Mes Deux Femmes

Normalement quand je rentre du travail, vers 17 heures, je trouve souvent ma femme
dans la chambre
presque nue qui se masturbe. Elle le fait juste avant mon arrivée pour être certaine
que je vais la
baiser sinon, l’aider à jouir. Depuis des années 17 heures est son heure, même quand
nous sommes en
vacances loin de chez nous. Juste en entrant dans l’immeuble je croise une de ses
copines de
toujours, Annie
- Bonjour, comment vas-tu ?
- Très bien, Huguette t’attend.
- Je sais qu’elle m’attend à cette heure.
- Oui, pour que tu la baise.
- Comment tu sais ça ?
- Elle vient de me le dire.
- Tu es un peu décoiffée.
- Oui en sortant de chez toi je me suis trop baissée et j’ai touché la rampe avec la
tête ?
- Pas de mal ?
- Non, merci.
Elle me fait la bise habituelle avant de partir.
J’entre sans faire de bruit, comme toujours, Huguette m’entend quand même. Je vais
dans la chambre.
Pour une fois elle est totalement nue.
- Bonjour mon amour,
- Bonjour chérie.
- Je crois que j’ai fait une petite bêtise. Tu as du croiser Annie ?
- Oui pourquoi ?
- C’est elle ma bêtise.
- Comment ça ?
- Elle n’a pas osé t’en parler. Nous avons baisé ensemble et en plus je n’ai pas de
remord.
J’ai comme un coup au cœur. Elle vient de me tromper avec une autre femme et elle a
aimé ça.
Pourtant depuis longtemps je le lui demandais de faire l’amour avec une autre, mais
devant moi, pas
dans mon dos. Elle ajoute :
- Elle revient demain samedi vers heures 15 heures plus tôt qu’aujourd’hui, tu nous
verras ensemble,
elle m’a même dit qu’elle était d’accord pour que tu la baise devant moi. Il me tarde
de voir ta
bite dans sa chatte ou son cul, je ne sais plus où elle aime le plus.
Donc demain j’aurais dans le lit outre ma femme de 35 ans, sa copine du même âge.


J’espère que mes
reins de 40 ans auront la force de les baiser les deux. En un éclair je les vois
enlacée elle blonde
très claire et son amie brune comme une sicilienne.
Donc pour moi la baise de 17 heures n’a pas lieu. Nue toujours couchée, elle me tend
ses lèvres pour
m’embrasser. Pas possible, elle vient de sortir d’une séance de saphisme et elle a
encore envie de
jouir ? Pendant le baiser elle sort ma bite du pantalon pour me branler, car je bande
depuis qu’elle
me parle d’elle et de son amante. Je suis vite nu : elle embrasse un peu ma queue,
comme pour se
faire pardonner. Son godemichet est toujours sur le lit, il est encore rempli de
traces douteuses.
Soit c’est sa cyprine soit c’est celle d’Annie.
- Baises moi une fois seulement, après tu me la mettras au cul.
- Annie ne t’a rien fait au cul ?
- Si mais ce n’est pas avec une langue qu’on remplace une bite.
Elle écarte bien les jambes pour se donner. J’entre dans une vulve toute mouillée des
jouissances
qu’elle a eues. Je glisse en elle trop facilement. Pourtant je commence à avoir envie
de jouir moi
aussi. Je me retire à temps. Pour me remercier en se retournant en levrette elle me
donne un baiser
sur la bite, sa langue lèche à peine sa cyprine.
Je suis sur son cul. Je remets mon prépuce sur le gland pour entrer sans problème.
Enfin elle me
guide, comme si j’avais oublié depuis ce matin son anatomie. Je pensais forcer un
minimum pour
entrer.
- Elle m’a léché le cul un bon moment.
Je n’ai aucune raison de refuser d’entrer là où une langue de femme est déjà entrée.
Mais je vais
plus loin qu’une simple langue. Je lime son postérieur longuement, assez pour qu’elle
jouisse.
