Petite Balade À Sète Pour Éva (2° Partie)
8° Chapitre
Cest Paul qui est juste à côté de moi. Que je suis contente ! Je me lève dun bond pour le serrer dans mes bras. Je suis toute remuée, toute bête : comment puis-je être encore comme ça après 30 ans de mariage ?
Je suis toute trempée de désir. Et mon chéri nest pas en reste. Je perçois une bosse dans son pantalon.
Un baiser fougueux nous unit. Durcis d'excitation, les bouts de mes seins me font mal. Je sens une main qui me caresse les fesses : que cest bon ! Je suis une collégienne ! A 48 ans ! Nimporte quoi ! Je nai quune envie : quil me touche, partout. Je veux des caresses, de la douceur, et un tout petit peu de violence aussi. J'ai envie qu'il me pince les tétons, pour quil les caresse et les lèche lentement ensuite. Jai envie de claques sur les fesses, pour mieux sentir ses lèvres sur mon postérieur rougi
Vite, vite.
Nous ne sommes pas très loin de lhôtel. Nous nous dépêchons, tous deux enlacés. Ma robe vole, je men moque, je suis Heureuse, je suis tout Amour et quimporte, et tant mieux que lon me voit ainsi. Je me sens légère, je vole, comme ma robe. Mon mari mattire contre lui, me serre fort, me caresse les seins, me défait un autre bouton. Il fait ce quil veut de moi. Je suis sa chose, je suis si bien. Je veux le voir, le sentir aussi heureux, aussi amoureux que moi.
Ça y est. Nous voilà lhôtel. Le beau frisé est toujours là. Son sourire sestompe légèrement à la vue de mon Paul au bras. Il revient cependant très vite pour me glisser un petit mot à loreille, en même temps quil me glisse les clés en effleurant mon poignet :
- « Ça y est, vous avez retrouvé votre mari !? »
Je ne peux mempêcher de répondre à son sourire si craquant, mais vite je me reprends. Je suis déjà dans lascenseur. Vite. Je serais prête à faire lamour là, maintenant. Jen ai trop envie.
- « jembrasse goulûment les lèvres de mon Paul tandis quil me caresse les fesses à même la peau.
Je me demande dans quel état je vais arriver à la chambre. Est-ce quil va me rester des boutons ? Ma robe ne tient plus quavec un seul bouton. Avant dentrer dans la chambre, je défais le dernier bouton et fais glisser ma robe aux pieds.
- « Viens me prendre, fort, très fort, mon amour, tu mas tant fait attendre. Fais-moi tout sil te plait. Je suis à toi, toute à toi. »
Sa main alors saventure sur mes seins qui durcissent instantanément. Je sens ses lèvres se perdre dans mon cou, ce qui me procure une vague de plaisir mirifique, et dans un murmure il me dit :
- « Ma chérie, j'ai trop envie de toi. »
Je sens alors sa main descendre dun mouvement très rapide jusquà mon entrejambe et il constate que je suis totalement trempée. A ce moment-là, je me rends compte que la fenêtre est restée ouverte. Dans la vitre, je découvre à nouveau le reflet du visage de notre voisine qui nous mate. Je suis encore plus excitée. Je ne sais pas où se limite lintervention de Paul, ce quil a manigancé. Est-ce que le couple est dans le coup ? Et le jeune à laccueil, aussi prévenant, mais aussi canaille !
Paul stoppe net ses caresses. Je me retourne vers lui. Sa bouche sempare de la mienne pour un baiser qui en dit long sur le désir de jouissance et de plaisir qui lhabite. Ny tenant plus je descends alors mes lèvres le long de son corps, et telle une diablesse, ma bouche sentrouvre et je me mets à le sucer intensément, ma main se saisit de ses bourses gonflés de désir. Jadore ce moment là, ce pouvoir qui mest donné de donner un réel plaisir à mon partenaire sous les assauts de mes doigts, de mes lèvres et de ma langue. Ses gémissements sintensifient, ce qui me pousse à être encore plus entreprenante dans ma fellation. Je ne sais pas si Paul sest aperçu de manège de notre voisine, mais Carole nen perd pas une miette : la cochonne !
Je me sens couler telle une fontaine dabondance.
