14 - Poker Truqué Pour Qui Perd Gagne Et Vice Et Versa

J’attendais tranquillement ma petite femme chérie à la terrasse d’un bar et
j’allais lui faire signe en l’apercevant quand la belle s’arrêta à une autre table. Il
y avait trois jeunes hommes qu’elle salua, deux en leur tendant la main et le
troisième en lui faisant la bise. Ils discutèrent allègrement quelques instants et
Maria fit un geste pour indiquer vaguement ma direction. A ce moment, le troisième
jeune se leva et Maria l’embrassa sur la bouche en se laissant caresser devant ses
copains. Quelques instants plus tard, elle m’expliqua en m’embrassant à mon tour
qu’elle venait de rencontrer son jeune amant du club. Elle tenta de me faire
comprendre pourquoi elle avait voulu le faire mousser devant ses copains, pour qu’ils
sachent que non seulement il avait possédé une femme mariée, mais qu’il avait l’art et
la manière de satisfaire une dame. Je pensai malgré moi qu’ils la considéreraient
maintenant pour la plus grosse salope de la ville. Et ils ne se trompaient guère.
J’avais du mal à accepter que tant de mâles passent sur le ventre de mon
épouse. À dire vrai, j’assumais mal de devoir partager ma femme avec ses nombreux
amants. Ma femme, notre femelle à tous, aurait-on pu dire. Mais ce qui ne passait pas,
mais pas du tout, c’était de la voir se soumettre aux désirs les plus pervers de ses
nouveaux maîtres qui non seulement en disposaient à leur guise en la prenant et en la
soumettant à toutes leurs fantaisies, mais encore la proposaient à leurs copains qui
faisaient la même chose avec elle. Et ma petite femme chérie passait ainsi d’homme en
homme sans sourciller, et en prenant du plaisir avec chacun.
Je souffrais entre un sentiment de jalousie et un désir de conserver mes
prérogatives de mari. Je souffrais aussi de voir que cette situation m’échappait et
que d’autres tenaient les rênes de ma jument.

Je ruminais l’envie de reprendre le
contrôle de cette femelle et de lui prouver que je pouvais être l’égal de ses mentors
du vice et de la luxure. Mais comment faire ? Peu à peu l’idée de la soumettre moi-
même à d’autres hommes s’imposa à moi comme la plus évidente. Cette idée mûrissait
chaque jour d’avantage et finissait par devenir obsessionnelle. Mais je voulais
surtout l’humilier, l’avilir pour mieux la reprendre et lui pardonner ses écarts et
pour cela, je voulais me montrer sans concession pour sa propre dignité. Philippe,
Roland, et autres Robert en avaient disposé et l’avaient pervertie en une catin
lubrique qui pouvait même se prosti à l’occasion. Moi, son mari j’allais prendre
la suite mais non sans état d’âme. Malgré tout, je tenais à elle, je l’aimais et je ne
voulais pas la perdre ni qu’elle se perde elle-même dans le vice. Je voulais pour ce
faire ne pas me tromper sur le moment opportun ni sur la manière, ni sur celui ou ceux
à qui j’avais l’intention de la soumettre. Je souriais déjà en pensant que je faisais
un drôle de justicier, la logique d’un mari cocu invitant ses amis à baiser sa femme
étant quelque peu tortueuse. En fait, j’étais le mari d’une salope, avec des cornes de
plus en plus longues, un mari résigné, un mari lui-même soumis à la nymphomanie de son
épouse. C’était presque une approche masochiste de ma situation. En attendant,
j’allais faire le bonheur de celui qui profiterait de mon désir de vengeance pour
baiser ma femme.
Malgré toute ma bonne volonté, je fus encore pris de court. Parfois, j’avais
l’opportunité de rentrer plus tôt qu’à l’accoutumée, une fois j’avais déjà eu la
surprise de trouver Eric dans mon lit. Cela n’avait pas été une bonne expérience,
celle de se savoir cocu et de se sentir gênant en plus, c’était horrible et je faisais
tout pour ne pas me mettre dans la même situation.
Dès que je rentrai sans prévenir,
j’entrai chez moi comme un voleur, sans faire de bruit, sans trahir ma présence. Et
encore une fois, un spectacle scabreux me fut offert par ma tendre chérie. Philippe
avait pris la place d’Eric, celle de l’amant attitré, et chevauchait mon infidèle
moitié avec l’ardeur d’un hussard chargeant sans quartier à la bataille. Sa monture,
les cuisses remontées sur les épaules de son cavalier, galopait au paradis des
salopes, elle hennissait de plaisir à chaque coup d’éperon. Maria gémissait,
encourageait son amant à ne pas la ménager, j’étais bien placé pour savoir que plus on
la baisait fort, plus elle mouillait et plus elle en voulait. La première pensée qui
me vint, c’est qu’à force de vouloir lui défoncer le cul et le con, cette brute allait
finir par bousiller mon matelas. Alors que ma femme me faisait encore cocu, j’avais
conscience du ridicule de cette pensée matérialiste. Il n’y avait pas d’issue, je
m’efforçai de ressortir de ma propre maison aussi discrètement que possible, soulagé
que les fornicateurs ne se soient pas aperçus de ma présence et je partis marcher deux
bonnes heures. Quand j’estimai que ce salaud de Philippe avait eu largement le temps
de baiser ma femme, je rentrai à la maison, tout était rentré dans l’ordre, ma femme
sortait de la douche, propre comme une femme vertueuse que je pris à mon tour sans
autre forme ni de procès ni de commentaire. Je ne cherchai pas à savoir si l’amant de
ma femme venait souvent chez nous, s’il la baisait dans mon lit, s’il la baisait à
l’hôtel, s’il la baisait tout seul ou si comme il l’avait promis, il invitait des
copains à la sauter, bref, je préférai ne pas trop en savoir.
On aurait dit que Maria redoutait une réaction violente de ma part depuis
qu’elle avait joué l’apprentie putain dans la cabine d’un camion. Elle se montrait
docile et dévouée, ne me contrariait plus, et accédait à mes moindres désirs sans
jamais rechigner.
Nos rapports sexuels furent à ce moment fréquents et variés
puisqu’elle me permettait de la prendre tant que je voulais, où je voulais et comme je
voulais. Pour plus de facilité, elle s’habillait toujours en jupe ou en robe, portait
des bas et enlevait promptement sa petite culotte dès qu’elle sentait que j’avais
envie de la caresser ou de la posséder. J’étais plutôt flatté de sa soumission, mais
cela ne suffisait pas : ma petite putain devait apprendre ce qu’elle était.
Il fallait me rendre à l’évidence, l’épouse modèle était devenue nymphomane.
