14 - Poker Truqué Pour Qui Perd Gagne Et Vice Et Versa
Jattendais tranquillement ma petite femme chérie à la terrasse dun bar et
jallais lui faire signe en lapercevant quand la belle sarrêta à une autre table. Il
y avait trois jeunes hommes quelle salua, deux en leur tendant la main et le
troisième en lui faisant la bise. Ils discutèrent allègrement quelques instants et
Maria fit un geste pour indiquer vaguement ma direction. A ce moment, le troisième
jeune se leva et Maria lembrassa sur la bouche en se laissant caresser devant ses
copains. Quelques instants plus tard, elle mexpliqua en membrassant à mon tour
quelle venait de rencontrer son jeune amant du club. Elle tenta de me faire
comprendre pourquoi elle avait voulu le faire mousser devant ses copains, pour quils
sachent que non seulement il avait possédé une femme mariée, mais quil avait lart et
la manière de satisfaire une dame. Je pensai malgré moi quils la considéreraient
maintenant pour la plus grosse salope de la ville. Et ils ne se trompaient guère.
Javais du mal à accepter que tant de mâles passent sur le ventre de mon
épouse. À dire vrai, jassumais mal de devoir partager ma femme avec ses nombreux
amants. Ma femme, notre femelle à tous, aurait-on pu dire. Mais ce qui ne passait pas,
mais pas du tout, cétait de la voir se soumettre aux désirs les plus pervers de ses
nouveaux maîtres qui non seulement en disposaient à leur guise en la prenant et en la
soumettant à toutes leurs fantaisies, mais encore la proposaient à leurs copains qui
faisaient la même chose avec elle. Et ma petite femme chérie passait ainsi dhomme en
homme sans sourciller, et en prenant du plaisir avec chacun.
Je souffrais entre un sentiment de jalousie et un désir de conserver mes
prérogatives de mari. Je souffrais aussi de voir que cette situation méchappait et
que dautres tenaient les rênes de ma jument.
contrôle de cette femelle et de lui prouver que je pouvais être légal de ses mentors
du vice et de la luxure. Mais comment faire ? Peu à peu lidée de la soumettre moi-
même à dautres hommes simposa à moi comme la plus évidente. Cette idée mûrissait
chaque jour davantage et finissait par devenir obsessionnelle. Mais je voulais
surtout lhumilier, lavilir pour mieux la reprendre et lui pardonner ses écarts et
pour cela, je voulais me montrer sans concession pour sa propre dignité. Philippe,
Roland, et autres Robert en avaient disposé et lavaient pervertie en une catin
lubrique qui pouvait même se prosti à loccasion. Moi, son mari jallais prendre
la suite mais non sans état dâme. Malgré tout, je tenais à elle, je laimais et je ne
voulais pas la perdre ni quelle se perde elle-même dans le vice. Je voulais pour ce
faire ne pas me tromper sur le moment opportun ni sur la manière, ni sur celui ou ceux
à qui javais lintention de la soumettre. Je souriais déjà en pensant que je faisais
un drôle de justicier, la logique dun mari cocu invitant ses amis à baiser sa femme
étant quelque peu tortueuse. En fait, jétais le mari dune salope, avec des cornes de
plus en plus longues, un mari résigné, un mari lui-même soumis à la nymphomanie de son
épouse. Cétait presque une approche masochiste de ma situation. En attendant,
jallais faire le bonheur de celui qui profiterait de mon désir de vengeance pour
baiser ma femme.
Malgré toute ma bonne volonté, je fus encore pris de court. Parfois, javais
lopportunité de rentrer plus tôt quà laccoutumée, une fois javais déjà eu la
surprise de trouver Eric dans mon lit. Cela navait pas été une bonne expérience,
celle de se savoir cocu et de se sentir gênant en plus, cétait horrible et je faisais
tout pour ne pas me mettre dans la même situation.
jentrai chez moi comme un voleur, sans faire de bruit, sans trahir ma présence. Et
encore une fois, un spectacle scabreux me fut offert par ma tendre chérie. Philippe
avait pris la place dEric, celle de lamant attitré, et chevauchait mon infidèle
moitié avec lardeur dun hussard chargeant sans quartier à la bataille. Sa monture,
les cuisses remontées sur les épaules de son cavalier, galopait au paradis des
salopes, elle hennissait de plaisir à chaque coup déperon. Maria gémissait,
encourageait son amant à ne pas la ménager, jétais bien placé pour savoir que plus on
la baisait fort, plus elle mouillait et plus elle en voulait. La première pensée qui
me vint, cest quà force de vouloir lui défoncer le cul et le con, cette brute allait
finir par bousiller mon matelas. Alors que ma femme me faisait encore cocu, javais
conscience du ridicule de cette pensée matérialiste. Il ny avait pas dissue, je
mefforçai de ressortir de ma propre maison aussi discrètement que possible, soulagé
que les fornicateurs ne se soient pas aperçus de ma présence et je partis marcher deux
bonnes heures. Quand jestimai que ce salaud de Philippe avait eu largement le temps
de baiser ma femme, je rentrai à la maison, tout était rentré dans lordre, ma femme
sortait de la douche, propre comme une femme vertueuse que je pris à mon tour sans
autre forme ni de procès ni de commentaire. Je ne cherchai pas à savoir si lamant de
ma femme venait souvent chez nous, sil la baisait dans mon lit, sil la baisait à
lhôtel, sil la baisait tout seul ou si comme il lavait promis, il invitait des
copains à la sauter, bref, je préférai ne pas trop en savoir.
On aurait dit que Maria redoutait une réaction violente de ma part depuis
quelle avait joué lapprentie putain dans la cabine dun camion. Elle se montrait
docile et dévouée, ne me contrariait plus, et accédait à mes moindres désirs sans
jamais rechigner.
puisquelle me permettait de la prendre tant que je voulais, où je voulais et comme je
voulais. Pour plus de facilité, elle shabillait toujours en jupe ou en robe, portait
des bas et enlevait promptement sa petite culotte dès quelle sentait que javais
envie de la caresser ou de la posséder. Jétais plutôt flatté de sa soumission, mais
cela ne suffisait pas : ma petite putain devait apprendre ce quelle était.
Il fallait me rendre à lévidence, lépouse modèle était devenue nymphomane.