Portant quand à mon, tour quand mon sperme va se perdre dans la profondeur de on
boyau, il me semble
qu’elle jouit encore, ce qu’elle confirme.

Bof je suis obligé de l’abandonner : elle a trop jouit. Je me vengerais demain. Sauf
que pour une
fois elle reste juste avec son peignoir transparent pout le reste de la soirée. Pour
se faire
pardonner, au cours du repas elle reçoit son plat de résistance quand après une
fellation elle
reçoit toute ma salve de sperme dans sa bouche. Elle ouvre bien la bouche pour me
montrer la
quantité de foutre qu’elle a reçue. Je ne pensais jamais en faire autant.
Nous regardons la télé sans y prêter attention. Une fois couché nous nous embrassons
pour nous
endormir aussitôt, elle n’a plus envie de jouir. Comme toujours en me couchant je me
branle. J’ai
cette manie depuis que je suis en âge de me branler, même en fréquentant une fille, je
le fais
toujours. Même Huguette n’a jamais compris pourquoi je faisais ça.
Le lendemain la matinée passe en courses diverses, le repas aussi passe vite : sans
que nous nous en
apercevions Annie est déjà là. Elle est habillée sexy à sa façon : une mini jupe ras
de la touffe,
une chemise d’homme fermée par deux boutons seulement.
Elle m’embrasse sur les joues, Huguette sur la bouche en lui mettant déjà bien avant
l’heure une
main sur la chatte.
- Salut vous deux, on baise tout à l’heure.
Je ne réponds que rapidement :
- Ouaip, non baisons. Tu la veux où ?
- Je m’enfiche tu moment que te me la mets devant ta femme.
- Tu veux me gouter avant ?
- Je veux bien.
Elle sort ma bite sans scrupule devant mon épouse. Avec ses lèvres mon prépuce est
vite descendu. Sa
langue lèche le gland. Elle s’arrête là dès que je bande trop pour dire en se levant :
- Oui tu as bon gout, je te sucerai après ta femme pour que j’ai aussi son gout avec
le tien, ça
doit être agréable le mélange de sa mouille et de ton sperme.
Nous sommes tombés sur une femme totalement libérée et sans pudeur aucune puisqu’elle
embrasse ma
femme à sa façon : elle lui lèche la lèvre avant de lui mettre toute sa langue dans la
bouche.
Ce
doit être agréable à voir les mimiques de ma femme.
Je bande sans cesse pendant qu’elles se déshabillent totalement. Annie est sexy, plus
qu’Huguette.
Quand elle prend ma femme dans ses bras ce n’est pas pour rien : elle la caresse
partout, sa bouche
est vite sur la poitrine. Huguette n’a même pas le temps de lui faire des choses
affectueuses. Elle
subit un peu.
Elles sont sur le même fauteuil, Huguette sur les genoux d’Annie. Elle écarte ses
jambes sur la
pression des mains d’Annie qui commencent enfin normalement par caresser l’intérieur
des cuisses
pour aller relativement lentement sur la chatte déjà bien mouillée de ma femme.
Je reste en spectateur devant le couple de lesbienne. Ma bite est au garde à vous : je
ne peux plus
me retenir, je la prends dans ma main et lentement je me branle. La main d’Annie est
maintenant dans
le trou d’amour de ma femme, elle en a mit trois doigts qu’elle fait aller et venir.
Huguette se
laisse totalement aller au plaisir procuré. Annie y ajoute sa bouche sur un sein, là
Huguette
commence à jouir. Elle continue longtemps à avoir un spasme qui semble sans fin. Sa
jouissance m’est
inconnue. Je la vois remuer la tête dans tous les sens. Elle gémit sans cesse : elle
n’a jamais joui
ainsi avec moi.