Je ne lui suffirais plus désormais. De temps en temps, elle ne pouvait dominer ses
sens et il lui fallait laisser libre cours à sa libido et avoir des rapports avec
d’autres partenaires. Par contre, ce que je pouvais faire, ce que je me devais de
faire si je ne voulais pas la perdre, c’est essayer de canaliser ses pulsions
amoureuses, lui organiser moi-même des joutes sexuelles où elle pourrait assouvir ses
sens avec des hommes que je choisirais pour elle. Ainsi j’aurais au moins le sentiment
de maîtriser encore quelque chose. Dans le même élan, je fis quelques emplettes du
genre coquin, une nuisette totalement démente : en mousseline noire transparente, elle
s’assombrissait sur le dos et sur le ventre et devenait totalement translucide et
claire au niveau des seins et du pubis. Bref, quand Maria essaya son nouveau
déshabillé, je fus d’abord stupéfait, puis assez excité pour la culbuter contre le
sofa et la sauter sur le champ. J’essayais d’en imaginer l’effet sur des hommes qui
n’avaient jamais vu ma femme en maillot de bains et qui la découvriraient plus que nue
puisque les regards convergeaient ment sur ses parties les plus érotiques, ses
seins et sa touffe.
Quelques semaines plus tard, nous eûmes deux amis à la maison, en fait le mari
et le fils d’Hélène qui se trouvait être la meilleure amie de ma femme.
Norbert
accompagnait son beau-fils qui devait prendre le train le lendemain, en l’absence
d’Hélène partie s’occuper de sa mère, Maria avait proposé de les héberger pour la
nuit, ainsi Norbert partirait le lendemain sans avoir à se préoccuper du jeune Lucas
resterait avec nous jusqu’à son départ.
Le soir, nous sommes sortis tous les quatre dîner au restaurant et danser dans un bar
autour du port. Ma petite femme chérie adorait danser et était infatigable. Elle avait
passé toute la soirée à se trémousser sur la piste, avait dansé maints slows dans
leurs bras et les miens. Elle ne me rejoignait à notre table que pour boire quand elle
mourrait de soif, si jolie dans sa robe rouge assez légère pour dessiner son string et
ses formes prometteuses et qui laissait percer les bouts de ses seins tendus par les
mouvements et le frottement du tissu. Quand elle se trémoussait sur la piste Maria
faisait virevolter la robe très courte en découvrant le haut de ses cuisses. Le
vêtement faisait l’effet de la cape qu’on agite sous les yeux d’un taureau pour le
rendre fou. Maria excitait les sangs rien qu’en remuant les fesses et appelait au viol
en dansant avec ses trois cavaliers. Chacun pouvait sentir comment les pointes de ses
seins étaient dures et bandées quand elle nous enlaçait pour danser langoureusement
corps à corps, je n’étais certainement pas le seul à m’enflammer à la chaleur de son
ventre quand elle frottait son bassin avec juste un petit voile de chiffon entre les
ostensibles désirs mâles et sa féminité. L’alcool qu’elle consommait sans aucune
modération et l’ambiance de discothèque la rendait plus libertine que d’habitude,
provocante et carrément impudique pour une femme mariée. La coquine devait s’amuser de
l’émoi qu’elle suscitait chez nos amis. Je la voyais faire cette allumeuse, elle
s’amusait à leur provoquer d’incontrôlables érections, frottait son ventre ou son cul
sur leur sexe bandé en ondulant des reins et les laissait rouges de désir et de honte,
feignant une naïve indifférence en passant des bras de l’un à l’autre. Elle abusait de
son statut de femme mariée, elle faisait celle qui ne le faisait pas exprès, mais ses
fesses aguichaient ouvertement le mari et le fils de son amie, ils la frôlaient sans
oser aller plus loin, sans doute à cause de ma présence. Ils revenaient parfois se
désaltérer et ça continuait car madame s’asseyait sur les genoux de l’un ou de
l’autre, ingénument ou vicieusement, elle laissait remonter sa robe jusqu’à découvrir
sa culotte. Et ça recommençait sur la piste, elle mettait toutes les braguettes en
danger d’explosion.
En rentrant, je vis que madame avait vraiment beaucoup bu. En fait, elle était
tellement ivre qu’elle n’arrivait pas à marcher seule et qu’il fallait l’aider à se
tenir droite. Elle titubait, les bretelles de sa robe tombaient et laissaient ses
seins nus, Madame était vraiment dans un drôle d’état. Nous la prenions chacun notre
tour et entre deux pour monter les escaliers avec Norbert qui la poussait aux fesses.
Celui-là ne perdait pas une occasion de peloter ma femme qui était trop saoule pour
réagir. Il croyait sans doute être discret, mais à chaque fois que je le regardai à la
dérobée, il tenait la dame en la ceinturant, les mains plaquées sur les seins qu’il
tripotait sans vergogne, il ne manquait pas de palper son cul pendant qu’il la
retenait par derrière. Encore une fois, ce n’était pas son statut de femme mariée qui
soustrayait mon épouse légitime de la convoitise des autres mâles, jeunes ou plus
âgés. Le temps pour moi d’ouvrir la porte de l’appartement, Lucas réussissait tant
bien que mal à le faire tenir debout quand elle déclara avec l’obstination de
l’ivresse qu’elle voulait faire pipi. Lucas l’accompagna donc jusqu’aux toilettes. En
sortant, elle se tenait contre l’encadrement de la porte, la culotte sur les
chevilles. Las, je demandai à Lucas de lui remonter sa culotte. Je ne voyais pas très
bien ce qui se passait mais elle réapparut devant tout le monde en ricanant :
- Je crois que Laurent m’a touchée. Il a tripoté mon minou.
- Ce n’est pas vrai.
Il tentait de se défendre, le visage rouge cramoisi tandis que la belle continuait :
- Ce n’est pas grave si tu as touché ma chatte, pas grave du tout.
- Je l’ai vue c’est vrai mais je ne l’ai pas touchée, je vous assure.
- Je m’en fiche de te montrer mon minou, j’espère même que tu l’as vu et que tu
l’as touché un peu. Si ça tu veux, je te le montre encore. Tu veux encore me caresser
?
- Non, je vous assure.
- Laisse le, le pauvre, tu le gênes.
- Tant pis. Moi maintenant je vais aller au lit. Bernard, tu viens avec moi ?
- J’arrive dans un moment.
- Non, tout de suite, j’ai envie de me faire baiser.
- Ça va, je viens.
- Regarde, j’enlève ma culotte.
- Va dans la chambre.
- J’ai envie d’une grosse queue.