Je narrive toujours pas à faire partir de mon esprit toutes ces scènes si excitantes de mon après-midi. Je mouvre largement. Je me sens chienne, soumise, impudique, rouge de honte et de plaisir. Je prends mes mamelles à pleines mains. Je me pince le bout des seins car mon Paul est trop occupé par le bas de mon corps. Soudain, je sens le doigt de mon Paul sinsinuer dans ma grotte trempée pour venir lubrifier mon illet !! Cest sensationnel comme ressenti. Ma respiration s'accélère. Je ronronne. Mes mains saisissent fortement les draps que je froisse avec force. Mon bassin se relève de plus en plus souvent, je me tords de plaisir. Les caresses sont de plus en plus appuyées et désormais je sens son doigt pénétrer la partie la plus sombre de mon intimité. Paul sent bien mon excitation. Il en profite pour me dire des mots cochons qui me font rougir encore davantage.
- « Tu aimes hein ma salope que je te doigte le cul ??? Dis le moi. »
- « Ouiii encore, enfonce-moi ton doigt, hummm plus profond »
- « Oui ma chienne je vais te le défoncer ce soir ton adorable cul !! »
Ces paroles ont pour effet de me transcender. Je sens son doigt coulisser entre mes fesses très facilement. Cest alors quun deuxième doigt sincruste à son tour. Je crie tellement la sensation est intense et je mimagine me faisant violemment enculer. Jai envie de ça tout de suite.
- « Hummmm comme tu es ouverte mon amour, je vais tenculer ce soir, tu es trop bonne ! »
- « Ouiii vas-y, encule moi, prends-moi par derrière, hummmmmm
»
Nous avons souvent lhabitude dutiliser des termes crus lors de nos rapports, mais je dois dire que là ils prennent une nouvelle dimension, tant lexcitation est terrible. Je me mets alors à quatre pattes et enfouis ma tête dans mon oreiller. Je me cambre le plus possible. Jamais je naurais imaginé quun jour je goûterais à ce plaisir là avec une femme en train de nous mater, mais ce soir jen ai une envie quasi insolente.
De sa langue il lèche mon illet qui palpite dexcitation. Je râle de plaisir. Sa main écarte les globes de mes fesses. Jai limpression de nêtre plus moi-même tant je suis brûlante et déchaînée. Il enfonce alors sa langue au plus profond de moi, je nen peux plus, je suis en transe !! Je sens ma chatte me réclamer des caresses et mes doigts plongent à lintérieur de celle-ci, autant que je me souvienne je nai jamais autant mouillé de la sorte et je me délecte de mes caresses. Me voyant me fouiller de la sorte, il enlève alors ma main et ses doigts remplacent les miens. Il me caresse ardemment, la paume de sa main passe et repasse sur ma chatte brûlante. Cest très fort comme sensation dautant plus que sa langue pénètre toujours mon illet avec autant de gourmandise.
Cest alors quil se relève et présente sa queue raide devant mon illet. Il entre tout doucement au départ, mais je suis tellement ouverte et mouillée quil parvient à rentrer sa queue entièrement. Lespace de quelques secondes il ne bouge pas. Jhalète de plaisir, ma tête toujours enfouie dans loreiller jarrive à lui crier !!
- « Vas-y !!! Qu'est-ce que tu attends ? Encule-moi, prends-moi comme une chienne ! »
- « Hummmmm. Tu es serrée cest trop bon !! Oh oui je vais te défoncer le cul, tu vas voir !!! »
Paul joint alors le geste à la parole.
Il me relève les jambes pour menculer à nouveau. Les jambes sont en lair, écartées, puis serrées, puis écartées à nouveau. Il sort de mon cul pour venir dans mon vagin. Il ressort pour revenir dans mon cul, puis saute au bord du lit pour glisser son gland dans ma bouche qui lattend. Je le veux tout et partout. Je crie, je pleure, je ne sais plus. Il enfonce sa bite au fond de ma gorge. Je veux le prendre le plus loin possible à men . Il ressort et revient menculer. Il nen peut plus. Je nen peux plus. La scène est tellement intense quil explose violement en moi. Je sens son nectar se déverser dans lantre de mes fesses. Je lentends gémir comme jamais je ne lavais entendu en 30 ans de galipettes !!
