De Retour De L'École.

J'ai 18 ans et je suis gay. Kévin a 17 ans et il est hétéro. Mais on est meilleur ami,
il sait donc que je suis amoureux de lui. Hier, Kévin m'avais promis une chose : de
venir à ma maison pour qu'on puisse se comparer lorsqu'on est nu. Car avec Kévin, on
aime bien se chambrer sur notre relation, je lui touche les fesses (ce qu'il aime
beaucoup) et lui fait tout pour m'exciter. Mais ça ne nous vexe pas, ce n'est
qu'amical. Mais après m'être venté que j'étais plus beau physiquement que lui, il en a
eu marre et a voulu qu'on se compare. C'est ainsi qu'on s'est donné rendez-vous à ma
maison pour en avoir le coeur net.
Toute la journée, à l'école, Kévin n'a cessé de me faires allusions à mon oreille
concernant ce qui nous attendait en fin de journée. Bien sûr j'en avais envie, j'étais
vraiment impatient. Mais je me disais qu'au moment de se déshabiller, Kévin allait se
désister. On ne peut pas changer comme ça du jour au lendemain, changer du tout au
tout. Je ne lui en voudrai évidemment pas, j'en ai l'habitude, je me montrerai
patient, je sais qu'un jour il le fera. Et s'il le fait quand même aujourd'hui, tant
mieux j'ai envie de dire. Sur le temps de midi, à la cafétéria, c'est même lui qui a
commencé à me faire du pied, et il est monté assez haut, jusqu'à ma cuisse, presque
sur mon sexe. J'ai fait la même chose, il s'est laissé faire. Dans la cours de
récréation, je lui ai fait plaisir : je lui ai touché les fesses, avec ma main droite,
discrètement, mais avec envie. Je lui massais ses fesses, j'ai même, avec mon doigt,
voulu "entrer" dans ses fesses. Il m'a regardé en rigolant. Il a également commencé à
me touché les fesses, c'était la première fois que lui le faisait, et il me les
massait bien.
Sur le chemin de ma maison, J'ai laissé ma main dans la poche arrière du pantalon de
Kévin, lui n'a pas râlé, il se foutait vraiment du regard des autres.

Même si, à un
moment, il me l'a enlevé.

- Kévin : J'aime bien mais il ne faut pas exagérer sur les bonnes choses.
- Moi : Dommage, c'était pourtant génial aujourd'hui, j'ai envie de marcher plus vite
pour arriver plus vite à la maison.
- Kévin : Si moi je n'accélère pas, ça ne servira à rien.
- Moi : Pas faux ...
- Kévin : N'oublie pas qu'on ne fera rien de vraiment sexuel hein, à part que tu me
masses les fesses, mais ce n'est pas vraiment sexuel, c'est habituel entre nous.
- Moi : Peut-être que dans la lancée et dans l'excitation, on pourrait faire certaines
choses.

Nous sommes ensuite arrivés à ma maison, nous sommes rentrés et nous avons enlevés
pulls et chaussures. Je l'ai invité à aller dans ma chambre, on s'y sentira sûrement
plus à l'aise. Par habitude, j'ai fermé ma porte, ça l'a fait sourire.

- Kévin : Tu veux m'emprisonner pour être sûr que je ne m'enfuie pas ?
- Moi : Non, je ferme toujours ma porte, pour bien retenir la chaleur.
- Kévin : Et c'est vrai qu'il va faire très chaud ici.
- Moi : Et donc je t'invite à enlever tes vêtements.
- Kévin : Et tu crois que je vais le faire si tu ne le fais pas ?
- Moi : Tu veux me voir nu ?
- Kévin : On était sensé se comparer, non ?
- Moi : Je te préviens, je suis assez excité par la situation.
- Kévin : Ca ne me dérangera pas, moi elle est à demi-molle, ce n'est pas vraiment
mieux.
- Moi : Haha, ne t'inquiète pas, elle sera tout à fait dure d'ici quelques minutes.
- Kévin : Je ne m'inquiète pas pour ça, il suffit de me toucher le cul pour m'exciter.
Bon tu te déshabilles là ou quoi ?