Maria avait effectivement enlevé sa petite culotte blanche devant nous trois et se
dirigeait en titubant vers la chambre en faisant tournoyer le sous-vêtement au dessus
de sa tête. Elle se retourna une nouvelle fois en insistant avec l’impatience d’une
femelle soûle qui ne se contrôlait plus :
- Je veux me faire baiser.
- Tu l’as déjà dit. J’arrive dans un moment.
- Non, tout de suite.
- Mets-toi au lit, je viens dans cinq minutes.
- Tout de suite j’ai dit. Je ne peux pas attendre, je veux une bite au fond de
mon trou tout de suite.
- Va au lit je te dis.
- Tu sais que je suis une grosse salope quand j’ai bu, j’ai envie de me faire
sauter par tout le monde.
- On le sait tous maintenant.
- Alors dépêche toi sinon je vais demander à nos copains de prendre ta place.
Lequel veut venir au lit avec moi ? Je vous prends tous les deux si vous voulez !
- Arrête, tu es saoule.
- Je le sais et j’adore ça, alors viens vite avant que tes amis ne profitent de
ta salope sinon tu vas encore être cocu et tu ne seras pas content.
- C’est bon, j’arrive.
Tout en parlant, ma femme commençait à se déshabiller. Elle avait défait les premiers
boutons de sa robe et ouvrait déjà le haut en montrant ses seins nus. Heureusement
qu’elle entra dans la chambre avant de finir d’enlever son vêtement. Norbert et Lucas
assistaient à la scène sans un mot. Une femme saoule sans aucune pudeur, qui ne
contrôlait plus ses pulsions sexuelles, qui tenait des propos grossiers et qui se
déshabillait devant eux les avait ment troublés et excités. Je pense qu’ils
auraient été ravis de jouir plus longtemps du spectacle et peut-être de pousser un peu
plus loin la proposition indécente de la dame.
Quant à moi je ne tardai pas à la rejoindre au lit. La belle était allongée, les
cuisses largement ouvertes et clamait à tue-tête qu’elle voulait se faire foutre. Je
fis le nécessaire sans aucun préliminaire ni même sans prononcer un seul mot et
entrait en elle comme dans un volcan en éruption. Jamais je n’avais vu Maria dans cet
état. Son con était une fournaise, elle était trempée et tremblait de désir. J’eus à
peine le temps de guider ma queue entre les lèvres de sa vulve avant de subir la
violence de son désir. Dès qu’elle fut pénétrée, ma femme agrippa mes fesses et y
planta les ongles assez fort pour me faire mal. Elle se servait de ma verge comme d’un
instrument de plaisir. Elle ondulait du bassin d’abord à petits coups de reins puis de
plus en plus fort, se tortillait comme une folle. J’avais l’impression d’avoir mis mon
pénis dans une machine à traire détraquée. Son con brûlant faisait prise autour de ma
queue comme une bouche goulue Je ne sais pas si Eric, Robert, et ses autres amants
avaient baisé ma femme alors qu’elle était excitée à ce point. Moi j’avais du mal à
reconnaître mon épouse dans cette femelle lubrique possédée par le désir. Ce n’était
qu’un sexe sur lequel on avait branché directement de puissantes cordes vocales. A
peine quelques minutes plus tard, Maria se tordait dans tous les sens comme une jument
indomptable et jouissait en criant assez fort pour que sa voix transperce toutes les
portes et tous les murs de l’appartement. Après un orgasme surréaliste, Maria ne
bougea plus un muscle, anesthésiée par l’alcool et repue de sexe. Elle se tourna sur
le coté avec les mains entre les jambes, puis se mit à ronfler peu après. Le calme des
ronflements succéda à cette tempête que chacun avait pu entendre jusque de l’autre
coté de la rue. Je gage que ma petite femme troubla le sommeil de nos deux invités
cette nuit là.
Le lendemain matin, chacun se réveilla en évitant d’évoquer les évènements de la
veille et surtout les débordements de ma femme. Le dimanche s’annonçait plus casanier
que prévu à cause d’un fort mistral et nous sommes restés déjeuner à la maison. Après
le repas, chacun racontait ses aventures, ses prouesses à la pêche et autres petites
histoires autour d’un bon verre d’alcool et de soda. Ma petite épouse modèle était
moins expansive que la veille, mais tout autant ravissante et désirable. Légèrement
affalée dans le fauteuil, je pouvais même assurer qu’elle était bandante la petite
chérie. Elle exerçait un magnétisme torride sur les deux invités qui avaient flirtés
toute la soirée avec elle et qui avaient du mal à détacher leurs yeux de ses cuisses
gainées de noir. Maria portait une courte robe fendue et boutonnée sur le devant dont
l’échancrure laissait le regard courir jusqu’à la lisière des bas, récompensait le
voyeur persévérant de la vue d’un haut de cuisse nue, mais la belle devait faire un
geste plus large ou croiser très haut ses jambes pour apercevoir furtivement une ombre
noire bien prometteuse. J’observais avec amusement le manège de nos deux invités.
Norbert devait regarder la meilleure amie de sa femme avec amusement, et sans doute
avec suffisance, savourant sans doute ses écarts de la soirée passée. Pour Lucas,
c’était tout autre chose. J’étais certain qu’il était encore puceau, alors pour lui
Maria était une déesse, l’héroïne de ses rêves pornographiques qu’il osait à peine
profaner d’un regard sans pouvoir détacher ses yeux de ses cuisses sublimes et avec
l’espoir fou de pouvoir un jour voir et toucher ses parties les plus intimes. En
vérité c’était des proies bien faciles pour une femme. Maria se comportait comme une
chatte qui s’amusait de deux souris. J’avais le pouvoir de changer la donne et je
pensais maintenant ce que ferait la belle féline si elle devait se soumettre à ses
proies. Je devais sourire visiblement à cette idée car la chatte me regardait
maintenant d’un air soupçonneux. Quand elle se leva pour quitter la pièce, je la tirai
par ma main pour l’amener sur mes genoux. La belle était à croquer et je l’embrassai
avec délice. Tout en la tenant enlacée, je la caressai doucement, et ma main libre
dégrafa un bouton pour entrer dans la robe et toucher ses seins, puis descendit sur
son ventre et passer entre ses cuisses légèrement écartées pour caresser son sexe.
Elle me laissa faire mais m’arrêta quand elle se rendit compte que j’avais écarté sa
petite culotte pour jouer avec son clitoris. Sans reproches, elle dit simplement :
- Arrête, mon amour, nous ne sommes pas seuls.
- Nos invités sont de grands garçons, je suis sur qu’ils ne sont pas choqués.
- Ne vous gênez pas pour nous, vous pouvez continuer.