Je ne lui suffirais plus désormais. De temps en temps, elle ne pouvait dominer ses
sens et il lui fallait laisser libre cours à sa libido et avoir des rapports avec
dautres partenaires. Par contre, ce que je pouvais faire, ce que je me devais de
faire si je ne voulais pas la perdre, cest essayer de canaliser ses pulsions
amoureuses, lui organiser moi-même des joutes sexuelles où elle pourrait assouvir ses
sens avec des hommes que je choisirais pour elle. Ainsi jaurais au moins le sentiment
de maîtriser encore quelque chose. Dans le même élan, je fis quelques emplettes du
genre coquin, une nuisette totalement démente : en mousseline noire transparente, elle
sassombrissait sur le dos et sur le ventre et devenait totalement translucide et
claire au niveau des seins et du pubis. Bref, quand Maria essaya son nouveau
déshabillé, je fus dabord stupéfait, puis assez excité pour la culbuter contre le
sofa et la sauter sur le champ. Jessayais den imaginer leffet sur des hommes qui
navaient jamais vu ma femme en maillot de bains et qui la découvriraient plus que nue
puisque les regards convergeaient ment sur ses parties les plus érotiques, ses
seins et sa touffe.
Quelques semaines plus tard, nous eûmes deux amis à la maison, en fait le mari
et le fils dHélène qui se trouvait être la meilleure amie de ma femme.
accompagnait son beau-fils qui devait prendre le train le lendemain, en labsence
dHélène partie soccuper de sa mère, Maria avait proposé de les héberger pour la
nuit, ainsi Norbert partirait le lendemain sans avoir à se préoccuper du jeune Lucas
resterait avec nous jusquà son départ.
Le soir, nous sommes sortis tous les quatre dîner au restaurant et danser dans un bar
autour du port. Ma petite femme chérie adorait danser et était infatigable. Elle avait
passé toute la soirée à se trémousser sur la piste, avait dansé maints slows dans
leurs bras et les miens. Elle ne me rejoignait à notre table que pour boire quand elle
mourrait de soif, si jolie dans sa robe rouge assez légère pour dessiner son string et
ses formes prometteuses et qui laissait percer les bouts de ses seins tendus par les
mouvements et le frottement du tissu. Quand elle se trémoussait sur la piste Maria
faisait virevolter la robe très courte en découvrant le haut de ses cuisses. Le
vêtement faisait leffet de la cape quon agite sous les yeux dun taureau pour le
rendre fou. Maria excitait les sangs rien quen remuant les fesses et appelait au viol
en dansant avec ses trois cavaliers. Chacun pouvait sentir comment les pointes de ses
seins étaient dures et bandées quand elle nous enlaçait pour danser langoureusement
corps à corps, je nétais certainement pas le seul à menflammer à la chaleur de son
ventre quand elle frottait son bassin avec juste un petit voile de chiffon entre les
ostensibles désirs mâles et sa féminité. Lalcool quelle consommait sans aucune
modération et lambiance de discothèque la rendait plus libertine que dhabitude,
provocante et carrément impudique pour une femme mariée. La coquine devait samuser de
lémoi quelle suscitait chez nos amis. Je la voyais faire cette allumeuse, elle
samusait à leur provoquer dincontrôlables érections, frottait son ventre ou son cul
sur leur sexe bandé en ondulant des reins et les laissait rouges de désir et de honte,
feignant une naïve indifférence en passant des bras de lun à lautre. Elle abusait de
son statut de femme mariée, elle faisait celle qui ne le faisait pas exprès, mais ses
fesses aguichaient ouvertement le mari et le fils de son amie, ils la frôlaient sans
oser aller plus loin, sans doute à cause de ma présence. Ils revenaient parfois se
désaltérer et ça continuait car madame sasseyait sur les genoux de lun ou de
lautre, ingénument ou vicieusement, elle laissait remonter sa robe jusquà découvrir
sa culotte. Et ça recommençait sur la piste, elle mettait toutes les braguettes en
danger dexplosion.
En rentrant, je vis que madame avait vraiment beaucoup bu. En fait, elle était
tellement ivre quelle narrivait pas à marcher seule et quil fallait laider à se
tenir droite. Elle titubait, les bretelles de sa robe tombaient et laissaient ses
seins nus, Madame était vraiment dans un drôle détat. Nous la prenions chacun notre
tour et entre deux pour monter les escaliers avec Norbert qui la poussait aux fesses.
Celui-là ne perdait pas une occasion de peloter ma femme qui était trop saoule pour
réagir. Il croyait sans doute être discret, mais à chaque fois que je le regardai à la
dérobée, il tenait la dame en la ceinturant, les mains plaquées sur les seins quil
tripotait sans vergogne, il ne manquait pas de palper son cul pendant quil la
retenait par derrière. Encore une fois, ce nétait pas son statut de femme mariée qui
soustrayait mon épouse légitime de la convoitise des autres mâles, jeunes ou plus
âgés. Le temps pour moi douvrir la porte de lappartement, Lucas réussissait tant
bien que mal à le faire tenir debout quand elle déclara avec lobstination de
livresse quelle voulait faire pipi. Lucas laccompagna donc jusquaux toilettes. En
sortant, elle se tenait contre lencadrement de la porte, la culotte sur les
chevilles. Las, je demandai à Lucas de lui remonter sa culotte. Je ne voyais pas très
bien ce qui se passait mais elle réapparut devant tout le monde en ricanant :
- Je crois que Laurent ma touchée. Il a tripoté mon minou.
- Ce nest pas vrai.
Il tentait de se défendre, le visage rouge cramoisi tandis que la belle continuait :
- Ce nest pas grave si tu as touché ma chatte, pas grave du tout.
- Je lai vue cest vrai mais je ne lai pas touchée, je vous assure.
- Je men fiche de te montrer mon minou, jespère même que tu las vu et que tu
las touché un peu. Si ça tu veux, je te le montre encore. Tu veux encore me caresser
?
- Non, je vous assure.
- Laisse le, le pauvre, tu le gênes.
- Tant pis. Moi maintenant je vais aller au lit. Bernard, tu viens avec moi ?
- Jarrive dans un moment.
- Non, tout de suite, jai envie de me faire baiser.
- Ça va, je viens.
- Regarde, jenlève ma culotte.
- Va dans la chambre.
- Jai envie dune grosse queue.
Maria avait effectivement enlevé sa petite culotte blanche devant nous trois et se
dirigeait en titubant vers la chambre en faisant tournoyer le sous-vêtement au dessus
de sa tête. Elle se retourna une nouvelle fois en insistant avec limpatience dune
femelle soûle qui ne se contrôlait plus :
- Je veux me faire baiser.
