Balade Au Parc (2/2)

Tu t'es retrouvé, avec ta copine, enfermé dans un parc la nuit. Vous en avez profité pour baiser sauvagement, avec un risque de vous faire surprendre.

Lorsque tu ouvres les yeux, ta copine te regarde. Vous êtes toujours dans ce parc, il fait nuit. Tu n'as pas rêvé.
Mais en regardant ta copine de plus près, tu remarques qu'elle semble étrange. Il y a quelque chose qui cloche, mais tu ne sais pas quoi.

Quand tu entends les bruits de pas derrière toi, tu comprends. Le craquement des branches de tout à l'heure, tu ne l'as pas imaginé. Et si ta copine a l'air étrange, c'est parce qu'elle est attachée.

Tu veux te retourner, mais tu te rends compte que tu es aussi attaché, tes mains liées dans ton dos avec une corde rustique. Quand tu réussis à te retourner, tu vois deux femmes qui vous regardent. Elles semblent en colère. Elles ont un uniforme de... Oh non. Ce sont les gardiennes du parc.

La honte... Non seulement elles ont dû vous voir en train de baiser tout à l'heure, mais en plus elles vous ont attachés alors que vous étiez encore nus.

D'un ton ferme, la plus grande vous ordonne de vous relever. C'est non sans peine que vous réussissez, les mains toujours attachées, à vous redresser à leur hauteur. Vous êtes côte à côte ta copine et toi, en face de deux femmes qui, même si elles ne sont pas plus grandes que toi, semblent tout de même très imposantes. La plus grande est blonde, et le traits de son visage sont fins. Elle a une musculature qui semble développée, peut-être est-elle même plus forte que toi. La seconde, plus petite, est brune. Des tâches de rousseur cheminent le long de son nez. Ses yeux pétillent mais tu n'arrives pas à décrypter l'émotion qui se dissimule dans ce regard.
Les deux se rapprochent de vous, et commencent à vous sermonner :
Vous savez bien que vous n'avez pas le droit de pénétrer dans le parc la nuit... commence la brune
Elles se regardent et explosent de rire, sûrement à cause de l'allusion à la pénétration.

Oui, c'est interdit, surenchérit la blonde, c'est passible d'amende et de prison... ce n'est pas ce que vous voulez n'est-ce pas ?
Non, pas vraiment, réponds-tu l'air hagard.

Elles ne prennent même pas le temps de vous répondre. La blonde, plus musclée, vient se placer derrière toi, et la brune derrière ta copine. Elles saisissent les liens qui vous tiennent ligotés, et s'en servent pour vous diriger. Vous vous enfoncez dans l'obscurité du parc. Après quelques minutes de marche, vous arrivez à un endroit que vous n'avez encore jamais vu. Tu as froid, tu trembles, et ta copine semble être dans le même inconfort que toi. D'un air dédaigneux, les gardiennes vous tendent deux couvertures :
Heureusement qu'on prévoit toujours des couvertures pour nos rondes de nuit, tenez mais vous avez pas intérêt à les laisser traîner par terre.

Les deux filles vous poussent jusqu'à une aire de pic nique. Plusieurs tables sont disposées pour permettre aux promeneurs de se sustenter. Elles vous poussent l'un contre l'autre, ta copine et toi, dos à dos. Vos culs et vos épaules sont en contact, vos têtes se touchent.
La brune sort de sa poche une sorte de chaîne parsemée de gros bijoux étranges. Elle en donne un bout à sa copine, et prend l'autre extrémité. La blonde se rapproche de toi, et tu ne peux plus voir ce que la brune fait à ta copine. Lorsque la femme se rapproche du haut de ton torse, tu comprends que ce n'est pas un bijou, mais un engin de BDSM. Il s'agit d'une pince à tétons. Tu as un mouvement de recul, mais elle te retiens directement par le bras :
Comme vous l'avez vu, il s'agit d'une chaîne qui contient des pinces à ses extrémités. Vous l'avez sûrement deviné, ces pinces ont pour destination finale vos petits tétons tous tendus par le froid. Jo et moi allons nous faire un plaisir de les poser sur vos pointes et de vous voir vous cambrer. Mais, malheureusement, on n'en a qu'une. Alors, pour pimenter ce jeu, on va vous en mettre une chacun. La chaîne est très courte, et vous êtes attachés, alors si vous bougez, vous allez tirer sur la chaîne et ça va aggraver la pression de la pince sur le téton de votre moitié. Plus vous bougerez, plus la pression sera forte.

Elle finit à peine sa phrase, que la pince vient déjà chatouiller l'extrémité de tes pectoraux. Tu le sais, c'est une zone extrêmement sensible chez toi et ta copine. Tu n'oses même pas jeter un coup d’œil à ta queue, tu sais déjà qu'elle est plus dure que jamais. C'était pas une si mauvaise idée finalement, cette sortie au parc...