- Moi non plus, je ne suis pas choqué.
- De toute façon, j’ai plein de choses à faire. Je vais d’abord changer les
draps. Et vous les garçons, vous devriez aller enlever ceux de vos lits pour que je
les lave. Allez, au boulot !
Si nos invités n’étaient pas aveugles, ils avaient du en prendre plein les
yeux. En les observant à la dérobée, je vis un sourire sournois et triomphant sur les
lèvres de Norbert tandis que Lucas avait viré rouge cramoisi. Assurément, ils avaient
de bons yeux. Néanmoins, tout le monde se mit en branle pour exécuter les ordres de
Madame. Un moment plus tard, je me levai à mon tour pour aller rejoindre ma femme dans
notre chambre. Je la découvrais au moment où nos deux lascars ressortaient de leur
chambre. Devant le spectacle, je leur fis signe d’entrer silencieusement. Maria était
accroupie à quatre pattes sur le lit pour arranger un angle du drap, nous tournant le
dos et dans une posture terriblement suggestive. Sa croupe en saillie tendait sa robe
sur ses formes généreuses et relevait le vêtement qui ne la couvrait pas plus qu’une
ceinture un peu large. En plus des jambes gainées de bas noirs, des cuisses nues,
chacun de ses mouvements découvrait généreusement ses fesses rondes et charnues,
magnifiquement mises en valeur par le string qui n’en cachait que la raie et un peu le
haut en s’insinuant dans la fente. Maria était en train de nous mettre le feu. Elle se
rendit enfin compte de notre présence et se retourna pour se tenir assise adossée
contre la tête du lit, les jambes légèrement repliées. Elle était piégée, la belle
petite chatte, elle dévoilait ses dessous intimes sous des angles différents à chacun
de ses mouvements, et surtout ses parties les plus secrètes, d’abord ses fesses
blanches et nues, et maintenant sa fente et sa touffe dévoilées par la transparence de
sa petite culotte.
Je lui déclarai :
- Tu as de fervents admirateurs, tu sais !
- Arrêtez, vous allez me faire rougir.
Les choses en restèrent là jusqu’au repas, simple et léger après celui très copieux et
très arrosé de la veille au soir. Installés sur les canapés, nous prîmes le café. Je
servis ensuite des petits gâteaux de soirée avec une bouteille de champagne pour
déguster avec. Le choix du champagne n’était pas innocent car une femme légèrement
ivre serait plus volontiers coquine, et je n’en attendais pas moins de ma tendre
moitié. À cause du vent désagréable, à cause aussi des excès de la veille, personne
n’avait vraiment envie de sortir pour faire un tour en ville. Norbert proposa de jouer
aux cartes et son idée fut adoptée.
Nous jouâmes d’abord au pouilleux, après au rami, à la belotte, mais il y avait
toujours un des joueurs qui ne connaissait pas vraiment les règles. Il y avait bien la
bataille, mais ce jeu n’emballait personne. Norbert suggéra le poker que tout le monde
connaissait plus ou moins. Le problème fut alors d’intéresser la partie. En joueur
plus expérimenté, Norbert déclara :
- On joue à combien le point ?
- Vous voulez jouer de l’argent ?
- Ma foi, au poker, il faut toujours jouer pour quelque chose, sinon le jeu n’a
aucun intérêt.
- On peut jouer avec des allumettes.
- C’est nul.
Je lançai :
- Il y a bien le steap-poker.
- C’est une idée, ça.
- Moi, je veux bien, moi toi Maria, tu ne vas pas vouloir.
- Et pourquoi je ne voudrais pas ?
- Tu risques de te retrouver à poil.
- Vous aussi, mes petits chéris. Vous pouvez perdre et être obligés de me
montrer vos bijoux de familles.
- Tu irais jusqu’au bout ?
- Oui, si personne ne triche.
- Alors il faut des règles précises.
- Je propose qu’on ait chacun un capital de points pour miser, et de jetons pour
parier. Ces jetons seront raflés par le gagnant qui pourra jouer avec.
- Et le perdant ?
- Celui qui perd un jeton devra aussi enlever un vêtement.
- Lequel ?
- Il faudrait que le gagnant puisse choisir ce qu’enlèvera le perdant.
- Je préfèrerais que chaque vêtement soit partagé en trois jetons par exemple et
qu’on enlève le vêtement seulement quand on perd les trois jetons.
- C’est possible, c’est même une bonne idée, Maria. On aurait alors dix points
de mise, et quinze jetons, qu’en pensez-vous ?
- Pour moi, c’est tout bon.
Je lâchais alors un deuxième trait :
- Et si on ajoutait aussi des gages ?
- Explique !
- Celui qui se retrouve tout nu pourrait jouer un joker en proposant de faire
quelque chose au gagnant.
- Je sens que ça commence à me plaire. Devinez ce que je demanderais à Maria si
je gagne.
- Cochon, tu n’as pas encore gagné, crois-moi. Et moi j’ai une ou deux idées au
cas où. Je vous avertis, je n’aime pas perdre et je ferais tout pour gagner.
- On verra, ma belle. Tout le monde est d’accord ?
- Moi oui. Mais il faut promettre maintenant d’aller jusqu’au bout.
- Moi aussi.
- Et toi, Bernard ? Tu trouveras peut-être qu’on va trop loin avec ta femme ?
- Si elle est d’accord, moi ça ne me pose pas de problème. C’est elle qui
décide.
- Moi je l’ai déjà dit, je suis d’accord. Je suis la seule femme ici, moi je
sens que je vais bien m’amuser.
- On commence ?
- Banco !
Après quelques opérations comptables menées tambour battant pour déterminer le nombre
de points et de jetons qui revenait à chacun des joueurs, le jeu commença enfin. La
chance me sourit au départ puisque je ramassais trois fois le tapis, mettant ainsi
quelques provisions de jetons de coté pour me préserver des retours d’infortune. Maria
ne s’engagea pas plus que moi sur le coup suivant et ce fut Lucas qui perdit le
premier vêtement. Son beau-père lui demanda d’enlever son pantalon. Maria riait tandis
que le malheureux s’exécutait en promettant de se venger. La chance lui sourit juste
après et il réclama le soutien-gorge de Maria qui se contorsionna pour l’enlever comme
seule savent le faire les expertes sur la plage. Puis ce fut au tour de Norbert de se
retrouver en slip. Je gagnais encore une fois alors que la malchance poursuivait ma
petite femme. Perfidement, je lui demandai de se séparer de sa petite culotte. Elle se
leva avec un « ça, tu me le paieras » de circonstance et fit descendre son sous-
vêtement devant nous, surtout devant nos amis qui commençaient à transpirer. Elle se
rassit après l’avoir jetée sur la table. Je savais exactement à quoi pensaient ces
deux oiseaux en regardant à la dérobée tour à tour Maria et le string noir sur la
table : cette femelle était maintenant nue sous sa robe qui ne devrait pas tarder à
tomber, au train où allaient les choses. J’avais perdu tous les jetons que j’avais
gagnés mais je n’avais pas enlevé un seul vêtement quand ma femme se retrouva sur la
sellette. Elle n’avait plus que ses bas et sa robe sur elle. Naturellement, le choix
de Norbert se porta sur la robe. Elle du se lever une nouvelle fois pour se
déshabiller. Consciente de faire les frais du spectacle, elle releva lentement sa robe
juste au dessus de la lisière des bas. Résignée, elle s’apprêtait à la faire passer
par-dessus quand j’intervins :
- Et si au lieu d’enlever bêtement ta robe, tu mettais ce sympathique déshabillé
que je t’aie offert hier ?
