Ma Prof D'Anglais

Dans mes dernières années de collège, j’avais une prof d’anglais, on l’appellera Mme
H. qui déjà à l’époque me faisait fantasmer de son charisme, sa classe et surtout ses
rondeurs qu’elle mettait en valeurs avec des tailleurs serrés et décolletés
vertigineux.
J’ai eu la chance de la retrouver récemment par hasard dans une boutique de fringues.
Je prêtais discrètement attention à cette charmante femme ronde aux jolies formes qui
saisissait en rayon un soutien gorge en dentelle transparente pour très larges
poitrines lorsque le flash eu lieu. Derrière ses larges lunettes noires, je la
reconnus. C’était elle, elle n’avait que très peu changé. Me remémorant tous les émois
que j’ai pu avoir à l’époque en admirant ses généreuses fesses quand elle se tournait
vers le tableau ou ses décolletés qui laissaient rêveur, je ne pouvais ne pas lui
adresser la parole.

- Bonjour, vous me reconnaissez ?

Elle eut un instant d’hésitation et me remit, elle portait une tenue très hivernale
avec un pull col roulé sous lequel on devinait sa volumineuse paire et un jean serré.
Elle reposa en rayon les dessous qu’elle avait en main avec une grande gêne et engagea
la conversation. Elle avoua se souvenir parfaitement de moi, nous parlâmes un moment.
J’éprouvais une double sensation, d’un côté j’avais très envie de complimenter la
splendide femme qui m’a toujours attiré, d’un autre c’était une ancienne prof et cela
créait un certain blocage. Devinant sans doute qu’elle me plaisait, celle-ci brisa la
glace en m’invitant à boire un verre.
Nous nous rendîmes donc dans un café voisin ou elle engagea à nouveau la discussion,
me demanda ce que je devenais, me parlait de ses nouveaux élèves et me confia que son
prénom est Sylvie. Je reconnus le savoir sans avouer qu’elle était surtout connue sous
le sulfureux surnom de 110E en référence à ses mensurations mammaires !

- Tu peux me tutoyer, tu sais, on est plus en classe, me dit-elle souriante.



En parlant de tout et rien je prêtais des coups d’œil discrets à ses formes, elle me
demanda si j’étais en couple, ce qui appela un retour de bâton, je lui retourna la
question et elle me confia que son mari était en voyage professionnel aux USA.

- C’est un crime d’abandonner une belle femme comme toi, lui dis-je plaisantant.

Elle eut un rictus gêné mais ne releva pas avant de rétorquer :

- Tu es en train de draguer ton ancienne prof ou je rêve ? puis éclata de rire.

Je m’efforçais de paraître calme mais il était évident à des kilomètres qu’elle
m’attirait. Je cherchais un moyen de lui dire que j’aimerais la revoir mais elle prit
les devant et me nota son numéro sur une serviette de table avant de me proposer de
m’inviter à dîner le lendemain soir.

Après avoir bouilli d’impatience à l’idée de me rendre chez celle qui n’était qu’un
fantasme de collégien, j’arrive devant l’adresse laissée par SMS, je sonne. Sylvie
m’ouvre la porte. Sa tenue était bien différente de la veille, elle portait un haut
avec un décolleté comme je les aime et une jupe stricte qui lui arrive juste au-dessus
du genou, des talons hauts et des bas. Elle me propose un rafraîchissement, m’invite à
m’asseoir sur le canapé avant de se diriger vers la cuisine ou un rôti mijotait dans
le four. J’en profite pour contempler ses voluptueuses fesses ou l’étroitesse de la
jupe ne laissait guère de doute, elle ne portait rien dessous ou alors un string très
mince. Elle refusa toute aide de ma part pour les préparatifs du repas, je me contenta
de rester assis sur le sofa ou j’admirais ses formes qui bougeaient dans tous les
sens. Son haut laissait entrevoir les bretelles de son soutien-gorge et quand elle se
baissait j’avais toujours l’impression qu’une de ses deux énormes mamelles allait se
libérer de la mince étreinte qui les retenait.
J’avala d’un trait mon Martini en
réalisant que je bandais déjà comme un taureau.
Elle s’accroupit pour prendre un plat dans un buffet, et écarta les cuisses face à
moi, ce qui m’offrir une vue imprenable sur son sexe. Cette fois aucun doute elle ne
portait rien.
Très excité, je l’invite alors à s’asseoir à coté de moi, en s’asseyant sa jupe
remonta et m’offrit une vue sur le haut de ses bas.

- Alors elle a pas trop mal vieilli 110E ? Me dit-elle pour détendre
l’atmosphère.
- Et oui je connais le surnom qu’on me donne, je suis plus observatrice que ce
que vous pensiez.

Alors que je riais un peu crispé à sa réflexion je remarqua derrière ses petites
lunettes sévères qu’elle jeta un coup d’œil à mon pantalon et remarqua sans doute mon
érection ce qui déclencha chez elle un rictus qui ne calma pas mon état. Je remplis
mon verre de Martini et dit :

- Tu étais une de mes profs préférées, j’adorais tes cours.


Elle répondit :

- C’est vrai ? Tu es sur que c’était mes cours ou mes courbes que tu aimais ? en
riant.

Je faillis renverser mon verre de gène et elle reprit :

- Je te taquine, je dois bien t’avouer que déjà à l’époque je te trouvais
craquant.