Après avoir doucement torturé vos tétons, les deux filles se regardent pour se mettre d'accord sur le moment où elles lâcheront les pinces. Sans prévenir, elles les laissent se refermer sur vos pauvres tétons. Surpris, tu ne peux t'empêcher de sursauter. Mais comme l'avait expliqué la blonde, ça tire sur celui de ta copine, et elle émet un petit cri de douleur.
Tu te ressaisis aussitôt, et profites de la douleur que te procure les petites dents métalliques. Bien que ce soit difficile, tu tentes de transformer la douleur qui augmente en plaisir. Finalement, c'est pas si mal !

Après quelques secondes qui te paraissent être de longues minutes, la blonde se rapproche de ton deuxième téton pour lui faire subir le même sort, avec sa bouche cette fois. Elle passe plusieurs fois sa langue sur l'extrémité toute pointue, et tu tressailles de plaisir. La douceur de sa bouche contraste avec les dents de la pince qui te rentrent dans la chair.
Aux cris qu'émet ta copine, tu devines qu'elle doit subir le même sort.

Lorsque les deux femmes eurent décidé que vous aviez assez souffert, pour le moment, elles vous retirent les pinces.
Sur vos tétons apparaissent les traces de votre punition.

Elles vous ordonnent de vous asseoir sur une table chacun. Vous savez tous les deux que les représailles pourraient être bien pires que d'obéir aux deux nymphes de ce parc, alors vous obéissez. La blonde se rapproche de toi, et la brune de ta copine, encore une fois. Elles semblent avoir leur petite préférence.

La femme blonde qui se tient devant toi est sublime. Pas plus que ta copine, non, mais différente. Elle dégage une assurance et un charme sans pareils. Ses longs cheveux tombent en cascade sur ses épaules, et invitent à déposer des baisers sur ses omoplates et dans son cou. Tu t'imagines un instant la baiser, puis tu penses à ta copine. Tu tournes la tête pour la regarder, et tu croises son regard. Il est doux, et tu y décèles de la curiosité et de l'excitation. D'un signe de la tête, elle te rassure. Tu sais que tu peux te livrer à cette femme devant toi, ta copine ne sera pas jalouse. Alors tu te détends, et tu reportes ton regard sur la gardienne.

Elle est en train de fouiller dans un sac tellement grand, que tu te demandes comment tu as fait pour ne pas le remarquer plus tôt. Au bout de quelques secondes, elle en ressort un gros vibro. Tu prends peur, et tu te dis que tu n'es pas encore prêt à faire ta première sodomie avec une inconnue et un vibro. Ton étonnement dans tes yeux la fait sourire. Elle allume le sextoy, et le rapproche de ton cul. Ce n'est pourtant pas derrière qu'il vient se poser, mais sur tes couilles. Surpris, tu laisses échapper un petit souffle, mélange de réassurance et de plaisir.

Les vibrations du jouet sur tes couilles pourtant vidées d'il y a quelques minutes te crispent. C'est comme si tu avais envie de jouir, mais que tu ne pouvais pas. Tu as l'impression de rester au point de non-retour, et ça te plaît. Les mains de la gardienne du parc en face de toi s'aventurent sur tes couilles, et replacent le jouet, en s'assurant qu'il vienne bien stimuler chaque centimètre de ta peau. Elle vient même rajouter sa langue. Tu es aux anges, et tu te demandes si braver l'interdiction de rentrer dans un parc mérite toute cette délicate attention. Tu regardes ta copine, et tu vois la tête de l'autre gardienne enfouie entre ses jambes. Tu t'imagines donc à sa place, en train de lui bouffer son intimité, pendant qu'une autre prend soin de tes couilles. Tu avais tant rêvé d'un plan à 3, pour le coup tu es servi.

Une douleur soudaine te sort de tes pensées. Tu sens une sensation étrange qui irradie ton bassin. Tu te redresses, et aperçois la femme qui prenait tellement soin de tes couilles quelques minutes plus tôt, maintenant en train de les malaxer avec plus de ferveur. Tu lui demandes d'arrêter, que ça te fait mal. Elle te regarde en rigolant, mais ne stoppe pas son action :
Tu pensais vraiment que j'allais m'occuper de tes couilles gentiment, alors que tu as bravé l'interdiction de venir dans mon parc ? Pour baiser ta copine en plus ? Tu sais quoi, on vous a maté. Quand on vous a aperçus, vous étiez en train de vous embrasser comme si le temps vous était compté. Alors Jo et moi nous sommes dit que nous allions profiter du spectacle, avant de vous dégager. Mais votre danse nuptiale nous a hypnotisées, alors nous aussi on a commencé à nous embrasser. On vous a regardés comme un porno et on a baisé comme des ados. On s'est dit que ce serait dommage de vous laisser vous enfuir sans vous donner une petite leçon... mais en même temps on a trop kiffé alors on vous doit aussi un peu, termine-t-elle en souriant.