Ressentir son orgasme déclenche ma jouissance, je lui crie mon plaisir. Cet orgasme me foudroie. Paul, épuisé, s'allonge sur moi et m'embrasse fougueusement. Nos salives se mélangent. J'adore sentir Paul qui m'écrase. Cette sensation m'enivre, même si je ne la supporte pas trop longtemps car mon chéri pèse son poids !!!! Il me connait. Il ne m'écrase jamais totalement. Il garde appui sur ses avant-bras. Le coquin aime rester dans mon cul après avoir joui.
Paul se retire finalement et s'allonge contre moi. Il menlace alors et membrasse très tendrement. Je me retourne. Carole est toujours là. Elle me fait un clin dil et disparaît.
Alors je me remets à revivre tout ce qui sest passé cet après-midi, et dire que je nai encore rien dit à Paul. Quand je vais le lui raconter, il va rebander dun coup.
Je repense à toutes les consignes de Paul que j'ai suivies à la lettre, la voisine qui lèche sa main recouverte du sperme de son mari, mes caresses sur le pont à la pensée furtive du beau brun de laccueil, la terrasse du salon de thé,
Je resserre les cuisses, me tend, me crispe pour jouir à nouveau en silence.
9° Chapitre
Nous nous reposons serrés lun contre lautre. Il fait bon. Je me sens bien.
Mon chéri commence à sagiter.
- « il va falloir se préparer pour aller manger, jai faim ! »
- « On va prendre une douche. Je préparerai tes affaires pour ce soir. Jai réservé le restaurant pour 20 h 30 ».
Nous allons tous les deux dans la douche pour un corps à corps sensuel. Paul prend tout son temps pour me nettoyer mon petit trou. Je sens quil recommence à sexciter. Son sexe grossit dans ma main savonneuse. Jaimerais bien quil me pénètre à nouveau, mais Paul préfère se réserver pour tout à lheure. Je nose penser à ce quil a en tête.
Pendant que je finis de messuyer, je vois Paul qui prépare mes affaires ;
- « Quest-ce que je dois mettre ce soir ? Jai peur davoir froid. »
Il a choisi ma robe pull bleue.
- « Tu crois que je peux sortir avec ça ? »
- « Bien sûr. Comme ça tu nauras pas froid. Et puis, on ne va pas très loin. »
Mon chéri est tout beau. Il a mis une chemise blanche et un pantalon noir bien serré comme jaime. Je vérifie : il a bien laissé un bouton de sa braguette ouvert et na pas mis de caleçon.
- « Hummmm
!!! »
Moi, jai limpression que mes tétons vont sortir à travers la maille.
Nous sortons de la chambre, serrés lun contre lautre. Que je laime mon chéri. La chance que jai davoir été lélue de son cur ! Dans lascenseur, Paul ne peut sempêcher de me caresser les fesses en me remontant mon pull. Ça mexcite. Jai les tétons tout durs. Et puis Paul est toujours aussi excité. Ça aussi, ça me plait !
Tiens, je suis déçue. A la réception, mon beau frisé nest plus là. Il est vrai qu'il ne peut pas travailler 24 h sur 24.
Nous sortons de lhôtel. Le soleil nest pas encore couché. Il ne va pas tarder. La mer est déjà orangée. Le canal de Sète est magnifique avec cette couleur du soir. Nous faisons un petit tour. Mon coquin ne rate pas une occasion pour me peloter les fesses et pour membrasser. Jadore.
Nous passons un pont et Paul marrête et me bloque contre la rambarde. Je sens sa queue dure derrière moi. Jai toujours peur quil me la sorte pour me baiser là sur place. Est-ce que je pourrais refuser ? Je ne pense pas. Je suis à nouveau trempée. Mon chéri me caresse. Sa main titille mon clitoris et vient se glisser dans mon vagin trempé. Il sort ses doigts pour les porter à ma bouche. Ça mexcite car je sens son sexe qui bande toujours derrière moi. Jai limpression que son gland a encore grossi.
Lautre main caresse mes seins à travers les mailles de mon pull. Je nen peux plus. Lui non plus. Sa langue envahit ma bouche. Jai les jambes qui tremblent, comme à vingt ans !
Des pas sapprochent de nous et, du coup, Paul sarrête. Il me prend le bras et me dit à loreille :
- « Ce nest plus très loin ».
En effet, nous voici devant un petit restaurant a lair bien sympathique et moins touristique que ceux que lon trouve sur les quais : « les amis de Georges ». Le nom est évocateur !
- « Comment las-tu connu ? » dis-je à mon chéri.
