La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 34)
3- Le défilé de chiens
Une fois le silence absolu soudainement installé, ce qui fit vite comprendre à Fanny
labsolue autorité du Maître des lieux vis-à-vis des invités comme des esclaves, le
Marquis prit la parole et sadressa dune voix claire et forte à lassemblée :
- Mes Amis
Mes Amis
Je vous présente ma dernière acquisition, ma petite chienne
Fanny... Jaurai du travail, certes, pour léduquer, mais jen fais mon affaire
Pour
le moment que chacune et chacun dentre-vous récupère son ou ses esclaves. Tenez-les
au pied et en laisse et si vous voulez bien, je vous propose, comme nous avions
convenu ensemble, dimproviser un défilé de chiens. Si vous voulez bien vous mettre au
fond de la salle
Walter vous annoncera au fur et à mesure et prendra des photos pour
chacun de vous. Merci chers Amis de votre participation
Un copieux applaudissement général et enthousiaste suivit les paroles du Marquis. Et
Fanny pu remarquer lextrême organisation des Maîtresses et Maîtres présents qui, dun
claquement de doigts pour certains, dun coup de sifflet pour dautres, firent ramener
les esclaves à leur pieds, pour ceux qui étaient éparpillés ayant été prêtés pour la
plupart. Tous les esclaves mâles portaient une cage de chasteté. Puis tous se
rassemblèrent au fond de la pièce à la file indienne dans un ordre apparemment déjà
ordonné. Suite à un signe de tête dune Maîtresse en tête de la file dattente, on
entendit une voix théâtrale annoncer :
- Madame la Duchesse de Vermont et son chien Edgart
A ces mots, la Duchesse relevant hautainement la tête, secoua la laisse et lesclave
Edgart se mit à avancer à 4 pattes. Arrivés sur la piste de danse, le duo en fit le
tour sous les applaudissements de tous. Puis la Duchesse fièrement sapprocha en bout
de piste face au trône, pour faire arrêter son esclave-chien et fit mettre à celui-
ci la tête et les coudes touchant le sol, lui fit écarter les jambes et cul relevé en
levrette.
dun respectueux signe de tête. Celui-ci rendit la politesse à lidentique en
renouvelant ses applaudissements. Puis la Duchesse secoua de nouveau la laisse et son
chien fit demi-tour dans une ovation générale. Le défilé continua de la même manière
pour tous avec les présentations annoncées à chaque fois par Walter :
- Monsieur le Vicomte de la Verdière et ses deux chiennes Olga et Anita
- Madame la Marquise de Berlenac et son couple de chien-chienne Hermont et Tania
- Madame la Baronne du Plantier et son chien noir Doudou (un robuste et musclé black
esclave)
- Monsieur le Maréchal Dumart et son quatuor de chiens
Etc
etc
Le défilé dura environ une bonne demi-heure et Fanny était comme subjuguée
par les avilissements extrêmes de ces esclaves qui docilement venaient de passer tour
à tour devant ses yeux. Elle compris alors, ce qui lattendait et elle fut rattrapée
par deux sentiments puissamment étranges se mélangeant : A la fois, elle prenait peur
et se dit quelle ne pouvait pas devenir comme cela et à la fois cela lexcitait
fortement car elle sentait son bas ventre humide et ces sensations sentrechoquèrent
dans son esprit.
Quand le défilé fut terminé et suite à un signe de la main du Marquis dEvans, tous
les Maîtres et esclaves se regroupèrent sur la piste de danse, pour une photo souvenir
de groupe. Le Marquis se leva alors de son trône, tira sur les chaînes et les 2
chiennes Jeanne et Christelle se tinrent, sans dire mot, prêtes à avancer toujours 4
pattes. Il regarda Fanny et avant de commencer à descendre les marches du trône, il
lui dit calmement mais autoritairement :
- Je veux que tu sois sur la photo, alors je vais prendre le bout de ta laisse et tu
avanceras au côté de mes deux chiennes, toi aussi à 4 pattes.
tentendre. Allez avance petite chienne
Alors Fanny craintive ne put quobéir et pour la première fois de sa vie, elle
ressentie vraiment sa véritable condition. Le quatuor, le Maître des lieux et les 3
femelles en laisse, arriva sur la piste de danse, seul endroit non équipé de tapis
épais et doux mais plutôt dun parquet vernis clair plus dur sous les genoux pour les
esclaves. Chaque Maîtresse et Maître posa un pied sur le dos dun chien, dune chienne
et relevèrent fièrement la tête pour regarder Walter qui prit plusieurs photos. En bon
photographe, celui-ci demanda poliment à une Maîtresse de se mettre plus à droite, ou
à un esclave de mieux baisser la tête, à un Maître distrait de regarder lobjectif
etc
à des fins de meilleurs réussites photographiques.