Étonné mais excité par ce qu'elle vient de te raconter, tu en oublies presque la douleur de tes couilles pressées entre ses mains. Finalement, elle est assez agréable, elle te réchauffe et te rassure. Mais elle ne dure pas, et sa bouche vient vite remplacer ses mains.

La blonde te lèche les couilles et te regarde avec envie. Elle remonte le long de ta verge, et vient l'enfoncer dans sa bouche. Avec ses mains, elle caresse la base de ton membre, et sa bouche fait des vas et viens à la hauteur de ton gland. Sa langue tourne dans tous les sens sur le bout de ta queue. Elle varie l'intensité, la douceur, la bestialité, la vitesse. Ça se voit dans ses yeux qu'elle te désire depuis qu'elle t'a vu. Tu adores l'effet que tu lui fais.

Sa langue qui court sur ton gland te fait monter d'un coup. Tu sens que tu vas lui gicler dans la bouche si elle ne s'arrête pas. Alors tu la préviens, mais elle a déjà prévu son coup. Juste avant qu'il ne soit trop tard, elle s’interrompt. Tu as failli louper ton orgasme, mais tu es encore opérationnel. Elle repose sa bouche sur ta bite et reprend son travail. Elle semble prendre beaucoup de plaisir à jouer avec ton envie de jouir.

Tu es toujours allongé sur la table de pic nique du parc. Pendant que la belle blonde s'occupe de ta queue, tu essaies de regarder ta copine. Cette fois, c'est à elle de bouffer la chatte de la brune. Tu es exactement bien placé pour tout apprécier. Tu vois le clito gonflé de la brune, sa petite chatte toute trempée de plaisir. Tu vois la langue de ta copine se hasarder sur son bouton, qui le lèche dans tous les sens. Si la lécheuse n'est pas assez bonne selon les goûts de sa maîtresse, elle gagne des fessées à intervalle régulier. Tu adores voir le cul de ta copine se faire fesser par une autre meuf, la voir lécher et se faire baiser devant toi par une femme presque aussi bonne qu'elle.

Lorsque ta suceuse s'aperçoit que tu les regardes, elle t'avertit que ce qu'elles font ne te regarde pas. Mais tu es tellement absorbé par ce spectacle qu'elle décide que tu t'es assez fait pomper, et te grimpe dessus. Elle vient poser ta chatte sur ta bouche, et t'ordonne de la lécher. Son clito est doux, et durcit au contact de ta langue. Dès que tu entres en contact avec sa chatte, elle soupire de plaisir. Il faut dire qu'avec des années d'expérience, tu commences à connaître les clitos.

Tu tournes, tu suces, tu mordilles, tu tapotes son clito avec ta langue. Tu t'appliques, parce que tu sais que l'avenir de ce jeu dépendra de ta langue. Tu lèches tant bien que mal toute sa vulve et l'entrée de son vagin.
Mais comme elle est assise sur toi, tu as du mal à respirer. Les vas et viens de son bassin au rythme de tes coups de langue sont le seul moyen pour toi d'espérer y arriver. Alors tu accélères pour avoir plus de temps, et le rythme que tu lui imposes devient une partition de musique : tu lèches, elles se cambre, tu inspires, elle presse ton clito sur ta bouche, tu expires, tu lèches, elle se cambre,...

Lorsqu'elle estime que tu l'as assez léchée, elle retourne fouiller dans son sac. Elle en sort un bandeau, qu'elle vient déposer sur tes yeux.
Maintenant, dit-elle, tu vas être entièrement à moi, c'est compris ?
Elle attend... :
Je n'ai pas entendu, c'est compris ?
Oui
Elle te retourne brusquement, et te donne un fessée magistrale.
Je n'ai pas bien entendu je crois, oui qui ?
Je ne connais pas ton prénom, réponds-tu
Une deuxième claque sur ton cul te fait sursauter.
Tu vas m'appeler Madame maintenant, c'est bien clair ?
Oui, Madame.

Satisfaite, elle att tes tétons et les pince doucement en guise de récompense. Ton corps se cambre instantanément, saturé par le plaisir retiré de ce simple geste. Le fait de t'avoir privé de l'un de tes sens – la vue – te rend encore plus sensible.

Pendant une bonne dizaine de minutes, la gardienne du parc t'en fait voir de toutes les couleurs. Elle fait couler de la cire chaude sur ton corps, pile à la bonne température pour ne pas te brûler mais pour que tu souffres un peu tout de même.
Elle sort différents engins de son sac à comme des fouets, d'autres vibros, et même un stimulateur prostatique qu'elle vient poser contre ton cul. Mais sentant ta réticence, elle ne s'y aventure pas.

