Soumise À Un Algérien 2

Malheureusement nous sommes déjà jeudi, je suis au bureau, Il fait très beau et chaud en ce début juillet. Que me réserve cette soirée avec Benaissa, ce soir il va rentrer dans ma sphère privé : Mon mari, ma maison. A-t-il décidé de me laisser tranquille? Il va être avec sa femme donc je devrai avoir un peu de répit.

Arrivé au Riad je constate que Marc a mit en place la table pour quatre, il a disposé la table prêt de la piscine sous les palmiers à l’ombre, malgré le début de soirée le soleil reste persistant.

- Salut mon chéri, je vois que tu as tout préparé ?

- Oui ma chérie, nous n’avons pas beaucoup de choix dans le trousseau.

Il avait mit une grande nappe blanche tombant au sol ainsi qu’un service très simple.

- Ils vont bientôt arriver, tu devrais te préparer.

- Oui j’y vais, je vais mettre ma longue robe d’été blanche à bretelles qui descend jusqu’au talon avec les feuilles de palmier bleu.

- Et c’est tout !!?

- Mais non idiot, le reste tu le découvriras plus tard dans la soirée, quand ils seront partis. Obsédé.

J’étais en train de finir de me préparer dans la salle de bain quand la cloche extérieure a retenti, Marc étant prêt il a été ouvrir.
J’ai rejoint Marc pour les accueillir, Benaissa a esquissé un grand sourire en me voyant dans ma grande robe avec le buste tendu malgré le tissu ample et aéré avec mes cheveux blond détaché dans mon dos. Ses yeux descendait et montait le long de mon corps et il n’était en aucun dérangé par la présence de mon mari.

- Enchanté de vous revoir ma chère Amy, je peux vous appelez par votre prénom ? Me dis-t-il en me regardant fixement dans les yeux.

- Eeuuh, oui cela ne me pose aucun problème. Je vous présente mon mari Marc.

- Enchanté mon cher. Je vous présente ma femme Fadila.

La femme de Benaissa devait avoir le même âge que lui, c'est-à-dire autour des 60 ans, elle n’a pas un physique très attraient, de grosses joues, les yeux noirs, j’estime qu’elle devait peser dans les 90 Kilos pour 1m65, elle était habillé d’une superbe abaya grise avec des fleurs argentées ainsi qu’un hijab de la couleur de sa robe.

Lui avait une djellaba blanche ave le col brodé en beige et un turban noir et blanc et toujours cette horrible barbe rousse, taillé pour l’occasion mais tout de même horrible.

Marc a pris les commandes et nous a dirigés vers la piscine pour nous proposé de nous asseoir à table. Benaissa m’a posé la main dans le bas du dos, il avait le bout des doigts sur l’élastique de mon string, il a découvert mes bas avant mon mari puis il a prit la parole :

- Puis-je me permettre chère Amy de m’asseoir à vos côté, si sa ne vous dérange pas bien sur ?

- Non, je vous en prie.

Je n’avais pas le choix, il était debout à côté de la chaise attenant à la mienne.

Marc et la femme de Benaissa était donc de l’autre côté de la table, Marc en face de moi. Benaissa était maintenant assis à 30 centimètres de moi.

Après quelques minutes de discussion Marc a proposé une boisson.

- Monsieur et Madame Benaissa que désirez vous boire.

- Du thé, se sera très bien, merci.

- Amy tu veux du vin.

- Oui mon chéri, merci.

Il rempli mon verre à pied jusqu’à la moitié après avoir servi Benaissa et sa femme.

Benaissa a interrogé Marc sur le sujet des s, connaissant exactement le problème. Marc lui a répondu gêné et a évoqué ses problèmes de fertilité. La femme de Benaissa a commencé à parler à Marc du sujet et Benaissa en a profité pour tourner sa chaise légèrement vers moi, son genou est venu en contact contre le mien.

J’ai regardé Marc en pensant : - help, help, help. Mais il était en grande discussion avec Mme Benaissa. Voyant que Marc était bien occupé il en a profité pour poser sa main su la mienne en la serrant légèrement et en me disant :
- Un si beau couple c’est vraiment dommage.

Je lui ai répondu gêné :

- Merci pour votre compassion.