- « Cest Paolo qui me la conseillé ! »
- « Paolo. Qui est-ce ? »
- « Cest le réceptionniste de lHôtel ! »
- « Ah
!!?? »
- « Oui. Et je peux te dire que tu lui as tapé dans lil. Il te dévorait des yeux ! »
- « Nimporte quoi ! Cest un petit jeune. Quest-ce quil ferait avec une vieille comme moi ? »
- « Moi, je sais très bien ce quil te ferait. Et puis ses yeux lont bien trahi ! Et toi, tu aimes bien ce genre dhomme : brun, grand, frisé mince. Et il nest pas si jeune que ça. Il ma dit quil avait 38 ans. »
- « Il ny a que toi qui compte pour moi. Tu le sais. Je ne regarde pas les autres hommes. »
Jai gardé pour moi que je nétais pas insensible à son charme, à ses yeux noirs et à son sourire si craquant. Jai aussitôt pensé au moment où je métais caressée sur le pont en revoyant son sourire
»
Le restaurant est assez grand à lintérieur. En même temps, il est très chaleureux. Lambiance est feutrée. Chaque table est éclairée dune bougie. Six personnes sont déjà installées. Le patron savance pour nous accueillir.
- « Bonsoir. Vous avez réservé ? »
- « Oui » dit Paul. Et il ajoute « Votre meilleure table de la part de Paolo ! »
- « Oui, je vois. Venez avec moi, vous serez bien et tranquille au fond de la salle. »
En effet, une petite table est placée au fond. Les 2 chaises sont côte à côte et non pas face à face. Je sens que Paul va en profiter. Une fois installés, le patron revient.
- « Je ne vous amène pas la carte. Laissez-moi choisir pour vous. Vous ne serez pas déçus ! »
Quelques minutes après, un serveur vient nous servir le vin. Quelle ne fut pas ma surprise de me trouver face à Paolo !
- « Quest-ce que vous faites là ? »
- « Bonsoir Éva. Que je suis content de vous revoir ! En fait, il marrive de temps en temps daider mon oncle dans son restaurant. Ça me change de mon travail à la réception et puis, ça lui rend bien service. »
- « Voici un Picpoul bien frais de notre réserve pour vous mettre en bouche. A tout à lheure. Si jai un moment, je viendrai minstaller avec vous. Si vous le permettez bien sûr ! »
- « Oh oui. » Dis-je en rougissant.
Je suis folle ma fille, je me suis dit en moi-même. Jai vraiment eu limpression que cétait une autre Éva qui avait répondu à ma place.
10° Chapitre
Le Picpoul était effectivement bien frais. De boire ma permis de calmer un peu mes sens, même si, dun autre côté, cela risquait daccen les choses à terme
Paul avait les yeux qui pétillaient. Je ne sais pas si cétait la situation, ma robe, le Picpoul, ou tout cela à la fois, mais son excitation était bien là. Ma main, remontant sa cuisse pouvait le vérifier. Oh le coquin, il avait ouvert sa braguette et il avait sorti son sexe tout gonflé du pantalon ! Une maladresse et mon chéri a fait tomber ma fourchette par terre. En me baissant pour la récupérer, je me suis trouvée avec son sexe à quelques centimètres de ma bouche. Le cochon, je suis sûre quil la fait exprès. Je nai pas pu résister et jai pris son gland dans ma bouche. Cest encore une première fois ; Que de nombreuses premières fois depuis ce matin ! Jen ai déjà la tête qui tourne et avec une seule gorgée de Picpoul. En parlant de gorgée, je men ferai bien une de sperme : Hum
A peine relevée, voilà monsieur Jean, loncle de Paolo qui arrive avec un plateau royal de coquillages. Je suis encore toute rouge de ce que je viens de faire. Monsieur Jean a dû s'en apercevoir car il me dit :
- « Eh bien ma petite dame, cest le Picpoul qui vous fait cet effet là ? »
Sil savait, la petite dame, elle est toute chamboulée ! Comment jai pu en arriver là. Moi si tranquille, si « conventionnelle » ! Enfin, cest du tout bon et je prends tout ce qui vient. Après il sera trop tard. Pourquoi ai-je tant tardé ? Mon chéri nest pas de reste. Ses mains ont remonté ma robe jusquen haut des cuisses et ses doigts me caressent. Je suis trempée. De sentir sa bite si près, jai bien envie de venir mempaler, là tout de suite. De me sentir remplie, pleine de la semence de mon Paul. Dy penser, jen ferme les yeux en serrant mes cuisses : hum
Une voix me ramène à la réalité. Paolo est à quelques centimètres de moi.
