Du Phantasme À La Réalité

Je me présente, Hubert 57 ans brun aux yeux bleus au physique encore agréable, porté
sur le sexe marié à Léa 42 ans brune 1,70m 52Kg très élancée malgré ses trois
grossesses au beau visage un poil arrogante, avec un ventre plat, une paire de seins
superbe remplissant un 95C sans problème et de longues jambes fines pas tout a fait
assez charnues à mon gout.
Nous vivons bien dans une grande ville de province.
Elle aime le sexe mais, comme beaucoup de femmes, ne le dit pas et n’ose pas.
Moi j’aime lui faire l’amour et comme elle est très baisable, je prends un réel
plaisir à pimenter notre relation en imaginant ou mettant en œuvre des nouveautés dont
voici un exemple qui s’est déroulé il y a trois ans :
Un soir dans notre maison de vacances, alors que je commençais à la caresser au lit
pour la chauffer, je lui est bandé les yeux et l’ai emmenée, nue, dans le grenier pour
une surprise.
Je lui ai attaché les mains à une poutre de charpente.
Elle était sexy à mourir, les seins bien en l’air, le cul cambré, les jambes
légèrement écartée ; elle ne disait rien mais je sentais bien, à sa respiration, que
ce petit jeu ne la laissait pas indifférente. Il faut dire que j’avais pris soin de la
chauffer un peu avant.
Moi je bandais de la voir ainsi offerte, impudique, attachée ; j’admirais sa taille
fine, ses longues jambes, son sexe rasé surmonté d’un petit rectangle de poils ras,
ses seins lourds aux aréoles aubrunes, ses fesses fermes pas tout à fait assez
charnues à mon gout ; quelle chance j’avais de pouvoir profiter de ce corps de rêve.
Je commençais à la caresser par touches avec différents objet que j’avais rassemblé
l’après-midi même en préparant mon coup : une cordelette que j’avais passé de part et
d’autre d’une poutre de la charpente apparente, un pinceau, deux de nos godemichets,
un martinet et un rideau fait de fines lamelles de plastique qui se trouvait là.


D’abord immobile subissant ces attouchement, elle se mit à frissonner;
Elle appréciait visiblement.
Son corps commençait à bouger, elle esquissait puis revenait comme pour rechercher le
contact du pinceau ou des lamelles du rideau qui la caressait en de multiples endroits
à la fois et que j’insinuait entre ses cuisses en lui murmurant à l’oreille :
Alors tu sens toutes ces mains qui te caressent, tu es très belle comme ca, on a envie
de te prendre. Le on était intentionnel ; je voulais insinuer insidieusement la
pluralité dans son esprit, je savais que cela l’exciterait plus encore en allant au
devant de son fantasme caché et jusqu’alors inavoué, enfoui au fond de sa libido de se
faire partouzer
J’étais moi même très excité par cette situation la queue bien raide mais je me
faisais violence pour ne pas lui sauter dessus et faire durer la montée de son
plaisir, je voulais la faire jouir avant de la toucher.
Ses mamelons se sont immédiatement érigés dès que les poils du pinceau les
effleuraient: ça y est elle était dans le jeu, je la tenais ! j’allais pouvoir lui
faire subir tout ce que j’avais imaginé.
Je commençais à la caresser très doucement par touches tout en lui susurrant
Alors ma petite garce chérie, ca te plait de sentir des mains sur tout ton corps de
te faire tripoter sans pouvoir te soustraire à ces caresses ?
Hum fut sa réponse
J’insinuais une main dans son entre jambe qui s’écarta ostensiblement pour me laisser
effleurer son sexe ; elle mouillait, j’écartais doucement ses grandes lèvres humides
et je commençais à lui masser le clito entre deux doigts ; la pointe était bien dure.
Elle est très sensible à ce niveau et la branler la fait jouir à tous les coups.
Ca te plairait de te faire prendre par tes deux trous à la fois? Lui demandais-je tout
en passant un premier gode dans son entrejambe de façon plus appuyé pour l’exciter
d’avantage et l’humidifier de sa cryptine par la même occasion.