- Je savais que tu ne laisserais pas ta femme se mettre à poil.
- Laisse-moi faire, ça te plaira tout autant.
- Bon, qu’elle le mette, ce déshabillé, c’est mieux que rien.
Je lisais le dépit sur le visage des deux autres joueurs ; pour eux, j’allais tout
faire pour empêcher ma femme de leur montrer son cul. Les pauvres, s’ils savaient ! La
surprise fut totale quand celle-ci revint. L’effet fut décuplé d’autant. D’abord dans
un silence absolu rompu après de longues minutes par des encouragements admiratifs,
Maria s’offrit en spectacle, exhortée à se tourner pour se montrer toute entière. Si
ses jambes, son ventre, ses fesses, et tout son corps se dessinaient en transparence
sous le voile noir, ses seins et son joli minou semblaient éclairés d’une lumière
particulière qui leur donnait une aura irrésistible. Tous les regards mâles le mien
compris se portaient sur sa poitrine et surtout sur sa touffe. Par derrière, le
vêtement dessinait une sorte de string transparent et les yeux descendaient dans la
fente pleine de promesses entre les lobes fessiers. Bientôt, j’eus une érection
incontrôlable, et je ne doutais pas de l’état d’excitation de nos amis. Elle alla
ensuite s’asseoir à sa place pour poursuivre la partie. Comme était déjà nue, chacun
attendait avec fébrilité la suite des évènements en espérant qu’elle perde et s’engage
dans la voie scabreuse des gages.
Les tours suivants furent de pures formalités et la chance semblait sourire à Maria.
Ce fut Lucas qui essuya un revers de fortune que son beau-père, dans un grand élan de
générosité mit à profit pour lui faire quitter pull et chemise. Il n’avait plus que
son slip sur lui. Mais Maria se trouva bientôt face à lui pour un duel. Il arbora un
sourire pervers en lui demandant :
- Moi, il me reste un vêtement à enlever, mais toi, qu’est ce que tu proposes si
tu perds ?
- Si je comprends bien, tu veux que je prenne un gage ?
- Plutôt, oui. Alors ?
- Je ne sais pas trop. Personne n’a une idée ?
A vrai dire, tout le monde avait une petite idée, une idée qui tendait le tissu des
trois mâles que nous étions. Maria se décida :
- Et si je te proposais de flirter avec moi ?
- Comment ça, flirter ?
- Tu sais bien, je ne vais pas te faire un dessin. Je m’assois sur tes genoux et
voilà.
- Et c’est tout ?
- Tu pourras aussi me caresser.
- Partout ?
- Je sais très bien où tu as envie de me caresser. Je te promets que tu pourras
toucher tout ce que tu veux.
- D’accord. On joue.
Maria abattit ses cartes, Lucas les siennes. Il eut un sourire carnassier qui se
passait de commentaires. Maria fut plus digne qu’une reine de sabbat. Elle se leva
sans un mot et alla s’asseoir en amazone sur les genoux de son vainqueur, les jambes
tournées vers le mur de sorte qu’elle nous privait d’une vue directe sur ses cuisses.
Elle enlaça notre ami et commença à l’embrasser dans le cou puis sur les lèvres.
Norbert voyait ma femme dévorer la bouche de son beau-fils. Elle interrompait
seulement ses baisers torrides pour lui chuchoter quelque chose que nous n’entendions
pas. Mais à chaque fois, les mains masculines se déplaçaient pour aller caresser les
seins sous la nuisette ou encore remontaient le long des cuisses nues pour câliner le
minou. Maria qui ne demandait pas mieux avait ouvert en grand le compas de ses cuisses
pour faciliter les caresses. Comme elle était tournée de dos, ni Norbert ni moi ne
pouvions voir ce qui se passait sous la nuisette mais nous devinions que Lucas
explorait les moindres replis le plus consciencieusement du monde. Il était en train
de découvrir que la petite chérie qui se pâmait sur ses genoux était trempée et
brûlante de désir et qu’elle ne pouvait cacher une nature des plus généreuses. Leur
petit manège dura un bon moment. Je m’amusais de voir que Norbert qui sentait la curée
proche n’entendait pas laisser échapper sa proie et abandonner cette belle femelle
dans les bras du jeunot. Il mit fit à la séance par ses protestations soutenues. Maria
se leva et retourna s’asseoir à sa place. Le jeu recommença.
Naturellement, Maria qui avait maintenant plus envie de jeux sexuels que de
jeux de cartes se retrouva dans une position délicate, cette fois avec Norbert comme
adversaire. Elle demanda :
- Je suppose que je dois prendre un nouveau gage avec toi.
- Tu as tout compris. Alors, que propose tu ?
- Je peux te proposer de flirter avec toi aussi.
- Ou encore ?
- Si tu veux, on joue le va-tout sur ce coup.
- Explique-nous ça.
- Celui de nous deux qui gagne ce tour gagne la partie.
- Et celui ou celle qui perd ?
- Celui qui perd fait un gage.
- Un gage copieux alors ?
- Si tu veux, un gage sérieux.
- Et c’est quoi pour toi un gage sérieux ?
- Une pipe ?
- Comment ça, une pipe ?
- Tu ne sais pas ce que c’est ?
- Bien sur, mais je ne vois pas en ce qui concerne mon gage.
- C’est clair, pourtant : si tu perds, tu fais une pipe à Bernard ou à Lucas, et
si je perds, c’est moi qui te fais une pipe.
- Ce n’est pas trop équitable, pour toi c’est facile m ais moi, je n’ai
jamais sucé un mec.
- Et si je te propose pour ma contrepartie de tirer un coup, ça te paraît plus
équitable ?