- Tu las déjà dit. Jarrive dans un moment.
- Non, tout de suite.
- Mets-toi au lit, je viens dans cinq minutes.
- Tout de suite jai dit. Je ne peux pas attendre, je veux une bite au fond de
mon trou tout de suite.
- Va au lit je te dis.
- Tu sais que je suis une grosse salope quand jai bu, jai envie de me faire
sauter par tout le monde.
- On le sait tous maintenant.
- Alors dépêche toi sinon je vais demander à nos copains de prendre ta place.
Lequel veut venir au lit avec moi ? Je vous prends tous les deux si vous voulez !
- Arrête, tu es saoule.
- Je le sais et jadore ça, alors viens vite avant que tes amis ne profitent de
ta salope sinon tu vas encore être cocu et tu ne seras pas content.
- Cest bon, jarrive.
Tout en parlant, ma femme commençait à se déshabiller. Elle avait défait les premiers
boutons de sa robe et ouvrait déjà le haut en montrant ses seins nus. Heureusement
quelle entra dans la chambre avant de finir denlever son vêtement. Norbert et Lucas
assistaient à la scène sans un mot. Une femme saoule sans aucune pudeur, qui ne
contrôlait plus ses pulsions sexuelles, qui tenait des propos grossiers et qui se
déshabillait devant eux les avait ment troublés et excités. Je pense quils
auraient été ravis de jouir plus longtemps du spectacle et peut-être de pousser un peu
plus loin la proposition indécente de la dame.
Quant à moi je ne tardai pas à la rejoindre au lit. La belle était allongée, les
cuisses largement ouvertes et clamait à tue-tête quelle voulait se faire foutre. Je
fis le nécessaire sans aucun préliminaire ni même sans prononcer un seul mot et
entrait en elle comme dans un volcan en éruption. Jamais je navais vu Maria dans cet
état. Son con était une fournaise, elle était trempée et tremblait de désir. Jeus à
peine le temps de guider ma queue entre les lèvres de sa vulve avant de subir la
violence de son désir. Dès quelle fut pénétrée, ma femme agrippa mes fesses et y
planta les ongles assez fort pour me faire mal. Elle se servait de ma verge comme dun
instrument de plaisir. Elle ondulait du bassin dabord à petits coups de reins puis de
plus en plus fort, se tortillait comme une folle. Javais limpression davoir mis mon
pénis dans une machine à traire détraquée. Son con brûlant faisait prise autour de ma
queue comme une bouche goulue Je ne sais pas si Eric, Robert, et ses autres amants
avaient baisé ma femme alors quelle était excitée à ce point. Moi javais du mal à
reconnaître mon épouse dans cette femelle lubrique possédée par le désir. Ce nétait
quun sexe sur lequel on avait branché directement de puissantes cordes vocales. A
peine quelques minutes plus tard, Maria se tordait dans tous les sens comme une jument
indomptable et jouissait en criant assez fort pour que sa voix transperce toutes les
portes et tous les murs de lappartement. Après un orgasme surréaliste, Maria ne
bougea plus un muscle, anesthésiée par lalcool et repue de sexe. Elle se tourna sur
le coté avec les mains entre les jambes, puis se mit à ronfler peu après. Le calme des
ronflements succéda à cette tempête que chacun avait pu entendre jusque de lautre
coté de la rue. Je gage que ma petite femme troubla le sommeil de nos deux invités
cette nuit là.
Le lendemain matin, chacun se réveilla en évitant dévoquer les évènements de la
veille et surtout les débordements de ma femme. Le dimanche sannonçait plus casanier
que prévu à cause dun fort mistral et nous sommes restés déjeuner à la maison. Après
le repas, chacun racontait ses aventures, ses prouesses à la pêche et autres petites
histoires autour dun bon verre dalcool et de soda. Ma petite épouse modèle était
moins expansive que la veille, mais tout autant ravissante et désirable. Légèrement
affalée dans le fauteuil, je pouvais même assurer quelle était bandante la petite
chérie. Elle exerçait un magnétisme torride sur les deux invités qui avaient flirtés
toute la soirée avec elle et qui avaient du mal à détacher leurs yeux de ses cuisses
gainées de noir. Maria portait une courte robe fendue et boutonnée sur le devant dont
léchancrure laissait le regard courir jusquà la lisière des bas, récompensait le
voyeur persévérant de la vue dun haut de cuisse nue, mais la belle devait faire un
geste plus large ou croiser très haut ses jambes pour apercevoir furtivement une ombre
noire bien prometteuse. Jobservais avec amusement le manège de nos deux invités.
Norbert devait regarder la meilleure amie de sa femme avec amusement, et sans doute
avec suffisance, savourant sans doute ses écarts de la soirée passée. Pour Lucas,
cétait tout autre chose. Jétais certain quil était encore puceau, alors pour lui
Maria était une déesse, lhéroïne de ses rêves pornographiques quil osait à peine
profaner dun regard sans pouvoir détacher ses yeux de ses cuisses sublimes et avec
lespoir fou de pouvoir un jour voir et toucher ses parties les plus intimes. En
vérité cétait des proies bien faciles pour une femme. Maria se comportait comme une
chatte qui samusait de deux souris. Javais le pouvoir de changer la donne et je
pensais maintenant ce que ferait la belle féline si elle devait se soumettre à ses
proies. Je devais sourire visiblement à cette idée car la chatte me regardait
maintenant dun air soupçonneux. Quand elle se leva pour quitter la pièce, je la tirai
par ma main pour lamener sur mes genoux. La belle était à croquer et je lembrassai
avec délice. Tout en la tenant enlacée, je la caressai doucement, et ma main libre
dégrafa un bouton pour entrer dans la robe et toucher ses seins, puis descendit sur
son ventre et passer entre ses cuisses légèrement écartées pour caresser son sexe.
Elle me laissa faire mais marrêta quand elle se rendit compte que javais écarté sa
petite culotte pour jouer avec son clitoris. Sans reproches, elle dit simplement :
- Arrête, mon amour, nous ne sommes pas seuls.
- Nos invités sont de grands garçons, je suis sur quils ne sont pas choqués.
- Ne vous gênez pas pour nous, vous pouvez continuer.
- Moi non plus, je ne suis pas choqué.
- De toute façon, jai plein de choses à faire. Je vais dabord changer les
draps. Et vous les garçons, vous devriez aller enlever ceux de vos lits pour que je
les lave. Allez, au boulot !