Quand Annie arrête c’est pour qu’elle aussi ait sa part de festin. Elle se lève pour
venir cette
fois sur les genoux d’Huguette, qui n’hésite pas à lui caresser l’intérieur des
cuisses. Elle ne
fait que rendre la monnaie de sa pièce. Elle doit être assez douée pour arriver à la
faire jouir
autant qu’elle tout à l’heure.
Il y a quand même une grande différence, elle prend ma bite dans sa bouche. J’aime
être ainsi sucé
pendant qu’elle masturbe son amie. Elle me mordille un peu pour m’empêcher de jouir
trop vite.
Elle
a raison, je tarde pour partir dans sa bouche. Quand elle me lâche je n’ai plus de
sperme dans ma
colonne. Elle donne sa bouche à Annie qui avale la part qu’elle lui donne. Ce baiser
se prolonge un
bon moment. Quand elles oublient la bouche de l’amante, Annie me parle enfin :
- Tu as bon gout, je vais me régaler en aspirant ton jus.
- Et moi le tien ou celui de ton cul.
Ma femme intervient :
- Tu veux nous baiser ensemble ?
- Comment ?
- Allons dans la chambre, tu verras bien.
Nous voilà partis ensemble vers le lit : les deux femmes se tiennent comme des
amoureux par la
taille. Marchant derrière elles je me régale d’admirer ces paires de fesses. Je sens
bien qu’elles
ont envie encore l’une de l’autre. Si je pouvais être tout près je pourrais prendre
chaque cul
ensemble.
Dans la chambre, ma femme envoie promener tout : couvre lit, couverture et draps. Elle
est gênée par
Annie qui la taquine en lui mettant souvent sa main sur les fesses. Je m’occupe comme
je peux en
caressant les fesses d’Annie. Elle me laisse faire. En s’adressant à nous deux elle
dit :
- Si nous baisions maintenant. Toi, Pierre tu te couche sur le lit, avec Huguette nous
te
partagerons. Tu nous feras jouir et nous l’en ferons autant. Ta queue n’a qu’à bien se
tenir droite
et raide. Nous allons jouir ensemble.
Je suis d’accord. Pour le marquer je vais venir mes deux amantes près de moi. Je sors
ma langue de
la bouche et elles viennent poser les leurs sur la mienne. Drôle de baiser à trois,
mais excitation
garantie.
Je suis bien couché, Annie vient se branler sur ma bite. Huguette lui caresse les
seins. Je m’avance
déjà à caresser les fesses d’Huguette.
Je pense brusquement que nous vivons drôlement : un couple qui accepte l’amante pour
baiser à trois.
Je regarde ce que fait l’amante justement. Cette fois le sérieux commence : elle
s’empale sur ma
bite en faisant lentement descendre son corps sur le mien. Je sens ses fesses contre
mon pubis quand
elle arrive à avoir toute ma queue dans son ventre. Elle murmure des mots sans suite :
- Oui, baise moi, ta queue est bonne dans mon con, suce aussi ta femme, baise nous
bien fort comme
maintenant, mets moi la profond.
Tout ce qu’elle demande est fait : ma femme vient sur ma bouche. Entre sa bouche d’en
bas et la
mienne une drôle d’osmose se produit. C’est seulement ma langue qui bouge sur toute sa
fente, selon
les désirs non exprimés. Elle mouille tellement que je reçois sa cyprine à flots
continus sur et
dans ma bouche. Elle me donne son jus liquoreux sans restriction. Je dois en avoir
plein le visage.
Elle se penche en avant pour chercher la bouche d’Annie. Je le devine simplement quand
je sens ses
orgasme se suivre presque sans arrêt.
Je sens également les jouissances d’Annie autour de ma bite. Bêtement je pensais
qu’elle allait
s’arrêter de se faire mettre après avoir joui. Elle ne se repose qu’un quelques
secondes pour
reprendre rapidement ses aller et venue. Elle n’attend qu’une seule chose, que je
jouisse pour lui
donner dans le ventre un dose de sperme.