- « Tout va bien ? » me dit-il ?
- « Oui, cest délicieux ! » je lui réponds.
- « Mais, comment le savez-vous ? Vous navez pas commencé ! »
Je me suis mise à bredouiller :
- « oui, c'est-à-dire, que tout est délicieux, le cadre, la ville, lhôtel, le Picpoul. ». Et je mentends ajouter
- « vous
». Je suis folle.
A ces mots, Paolo sourit, de son sourire qui me fait tant craquer.
- « Merci beaucoup Éva, vous me faites plaisir. Profitez de ces délicieux coquillages. Bon appétit. Pour le reste on verra plus tard
»
Paul na pas ouvert la bouche. Jai limpression quil fait exprès de me laisser mempêtrer. Sa main na pas quitté mon entrejambe pendant mon échange avec Paolo. Ses yeux sont toujours aussi pétillants. Il pose sa tête contre mon épaule et membrasse dans le cou. Le contact de ses lèvres ma envoyé une décharge dans tout le corps. Je suis une vraie pile électrique !
- « Allez, attaquons notre plateau. » lui dis-je en lembrassant sur la bouche.
Cest vrai que les coquillages sont délicieux. Je ne sais pas si cest la situation, le contexte, mon chéri, mais jai limpression que je nen ai jamais mangé daussi bons. Paul semble daccord avec moi. Le plateau ne fait pas long feu ! Monsieur Jean vient le reprendre.
- « Alors les amoureux, vous vous êtes régalés ? »
- « Oh oui, merci, comme je disais à linstant à mon mari, ce sont les meilleurs coquillages que jai jamais mangés. »
- « Je vous remercie ma petite dame. Vous savez, nous ici, on sait quoi et comment acheter. Cela fait vingt ans que je fréquente les pécheurs du coin et croyez moi, les meilleurs coups, cest pour moi, pas pour les touristes ! ». « Et je vous préviens, vous navez encore rien vu. Attendez la suite. »
Ses derniers mots me résonnent dans la tête et me font sourire.
Le plat suivant est servi par Paolo dans une marmite en argent. Il la pose devant nous et soulève le couvercle. Un nuage de vapeur sélève de la marmite.
- « Vous allez vous régaler » dit-il. « Cest la spécialité de ma tante Éléonore ! »
Il sassoit près de moi sur la banquette, prend une cuillère pour la tremper dans le plat. Il la ressort avec un morceau de lotte.
- « Cest « notre » bouillabaisse » dit-il. « Tenez, Éva, je vais vous faire goûter ! »
Il sapproche tout contre moi et place un bras derrière mon cou pour me faire goûter. Sa main, mélectrise le corps. Jen bave comme une cochonne. Je nai pas fait attention, mais ma robe était restée remontée et un peu de sauce est tombée sur ma cuisse. Paolo sempresse de messuyer, en insistant davantage quil naurait fallu. Je nose plus bouger. Je ne sais pas où me mettre !
- « Heureusement, ça na pas tâché ! » ajouta-t-il en souriant. Je vous laisser déguster. Je reviendrai tout à lheure. »
Paul prend la cuiller pour me servir. Je me tourne vers lui en lui glissant à loreille.
- « Tu sais où sont les toilettes ? »
- « Non, on va demander. »
Nous voyant embarrassés, Paolo, sest approché :
- « Quelque chose ne va pas ? »
Un peu gênée, je me vois lui répondre doucement.
- « Jaimerais aller aux toilettes. »
- « Pas de problème, je vais vous montrer, venez avec moi
»
Je me lève, en faisant attention de bien redescendre ma robe pull, qui nest pas très longue de toute manière et me voilà à suivre Paolo
- « Cest là-haut » dit-il, « Passez devant ! »
La honte ! Comment faire ? Je me trouve face à un escalier très raide avec ma robe courtette et mon Paolo qui va monter derrière moi.
Quest-ce que je fais ? Je jette un regard vers Paul qui a un large sourire aux lèvres. Il a tout compris de la situation et me fait un signe pour me dire dy aller.