Si nos invités nétaient pas aveugles, ils avaient du en prendre plein les
yeux. En les observant à la dérobée, je vis un sourire sournois et triomphant sur les
lèvres de Norbert tandis que Lucas avait viré rouge cramoisi. Assurément, ils avaient
de bons yeux. Néanmoins, tout le monde se mit en branle pour exécuter les ordres de
Madame. Un moment plus tard, je me levai à mon tour pour aller rejoindre ma femme dans
notre chambre. Je la découvrais au moment où nos deux lascars ressortaient de leur
chambre. Devant le spectacle, je leur fis signe dentrer silencieusement. Maria était
accroupie à quatre pattes sur le lit pour arranger un angle du drap, nous tournant le
dos et dans une posture terriblement suggestive. Sa croupe en saillie tendait sa robe
sur ses formes généreuses et relevait le vêtement qui ne la couvrait pas plus quune
ceinture un peu large. En plus des jambes gainées de bas noirs, des cuisses nues,
chacun de ses mouvements découvrait généreusement ses fesses rondes et charnues,
magnifiquement mises en valeur par le string qui nen cachait que la raie et un peu le
haut en sinsinuant dans la fente. Maria était en train de nous mettre le feu. Elle se
rendit enfin compte de notre présence et se retourna pour se tenir assise adossée
contre la tête du lit, les jambes légèrement repliées. Elle était piégée, la belle
petite chatte, elle dévoilait ses dessous intimes sous des angles différents à chacun
de ses mouvements, et surtout ses parties les plus secrètes, dabord ses fesses
blanches et nues, et maintenant sa fente et sa touffe dévoilées par la transparence de
sa petite culotte.
Je lui déclarai :
- Tu as de fervents admirateurs, tu sais !
- Arrêtez, vous allez me faire rougir.
Les choses en restèrent là jusquau repas, simple et léger après celui très copieux et
très arrosé de la veille au soir. Installés sur les canapés, nous prîmes le café. Je
servis ensuite des petits gâteaux de soirée avec une bouteille de champagne pour
déguster avec. Le choix du champagne nétait pas innocent car une femme légèrement
ivre serait plus volontiers coquine, et je nen attendais pas moins de ma tendre
moitié. À cause du vent désagréable, à cause aussi des excès de la veille, personne
navait vraiment envie de sortir pour faire un tour en ville. Norbert proposa de jouer
aux cartes et son idée fut adoptée.
Nous jouâmes dabord au pouilleux, après au rami, à la belotte, mais il y avait
toujours un des joueurs qui ne connaissait pas vraiment les règles. Il y avait bien la
bataille, mais ce jeu nemballait personne. Norbert suggéra le poker que tout le monde
connaissait plus ou moins. Le problème fut alors dintéresser la partie. En joueur
plus expérimenté, Norbert déclara :
- On joue à combien le point ?
- Vous voulez jouer de largent ?
- Ma foi, au poker, il faut toujours jouer pour quelque chose, sinon le jeu na
aucun intérêt.
- On peut jouer avec des allumettes.
- Cest nul.
Je lançai :
- Il y a bien le steap-poker.
- Cest une idée, ça.
- Moi, je veux bien, moi toi Maria, tu ne vas pas vouloir.
- Et pourquoi je ne voudrais pas ?
- Tu risques de te retrouver à poil.
- Vous aussi, mes petits chéris. Vous pouvez perdre et être obligés de me
montrer vos bijoux de familles.
- Tu irais jusquau bout ?
- Oui, si personne ne triche.
- Alors il faut des règles précises.
- Je propose quon ait chacun un capital de points pour miser, et de jetons pour
parier. Ces jetons seront raflés par le gagnant qui pourra jouer avec.
- Et le perdant ?
- Celui qui perd un jeton devra aussi enlever un vêtement.
- Lequel ?
- Il faudrait que le gagnant puisse choisir ce quenlèvera le perdant.
- Je préfèrerais que chaque vêtement soit partagé en trois jetons par exemple et
quon enlève le vêtement seulement quand on perd les trois jetons.
- Cest possible, cest même une bonne idée, Maria. On aurait alors dix points
de mise, et quinze jetons, quen pensez-vous ?
- Pour moi, cest tout bon.
Je lâchais alors un deuxième trait :
- Et si on ajoutait aussi des gages ?
- Explique !
- Celui qui se retrouve tout nu pourrait jouer un joker en proposant de faire
quelque chose au gagnant.
- Je sens que ça commence à me plaire. Devinez ce que je demanderais à Maria si
je gagne.
- Cochon, tu nas pas encore gagné, crois-moi. Et moi jai une ou deux idées au
cas où. Je vous avertis, je naime pas perdre et je ferais tout pour gagner.
- On verra, ma belle. Tout le monde est daccord ?
- Moi oui. Mais il faut promettre maintenant daller jusquau bout.
- Moi aussi.
- Et toi, Bernard ? Tu trouveras peut-être quon va trop loin avec ta femme ?
- Si elle est daccord, moi ça ne me pose pas de problème. Cest elle qui
décide.
- Moi je lai déjà dit, je suis daccord. Je suis la seule femme ici, moi je
sens que je vais bien mamuser.
- On commence ?
- Banco !
Après quelques opérations comptables menées tambour battant pour déterminer le nombre
de points et de jetons qui revenait à chacun des joueurs, le jeu commença enfin. La
chance me sourit au départ puisque je ramassais trois fois le tapis, mettant ainsi
quelques provisions de jetons de coté pour me préserver des retours dinfortune. Maria
ne sengagea pas plus que moi sur le coup suivant et ce fut Lucas qui perdit le
premier vêtement. Son beau-père lui demanda denlever son pantalon. Maria riait tandis
que le malheureux sexécutait en promettant de se venger. La chance lui sourit juste
après et il réclama le soutien-gorge de Maria qui se contorsionna pour lenlever comme
seule savent le faire les expertes sur la plage. Puis ce fut au tour de Norbert de se
retrouver en slip. Je gagnais encore une fois alors que la malchance poursuivait ma
petite femme. Perfidement, je lui demandai de se séparer de sa petite culotte. Elle se
leva avec un « ça, tu me le paieras » de circonstance et fit descendre son sous-
vêtement devant nous, surtout devant nos amis qui commençaient à transpirer. Elle se
rassit après lavoir jetée sur la table. Je savais exactement à quoi pensaient ces
deux oiseaux en regardant à la dérobée tour à tour Maria et le string noir sur la
table : cette femelle était maintenant nue sous sa robe qui ne devrait pas tarder à
tomber, au train où allaient les choses. Javais perdu tous les jetons que javais
gagnés mais je navais pas enlevé un seul vêtement quand ma femme se retrouva sur la
sellette. Elle navait plus que ses bas et sa robe sur elle. Naturellement, le choix
de Norbert se porta sur la robe. Elle du se lever une nouvelle fois pour se
déshabiller. Consciente de faire les frais du spectacle, elle releva lentement sa robe
juste au dessus de la lisière des bas. Résignée, elle sapprêtait à la faire passer
par-dessus quand jintervins :
- Et si au lieu denlever bêtement ta robe, tu mettais ce sympathique déshabillé
que je taie offert hier ?