Tout en me fixant et en jetant coup d’œil du côté de Marc il a soulevé ma main de la table, je me suis raidi.

De sa main gauche il a soulevé sa djellaba laissant apparaitre son genou poilu, je l’ai regardé les yeux exorbités l’air de dire non, non, non.
Il ma chuchoté doucement avec un petit sourire :

- Laissez-vous faire, vous connaissez les risques.

La tension relâchée par ses menaces, il a dirigé ma main sur son genou, je tremble. Ma main posé sur son genou il a commencé à la caressé doucement pour calmer ma peur.

- Ne vous inquiétez pas, cela va très bien se passer. Me chuchota-t-il.

C’est surtout pour ce salaud que tout va bien se passer.

Tenant toujours ma main il a commencé à se caressé le bas de sa cuisse, j’ai remis de la tension dans mon bras pour affirmer mon opposition mais il pressé ma main fortement m’assignant une forte douleur, le message est bien passé c’est lui qui dirige la manœuvre et aucune résistance n’est toléré.

Il a fait plusieurs allers retours sur la bas de sa cuisse, je sentais tout c’est poils sur ses jambes fines pas du tout musclées. De son autre main il a caché la mienne en rabattant sa djellaba par-dessus, il continué à se caresser la cuisse à l’aide de ma main tout en remontant doucement.

- Non, non, s’il vous plait Mr Benaissa pas ça . Lui dis-je à voix basse, les yeux cristallins.

Marc et Mme Benaissa était toujours en grande discussion, aucune aide pour me sortir de ses griffes.

Il a continué a remonter le long de sa cuisse tout en faisant de petit allers retours, il a légèrement avancé sons bassin faisant passé ses jambes sous la table tout en regardant sa femme et Marc, l’inévitable est arrivé il a dirigé ma main sur son bas ventre, je suis rentré dans cette toison épaisse, il ma fait faire plusieurs aller retour dans cette jungle de poils.

A chaque allers retours il en a profité pour descendre de plus en plus, je sentais maintenant le haut de son sexe sur le côté de ma main, surprise j’ai remonté d’un reflex rapide me libérant de sa main, il la tout de suite reprise et la positionné directement sur sa verge.


J’ai tourné la tête d’écœurement et il ma dit :
- Souhaitez-vous boire un coup Amy ?

De sa main droite il me tenait sur son sexe, de la main gauche il a saisi son thé en m’invitant à faire de même, je me suis exécuté, j’ai prise une gorgé de vin et j’ai reposé mon verre sur la table, il a fait de même avec son verre de thé.

Sous son emprise j’ai commencé à caressé sa verge flasque. Malgré se dégout j’ai remarqué qu’elle était plus longue que celle de Marc en érection, il a écarté les jambes et positionné le creux de ma main sous ses testicules et ma à les malaxer, elle était très grosses et lourdes mes mains étaient trop petites pour les contenir.

Après c’est quelques minutes de massage, il a dirigé ma main sur son sexe et la refermé dessus, j’ai commencé à le masturber sous sa prise. L’effet de c’est allers retours a été très rapide, j’ai senti le mollusque devenir branche rigide, très rigide. Maintenant ma main ne peut plus en faire le tour, je suis stupéfait par ce membre, je sens ses veines gonflées tout le long de sa verge, il a remonté ma main jusqu’à son gland énorme et dur.
Il a imposé un rythme de masturbation tout en relâchant ma main. J’ai maintenant sa verge tendu entre ma main libre, je ressens les secousses électrique traverser son sexe. Un membre aussi dur pour son âge c’est étonnant. Cette longueur ce diamètre, je suis stupéfait.

Pendant que je lui octroi ce plaisir Benaissa boit tranquillement son thé tout en participant à la discussion de Marc et de sa femme il est très à l’aise, de temps en temps il me saisi le poignet à travers sa djellaba pour redonner le rythme.

Ce membre entre mes mains, sa femme me regarda en m’offrant un sourire car elle a vu mon air triste. J’étais fatigué de masturbé ce porc à barbe rousse depuis plusieurs minutes, Benaissa la ressenti et prit mon poignet et accélère le rythme tout en me demandant à voix basse:

- Ma chère Amy veuillez me donner votre verre de vin.