Je maccroche à la rampe pour monter et je sens derrière moi les yeux de Paolo qui doivent bien se régaler. Quel cochon ! De toute manière. Jy suis. Je vais jouer le jeu. Je me sens toute nue devant cet homme qui ne doit plus rien ignorer de mon intimité. Je tente de serrer les cuisses en montant, mais cela ne fait quaccroître mon excitation. Je suis toute mouillée. Une vraie fontaine !
Nous voilà sur le palier.
- « Cest par ici. » dit Paolo en me prenant le bras.
Me voilà tout en haut de l'escalier vers les toilettes et Paolo me tient le bras. Il le serre au cas où je tomberais car le couloir est étroit et sombre ...
Il se place près de la porte et je dois passer tout contre lui ; je le frôle et l'espace est réduit, je trébuche mais Paolo me ratt en me tenant par la poitrine, je sens ses mains sur mes seins et cela fait gonfler mes mamelons. Je ne sais pas comment réagir, je préfère ne rien dire et je sens ses mains qui s'attardent et me pressent. Mes tétons tout excités passent à travers les mailles de ma robe et sont en contact direct avec les doigts de Paolo. Je n'ose ni le regarder, ni bouger, ni parler.
Paolo me serre contre lui, je sens son sexe tout dur contre mes fesses. Aucun mot nest prononcé, mais une terrible excitation règne dans ce petit réduit. Enfin je reprends mes esprits et me décolle de Paolo. Je le remercie pour aller m'enfermer dans les toilettes toute excitée. Je ne contrôle plus vraiment la situation.
Mon sexe est trempé. Je ne sais si cest davoir giclé sur le rebord de la cuvette ou bien
Je porte les doigts à mes narines. Non, ce nest pas de lurine : je suis trempée denvie
Denvie de quoi ? De qui ? Je ne sais plus. Il y a à peine une poignée de secondes, jétais prête à tout avec Paolo. Il aurait pu me prendre là, sur le rebord du lavabo
Je serais redescendue avec du sperme frais que jaurais laissé sur mes cuisses pour faire goûter Paul. Je sus sûre quil est en train de sexciter en bas, sa queue sortie, sous sa serviette !
Bon, Éva calme toi.
Je sors des toilettes en entrouvrant la porte lentement. Personne ! Je préfère. Je me regarde dans la glace, je suis toute rouge. Je ne peux pas descendre comme ça. Je vais me passer un peu deau sur le visage.
Jarrive en bas. En me voyant arriver, mon chéri est tout sourire. Je ne sais pas à quoi il a pensé, mais son sourire me rassure. Quest-ce quil me dirait si je prenais un peu de plaisir avec un autre que lui. Peut-être quil serait fâché, quil me donnerait la fessée... Cest dernière évocation me fait sourire.
- « Quest-ce que tu as mon cur ? » me dit-il. « Tu es toute drôle, avec un sourire béat ! ». « Dépêche-toi, la spéciale tante Éléonore va être froide. » Me dit-il en me versant un peu de Picpoul.
Je prends le verre pour me servir une bonne rasade. Je bois le verre cul sec. Je nen reviens pas. Mon homme non plus.
- « Eh bien, tu avais une drôle de soif. » me glisse-t-il à loreille puis il me fait tourner la tête pour membrasser à pleine bouche.
Sa main nest pas restée inactive. Ses doigts me caressent mon sexe trempé.
- Je comprends » ajoute-t-il. « Il faut que tu compenses par le haut, ce que tu évacues par le bas ».
Quel gros cochon, il fait. Mais s'il savait
!!!
Nous attaquons enfin la bouillabaisse de la tante Éléonore. Je ne sais pas si cest le plat qui est relevé ou si cest moi qui ai la bouche sèche par tout ce quil marrive, mais je reviens plus que de raison au Picpoul. Dailleurs, cest un signe, cest la première fois que nous attaquons ensemble une deuxième bouteille. Et ma tête commence à tourner. Quelle journée !
Et là-dessus Paul qui renchérit.
Il revient à mon oreille et me glisse quelques mots.
- « Au fait, tu ne mas pas racontée ta journée. Avant que jarrive
»
Je dois déglutir et avaler ma salive avant de répondre. Malgré le vin, j'ai encore la gorge sèche. Voyant mon embarras, Paul continue.