- Attends, je ne comprends pas bien ce coup là, si je perds, je fais une pipe à
Lucas ou à Bernard, d’accord, et si tu perds, tu fais quoi ?
- Je te propose de tirer un coup avec moi.
- C’est quoi cette embrouille, tu es sérieuse ?
- Bien sur.
- Et ça se passerait où et quand ?
- Où et quand, facile, je m’allonge sur le canapé et tu me montes dessus. Tu
pourras me sauter tout de suite après le résultat du jeu. Mais seulement si je perds.
- Je ne te crois pas. Devant eux ?
- Pourquoi pas ?
- Et toi, Bernard, tu laisseras faire ?
- Débrouille-toi avec ma femme. Si elle te propose ce gage, c’est son problème.
Je suis son mari, mais c’est une grande fille et elle décide elle-même de ce qu’elle
fait avec son cul. Et si elle veut te payer en nature, moi, je ne l’empêcherais pas
d’honorer ses dettes de jeu.
- Je ne sais pas. Bon, on verra bien, banco.
Norbert avait fait semblant de peser sa décision mais il mourrait d’envie de se taper
ma femme. Il hésitait seulement parce qu’il ne croyait pas qu’elle irait jusqu’au bout
et parce qu’il pensait surtout que je ne tolèrerais pas que le jeu se transforme en
coucherie avec ma femme pour partenaire et moi en mari cocu qui tient la chandelle.
S’il savait !
Quatre paires d’yeux étaient rivées sur les cartes qui s’abattaient sur la table dans
un silence religieux. La dernière tomba, ce fut Norbert qui triompha.
La perdante se leva et quitta la pièce un court instant. Elle revint bientôt avec un
préservatif, et proposa à Norbert de la rejoindre sur le canapé où elle s’installa.
Notre ami, en maillot de corps et caleçon, nous tournait le dos et nous ne vîmes pas
s’il bandait quand Maria fit descendre le sous-vêtement sur ses chevilles. Mon
supplice ne vint pas tout de suite, mais après de longs palabres à voix basse. Je
compris que Norbert voulait sauter Maria sans protection, tandis que Maria qui
l’exigeait. Elle eut gain de cause, et bon gré mal gré il ne fut pas en peine de
gainer son sexe avant de monter sur ma femme. Il la pénétra aussitôt et la prit sous
nos yeux. Ce ne fut pas un supplice pour ma tendre épouse que d’offrir ainsi ses
charmes et la douceur de son ventre mais son partenaire ne la baisa pas aussi
longtemps ni aussi bien qu’elle aurait voulu. Il réussit à la faire gémir, à lui
procurer un peu de plaisir, mais je savais qu’il ne la comblerait pas. Il avait juste
réussi à exciter encore plus la cochonne qui était en elle. Tant mieux, nous allions
pouvoir en profiter, en user et en r sans modération.
Maria se releva tandis que son partenaire occasionnel allait laver son sexe. Elle
avait un sourire narquois, vint tout contre Lucas et lui caressa les cheveux. Celui-là
boudait, frustré sans doute après un avant goût de plaisir inassouvi. Norbert revint,
habillé, et déclara qu’il devait partir. Personne n’insista pour le retenir et je
l’accompagnai jusqu’à la porte. Il me dit non sans arborer un air de supériorité :
- C’est un week-end réussi finalement.
- Tant mieux.
- Tu sais que ta femme est une vraie salope ? Tu devrais être plus sévère avec
elle, elle a le feu au cul.
- Je sais, mais je ne peux pas faire grand-chose.
- Après tout, si tu acceptes que tout le monde lui passe dessus, c’est ton
problème, elle a de la chance d’avoir un mari aussi compréhensif. Moi je ne le serais
pas si c’était ma femme.
- Mais ce n’est pas la tienne.
- Je le sais, en tout cas moi je me suis régalé à la sauter, je te remercie.
- Pas de quoi.
- Allez, bonsoir.
- Bonsoir.
Je refermai la porte sur Norbert, son air supérieur m’exaspérait, j’aurais préféré
qu’il ne se tape pas ma femme mais le sort en avait décidé autrement. Lucas était
resté sur sa chaise et boudait, sans doute frustré de ne pas avoir eu autant de chance
que son beau-père. Maria se tenait debout, suprêmement impudique dans son vêtement
transparent. Elle était indécise, ne sachant que faire en présence de notre jeune
invité. En présence d’un autre homme plus âgé, elle n’aurait pas hésité à lui proposer
une partie de baise à trois, mais ne savait que faire avec Lucas. Et pourtant, je
savais que le rapport sexuel avec Norbert ne l’avait pas comblée, bien au contraire,
elle devait être en feu. C’est avec une certaine perversité que je lui proposai :
- Tu devrais consoler Lucas, il boude.
- Et pourquoi tu boudes, Lucas ? Tu es fâché avec moi ?
- Tu sais très bien pourquoi, il aurait voulu être à la place de son beau-père.
- C’est pour ça ?
- Bien sur que c’est pour ça. Mais il n’est pas trop tard, tu pourrais lui
proposer de venir au lit avec nous.
- Mais il est trop jeune, j’ai même changé ses couches quand il était bébé.
- Ce n’est plus un bébé depuis longtemps, il a grandi depuis et maintenant, il a
l’âge de bander pour toi.
- Il doit me trouver vieille, je suis une amie de sa maman et j’ai son âge.
- Justement, c’est ça qui l’excite. Il n’a jamais eu l’occasion d’admirer une
amie de sa maman charmante comme toi d’une façon si intime.
- Tu crois que c’est bien pour lui ?
- Je ne sais pas si c’est bien mais regarde-le, il est malheureux et il bande
comme un âne !
- Tu crois que c’est pour moi ?
- Ce n’est sûrement pas pour moi, il voudrait bien que tu t’amuses un peu avec
lui.
- Il est mignon, mais tu crois qu’il est si coquin ?
- Tu peux vérifier facilement. Demande le lui.
- C’est vrai Lucas ? Tu as envie de moi ?
- … Oui, c’est vrai.
- Tu as envie qu’on aille au lit ?
- Je voudrais bien mais ton mari ?
- Il vient aussi, tu n’as rien contre ?
- Non, bien sur, c’est ton mari.
- Ne t’inquiète pas, il te laissera me faire l’amour tant que tu voudras.
- D’accord, je veux bien.
- Viens alors. Et toi mon amour, tu nous rejoins ?
- Oui, allez-y, je vous rejoins tout de suite.
- La belle avait rougi, sans doute submergée de pensées licencieuses.