Je me suis exécuté ne comprenant pas cette demande, il a passé le verre furtivement sous sa djellaba, j’ai tout de suite compris, il ne peut pas me faire ça, c’est dégoutant.
Mon poignet menotté par cette main oppressante il a accéléré le rythme de masturbation, j’ai senti son sexe gonflé à nouveau, son gland était positionné au dessus du verre rempli au 1/3, il a donné un dernier coup d’œil sur Marc, sa l’excitait de regarder mon mari sachant que sa femme était en train de le masturber.

Il a de nouveau accélérer, ses yeux figés de l’autre côté de la table, j’ai tout à coup senti les spasmes dans sa verge ainsi que de petit sons contenus sortir de sa bouche, il était en train d’éjaculé, son membre c’est relâché et raidit à plusieurs reprise. Maintenant flasque il a utilisé ma main pour nettoyer les dernières traces de spermes sur son gland et a relâché ma main que j’ai aussitôt sortit de dessous sa djellaba et positionné sur ma cuisse et nettoyé avec la nappe, tout en le regardant avec les yeux plein de colère.

Il sortit le verre de vin de dessous sa djellaba à jeté à nouveau un coup d’œil de l’autre côté de la table et la subrepticement positionné devant mon assiette tout en me regardant avec ce sourire habituel.

J’ai tourné la tête vers la table et j’ai constaté avec stupeur que mon verre de vin était plein au ¾.

- C’est impossible d’éjaculé une telle quantité de sperme. Me dis-je, surtout à cet âge.

De toute façon je ne boirai pas une goutte de ce verre.

Benaissa a légèrement écarté sa chaise de la mienne et il a pris la parole :

- Mais chère amis je vous propose un toast.

Non !!! Ce type est un(…), toutes les insultes me traversais l’esprit.

Marc dit à son tour :

- C’est une très bonne idée.

Benaissa a saisi son thé en le levant et c’est exprimé :

- A nos nouveaux amis, Marc et Amy.

Il a bu une bonne gorgé en me regardant et m’a dit :

- Quelques chose ne va pas Amy vous ne trinquez pas avec nous.

- Oui ma chérie ??? Tout va bien ???

- Il y a quelques chose dans votre verre ?

Me demande Benaissa.

- Tu veux qu’on échange ma chérie ?

Répliqua Marc.

- Non !!!!! Je vais trinquer avec vous.

Ils avaient tous les trois les yeux rivés sur moi, c’est avec une boule au ventre que j’ai saisi mon verre de vin, je l’ai monté à mes lèvres et basculé, le liquide a touché mes lèvres et j’ai bu une toute petite gorgé.
- Je suppose que le sperme est plus dense que le vin donc il est dans le fond.

Plein d’idées folles me traversait l’esprit.

Benaissa c’est exclamé.

- J’espère que notre amitié est plus grande que cette petite gorgé, faites moi plaisir ma chère.

Je n’ai pas eut le temps de reposer mon verre que je l’ai remonté à ma bouche toujours avec cette même angoisse, le posant sur ma lèvre inférieur je l’ai basculé avec plus de ferveur tout en fermant les yeux et j’ai senti une grande quantité de liquide sur ma langue, ma bouche c’est rempli.

J’avais maintenant la bouche fermé quasiment pleine, le verre à la main. J’ai commencé à avaler, à ma stupeur j’ai senti sur ma langue une texture gluante la toucher et traverser ma gorge, le sperme rentrai en contact avec la paroi de mes joues, j’ai du mi reprendre à trois fois pour tout avaler. Quelle horreur.

Tous les trois ont discuté pendant 10 minutes, je me suis levé en m’excusant, en approchant mon verre, le but était d’aller le vider, Benaissa ma vu venir et a bloqué ma main discrètement, je suis sorti tout de même de table mais sans mon verre. Une fois à l’évier de la cuisine je me suis rincé la bouche je n’arrivai pas à vomir. J’ai bu un grand verre d’eau et j’ai regagné la table.

Marc nous a servi la suite du repas, après quelques discussion avec Mme Benaissa j’ai pu oublier sommairement cet épisode, mais Benaissa ne manquait pas d’inspiration pour trinquer, je voyais mon verre de vin traversé par le soleil, cela donnait l’impression d’une lampe à lave magma, ce sperme flottant, purement écœurant.