- Je savais que tu ne laisserais pas ta femme se mettre à poil.
- Laisse-moi faire, ça te plaira tout autant.
- Bon, quelle le mette, ce déshabillé, cest mieux que rien.
Je lisais le dépit sur le visage des deux autres joueurs ; pour eux, jallais tout
faire pour empêcher ma femme de leur montrer son cul. Les pauvres, sils savaient ! La
surprise fut totale quand celle-ci revint. Leffet fut décuplé dautant. Dabord dans
un silence absolu rompu après de longues minutes par des encouragements admiratifs,
Maria soffrit en spectacle, exhortée à se tourner pour se montrer toute entière. Si
ses jambes, son ventre, ses fesses, et tout son corps se dessinaient en transparence
sous le voile noir, ses seins et son joli minou semblaient éclairés dune lumière
particulière qui leur donnait une aura irrésistible. Tous les regards mâles le mien
compris se portaient sur sa poitrine et surtout sur sa touffe. Par derrière, le
vêtement dessinait une sorte de string transparent et les yeux descendaient dans la
fente pleine de promesses entre les lobes fessiers. Bientôt, jeus une érection
incontrôlable, et je ne doutais pas de létat dexcitation de nos amis. Elle alla
ensuite sasseoir à sa place pour poursuivre la partie. Comme était déjà nue, chacun
attendait avec fébrilité la suite des évènements en espérant quelle perde et sengage
dans la voie scabreuse des gages.
Les tours suivants furent de pures formalités et la chance semblait sourire à Maria.
Ce fut Lucas qui essuya un revers de fortune que son beau-père, dans un grand élan de
générosité mit à profit pour lui faire quitter pull et chemise. Il navait plus que
son slip sur lui. Mais Maria se trouva bientôt face à lui pour un duel. Il arbora un
sourire pervers en lui demandant :
- Moi, il me reste un vêtement à enlever, mais toi, quest ce que tu proposes si
tu perds ?
- Si je comprends bien, tu veux que je prenne un gage ?
- Plutôt, oui. Alors ?
- Je ne sais pas trop. Personne na une idée ?
A vrai dire, tout le monde avait une petite idée, une idée qui tendait le tissu des
trois mâles que nous étions. Maria se décida :
- Et si je te proposais de flirter avec moi ?
- Comment ça, flirter ?
- Tu sais bien, je ne vais pas te faire un dessin. Je massois sur tes genoux et
voilà.
- Et cest tout ?
- Tu pourras aussi me caresser.
- Partout ?
- Je sais très bien où tu as envie de me caresser. Je te promets que tu pourras
toucher tout ce que tu veux.
- Daccord. On joue.
Maria abattit ses cartes, Lucas les siennes. Il eut un sourire carnassier qui se
passait de commentaires. Maria fut plus digne quune reine de sabbat. Elle se leva
sans un mot et alla sasseoir en amazone sur les genoux de son vainqueur, les jambes
tournées vers le mur de sorte quelle nous privait dune vue directe sur ses cuisses.
Elle enlaça notre ami et commença à lembrasser dans le cou puis sur les lèvres.
Norbert voyait ma femme dévorer la bouche de son beau-fils. Elle interrompait
seulement ses baisers torrides pour lui chuchoter quelque chose que nous nentendions
pas. Mais à chaque fois, les mains masculines se déplaçaient pour aller caresser les
seins sous la nuisette ou encore remontaient le long des cuisses nues pour câliner le
minou. Maria qui ne demandait pas mieux avait ouvert en grand le compas de ses cuisses
pour faciliter les caresses. Comme elle était tournée de dos, ni Norbert ni moi ne
pouvions voir ce qui se passait sous la nuisette mais nous devinions que Lucas
explorait les moindres replis le plus consciencieusement du monde. Il était en train
de découvrir que la petite chérie qui se pâmait sur ses genoux était trempée et
brûlante de désir et quelle ne pouvait cacher une nature des plus généreuses. Leur
petit manège dura un bon moment. Je mamusais de voir que Norbert qui sentait la curée
proche nentendait pas laisser échapper sa proie et abandonner cette belle femelle
dans les bras du jeunot. Il mit fit à la séance par ses protestations soutenues. Maria
se leva et retourna sasseoir à sa place. Le jeu recommença.
Naturellement, Maria qui avait maintenant plus envie de jeux sexuels que de
jeux de cartes se retrouva dans une position délicate, cette fois avec Norbert comme
adversaire. Elle demanda :
- Je suppose que je dois prendre un nouveau gage avec toi.
- Tu as tout compris. Alors, que propose tu ?
- Je peux te proposer de flirter avec toi aussi.
- Ou encore ?
- Si tu veux, on joue le va-tout sur ce coup.
- Explique-nous ça.
- Celui de nous deux qui gagne ce tour gagne la partie.
- Et celui ou celle qui perd ?
- Celui qui perd fait un gage.
- Un gage copieux alors ?
- Si tu veux, un gage sérieux.
- Et cest quoi pour toi un gage sérieux ?
- Une pipe ?
- Comment ça, une pipe ?
- Tu ne sais pas ce que cest ?
- Bien sur, mais je ne vois pas en ce qui concerne mon gage.
- Cest clair, pourtant : si tu perds, tu fais une pipe à Bernard ou à Lucas, et
si je perds, cest moi qui te fais une pipe.
- Ce nest pas trop équitable, pour toi cest facile m ais moi, je nai
jamais sucé un mec.
- Et si je te propose pour ma contrepartie de tirer un coup, ça te paraît plus
équitable ?
