Leslie Hd68

Leslie HD68 – Laure chez un ami gynécologue, suite

Assise, je me dis qu’il faut absolument éviter les pensées sexuelles et me détendre,
mais comment faire avec cet appareil dans le cul. Lorsque je bouge un peu sur ma
chaise, il bouge en moi, et le pire c’était agréable.
D’un seul coup les sensations montent en moi et mes jambes s’écartent toutes seules,
un désir frénétique me prend et ma main se pose sur mon sexe par-dessus mon string et
je le me masse un peu, histoire de me calmer.
La ficelle de mon string entre un peu plus dans ma vulve, alors je tire dessus,
l’écarte et caresse mes lèvres. Je commence à être très, très excitée.
Tu sais que quand on touche à mon petit trou ou qu’il est sollicité, j’ai du mal à me
contrôler.
Mon sexe, maintenant, doit être ouvert et dégoulinant, et Pascal va s’apercevoir de
mon état, juste le temps de me calmer un peu et voilà que Pascal sort et raccompagne
sa patiente.
Il me fait signe de rentrer en me demandant si tout va bien.
- Oui, oui, que je réponds d’une petite voix.

- Allez déshabilles-toi et grimpe sur la table, tu peux garder le haut cette
fois.
Je me déshabille et je monte sur la table, Pascal s’approche en me disant :
- Comme tout à l’heure, les pieds dans les étriers, les fesses bien au bord de
la table.
J’obtempère en fermant les yeux, un peu honteuse de la vision que je vais lui offrir,
car cette fois je suis trempée !
En effet, je sens bien que mes petites lèvres sont très écartées et que je ruisselle,
la position n’arrange rien, les jambes outrageusement écartées, un objet dans l’anus
qui me stimule, comment ne pas réagir.
Je l’entends qui tire son tabouret et s’installe entre mes jambes, il doit avoir une
vue imprenable sur mes orifices et voir dans quel état je suis, mais il dit juste :
- On va y aller.

Lorsqu’il retire doucement la canule, je sens un vide en moi, il doit voir mon anus
que je sens ouvert et aussi mon sexe, et je sens ma cyprine qui coule et descend
jusqu’à mon petit trou.
Puis je l’entends dire :
- Il reste du gel, je vais bien nettoyer tout ça et tu seras libre !
Lorsqu’il essuie mon petit trou du bout du doigt, je ne peux m’empêcher de laisser
échapper un soupir et un silence s’installe.

Après un court instant je sens son doigt sur ma vulve, alors ma respiration
s’accélère. Il caresse mes grandes lèvres, puis mes petites lèvres dans un silence
total, puis son doigt, doucement, se fraye un passage dans mon vagin grand ouvert.
Puis il le fait bouger à l’intérieur, il le sort, le rentre, le ressort, caresse
encore mes lèvres, puis mon clitoris encore caché sous son capuchon.
Je soupire alors que mes jambes s’écartent encore plus et j’essaie d’avancer mon sexe
vers son doigt inquisiteur. Je gémis maintenant.
De ses doigts agiles il a décapuchonné mon clitoris et à présent il souffle dessus
pendant que son doigt a repris le chemin des profondeurs de mon vagin, j’halète t
soupire montrant le plaisir qui me gagne.
- Tu aimes ? Me dit-il soudain.
- Ohhh, Oui beaucoup.
Il me met un deuxième doigt.
- Et là, tu aimes encore ?
- Humm !
- Tu as une chatte magnifique !

Je suis excitée et lorsqu’il introduit un doigt dans mon anus il me fait gémir encore
plus fort.
- T’es chaude !
- Ohhh, c’est bon !
- Tu es trempée petite cochonne !
- Ohhh, oui !
- Leslie ne doit pas s’embêter avec toi !
- Oh non, moi non plus d’ailleurs.
- Tu aimes le sexe et te faire remplir les deux trous.
- J’adore !
Je ne sais plus ce que je dis, je délire et il me masturbe de plus en plus vite, je
sens l’orgasme monter et je gémis de plus en plus fort.
- Ohhh, je viens, je jouis, Pascal que fais-tu, non, oui, ohhh !

Il se relève et me regarde, je suis toujours dans la même position offert à tous ses
désirs.
- Je vais te prendre, me dit-il en me regardant droit dans les yeux.
Il est entre mes jambes et il ouvre sa blouse, puis enlève son caleçon, en faisant
cela il continue de caresser ma chatte ouverte.
Je me redresse un peu et aperçois son sexe, Pascal est bien pourvu et comme pour me
rassurer il me dit :
- Ma grosse bite va te faire du bien, tu vas l’avoir dans ta petite chatte et
après dans ton cul, parce que tu aimes ça te faire enculer.
Et il rajoute :
- T’es bien ouverte de partout, de la chatte et du cul et placée comme tu es
j’ai accès à tes deux trous.
- T’es un pervers, un ami pervers et tu profites de la situation, dis-je.
- Ce n’est pas de ma faute si tu es dans cet état, je t’ai à peine touché le cul
et tu as gémis comme une excitée du cul !
- Et c’est par hasard que tu m’as branlé.
- Non c’est pour te faire du bien.
- Je t’adore ainsi, mais je le dirais à Leslie !
La conversation n’est plus du ton de la consultation, mais bien plus celle de la jeune
femme que je suis et qui va se faire mettre par son ami gynécologue.
Il profite de la situation et me demande en continuant de me branler :
- Je suis sûr que tu aimes être prise des deux côté à la fois ?
- Ohhh, oui !
Je réponds en gémissant à ses questions très intimes.
- Tu as déjà essayé la double pénétration ?
- Oui, ohhh oui !
- Avec Leslie et un godemiché ?
- Oui, Pascal, oui !
J’ai les orifices complètement offerts et distendus, et je me sens comme une chienne
en chaleur, en me parlant il me branle en même temps la chatte et l’anus et je jouis à
nouveau.
- Ohhh ouiii, tu me fais encore jouir !
Et un autre orgasme me secoue.

A suivre…