Je n'ai même pas eu le temps de commencer, Kévin s'en est chargé, il s'est approché de
moi et a enlevé mon T-shirt, en me disant que je devais enlever le reste. J'ai d'abord
enlevé son T-shirt, il ne l'a sûrement pas vu venir. On a décidé d'enlever le reste en
même temps.
Chaussettes puis pantalon, on s'est retrouvé en boxer l'un en face de
l'autre. Mon érection était visible, sa demi-molle également.
A ce moment-là, on a un peu bloqué, on n'a plus bougé quelques secondes. Pour arrêter
ce moment de gêne, j'ai enlevé mon boxer sans l'attendre. Et mon sexe lui était
désormais clairement visible. M'ayant vu le faire, et malgré le fait qu'il avait fort
rougit, il m'a suivit. Il a enlevé son boxer. Je vois enfin son sexe. Sa demi-molle
pendait mais se levait petit à petit. Il avait des poils pubiens rasés, il en prenait
soin. Ses testicules étaient dans l'excitation, elles ne pendaient pas, elles
rentraient un peu, comme lorsque l'on est excité.
Je me suis couché sur mon lit, il s'est couché à côté de moi et à commencer à se
toucher, pour qu'il bande entièrement et qu'on puisse comparer. Pour l'aider, j'ai
caressé son torse, j'ai pincé ses tétons, j'ai frotté ses poils pubiens. Il a commencé
à faire de même avec moi. Il était désormais totalement en érection. Et on a pu
constater que mon sexe était plus grand, de pas beaucoup, mais plus grand quand même.
Je me suis un peu descendu, je me suis redressé pour poser mes bras de chaque côté de
son corps, et j'ai commencé à le lécher. Il ne m'arrêtait pas, même s'il ne voulait
rien faire de sexuel, il me laissait faire par excitation. J'ai mordillé et suçoté ses
tétons, je l'entendais respirer plus fort. Je suis monté jusqu'au cou où je lui ai
fait un suçon, puis le menton, que j'embrassais avec joie, et puis la bouche, et on
s'est embrassé, on s'est roulé une vraie pelle. C'est lui qui menait cette embrassade,
mais il ne l'arrêtait justement pas. Je me suis détaché de lui, je l'ai vu me sourire.
J'ai senti mon sexe touché le sien, j'ai commencé à faire des va-et-vient, ça nous a
fait un bon effet à tous les deux. Puis il s'est redressé, j'étais assis sur ses
jambes.
Et il a masturbé nos deux sexes dans sa main droite. Le frottement de sa main
et de son sexe me faisait pousser des petits râles. Il a recommencé à m'embrasser.
Puis il a tout arrêté d'un coup. Il m'a regardé, l'air heureux, et m'a dit :"Je t'en
prie".
J'ai compris à cette phrase où il voulait en venir. Je l'ai donc recouché, et je suis
redescendu. Ma tête en face de son sexe, j'ai d'abord frotté ses poils pubiens, puis
massé ses testicules, puis je l'ai un peu caressé, un peu masturber. J'ai ensuite
léché son sexe, de bas en haut, à plusieurs reprises, lentement. J'ai ensuite fait des
ronds sur son gland avec ma langue. Je regardais un peu son visage, il avait ses yeux
fermés et il faisait de petits bruits. J'ai ensuite pincé son gland de mes lèvres, le
mettant petit à petit dans ma bouche. Je descendais de plus en plus, son sexe
rentrait de plus en plus, mais lentement. Et avec ma langue, je faisais le contour, je
continuais à lécher. Son sexe était maintenant complètement dans ma bouche, j'ai alors
commencé les va-et-vient, lentement. Je l'entendu faire des souffles de plus en plus
fréquents. J'accélérais la vitesse, mais pas trop vite non plus, pour que j'en profite
encore. Son sexe avait un bon goût. Je ne pouvais pas dire précisément le goût, mais
il était délicieux. Je le trouvais même meilleur que celui de Dylan, alors que je
pensais que tous les sexes avaient le même goût. Mais celui de Kévin était
incomparable, c'était la meilleure chose que j'ai jamais mise en bouche, et pourtant
je mange beaucoup de bonnes choses. Kévin me caressait les cheveux, il aimait ce que
je lui faisais et je le sentais. J'ai commencé à aller plus vite, à accélérer
fortement. Et là je l'entendais faire de petits cris, de petites jouissances. Pour
remettre un peu de salive dans ma bouche, j'ai arrêté de le sucer, je l'ai masturber
et j'ai été lui roulé une pelle.
Il ne m'arrêtait pas, au contraire, il s'y donnait à
fond. J'ai retourné vers son sexe et je l'ai mis en bouche. Je l'ai entendu dire
"J'arrive !", mais je ne me suis pas enlevé. Je l'ai entendu faire plusieurs gros
cris, et j'ai ensuite reçu toute sa semence. J'ai un peu écarté ma bouche pour ne pas
que ça m'étouffe, j'ai eu quelques jets sur mon visage, mais j'en ai avalé la plus
grosse partie. Son sperme était bon aussi. Je lui ai léché le gland pour bien tout
avoir. J'ai pressé son sexe pour en avoir jusqu'à la dernière goutte. Au moment où il
n'y en avait plus. Je me suis redressé et me suis laissé tombé à côté de lui.