Elle te place sur les tétons une nouvelle pince, un peu moins forte que la première. Elle tire un peu dessus pour vérifier si elle est bien en place. Mais après, plus rien.

Quelques secondes plus tard, tu sens une bouche venir caresser la tienne. Tu bouges doucement les lèvres pour la goûter. Elle te paraît étrangement familière. Au bout de quelques baisers échangés, tu comprends pourquoi : c'est celle de ta copine. Elle t'a rejoint, et est assise sur ton torse. Elle est trempée de partout.
Une fois qu'elle s'est assurée que tu l'avais reconnue, sa bouche quitte la tienne pour s'aventurer sur ton torse. Tu entends les filles chuchoter des trucs, tu ne comprends pas ce qu'il se passe.

Six mains valsent autour de toi. Elles te caressent depuis les cheveux jusqu'à la queue, en passant par tes tétons et ton ventre. Trois bouches alternent entre des suçons sur ton cou et ton ventre, des baisers sur ta bouche, des fellations,... Sur ta queue, tu sens une bouche que tu reconnaîtrais entre mille. Ta copine suce divinement bien, et aucune fille ne peut l'égaler. Deux autres mains viennent retirer le bandeau de tes yeux, pour que tu puisses apprécier la vue.

Pendant que les deux inconnues s'occupent de tout ton corps, ta copine semble concentrée sur ton cul. Elle le lèche, le caresse, le re-lèche. Ce sont des sensations nouvelles, pas si désagréables.
Tu sens une pression derrière. C'est sur ça qu'elles avaient dû comploter ensemble : le stimulateur prostatique ? Si tu étais réticent à l'utiliser avec une inconnue, tu n'as plus d'excuses maintenant que c'est ta copine qui l'a dans les mains. Tu fermes les yeux et tu te laisses guider.

Une bouche te suce la queue, une autre te lèche partout. Un doigt se présente à l'entrée de ton cul, tu l'acceptes. Lorsqu'il rentre, tu ressens des sensations que tu n'as jamais expérimentées. Elles sont présentes dans l'ensemble de ton bas-ventre, et sont tellement intenses que tu crois t'évanouir.
Couplée avec une divine fellation, la pénétration de ton cul te fait rentrer dans un état second. Tu ne pensais pas être capable de ressentir autant de choses en même temps.

Tu sens ensuite les filles s'affairer autour de toi. L'une d'entre elles vient te susurrer à l'oreille qu'il n'y a pas que toi, et qu'elles aimeraient en profiter également.
À peine eut-elle terminé sa phrase que tu sens une intense chaleur s'emparer de ta queue. Ta copine s'est assise sur ton érection, et commence à se pénétrer en andromaque.

Une des filles vient poser sa chatte sur ta bouche, et tu commences à la lécher. L'autre se place derrière ta copine et commence à lui caresser les seins, lui pince le bout de ses tétons qui pointent d'excitation. Ta copine se retire et se retourne, allongée sur le dos sur ton corps. Tu continues de lécher l'une des deux filles, et la seconde vient se placer en 69 sur ta copine.

Dans une position quelque peu acrobatique mais tellement agréable, vous vous léchez, vous vous pénétrez, vous prenez du plaisir dans ce parc au beau milieu de la nuit.
Tu lèches une inconnue pendant que tu pénètres ta copine, qui lèche une autre inconnue qui la lèche en même temps.

Vos souffles s'accélèrent et, pressés par la durée des stimulations et leur intensité, vous explosez en même temps. Vous hurlez de plaisir et vous vous tortillez tous les 4 en même temps, en vous léchant le plus longtemps possible pour faire durer les sensations.

Lorsque vous reprenez votre souffle, les deux gardiennes se sont déjà relevées. Elles vous poussent à vous allonger sur le dos côte à côté, et se ruent sur vos sexes encore tout engourdis de ce merveilleux orgasme.

L'une te suce, l'autre lèche ta copine. Elles rentrent chacune un doigt dans vos orifices dilatés. Vos visages décrivent ce que vous ressentez : douleur d'une stimulation directe après un orgasme, puis plaisir. Et enfin, explosion de sensations lorsque, au bout de longues minutes, vous jouissez une deuxième fois de suite.

Une fois le travail accompli, les deux gardiennes vous disent au revoir, et vous conseillent de ne pas recommencer à braver l'interdiction de pénétrer dans le parc la nuit. Cela dit, elles vous laissent leurs horaires de travail, et vous quittent avec un sourire coquin.
Qui sait, peut-être que l'envie d'une balade nocturne vous reprendra !