J’ai réussi à le vider en le mélangent avec des aliments, à chaque gorgé je ressentais le regard oppressé de Benaissa savourant sa victoire sur cette humiliation.

Le repas fini, nous étions maintenant tous les quatre en pleine discussions, surtout les trois autres, tout a coup Benaissa a laissé tombé sa serviette de mon côté à mes pieds, il sait pencher pour la récupérer, tout en se relevant il saisi ma robe pour la relevé, avec stupeur et angoisse j’ai posé mes mains avec force sur mes genoux pour lui barrer le passage.

Avec un très grand calme il a repoussé mes mains et a posé ma robe sur mes cuisses laissant mes genoux apparent, il a prit ma main droite et la posé sur l’accoudoir de ma chaise.

- Vous allez me faire un cadeau Amy. » m’a-t-il dit à voix basse.

Je n’ai rien répondu, je suis resté le visage droit et le regard fixe comme tétanisé. Il a immédiatement posé sa main sur ma cuisse, se contact ma procuré un frisson dans le dos. Il a doucement remonté sa main sur ma cuisse tout en restant sous ma robe, je sentais sa main rugueuse sur ma peau, une fois rendu en haut il a passé sa main entre mes cuisses serrées et il est revenu à nouveau sur le haut de ma cuisse. Il a saisi le côté de mon string et il a doucement tiré dessus.

Le moment ou mon string à bloqué sur son trajet j’ai compris que je devais lever mes fesse pour qu’il récupère son cadeau, je me suis exécuté, il a emmené ma culotte jusqu’à mes genoux et la laissé tomber au sol.

Pour avoir un peu de répit j’ai entreprit de débarrasser la table, je me suis levé avec assiettes et couverts prenant la direction de la cuisine.
Marc ma proposé immédiatement son aide, je lui ai proposé de resservir les invités en boisson, ce qu’il a fait tout de suite. J’étais maintenant dans la cuisine en train de déposer les assiettes quand Benaissa est arrivé avec des ramequins.

- Je me permets de vous aidez Amy, nous avons été très bien reçu moi et ma femme.

- Laissez moi tranquille maintenant et veuillez partir.

- J’ai bien reçu votre photo l’autre jour, vraiment très jolie.

Me dit-il en venant se positionner derrière moi.

Le voyant venir j’ai commencé à bouger souhaitant finir de débarrasser la table mais il ma coincé en me mettant face à la fenêtre qui avait une vu sur la piscine et la table de repas ou était madame Benaissa et Marc en train de discuter.
Il a mit mes mains sur le plan travail, il était dos à moi.

- Je vous le répète, laissez moi tranquille maintenant, je crois que je vous ai fait plaisir ce soir.

- Oui en effet, mais j’ai apprécié votre entre jambe sur la photo et je souhaite toucher maintenant.

- Non, s’il vous plait, sa suffit.

N’ayant que faire de mes supplices il est descendu le long de mes jambes, il a saisi le bas de ma robe et la remonté doucement, j’avais maintenant les hanches à nue.
Il tenait ma robe d’une main et ajouta :

- Vous avez des jambes superbes, votre mari à de la chance.

Je restai de marbre et il est venu positionner sa main libre sur mes fesses, il a commencé à les caresser.

- Vous êtes si douce. Vous sentez mon plaisir ?

Il est venu se coller à moi et j’ai senti son pénis grossir entre mes fesses, je sentais cette grosseur poussé sur mon postérieur.
Il a passé sa main libre sur l’avant de ma cuisse en se dirigeant vers mon entre jambe, je lui ai saisi la main qu’il a repoussé immédiatement, le bout de ses doigts étaient entré dans ma toison châtain, je lui ai de nouveau saisi la main, il n’en a eut que faire et son intrusion a continué il a passé un doigt entre les lèvres de ma vulve et il a commencé un va et vient venant de tant à autre titiller mon clitoris.

Je n’ai pas pu bloquer une certaine excitation, il a senti l’humidité atteindre ses doigts.

- Je vois que vous appréciez mes caresses, vous en voulez peut-être plus ???