- Attends, je ne comprends pas bien ce coup là, si je perds, je fais une pipe à
Lucas ou à Bernard, daccord, et si tu perds, tu fais quoi ?
- Je te propose de tirer un coup avec moi.
- Cest quoi cette embrouille, tu es sérieuse ?
- Bien sur.
- Et ça se passerait où et quand ?
- Où et quand, facile, je mallonge sur le canapé et tu me montes dessus. Tu
pourras me sauter tout de suite après le résultat du jeu. Mais seulement si je perds.
- Je ne te crois pas. Devant eux ?
- Pourquoi pas ?
- Et toi, Bernard, tu laisseras faire ?
- Débrouille-toi avec ma femme. Si elle te propose ce gage, cest son problème.
Je suis son mari, mais cest une grande fille et elle décide elle-même de ce quelle
fait avec son cul. Et si elle veut te payer en nature, moi, je ne lempêcherais pas
dhonorer ses dettes de jeu.
- Je ne sais pas. Bon, on verra bien, banco.
Norbert avait fait semblant de peser sa décision mais il mourrait denvie de se taper
ma femme. Il hésitait seulement parce quil ne croyait pas quelle irait jusquau bout
et parce quil pensait surtout que je ne tolèrerais pas que le jeu se transforme en
coucherie avec ma femme pour partenaire et moi en mari cocu qui tient la chandelle.
Sil savait !
Quatre paires dyeux étaient rivées sur les cartes qui sabattaient sur la table dans
un silence religieux. La dernière tomba, ce fut Norbert qui triompha.
La perdante se leva et quitta la pièce un court instant. Elle revint bientôt avec un
préservatif, et proposa à Norbert de la rejoindre sur le canapé où elle sinstalla.
Notre ami, en maillot de corps et caleçon, nous tournait le dos et nous ne vîmes pas
sil bandait quand Maria fit descendre le sous-vêtement sur ses chevilles. Mon
supplice ne vint pas tout de suite, mais après de longs palabres à voix basse. Je
compris que Norbert voulait sauter Maria sans protection, tandis que Maria qui
lexigeait. Elle eut gain de cause, et bon gré mal gré il ne fut pas en peine de
gainer son sexe avant de monter sur ma femme. Il la pénétra aussitôt et la prit sous
nos yeux. Ce ne fut pas un supplice pour ma tendre épouse que doffrir ainsi ses
charmes et la douceur de son ventre mais son partenaire ne la baisa pas aussi
longtemps ni aussi bien quelle aurait voulu. Il réussit à la faire gémir, à lui
procurer un peu de plaisir, mais je savais quil ne la comblerait pas. Il avait juste
réussi à exciter encore plus la cochonne qui était en elle. Tant mieux, nous allions
pouvoir en profiter, en user et en r sans modération.
Maria se releva tandis que son partenaire occasionnel allait laver son sexe. Elle
avait un sourire narquois, vint tout contre Lucas et lui caressa les cheveux. Celui-là
boudait, frustré sans doute après un avant goût de plaisir inassouvi. Norbert revint,
habillé, et déclara quil devait partir. Personne ninsista pour le retenir et je
laccompagnai jusquà la porte. Il me dit non sans arborer un air de supériorité :
- Cest un week-end réussi finalement.
- Tant mieux.
- Tu sais que ta femme est une vraie salope ? Tu devrais être plus sévère avec
elle, elle a le feu au cul.
- Je sais, mais je ne peux pas faire grand-chose.
- Après tout, si tu acceptes que tout le monde lui passe dessus, cest ton
problème, elle a de la chance davoir un mari aussi compréhensif. Moi je ne le serais
pas si cétait ma femme.
- Mais ce nest pas la tienne.
- Je le sais, en tout cas moi je me suis régalé à la sauter, je te remercie.
- Pas de quoi.
- Allez, bonsoir.
- Bonsoir.
Je refermai la porte sur Norbert, son air supérieur mexaspérait, jaurais préféré
quil ne se tape pas ma femme mais le sort en avait décidé autrement. Lucas était
resté sur sa chaise et boudait, sans doute frustré de ne pas avoir eu autant de chance
que son beau-père. Maria se tenait debout, suprêmement impudique dans son vêtement
transparent. Elle était indécise, ne sachant que faire en présence de notre jeune
invité. En présence dun autre homme plus âgé, elle naurait pas hésité à lui proposer
une partie de baise à trois, mais ne savait que faire avec Lucas. Et pourtant, je
savais que le rapport sexuel avec Norbert ne lavait pas comblée, bien au contraire,
elle devait être en feu. Cest avec une certaine perversité que je lui proposai :
- Tu devrais consoler Lucas, il boude.
- Et pourquoi tu boudes, Lucas ? Tu es fâché avec moi ?
- Tu sais très bien pourquoi, il aurait voulu être à la place de son beau-père.
- Cest pour ça ?
- Bien sur que cest pour ça. Mais il nest pas trop tard, tu pourrais lui
proposer de venir au lit avec nous.
- Mais il est trop jeune, jai même changé ses couches quand il était bébé.
- Ce nest plus un bébé depuis longtemps, il a grandi depuis et maintenant, il a
lâge de bander pour toi.
- Il doit me trouver vieille, je suis une amie de sa maman et jai son âge.
- Justement, cest ça qui lexcite. Il na jamais eu loccasion dadmirer une
amie de sa maman charmante comme toi dune façon si intime.
- Tu crois que cest bien pour lui ?
- Je ne sais pas si cest bien mais regarde-le, il est malheureux et il bande
comme un âne !
- Tu crois que cest pour moi ?
- Ce nest sûrement pas pour moi, il voudrait bien que tu tamuses un peu avec
lui.
- Il est mignon, mais tu crois quil est si coquin ?
- Tu peux vérifier facilement. Demande le lui.
- Cest vrai Lucas ? Tu as envie de moi ?
-
Oui, cest vrai.
- Tu as envie quon aille au lit ?
- Je voudrais bien mais ton mari ?
- Il vient aussi, tu nas rien contre ?
- Non, bien sur, cest ton mari.
- Ne tinquiète pas, il te laissera me faire lamour tant que tu voudras.
- Daccord, je veux bien.
- Viens alors. Et toi mon amour, tu nous rejoins ?
- Oui, allez-y, je vous rejoins tout de suite.
- La belle avait rougi, sans doute submergée de pensées licencieuses.