Elle prit la main de Lucas et le conduisit jusqu’à notre chambre. Je songeai
ironiquement qu’elle ne s’était pas faite prier longtemps, je le savais. Maria avait
été mal baisée et même superbement loupée, elle était comme une cocotte minute
maintenant. Alors non, elle n’allait pas se faire prier. Je traînais à dessein dans le
salon pour laisser un peu de champ à ma chère épouse. Elle avait mis à profit cette
intimité pour déshabiller son jeune amant sans mettre à nu sa pudeur, et s’était elle
aussi débarrassée de sa nuisette. Ils étaient tous les deux sur le lit, à s’embrasser
et se caresser avec tendresse. Je me déshabillai à mon tour et allai les rejoindre sur
le lit. Pour donner l’exemple et les encourager, je lui mis d’autorité mon sexe dans
la bouche. Lucas était de toute évidence intimidé par l’amie de sa mère, c’était bien
autre chose que de flirter avec une fille de son âge et pourtant, elle suçait une
queue sous ses yeux, semblait prête à faire la même chose avec lui et son mari était
disposé à laisser sa place. C’était l’occasion inespérée d’obtenir une fellation de
cette femme mariée si respectable et inaccessible. Malgré tout, il fut le premier à
réagir. Il ne savait pas trop bien en quoi consistait notre jeu érotique mais voyait
qu’il se passait des choses de plus en plus intéressantes. Il y avait une belle femme
nue qui s’offrait sur son lit avec laquelle il avait des chances de passer un bon
moment. Après avoir beaucoup hésité, il finit par se rapprocher de nous et son sexe
fut bientôt tout près du visage de Maria. Je me dégageai alors doucement pour laisser
la place au nouvel arrivant dont ma femme s’occupa sur le champ. Je descendis alors de
sa bouche à son sexe. Je lui ouvris encore plus les cuisses, pour lécher son minou. La
belle était trempée et bien chauffée. Elle appréciait le cunnilingus et ondulait du
bassin pour venir au devant de ma langue et de mes doigts. Tout en caressant, léchant
et branlant cette belle chatte de plus en plus excitée, je ne cessai de d’observer sur
le visage de Maria tous les signes qui trahissaient son plaisir et son désir
incontrôlable. Je gardai aussi un œil sur son jeune prétendant. Elle se montrait d’une
très grande délicatesse avec lui, en initiatrice zélée et attentionnée. Elle lui
donnait de petits bisous pour le détendre, caressait son corps imberbe, son ventre,
ses fesses, ses cuisses et son sexe. Puis elle prit la jeune verge dans sa main,
l’embrassa, lécha le gland en le décalottant avec d’infinies précautions. Ensuite elle
commença à le branler tout doucement et le prit dans sa bouche. Elle ne voulut pas le
sucer trop savamment car elle le voulait en elle. Elle se dégagea, se mit sur le dos
en le tirant sur elle. Il comprit vite le message et ne se fit pas prier pour glisser
son membre dans la fente offerte. Malheureusement pour elle, il ne tenait pas la
distance et avait fini par éjaculer après seulement quelques mouvements. La place
était libre et j’allais pouvoir posséder Maria à mon tour. A dire vrai, j’étais très
excité de l’avoir vu se donner au jeune garçon devant moi et j’avais une érection
presque douloureuse. Je m’allongeai sur le dos et fis monter ma femme sur moi pour la
baiser dans cette position. Les choses s’étaient déroulées comme je voulais, Maria
s’était soumise, s’était excité avec le jeune, avait été mal baisée et même
superbement loupée pour la deuxième fois de l’après midi, elle devait être volcanique
maintenant. Elle ne se fit pas prier pour s’enfiler ma queue et essayer d’assouvir
enfin son désir. Effectivement, son con était en feu et elle commença à faire des
mouvements de bassin de plus en plus forts pour prendre du plaisir. Maria avait
maintenant mérité son plaisir et elle le prit avec la queue de son mari sans le
bouder, sans pudeur. Elle cria comme une folle en jouissant. Naturellement, son
orgasme fut si violent qu’il déclencha le mien. Elle resta un bon moment sur moi pour
récupérer puis partit dans la salle de bains pour se laver.
Quand Maria revint dans la chambre, j’étais assis sur le lit, en compagnie de
Lucas qui était resté allongé. Ma femme s’assit à son tour tout contre Lucas qui se
releva sur un coude et se tourna vers elle. Il lui dévoila surtout son sexe et son
érection. Maria sourit en voyant son état et l’embrassa tendrement sur la bouche avant
de lui demander :
- Tu as encore envie de moi ?
- Oui, c’est vrai excuse-moi.
- Ne t’excuse pas au contraire, je suis très touchée, flattée même.
- Tu es belle.
- Merci, mais tu dis cela parce que je suis ta première femme.
- Tu es la première, mais tu es belle.
Maria approcha lentement son visage du bas-ventre de notre jeune ami, lécha du
bout de la langue la jeune verge érigée et la prit toute entière dans sa bouche. Elle
ne pompa pas longtemps la queue du novice, sans doute de peur qu’il ne se répande trop
tôt, elle s’allongea sur le dos, tendit les mains vers Lucas et lui dit :
- Viens, mon chéri, viens sur moi.
- C’est vrai ?
- Tu vas me faire l’amour et me donner du plaisir.
- Je ne sais pas si je vais pouvoir.
- Je vais t’apprendre à me faire jouir, ne t’inquiète pas.
Lucas était déjà allongé contre ma femme et demanda timidement un préservatif.
Maria lui sourit et dit :
- Tu vas me faire l’amour comme si tu étais mon mari ou mon amant, tu n’as pas
besoin de capote.
- Je veux bien.
- Tu vas voir, ça va être formidable.
Maria attira Lucas sur elle, l’embrassa comme elle le faisait avec moi, le
caressa partout, puis le guida dans son ventre. Son jeune amant fut comme aspiré par
le formidable con et commença à la baiser tandis que Maria l’encourageait en
chuchotant. Il s’activa trop fort et éjacula vite. Quand il voulut sortir, ma femme le
retint en disant :
- Non, reste dans mon ventre, mon chéri, j’ai encore envie de toi.
- Mais je ne bande plus.
- Attends, tu vas bander très vite, crois-moi.
Lucas se laissa guider par sa maîtresse. Celle-ci le caressa, insistant sur ses
fesses, palpait ses bourses, et obtint bientôt de quoi être à nouveau comblée. Elle le
freina dans ses ardeurs et décida de changer de position. D’un coup, elle bascula avec
lui et prit la position dominante. D’abord, elle ne bougea pas, le laissant
l’embrasser à pleine bouche, caresser ses fesses, ses seins qu’il chercha aussi à
sucer. Elle commença alors à baiser son jeune amant, tout doucement d’abord, puis de
plus en plus vite quand elle sentit que son propre plaisir ne pouvait plus lui
échapper. Ils arrivèrent à l’orgasme ensemble.