- Kévin : Wouaw, je n'arrive pas à croire ce qu'on vient de faire.
- Moi : Et pourtant, ça t'a plu ?
- Kévin : C'était génial !
- Moi : Heureux que tu le sois heureux.
- Kévin : Mais si j'avais su, je t'aurais laissé faire depuis bien longtemps.
- Moi : Mais maintenant que tu vois l'effet que ça te fait, je suppose que tu t'en
veux de m'avoir toujours repoussé.
- Kévin : J'avoue. (En me regardant et en m'enlever le sperme que j'avais sur le
visage) Et ça, c'était bon ? Quel goût ça a en fait ?
- Moi : C'était délicieux, mais je ne peux pas décrire le goût, c'est pourtant
tellement bon.
- Kévin : J'ai jamais autant éjaculé ... Il faut dire que tu as cherché à me faire ça.
- Moi : J'ai tout fait pour que tu prennes plaisir, et les geysers que tu m'a lancé
m'on en quelque sorte récompensé.
- Kévin : Désolé mais moi, je ne suis pas encore tout à fait prêt à te sucer.
- Moi : Ce n'est pas grave, ce que tu viens de me laisser faire me fait déjà
fameusement plaisir.
- Kévin : Mais j'ai envie de te remercier de m'avoir fait connaitre ça.

Je n'ai pas eu le temps de répondre. Kévin a commencé à me caresser le torse, se
dirigeant vers mes poils pubiens, les faisant faire des boucles comme s'il chipotait
ses cheveux. Il a ensuite caressé mon sexe, tout en me léchant le cou, puis en me
mordillant les oreilles. Il m'a alors masturbé, en me roulant une pelle. J'étais
vraiment très excité et je n'ai pas tenu longtemps dans cette situation. J'ai donc
lâché des jets, en poussant de petits râles, mon sperme arrivant jusqu'à mon cou.
Kévin a pris des mouchoirs et m'a essuyé le corps et le sexe. Il s'est ensuite
recouché à côté de moi en prenant la couverture, il n'était que 17h, mais on allait se
reposer. Je me suis donc appuyé sur lui, sur son torse, en embrassant son téton
gauche. Lui me caressait encore les cheveux. Mes parents allaient rentrer tard, on
pouvait donc se sentir bien.
Nous avons été prendre une douche, pour nous enlever quand même l'odeur du sexe, du
sperme et de la transpiration. J'ai pris plaisir à mousser son corps, j'ai évidemment
trainé au moment de laver son sexe et ses fesses, lui a été plus vite, mais a quand
même pris son temps. Nous sommes restés nus après la douche. Car comme promis, je
devais masser les fesses de Kévin. J'en ai profité pour lui faire un massage intégral,
en insistant bien sûr sur la partie qu'il voulait le plus que je touche. Il me disait
que je massais bien, que ça lui faisait du bien.
Nous voulions ensuite jouer à la WII, mais en ouvrant l'armoire, j'ai fait tombé mon
sac qui était appuyé dessus, et ma boite de préservatifs en est tombé. J'ai ouvert ma
boite qui en contenait encore 22 sur les 24, je lui en ai donné 8.

- Moi : Je pense que tu en auras besoin, au moins de quelques-uns.
- Kévin : Je n'en avais justement pas, merci.
- Moi : Utilise-les au bon moment.
- Kévin : Je devrais peut-être regarder si c'est ma taille ...
- Moi : Ben écoute, vu que c'est ma taille et que la tienne est pratiquement identique
à la mienne, je suppose que c'est bon pour toi aussi.
- Kévin : Je vais quand même en essayer un pour voir.
- Moi : Il faut être en érection pour pouvoir essayer.
- Kévin : Mais je suis en érection ...
- Moi : Ah tiens oui, je n'avais même pas remarqué.
- Kévin : Il faut dire aussi que tu m'excites !
- Moi : Menteur va !
- Kévin : Avant ç'aurait été un mensonge, mais après ce que tu m'as fait, mmmmh ...
- Moi : Oula, calme un peu ta joie quand même hein. Ce que tu dis commence à m'exciter
aussi.
- Kévin : Bon allez, essayons ce truc.

Kévin a ouvert l'emballage et pris la capote. Il l'a ensuite enfilé sur son sexe,
juste devant moi. Il s'est ensuite un peu masturbé pour voir si ça frottait bien.