Elle prit la main de Lucas et le conduisit jusquà notre chambre. Je songeai
ironiquement quelle ne sétait pas faite prier longtemps, je le savais. Maria avait
été mal baisée et même superbement loupée, elle était comme une cocotte minute
maintenant. Alors non, elle nallait pas se faire prier. Je traînais à dessein dans le
salon pour laisser un peu de champ à ma chère épouse. Elle avait mis à profit cette
intimité pour déshabiller son jeune amant sans mettre à nu sa pudeur, et sétait elle
aussi débarrassée de sa nuisette. Ils étaient tous les deux sur le lit, à sembrasser
et se caresser avec tendresse. Je me déshabillai à mon tour et allai les rejoindre sur
le lit. Pour donner lexemple et les encourager, je lui mis dautorité mon sexe dans
la bouche. Lucas était de toute évidence intimidé par lamie de sa mère, cétait bien
autre chose que de flirter avec une fille de son âge et pourtant, elle suçait une
queue sous ses yeux, semblait prête à faire la même chose avec lui et son mari était
disposé à laisser sa place. Cétait loccasion inespérée dobtenir une fellation de
cette femme mariée si respectable et inaccessible. Malgré tout, il fut le premier à
réagir. Il ne savait pas trop bien en quoi consistait notre jeu érotique mais voyait
quil se passait des choses de plus en plus intéressantes. Il y avait une belle femme
nue qui soffrait sur son lit avec laquelle il avait des chances de passer un bon
moment. Après avoir beaucoup hésité, il finit par se rapprocher de nous et son sexe
fut bientôt tout près du visage de Maria. Je me dégageai alors doucement pour laisser
la place au nouvel arrivant dont ma femme soccupa sur le champ. Je descendis alors de
sa bouche à son sexe. Je lui ouvris encore plus les cuisses, pour lécher son minou. La
belle était trempée et bien chauffée. Elle appréciait le cunnilingus et ondulait du
bassin pour venir au devant de ma langue et de mes doigts. Tout en caressant, léchant
et branlant cette belle chatte de plus en plus excitée, je ne cessai de dobserver sur
le visage de Maria tous les signes qui trahissaient son plaisir et son désir
incontrôlable. Je gardai aussi un il sur son jeune prétendant. Elle se montrait dune
très grande délicatesse avec lui, en initiatrice zélée et attentionnée. Elle lui
donnait de petits bisous pour le détendre, caressait son corps imberbe, son ventre,
ses fesses, ses cuisses et son sexe. Puis elle prit la jeune verge dans sa main,
lembrassa, lécha le gland en le décalottant avec dinfinies précautions. Ensuite elle
commença à le branler tout doucement et le prit dans sa bouche. Elle ne voulut pas le
sucer trop savamment car elle le voulait en elle. Elle se dégagea, se mit sur le dos
en le tirant sur elle. Il comprit vite le message et ne se fit pas prier pour glisser
son membre dans la fente offerte. Malheureusement pour elle, il ne tenait pas la
distance et avait fini par éjaculer après seulement quelques mouvements. La place
était libre et jallais pouvoir posséder Maria à mon tour. A dire vrai, jétais très
excité de lavoir vu se donner au jeune garçon devant moi et javais une érection
presque douloureuse. Je mallongeai sur le dos et fis monter ma femme sur moi pour la
baiser dans cette position. Les choses sétaient déroulées comme je voulais, Maria
sétait soumise, sétait excité avec le jeune, avait été mal baisée et même
superbement loupée pour la deuxième fois de laprès midi, elle devait être volcanique
maintenant. Elle ne se fit pas prier pour senfiler ma queue et essayer dassouvir
enfin son désir. Effectivement, son con était en feu et elle commença à faire des
mouvements de bassin de plus en plus forts pour prendre du plaisir. Maria avait
maintenant mérité son plaisir et elle le prit avec la queue de son mari sans le
bouder, sans pudeur. Elle cria comme une folle en jouissant. Naturellement, son
orgasme fut si violent quil déclencha le mien. Elle resta un bon moment sur moi pour
récupérer puis partit dans la salle de bains pour se laver.
Quand Maria revint dans la chambre, jétais assis sur le lit, en compagnie de
Lucas qui était resté allongé. Ma femme sassit à son tour tout contre Lucas qui se
releva sur un coude et se tourna vers elle. Il lui dévoila surtout son sexe et son
érection. Maria sourit en voyant son état et lembrassa tendrement sur la bouche avant
de lui demander :
- Tu as encore envie de moi ?
- Oui, cest vrai excuse-moi.
- Ne texcuse pas au contraire, je suis très touchée, flattée même.
- Tu es belle.
- Merci, mais tu dis cela parce que je suis ta première femme.
- Tu es la première, mais tu es belle.
Maria approcha lentement son visage du bas-ventre de notre jeune ami, lécha du
bout de la langue la jeune verge érigée et la prit toute entière dans sa bouche. Elle
ne pompa pas longtemps la queue du novice, sans doute de peur quil ne se répande trop
tôt, elle sallongea sur le dos, tendit les mains vers Lucas et lui dit :
- Viens, mon chéri, viens sur moi.
- Cest vrai ?
- Tu vas me faire lamour et me donner du plaisir.
- Je ne sais pas si je vais pouvoir.
- Je vais tapprendre à me faire jouir, ne tinquiète pas.
Lucas était déjà allongé contre ma femme et demanda timidement un préservatif.
Maria lui sourit et dit :
- Tu vas me faire lamour comme si tu étais mon mari ou mon amant, tu nas pas
besoin de capote.
- Je veux bien.
- Tu vas voir, ça va être formidable.
Maria attira Lucas sur elle, lembrassa comme elle le faisait avec moi, le
caressa partout, puis le guida dans son ventre. Son jeune amant fut comme aspiré par
le formidable con et commença à la baiser tandis que Maria lencourageait en
chuchotant. Il sactiva trop fort et éjacula vite. Quand il voulut sortir, ma femme le
retint en disant :
- Non, reste dans mon ventre, mon chéri, jai encore envie de toi.
- Mais je ne bande plus.
- Attends, tu vas bander très vite, crois-moi.
Lucas se laissa guider par sa maîtresse. Celle-ci le caressa, insistant sur ses
fesses, palpait ses bourses, et obtint bientôt de quoi être à nouveau comblée. Elle le
freina dans ses ardeurs et décida de changer de position. Dun coup, elle bascula avec
lui et prit la position dominante. Dabord, elle ne bougea pas, le laissant
lembrasser à pleine bouche, caresser ses fesses, ses seins quil chercha aussi à
sucer. Elle commença alors à baiser son jeune amant, tout doucement dabord, puis de
plus en plus vite quand elle sentit que son propre plaisir ne pouvait plus lui
échapper. Ils arrivèrent à lorgasme ensemble.