C’était plus fort que moi, j’engagea une main sur son genou remontant le long de sa
cuisse.
Prise de gêne, elle se leva et retourna en cuisine jeter un coup d’œil au rôti.
J’arriva derrière elle et l’agrippa par les hanches avant de lui donner un baiser dans
le cou, mes mains voyageaient le long de son corps entre ses seins et son ventre,
alors que sa respiration s’accélérait, elle coupa court en disant :

- Allez c’est cuit, à table !

On se posa face à face, j’ai chaud me dit-elle en dégrafant un bouton de son haut.

- Ils te plaisent tant que ça ? me dit-elle voyant que je ne quittais plus des
yeux ses seins.


Je ne chercha même plus à cacher qu’elle m’attirait beaucoup depuis toujours. Elle
m’avoua qu’elle n’avait pas toujours assumé ses rondeurs et qu’au fil des années,
voyant que tous les élèves la reluquaient et découvrant son surnom, s’était mise petit
à petit à porter des tenues sexy qui mettent en valeur son ventre, sa poitrine
titanesque et ses fesses dont elle avoua être très fière.
Le dîner rapidement bouclé, je propose d’aller faire la vaisselle et me dirige vers la
cuisine avec les assiettes, elle me rejoint et me propose du dessert en me caressant
le dos. Je ne peux me retenir et dis :

- C’est toi le dessert ? et posa ma main vigoureusement sur son sein droit.

Voyant qu’elle ne me repoussait plus je me mis alors à pétrir à pleines mains ses
seins avant de les embrasser. Elle respirait fortement en fermant les yeux ce qui me
poussa à baisser son haut dévoilant ses deux énormes nichons uniquement cachés par un
soutien-gorge transparent en fine dentelle.

Ils étaient encore plus gros que je ne les imaginais. Elle m’aida en enlevant son
haut. Je glissais naturellement mes mains autour de sa poitrine pour dégrafer son
soutien-gorge. Plus rien ne cachait ses deux seins lourds d’un volume impressionnant
dont les mamelons pointaient sévèrement. Je m’empressa de les lécher, de les sucer de
les mordre légèrement ce qui provoqua un cri à Sylvie alors qu’elle me broyait le
crane entre ses mains tremblantes.

Elle reprit momentanément ses esprits et posa sa main sur mon érection devenue
monumentale.

- Je vois que le collégien que j’ai connu a bien changé.
- Déjà à l’époque tu me faisais ça. Répondis-je.
- Voilà quelque chose que je ne te faisais pas par contre, avant de s’accroupir
devant moi.

Elle baissa ma braguette et sorti ma queue de mon pantalon avant de continuer :

- J’ai souvent fantasmé de sucer un élève, tu avais de bonnes notes tu mérites
bien une petite gâterie.


Elle prit alors mon sexe dans sa bouche et entama de me sucer vigoureusement. Le
regard lubrique qu’elle me jetait derrière ses lunettes de prof sévère alors qu’elle
engloutissait mon membre avec gourmandise en se malaxant les seins me précipitait
presque vers un orgasme.

Je la guida alors vers le canapé, m’assis et tout en embrassant son ventre,
j’entrepris de baisser sa jupe dévoilant son sexe épilé. Elle s’allongea alors à mes
cotés écartant largement les cuisses.

- Alors il te plait le dessert ? Dit-elle en glissant un doigt dans sa fente
humide.

Je me régala alors de glisser ma langue et de dévorer avec ardeur cette chatte qui
s’offrait à moi, provoquant des cris de plaisir à ma partenaire.
Je finis alors de me déshabiller en laissant comprendre à Sylvie que je bouillais
d’envie de lui faire l’amour. Elle prit à nouveau les devants en m’asseyant et se posa
sur moi. Alors que je suçais à nouveau le bout de ses énormes seins, elle guida ma
queue vers l’entrée de sa grotte aux merveilles. Après une légère résistance, ma queue
pénétra complètement la chatte de Sylvie, me retrouvant enfoncé jusqu’aux couilles
dans son intimité trempée.
Tout en jouissant à pleine voix, elle se mit à coincer ma tête entre ses deux globes.
Elle se releva alors pour se tourner et en s’accroupissant me dit :

- Alors il te plait mon cul ?

Je m’empressa de malaxer ses fesses en la complimentant et la guida pour qu’elle se
positionne sur moi de telle sorte à ce que la pénètre encore tout en pouvant admirer
son cul massif aller et venir alors que ma queue limait sa chatte.
Je la guida ensuite sur le canapé de telle sorte à la prendre en levrette, ses nichons
balançaient au rythme de mes coups de hanches et de ses jouissements.
C’est ensuite elle qui me rassit sur le canapé et s’agenouilla entre mes cuisses pour
glisser mon membre entre ses mamelles. De fines gouttes de liquide commençaient à
s’échapper de ma queue au rythme de sa branlette mammaire qu’elle s’empressa de
lécher. Elle me regarda en souriant derrière ses lunettes et dit :

- Je sens que mon dessert va arriver.

Elle ne crut pas si bien dire, j’explosa alors en de longues giclées de semence chaude
entre ses loches qu’elle étala sur toute sa poitrine avant de se lécher les doigts et
de me complimenter :

- Je vois que tes talents ne se limitent pas à la langue de Shakespeare, d’un
grand sourire, mon jus dégoulinant sur sa poitrine.

En conclusion de cette soirée riche en émotion, j’avoua à ma partenaire mon intention
de la revoir prétextant en plaisantant des lacunes en anglais. Elle répondit avec
malice derrière ses lunettes strictes qu’elle ne dirait pas non à des cours de soutien
en l’absence de son mari si mes prouesses sont toujours aussi bonnes.

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