- « Tu sais que tu me plais mon amour. Tu es là toute sexy, rien quà moi. Quelle chance jai. Tout le monde virevolte autour de toi à te faire des sourires par ci, par là. Tu ne crois pas que je nai pas vu le manège de Paolo qui tourne autour de toi avec son sourire
Et jai bien vu que tout à lheure il sest empressé de taccompagner aux toilettes. Je lai vu te mater les fesses quand il est monté derrière toi. Il avait les yeux tout brillants. Jai tout vu. Il y a un grand miroir en bas de lescalier. Regarde. »
Jai regardé, affolée, pour vérifier ce qui pouvait être perçu dans le reflet, mais, a priori, pas grand-chose. Ouf ! Et Paul qui en rajoute.
- « Et quand il est venu près de nous tout à lheure, je lai senti tout excité à la vue dun téton qui sortait dune maille de ta robe. »
Jai aussitôt rougi, puis, affolée, j'ai tenté de remettre de lordre dans ma tenue.
Paul ma arrêté.
- « Non, tu es très bien comme cela. Tu me plais, tu mexcites, tu me fais bander. Touche
»
Effectivement, son sexe est tout dur.
- « Il y a longtemps que tu bandes comme ça ? » je lui susurre à loreille.
- « Je nai pas arrêté depuis que nous sommes assis dans ce restaurant. Je dois tavouer que le manège de Paolo y est également pour quelque chose ! »
Cest à ce moment que le patron revient nous voir.
- « Tu es sauvée par le gong ! » me glisse, Paul, à loreille. « Tu me raconteras tout cela plus tard ! »
- « Alors mes petits curs, quest-ce que je dois dire à la tante Éléonore ? » nous dit Monsieur Jean.
Nous navions pas de mots suffisant pour qualifier « la » bouillabaisse de la tante. Un vrai régal.
Dailleurs, je navais plus faim pour un dessert, chose exceptionnelle pour moi, une gourmande invétérée.
- « Apportez-nous deux cafés. »
Cest Paolo qui est venu nous apporter les cafés. Il y avait trois tasses et est venu sasseoir à côté de moi.
- « Je viens souffler un peu » nous dit-il. « La journée commence à être longue. »
Paul sadresse alors à Paolo, qui pour mieux lécouter se rapprocha encore un peu plus de moi. Son bras est placé derrière mon cou et sa main droite est posée sur sa cuisse, tout contre la mienne. Je peux sentir ses doigts. Jai limpression de ressentir des brûlures.
- « Paolo, vous qui connaissez tout le monde ici, pouvez-nous nous conseiller une boite de jazz où nous pourrions finir la soirée avant de retourner à lhôtel ? »
- « Oui, il y en a une un peu plus haut sur la corniche. Il faudra prendre votre voiture même si elle nest pas très loin. Elle sappelle « Le Blue Note. Cest vraiment très sympa. De plus, il y a souvent des musiciens qui passent. On peut même y danser. Si vous y allez, je crois bien que je viendrai vous y rejoindre. Je me coucherai plus tard ! »
Ajoute-t-il en glissant délicatement sa main sur ma cuisse jusquen haut pour mélectriser totalement quand ses doigts ont effleuré mon petit bourgeon tout dur.
Paul règle directement Monsieur Jean au comptoir et nous sortons du restaurant.
Mon chéri me propose de lattendre au restaurant pendant quil allait chercher la voiture. Jai préféré refuser. Javais trop peur de me retrouver seule avec Paolo
- « Non, mon cur, je ne tai pas vu une grande partie de la journée. Maintenant, je veux rester contre toi. Je taime mon cur. Merci pour tout ce que tu me fais. »
Je me serre tout contre mon mari, lui défait deux boutons de sa chemise pour glisser une main contre son torse. Paul reprend :
- « Quelle chance nous avons eu de tomber sur Paolo ! Tu ne crois pas ? Grâce à lui, on a eu droit au meilleur restaurant de Sète et maintenant, on va passer tous les deux une très bonne soirée. Je le sens ! »
Et moi de répliquer :
- « Moi aussi
» en pensant que je suis folle de penser à Paolo qui viendrait peut-être nous rejoindre.
Lair frais me fait du bien, même si je ressens encore les effets du Picpoul. Dailleurs mon Paul en profite. Je me laisse faire
Je sens qu'il relève ma robe par derrière pour glisser sa main contre mes fesses qui sont ainsi totalement dénudées. Quel coquin ! Jadore, jadore tout. Je veux tout. Que cest bon dêtre une femme aimée !
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