- Kévin : Je trouve que le frottement n'est pas terrible.
- Moi C'est parce ce ne sont pas des capotes lubrifiées. Je peux t'en passer un pot si
tu veux, j'en ai trois de réserve.
- Kévin : Si ça ne te dérange pas, je veux bien. Mais il faut lubrifier le vagin ou le
cul aussi ?
- Moi : Non, pas obligé, le vagin je sais pas mais le cul ça passe si c'est assez bien
lubrifié. Maintenant il ne faut pas mettre une couche de 3 centimètres en un coup !
- Kévin : Merci mais je ne suis pas con.
- Moi : Excuse-moi j'aurais cru. Après tout tu t'appelles Kévin.
- Kévin : Regarde comment je rigole : hahaha ...
- Moi : Bon laisse-moi te montrer comment on en met.

Kévin s'est assis sur le lit, il allait se laisser faire, tant mieux. J'ai donc coulé
un peu de lubrifiant dans ma main droite, et peu de lubrifiant directement sur son
sexe, toujours enveloppé dans le préservatif. J'ai étalé le gel, comme si je le
masturbais. J'en ai rajouté un peu, pour bien faire tout le long du pénis. Pour le
tour, ça allait, vu que son sexe ressemble au mien, il est un peu mince, même si je
dirais qu'il est normal. Pour rire, alors qu'il me restait du lubrifiant sur ma main,
j'en ai un peu mis dans les fesses devant lui.

- Moi (en rigolant) : Allez viens, je t'attends.
- Kévin : Ben retourne-toi alors.
- Moi (en me retournant) : tu vas vraiment le faire ?

Je l'ai alors senti frappé son sexe sur mes fesses.

- Kévin : Et pourquoi pas.

Il m'a alors attiré sur le lit, m'y mettant à quatre pattes. Il a écarté mes fesses,
avant de mieux voir le trou. Je l'ai vu rajouté du lubrifiant dessus, "pour être sûr"
a-t-il dit. Rien que d'avoir senti ses doigts se frotter à mes fesses, j'en avais hâte
de sentir son sexe. Et il ne tarda pas à l'introduire. L'entrée ne fut pas facile pour
lui, il a mit plusieurs essais et a beaucoup écarté mes fesses pour entre son gland.
Et lorsque le gland est entré, le reste a suivi. Lentement, mais sûrement. Sentir son
pénis en moi fut un le plus agréable des sentiments que je n'ai jamais connu. J'étais
déjà au septième ciel, et j'avais hâte qu'il m'emmène plus haut encore. Il était
arrivé au bout, tout son sexe était en moins. Il a ainsi commencé à le retirer, et la
sensation fut encore meilleure. Il faisait de longs va-et-vient, longs et lents.
C'était magnifique. Et il la fait longtemps, sans que ça perde son efficacité. Mais à
la dernière fois qu'il l'a fait, il était presque entièrement sorti, et il est rentré
entièrement d'un coup violent. Je n'ai pu empêcher un cri que sortir. Non, il ne
m'avait pas fait mal, il m'avait surpris, et j'ai joui. Il a ainsi à faire des coups
plus secs, plus rapides. A chaque fois, un "AH !" m'échappait. Il m'a alors retourné,
pour que je sois face à lui, et a mis ses jambes sur ses épaules. Ses mouvements
étaient plus rapides, il jouissait aussi. J'ai commencé à me masturber pour augmenter
mon plaisir. Je n'ai pas mis longtemps pour tout lâcher sur mon corps, alors que Kévin
était de plus en plus rapide. Je ne jouissais plus, j'étais en transe, et lui aussi.
Le lit grinçait fort, mais qu'importe, on était seul. D'un coup il s'est retiré de
moi, a enlevé le préservatif, s'est un peu masturbé et a envoyé sa semence sur mon
corps, la mélangeant avec la mienne déjà étalée. Il a lâché plusieurs jets, dont un
sur mon visage. Il s'est ensuite affalé sur moi, épuisé, alors que je sentais encore
quelques petits jets sortir de son sexe. Il venait de se coucher sur moi, alors que
mon torse était recouvert de sperme. Mais il s'en foutait. On avait du mal à reprendre
notre respiration comme ça, mais on s'en foutait. On s'est encore roulé une pelle. Et
puis on s'est regardé.

- Moi : Et dire que tout ça, ce n'est que purement sexuel.
- Kévin : Et dire que j'ai eu autant de plaisir avec un garçon ... Mais avec toi, je
recommencerais volontiers.

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