J’ai baissé la tête en repositionnant ma main sur le plan de travail lui montrant ma soumission pour que ce calvaire termine au plus vite.
Il a immédiatement inséré un doigt dans mon vagin sans difficulté, son membre volumineux a poussé son mon fessier, en même temps qu’il me violait avec son doigt il a relâché ma robe pour venir s’immiscer dans mon décolleté ou il a saisi le bas de mon soutient gorge pour le relevé libérant mes deux gros seins blanc.

Le rythme était posé, étant à l’aise il m’a introduit un deuxième doigt tout en me malaxant les seins et les tétons. Pendant plusieurs minutes mon corps était à sa merci.
Tout en relâchant sa pression sur ma poitrine, il est venu relever sa djellaba et il m’a dit :

- Vous êtes une blanche bien soumise, veuillez saisir ma queue maintenant et faire votre travail de femme.

J’ai relâché le plan de travail et pris en main son énorme pénis, j’ai commencé la masturbation sans qu’il me le demande pendant qu’il me violait avec ses doigts.

Je l’ai déjà masturbé il y a moins d’une heure et son membre est de nouveau très dur et massif.
Il a intensifié c’est aller et venu dans mon vagin trempé, ce qui m’a occasionné un souffle plus saccadé, je me retenais d’émettre quelque son qu’il soit. J’ai senti son pénis se raidir, il a retiré ses doigts de mon vagin et a soulevé ma robe laissant apparaitre mes fesses, de l’autre main il a pris son pénis en main et a continué à se masturber quelques secondes, tout à coup il a avancé son bassin et il est venu éjaculer sur mes fesses, je sentais le liquide chaud glisser le long de mes fesses et ensuite entre mes cuisses.

Et pour finir cette humiliation, il a pris une datte dans le ramequin qu’il avait ramené et il est venu la positionner entre les lèvres de ma vulve en faisant des allers retours en affirmant :

- Vous êtes délicieuse, j’ai envie de vous farcir. C’est ce que l’on fait avec la volaille blanche ?

J’ai saisi sa main tout en lui disant :

- Non pitié, arrêtez.

Pour me décontenancer il a positionné le doigt de son autre main sur mon anus et il a commencé à faire le tour de mon bouton.

- Non, non ,non, pas ça, pitié.

Me concentrant à bloqué la porte de l’impossible expérience, il en profité pour m’introduire la datte dans mon vagin.
- Noooon !!!! Vous êtes horrible.

Lui dis-je, les larmes aux yeux.

Il y a légèrement reculé ses doigts pour mieux la poussé d’un coup sec jusqu’au fond de mon vagin.

Retirant ses mains de mon corps, le bas de ma robe est retombé au sol. J’ai remis mon soutient gorge en place. J’ai voulu me débarrasser de cet intrus sucré mais il ma prit par le bras en m’indiquant :

- Nous somme attendus à table, je vous laisse passer devant ma chère.

Baissant la tête je suis passé devant lui séchant mes yeux. Il a profité de mon passage devant lui pour passé ses mains sur mes fesses afin détaler le sperme sur ma robe. Je me sentais puante et souillée.

Arrivé devant la table Marc et Madame Benaissa nous ont regardé, Benaissa en profité pour nous remercier pour ce délicieux repas :
- C’est un plaisir d’avoir passé cette soirée avec vous et Marc, j’espère que l’on va se revoir bientôt.

Marc lui a retourné le compliment. Nous nous sommes rapprochés de la sortie et ils ont quitté le Riad.
Marc avait le sourire.

- J’ai passé une très bonne soirée, cette femme était très sympathique, et toi ma chérie tu as pu discuter avec Mr Benaissa et découvrir une autre facette de sa personnalité.

- Merci de te soucier de moi mon chérie, je n’ai qu’une envie, c’est prendre une douche et me coucher.

Ce que j’ai fait tout de suite après avoir retiré de mon vagin le cadeau de Benaissa, j’avais les fesses et les jambes enduites de sperme.

Après avoir brièvement nettoyé la maison Marc est venu me rejoindre au lit et se serrer contre moi, il a commencé à me caresser et j’ai pris en main son pénis et je n’ai pu m’empêcher de faire la comparaison, mon mari a vraiment une toute petite verge par rapport à Benaissa…

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