Puis ma tendre épouse se leva et alla à nouveau laver son sexe repu de jeune foutre.
Sous le coup de toutes ces émotions, notre jeune ami en avait oublié son heure de
départ et dut précipitamment pour ne pas manquer son train. Nous étions maintenant
seuls, ma belle épouse et moi, et nous sommes allés nous reposer au lit. Maria me
demanda :
- Tu es content de moi ?
- Tu es la meilleure.
- Je ne sais pas pourquoi, mais je savais que tu voulais m’offrir à d’autres
hommes.
- Et tu voulais le faire ?
- Avec toi, oui. Je t’appartiens et tu sais que tu peux faire ce que tu veux de
moi.
- Tout ce que je veux ?
- Absolument tout. Tu peux me baiser toi-même, m’offrir à qui tu veux, me faire
baiser pour de l’argent, même. Je suis ta putain.
- Merci, mais je ne tiens pas du tout à te voir sur le trottoir. L’autre fois,
tu m’avais mis en colère et j’ai voulu te prouver à quel point tu étais tombée bas.
Assez bas pour te prosti.
- J’ai beaucoup de choses à me faire pardonner. De toutes façons, j’aime le
sexe.
- Tu as aimé te faire baiser par ce jeune, alors ?
- Je me suis occupée de lui quand il était tout petit, j’ai changé ses couches.
Et aujourd’hui il m’a possédée. C’était bizarre pur moi de coucher avec lui, avec un
parfum d’interdit un peu comme un e, mais c’était aussi excitant pour ça. Par
contre pour la prochaine fois, choisis-moi des hommes plus âgés, plus expérimentés.
- Tu veux qu’il y ait une prochaine fois ?
- Moi je veux bien, mais c’est toi qui décides.
- Tu y as pris goût, on dirait ?
- C’est vrai, j’aime faire l’amour avec plusieurs hommes en même temps, et
surtout devant toi.
- Pourquoi devant moi ?
- J’adore m’exhiber devant des inconnus en ta présence, devant toi, j’adore me
faire baiser ou sucer une queue. Je sais que ça t’excite, et ça m’excite encore plus.
En plus, ta présence me rassure car je sais que tu m’aimes et que tu me protèges.
- Tu as aimé dévoiler tes seins et ton minou devant nos amis ?
- J’ai adoré.
- Et tu avais envie qu’ils te baisent ?
- Au début, non, je ne voulais pas me faire prendre, ni par Norbert, ni par
Lucas. Mais j’ai adoré m’exhiber et surtout qu’ils voient ma chatte. Ils faisaient une
de ces têtes ! Je me suis dit que cela devenait intéressant.
- Et que penses-tu de tes nouveaux amants ?
- Laurent est un gentil garçon, mais Norbert est un vrai con.
- Pourquoi dis-tu cela ?
- C’est un goujat, je ne comprends pas qu’Hélène reste avec lui, j’espère
qu’elle le trompe.
- Tu crois ?
- Lucas m’a dit qu’il en était sur.
- Je pensais qu’elle était fidèle.
- Remarque, elle doit penser la même chose de moi et j’ai baisé avec son mari et
avec son fils.
- C’est bien d’avoir des amies qui couchent.
- Tu voudrais faire l’amour avec elle ?
- Pourquoi pas ?
- Ce serait bien pour toi. Moi je vais essayer de t’aider.
- Comment ?
- Je vais lui dire des trucs sur toi, et je peux m’occuper de son mari si nous
sortons en couple.
- Tu es capable de coucher avec son mari sans que je profite de la situation.
- Non, Norbert ne me plait pas du tout, et il baise mal. Ne t’inquiète pas. Si
elle réagit comme moi, je la rendrais assez jalouse pour que tu la retrouves dans ton
lit vite fait. Surtout si je lui raconte des petites choses intimes et flatteuses sur
toi.
- Quelles choses ?
- Que tu es bien monté par exemple, ou encore que tu es un très bon coup et
qu’elle peut coucher avec toi sans que je lui en veuille.
- On verra. Et comment ça s’est passé avec Lucas ?
- Il est plutôt gentil et beau. Avec lui, j’ai bien aimé.
- Lui aussi a aimé. Tu l’as gâté.
- Il était puceau et je voulais qu’il ait un bon souvenir de sa première femme.
- Rassure-toi, il ne t’oubliera jamais.
Ce fut là une vengeance bien plaisante. Maria et moi avions tous les deux
envie de recommencer. Ma femme aimait le triolisme, les pratiques à plusieurs et avait
envie d’avoir de nouvelles aventures. Et moi finalement j’en avais envie aussi. Mais
le plus important pour moi, c’est qu’elle s’en remettait à moi pour la conduire vers
d’autres aventures. Je pense que nous allons fréquenter nous aussi les clubs
d’échangisme et ces lieux de rencontres à la mode. Je ne voulais pas priver Maria des
rapports sexuels qu’elle aimait et par la même occasion, je pouvais moi aussi
connaître d’autres femmes mariées et respectables aussi sensuelles et cochonnes que ma
tendre épouse. Nous pourrions même commencer avec Hélène par exemple. De nombreux
horizons nous restaient à explorer, par exemple je n’avais jamais possédé de femme de
couleur et Maria aussi avait d’exotisme, ou encore la petite chérie pourrait faire
l’amour avec des femmes. La belle allait connaître de nombreux émois, j’y
veillerais.
Maria me suçait toujours en enfonçant un doigt dans mon cul. Elle s’était
aperçue que je bandais plus fort. De même quand nous faisions l’amour, elle jouais
avec mon petit trou et y glissait souvent quelques phalanges. Elle me confia un
nouveau phantasme :
- Tu aimerais pratiquer la sodomie ?
- Mais on pratique déjà.
- Non, je veux dire avec un autre homme.
- Tu veux dire si j’ai envie de me faire enculer par un de tes amants ?
- Tu voudrais ?
- Je ne sais pas, je n’y ai jamais songé.
- Moi, j’aimerais bien qu’on le fasse comme ça. Je te promets que je ferais
plein de trucs cochons après.
- On verra, laisse-moi y réfléchir, veux-tu.
Il me fallait réfléchir pour trouver des idées ou des prétextes comme ce dimanche. Je
n’allais pas crier sur les toits que mon épouse légitime était une salope. Au secours,
venez baiser ma femme ! Non, il fallait mettre des formes, même si c’était la réalité.

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