin qui senfonce dans sa chatte ; moi aussi jai la
trique et me glissant derrière elle, je plaque mon gland sur le sillon déjà plein de
sa mouille ; cest finalement contre le sexe de Maurice que je mengage ;une poussée
suffit pour mouvrir le passage ; les deux tiges lui dilatent le conduit ; sous la
double pénétration, elle rugit, tout à son plaisir ; « cest une vraie salope ta
copine, vas-y bourre la
.défonce lui la chatte
» Martine ne bronche pas sous les
paroles salées, bien au contraire, elle se cambre afin de mieux souvrir ; ma queue
glisse dans un océan de jute et parfois dé ; dun coup de rein je reprends place
et accroché à ses hanches, je la lime ; à ce rythme lexcitation monte vite et cest
deux bites qui se vident, lui déversant tout le foudre ; sa jouissance est bruyante,
rugueuse ; calée entre nos deux queues qui perdent de leur superbe , elle se déchaine
« encore , baisez-moi,
.. Jai encore envie de vos queues
putain que cest bon
. »
Affalée sur la poitrine, elle geint, encore prise de soubresauts.
Cest dans la chambre que nous récupérons, allongée entre nous deux, elle nous
explique que son mari ne la contente plus assez souvent et que cest par un site
internet quelle a franchi le pas, dabord avec un mec puis un jour celui -ci est venu
avec un copain (ceux que jai vu) ; cela fait deux mois maintenant et quelle y a pris
gout ; en conversant elle a bien essayé damener son mari à ce style de rapport, mais
il la traité dobsédée.
quelle a envie de moi, mais que malgré plusieurs essais, je navais pas répondu ; je
dois reconnaitre quà aucun moment, elle ne ma attiré ; offerte ainsi, les cuisses
écartées, la chatte béante , doù sécoule un filet de nos semences, le tableau est
différant ; ses mains se sont emparées de nos bites et doucement elle les branle, tout
en nous décrivant ses envies de sexes et du plaisir quelle prend avec deux hommes
lenfilant en même temps ; Il nen faut pas plus pour nous redonner vie et c est ma
queue quelle se penche pour laspirer ; sa bouche est aussi accueillante que son
vagin et sa langue est active sur mon gland puis le long de ma tige , pour enfin gober
mes boules ; elle les mâchouille, les engloutit, pour revenir à nouveau autour de mon
mandrin ; pour ne pas jouir, je mécarte et la prenant par les épaules je la fais me
chevaucher ; dilatée et pleine de jute, elle na aucun mal à se planter et rapidement
elle caracole sur mon ventre, ses fesses claquant à chaque descente ; Maurice nest
pas en reste et je sens ses doigts coulisser dans sa chatte , puis ressortir pour lui
caresser le sillon « oh oui prend mon petit trou » pas besoin de lui répéter deux
fois ; je suis le chemin de sa queue , simplement écartée de la mienne par une fine
paroi ; tout est rentré, et cest maintenant un piston qui lui ramone le conduit ; sa
puissance et son rythme a vite fait de la faire jouir ; elle râle contre mon oreille ,
réclamant crument cette double saillie ; soudain je dé de ma chaude cavité et
voulant me replacer, cest le contact de la verge que je rencontre ; « enfonce toi,
met ta bite avec la mienne » et joignant le geste à la parole, Maurice mengage en
double dans son conduit anal ; une poussée et je prend place, accompagné par un cri de
surprise ou de douleur « non pas cela » trop tard, dune dernière poussée, à mon
tour je lencule.
avec méthode frotte et assure mon excitation ne pouvant pas beaucoup bouger, je lui
triture ses gros tétons qui rougissent sous mes doigts ; ; entre deux cris de
plaisirs, elle grogne , nous insulte, tout en réclamant cette double baise comprimée
entre nos deux corps, enfilée par nos deux sexes , Martine explose, jouit, sagrippe à
mes épaules , souvent déstabilisée par les coups de butoirs ; je ne peux me retenir et
je lui déverse ma jute et avant que je ne débande, je perçois les jets de Maurice.
Je lui propose une douche, quelle refuse. « Jai envie de garder votre
semence, jespère ainsi que Thierry percevra lodeur de votre chevauchée ; jai envie
quenfin il comprenne que jai envie de me faire baiser, par lui ou par dautres ». «
Si tu en as envie, il est facile de recommencer et même plus » « ah oui, comment ? »
« Rassure toi, je pense que nous te ferrons découvrir dautres sensations. » Maurice
a un signe de tête « pas de problème je suis des votres »
Sans doute à suivre
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