Fanny qui devait comme ses congénères baisser la tête, sentit une main lui caresser
les fesses. Elle faillit instinctivement se retourner quand la Marquis tira sur la
laisse ce qui fit comprendre à la soumise de ne pas bouger. Elle comprit que le Noble
légèrement penché sur le côté lui passait la main vicieusement sur sa croupe. Elle
aperçut également que son Maître alternait ce geste sur Jeanne et Christelle. Ces deux
dernières ne bronchèrent point et restèrent impassible comme habituée à ce genre de
chose.
Quand Walter finit les photos, il fit signe au Marquis et ce dernier prit de nouveau
la parole :
- Merci à tous. Et maintenant tous au buffet. Buvez et mangez à volonté mes amis, un
apéritif dînatoire vous attends !
Il frappa de nouveau dans les mains et les femelles-serveuses du Marquis qui
attendaient sagement derrière le long bar, déposèrent de nombreux plats exquis, quun
traiteur de la haute société avait préalablement préparé et livré, sur toute la
longueur du comptoir. Un brouhaha de satisfaction générale se fit entendre et tous se
dirigèrent vers le buffet.
sapprocha du Marquis dEvans et lui dit :
- Mon cher Edouard, que vous avez là une bien belle chienne ! Jaurai plaisir à ce que
vous me la prêtiez à loccasion car je suis certaine quelle ne connaît pas le
dressage dune Maîtresse
- Ma chère Antoinette, jy ai déjà pensé et soyez certaine que dans son éducation,
jai bien prévu que cette Fanny passe entre vos mains. Je connais vos méthodes et je
ne doutes pas quelles seront très utiles pour maider à la formater, dit le Noble en
regardant perversement la petite chienne qui nosait lever les yeux et restait tête
baissée, tandis que le chien Edgart sentait la croupe de Fanny.
- Merci mon ami
. Ho mais regardez moi ça, dit la Duchesse, qui avait vu le manège de
son esclave, mon Edgart qui serait en chaleur, votre petite chienne lui fait de
leffet. Ha ha ha ! Si vous voulez accoupler votre chienne cest le moment, dit t-elle
en boutade !
- Et pourquoi pas ! Répondit le Marquis tout à fait sérieusement ! Loffrir à un
esclave aussi musclé que le votre, démarrerait bien son éducation.
Ils ne restèrent queux sur la piste de danse, tous avaient rejoint le bar. La
Duchesse sortit une clé de la poche de sa belle robe satinée, ainsi quun préservatif.
- Je nai quà enlever sa cage de chasteté et lui enfiler cette capote. Ca fait 15
jours quil na pas éjaculé et il doit commencer à avoir les couilles pleines. Ca le
vidangera ! ha ha ha !
Non, pensa Fanny, mon Maître ne peut pas me faire ça, ce nest pas possible ! Elle
leva la tête pour protester quand elle vit les yeux inquisiteurs du Marquis. Elle
nosa alors dire mot mais de son regard attristé elle suppliait son Maître. Celui-ci
plia les genoux, lui prit le menton entre les doigts de sa main et la regarda droit
dans les yeux.
- Je vais être très clair petite chienne. Cest maintenant que tu dois te décider. Je
ne vais pas tobliger à te faire baiser par ce chien dEdgart. Alors soit tu acceptes,
soit tu quittes cette pièce et ce château. Walter te rendra tes habits, enlèvera ton
collier et ta laisse. Il te reconduira à la gare, te fera monter dans le premier
train, et tu rentres chez toi. Et on en parle plus
Alors écoute bien, je vais aller
offrir une collation à Madame la Duchesse. Ce qui te laisse quelques minutes pour
réfléchir
Si tu décides de partir, tu nauras quà te lever, te mettre debout et dans
la minute qui suivra,Walter te ramènera sans aucun problème et tu nentendras plus
jamais parler du Marquis dEvans. Si tu décides de rester, tu nauras quà te mettre
ici au milieu de cette piste de danse en position de levrette, jambes écartées prête
et offerte
. Réfléchit bien et fait ce que tu décideras
.
(à suivre
)
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