Nous nous effondrons tous dans une surdose de jouissance. Je suis couché entre les
deux femmes,
elles ne demandent qu’une seule chose : les caresses post accouplement. Je fais ce que
je peux pour
les satisfaire. J’embrasse l’un et l’autre sans qu’elle s’en formalise. La jalousie
n’a pas cour
chez nous. Elles caressent toujours ma bite molle qui ne le reste pas longtemps à ce
régime.
Elles commencent à en vouloir encore. Je regarde ma bite : elle me semble en état de
marche, avec
son mat bien droit et son bout à peine rougeâtre. Mes couilles sont cachées et en
levant la tête je
les vois bien relevées sur le bas ventre : tout est OK.
Les femmes aussi sont en bon état. Huguette a besoin de la bouche et la langue de son
amante sur son
cul. Annie se positionne sur le lit, la tête tout près de la rondelle de ma femme. Je
m’accroupis
pour regarder la chose. Huguette agrandit le compas de ses jambes pendant que la
langue d ’Annie est
tendue. En regardant attentivement je vois le bout de langue entourer le rectum de ma
femme,
lentement pour ensuite se poser directement dessus. J’assiste à la pénétration d’une
langue dans un
cul. Je ne me retiens plus, je me branle doucement. Huguette jouit assez vite.
- Peux-tu me lécher le cul aussi ?
- Toi un homme ?
- Pourquoi, ça te gêne ?
Elle vient sur moi, passe sa tête entre mes jambes comme si j’étais une femme. Après
tout pourquoi
je n’aurais pas droit à ce traitement spécial. Elle arrive pour d’abord prendre ma
bite dans la
main, me branler un peu, pour finir elle arrive sur mon anus. Je sens sa langue lécher
lentement,
presque trop lentement. Ca dure un bon moment. Je commence à bander plus fort : je
sens cette
sensation bizarre sur et ensuite juste à l’entrée de mon cul. Elle lâche ma pine pour
se consacrer
uniquement à mon cul, comme elle vient de le faire à ma femme. C’est elle qui ajoute
un atout
supplémentaire en m’embrassant profondément sur la bouche. Elle n’hésite pas à prendre
ma bite dans
sa main.
Je reste à la merci des deux femmes, l’amante de ma femme me lèche le cul et mon
épouse, celle que
j’aime me masturbe. Sans que rien ne le laisse supposer, je sens ma jouissance partir
de mon cul
pour venir me faire éjaculer sur le visage de ma femme. Je ne pensais jamais jouir
dans de telles
conditions.
Libres maintenant, débarrassées un instant de moi, elles se font encore l’amour en 69.
Pourtant
elles ajoutent un tout petit supplément. Le gode d’Huguette est de sorti, ainsi que
celui du sac
d’Annie. Elles se bourrent le cul en se léchant les clitoris.
En tournant sur elles même, elle me donne à voir tout leur corps. Le spectacle, digne
d’un film
porno me donne plus que la vue : il me fait encore bander.
Cette fois j’ai envie de baiser, pas d’enculer. Pourtant je ne gagne pas, encore une
foi Annie me
veut. Elle vient sur moi me donner sa chatte à sucer pendant qu’elle prend ma queue
dans sa bouche,
à croire qu’elle n’a pas sucé assez de sexe depuis son arrivée. Je ne suis pas perdant
dans
l’affaire : si seule sa langue lèche, ses lèvres se transforment en véritable sexe
féminin. Elle
semble répondre à ce que je lui donne avec ma langue. Je crois même qu’elle me fait
arriver sur sa
glotte. Mon gland est continuellement sollicité soit pas ses lèvres et sa langue soit
par ses joues.
Elle me fait partir dans les limbes de l’orgasme. Je jouis pour la dernière fois en
lui donnant le
plus qu’il soit possible de sperme. Elle n’en perd pas une seule goutte qu’elle
partage avec ma
femme.
Je les laisse baiser encore un peu jusqu’à ce qu’elles aussi s’arrêtent rompues par
une baise qui
dure depuis plus de 5 heures.

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