Puis ma tendre épouse se leva et alla à nouveau laver son sexe repu de jeune foutre.
Sous le coup de toutes ces émotions, notre jeune ami en avait oublié son heure de
départ et dut précipitamment pour ne pas manquer son train. Nous étions maintenant
seuls, ma belle épouse et moi, et nous sommes allés nous reposer au lit. Maria me
demanda :
- Tu es content de moi ?
- Tu es la meilleure.
- Je ne sais pas pourquoi, mais je savais que tu voulais moffrir à dautres
hommes.
- Et tu voulais le faire ?
- Avec toi, oui. Je tappartiens et tu sais que tu peux faire ce que tu veux de
moi.
- Tout ce que je veux ?
- Absolument tout. Tu peux me baiser toi-même, moffrir à qui tu veux, me faire
baiser pour de largent, même. Je suis ta putain.
- Merci, mais je ne tiens pas du tout à te voir sur le trottoir. Lautre fois,
tu mavais mis en colère et jai voulu te prouver à quel point tu étais tombée bas.
Assez bas pour te prosti.
- Jai beaucoup de choses à me faire pardonner. De toutes façons, jaime le
sexe.
- Tu as aimé te faire baiser par ce jeune, alors ?
- Je me suis occupée de lui quand il était tout petit, jai changé ses couches.
Et aujourdhui il ma possédée. Cétait bizarre pur moi de coucher avec lui, avec un
parfum dinterdit un peu comme un e, mais cétait aussi excitant pour ça. Par
contre pour la prochaine fois, choisis-moi des hommes plus âgés, plus expérimentés.
- Tu veux quil y ait une prochaine fois ?
- Moi je veux bien, mais cest toi qui décides.
- Tu y as pris goût, on dirait ?
- Cest vrai, jaime faire lamour avec plusieurs hommes en même temps, et
surtout devant toi.
- Pourquoi devant moi ?
- Jadore mexhiber devant des inconnus en ta présence, devant toi, jadore me
faire baiser ou sucer une queue. Je sais que ça texcite, et ça mexcite encore plus.
En plus, ta présence me rassure car je sais que tu maimes et que tu me protèges.
- Tu as aimé dévoiler tes seins et ton minou devant nos amis ?
- Jai adoré.
- Et tu avais envie quils te baisent ?
- Au début, non, je ne voulais pas me faire prendre, ni par Norbert, ni par
Lucas. Mais jai adoré mexhiber et surtout quils voient ma chatte. Ils faisaient une
de ces têtes ! Je me suis dit que cela devenait intéressant.
- Et que penses-tu de tes nouveaux amants ?
- Laurent est un gentil garçon, mais Norbert est un vrai con.
- Pourquoi dis-tu cela ?
- Cest un goujat, je ne comprends pas quHélène reste avec lui, jespère
quelle le trompe.
- Tu crois ?
- Lucas ma dit quil en était sur.
- Je pensais quelle était fidèle.
- Remarque, elle doit penser la même chose de moi et jai baisé avec son mari et
avec son fils.
- Cest bien davoir des amies qui couchent.
- Tu voudrais faire lamour avec elle ?
- Pourquoi pas ?
- Ce serait bien pour toi. Moi je vais essayer de taider.
- Comment ?
- Je vais lui dire des trucs sur toi, et je peux moccuper de son mari si nous
sortons en couple.
- Tu es capable de coucher avec son mari sans que je profite de la situation.
- Non, Norbert ne me plait pas du tout, et il baise mal. Ne tinquiète pas. Si
elle réagit comme moi, je la rendrais assez jalouse pour que tu la retrouves dans ton
lit vite fait. Surtout si je lui raconte des petites choses intimes et flatteuses sur
toi.
- Quelles choses ?
- Que tu es bien monté par exemple, ou encore que tu es un très bon coup et
quelle peut coucher avec toi sans que je lui en veuille.
- On verra. Et comment ça sest passé avec Lucas ?
- Il est plutôt gentil et beau. Avec lui, jai bien aimé.
- Lui aussi a aimé. Tu las gâté.
- Il était puceau et je voulais quil ait un bon souvenir de sa première femme.
- Rassure-toi, il ne toubliera jamais.
Ce fut là une vengeance bien plaisante. Maria et moi avions tous les deux
envie de recommencer. Ma femme aimait le triolisme, les pratiques à plusieurs et avait
envie davoir de nouvelles aventures. Et moi finalement jen avais envie aussi. Mais
le plus important pour moi, cest quelle sen remettait à moi pour la conduire vers
dautres aventures. Je pense que nous allons fréquenter nous aussi les clubs
déchangisme et ces lieux de rencontres à la mode. Je ne voulais pas priver Maria des
rapports sexuels quelle aimait et par la même occasion, je pouvais moi aussi
connaître dautres femmes mariées et respectables aussi sensuelles et cochonnes que ma
tendre épouse. Nous pourrions même commencer avec Hélène par exemple. De nombreux
horizons nous restaient à explorer, par exemple je navais jamais possédé de femme de
couleur et Maria aussi avait dexotisme, ou encore la petite chérie pourrait faire
lamour avec des femmes. La belle allait connaître de nombreux émois, jy
veillerais.
Maria me suçait toujours en enfonçant un doigt dans mon cul. Elle sétait
aperçue que je bandais plus fort. De même quand nous faisions lamour, elle jouais
avec mon petit trou et y glissait souvent quelques phalanges. Elle me confia un
nouveau phantasme :
- Tu aimerais pratiquer la sodomie ?
- Mais on pratique déjà.
- Non, je veux dire avec un autre homme.
- Tu veux dire si jai envie de me faire enculer par un de tes amants ?
- Tu voudrais ?
- Je ne sais pas, je ny ai jamais songé.
- Moi, jaimerais bien quon le fasse comme ça. Je te promets que je ferais
plein de trucs cochons après.
- On verra, laisse-moi y réfléchir, veux-tu.
Il me fallait réfléchir pour trouver des idées ou des prétextes comme ce dimanche. Je
nallais pas crier sur les toits que mon épouse légitime était une salope. Au secours,
venez baiser ma femme ! Non, il fallait mettre des formes, même si cétait la réalité.
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