Pas de réponse.
Ecarte les jambes lui dis-je. Elle s’exécute lentement toujours en silence.
Je mets en route le vibro du gode et je commence à la branler puis je fais pénétrer le
gros gode sans difficulté dans sa chatte trempée de mouille; il s’enfonce tout seul.
Son corps se tend, elle tire sur la corde qui la fixe au plafond, son cul se cambre
et ses seins se redressent davantage, elle halète puis pousse des petits feulements :
la partie est gagnée, je vais pouvoir en faire ce que je veux, être plus dur, J’ai
bien l’intention de profiter de ce corps pulpeux, de mettre en pratique mon scénario
imaginé depuis quelques temps, je prends mon pied.
Je lui enfonce le premier good noir de 25 cm de long et 5,5 de large au fond de sa
chatte, elle mouille si bien qu’il s’enfonce sans problème et sans grimaces de sa
part.
Je le lui laisse plantée quelques instant pour qu’elle se sente bien prise à fond et
profite des vibrations transmises en profondeur puis commence des vas et vient de plus
en plus amples tout en lui susurrant à l’oreille :
Alors ma grosse salope, tu aimes ca te faire baiser par une grosse queue noire
Tu en prends plein ta chatte, elle te remplie bien hein ?
En même temps je prélève un peu de mouille sur le gode et commence à lui caresser le
sillon des fesses pour m’arrêter sur son œillet.
J’aime la sodomiser mais elle apprécie que moyennement du fait de la douleur de la
pénétration initiale et ce malgré le fait qu’elle prenne son pied ensuite.
Elle ne se contracte pas sous ma caresse ; j’apprécie l’élasticité de son petit trou
qui cède sous la pression de mon index.
J’ai l’impression quelle mouille du cul, le doigt glisse tout seul à l’intérieur. Je
le remplace par le deuxième god plus petit question de la dilater un peu tout en lui
disant :
Mais c’est ma petite pute qui va se faire enculer
Tu as envie ? Tu es prête à tout ?
Oui murmure t’elle.

Je me place derrière elle lui écarte les fesses et place mon gland bien raide sur son
œillet.
Je pousse un peu, elle recule son cul comme une salope en chaleur. Mon gland rentre
puis ma queue s’enfonce et je l’enfile jusqu’au contact de ses fesses sur mon bas
ventre. Quel pied, je l’encule à fond.
J e sens le gode de devant vibrer, séparé de ma queue par sa fine paroi vaginale,
c’est super ; elle ne dit rien mais sa respiration s’accélère.
Je la ceinture pour lui caresser les seins à deux mains : ils sont dur, les pointes
dressées. Je les malaxe plus rudement.
Alors petite salope, tu es bien prise, deux belles queues pour toi, tu en sucerais
bien une autre en même temps non ? Hein tu aimerais
Répond lui ordonnais je
Oui dit elle dans un souffle
Bien, tu n’es qu’une grosse cochonne lui dis je tout en la fessant d’une main, tu
mérites de te faire baiser par une bande de blacks en rut. Elle gémit
Je commence à l’enculer par des petits mouvements puis lorsque ma queue glisse bien de
plus en plus fort une main la baisant avec le god, l’autre lui excitant les mamelons.
Ses halètements se transforment en gémissements puis en vagissements de plus en plus
bruyant rythmés par mes coup de butoir.
Tu n’es qu’une belle salope en chaleur, ca te plais hein de te faire enculer!
Elle va jouir et moi j’ai de plus en plus de mal à retenir mon éjaculation ; je
jubile: elle est baisée et enculée, attachée les bras en l’air les yeux bandés soumise
à mon plaisir, en train de se faire partouzer par ses deux orifices, prête à toute
les perversités.
Mon phantasme est en train de se réaliser, elle aime ; on pourraient la prendre à
plusieurs, lui faire faire des trucs supers j’en suis sur.
J’imagine déjà la partager avec autre chose qu’un god, la voir se faire partouzer par
un groupe de jeunes beurs ou par des blacks bien baraqués pourquoi pas un simulacre de
viol.
Je suis sur qu’elle aimerais au final
Mais c’est une autre histoire ; laissons l’imagination vagabonder et si cette histoire
réelle vous à plu, je vous écrirais la suite…. peut-être. Et en attendant, la voici
soumise….. à vos phantasmes


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