Fanny Et Ses Nouveaux Amis.....
Travaillant en Ile de France la semaine, je ne retrouve mon épouse Fanny que le
Vendredi soir. Nous sommes mariés depuis quelques années et navons pas dérogé de nos
habitudes sexuelles pendant plus 20 ans. Tout au plus, lutilisation dun petit
godemichet, la pratique de la fellation par mon épouse et des cunnilungus gourmands de
ma part, mais finalement des plaisirs simples, même si mon imagination avait plusieurs
fois débordé de mon esprit
.sans jamais se concrétiser
Fanny restait sage !
Puis, nous fîmes connaissance de Clothilde et Jean-François (J.F.), un couple de
déracinés professionnels comme nous, dont les s fréquentaient la même école que
les nôtres et avec qui nous passâmes quelques dîners agréables, et des réveillons de
fin dannée.
Clothilde travaillait dans la fonction publique, J.F. était dans linsertion, et il
connut une période de chômage de près de 2 ans.
Cest durant cette période que je remarquai un intérêt de plus en plus marqué de mon
épouse dans le soutien de ce couple en difficultés et les doutes ne firent que
menvahir quand Fanny, que je joignais souvent sur son portable, ce fît subitement
moins disponible, puis occupée à refaire le monde me disait-elle en compagnie de
Clothilde et J.F. , afin de les aider à passer ce mauvais moment de chômage pour lui,
de début de dépression pour elle
.enfin un intérêt qui me sembla rapidement de plus en
plus suspect.
De plus, Fanny se montrait maintenant chaque fois de plus en plus entreprenante et en
attente dun plaisir plus régulier, ce qui ne me dérangeait pas, mais minterpellait.
Une fin de semaine, où chaque journée de travail avait duré plus que de raison, je
décidais de rejoindre mon domicile le vendredi en début daprès-midi (moi qui rentrais
toujours en 21h et 22h habituellement) et en arrivant près de notre domicile, je
remarquais la présence du véhicule de nos amis devant la maison et les volets du
premier étage en position ajourée, en ce bel automne ensoleillé.
Jentrai discrètement au RDC de notre maison, et compris rapidement que nos amis
nétaient pas venu prendre le thé !
En montant les escaliers, je redoutais de trouver Fanny seule à seule avec JF et je
préparais ma réaction.
Je me rapprochai finalement de notre chambre à coucher et les soupirs que je perçu me
confortèrent dans mon intuition.
Doucement, jentre-ouvrai la porte, et je découvris un spectacle qui me donna envie de
rentrer dans une colère mérité, puis je me ravisai.
Fanny était couchée sur le dos, Clothilde lui léchant ostensiblement le clitoris, elle
lui avait enfoncé dans la chatte un gode de taille respectable et lui dilatait
lanneau rectal avec son majeur, puis elle y ajouta lannulaire pour enfin déclencher
chez Fanny un orgasme délicieux.
J.F. de son côté besognait tranquillement son épouse en attendant semble t-il de
pouvoir sinsérer dans ce conduit étroit que je navais jamais eu loccasion
dexplorer.
Cest au moment ou Clothilde se releva que je fis mon apparition sur le seuil de la
porte et mon épouse toute confuse remonta le drap bien au dessus de sa poitrine, J.F.
attrapa son caleçon pour mieux cacher son érection.
Clothilde, quant à elle, toute émoustillée par mon apparition, sans se démonter,
avança lentement vers moi, se léchant les lèvres et me montrant le fameux gode qui
remplissait pleinement la chatte de mon épouse quelques secondes auparavant.
Les mots avaient du mal à sortir, Fanny mindiquant non sans confusion que ce nétait
pas ce que je pensais
, J.F. bredouillant quil navait rien fait de mal
, Clothilde
finalement se lova contre moi et se mit à triturer la bosse qui sétait constituée
sous mon jean, puis elle ouvrit ma braguette et après avoir fait tomber mon pantalon,
entreprit de me sucer comme Fanny ne lavait jamais fait auparavant.
Ma queue allait jusquau fond de sa gorge, sans paraître lincommoder et ses mains
plaquées sur mes fesses essayaient dimprimer un mouvement dallée et venue qui me
laissa pantois de plaisir.
Après une trentaine de seconde dhésitation, je repoussai gentiment Clothilde et
interrogeant Fanny du regard, je pris le godemichet lui signe de sortir du lit.
Elle sexécuta lentement et comme elle sapprochait de moi pour membrasser, je lui
fis la demande de se mettre à 4 pattes sur le lit.
Un peu craintive au début, en lattente du sort que je lui réservai, elle sattendait
à une correction, mais je me contentai de passer ma main sur cette vulve pleine de
désir et de cyprine, Fanny se mit à dodeliner du croupion
.elle en voulait encore.
Comme japprochais le gode de ses petites lèvres, elle sempala doucement sur
laccessoire et je compris quelle avait pris goût à cette visite devenue habituelle.
Puis jentrepris à mon tour dintroduire un majeur dans cet anus dont elle mavait
jusque là refusé laccès et je constatais que son anneau était parfaitement enduit
dune substance favorisant les va et vient et cest ce que je me promettais de faire
assez rapidement, des va et vient dans entre les deux fesses de ce petit cul que
javais de nombreuses fois admiré lorsque je la prenais en levrette.
Comme, je retirais le gode de son sexe, elle me sussura dans une voix que je navais
jamais entendu « vas-y encule-moi, je suis prête maintenant
.. »
2 secondes après je plaçai le bout de mon gland au bord de son anus, et lentement je
fis glisser la totalité de ma queue tout au fond de ce conduit qui semblait apprécier
ce qui mavait été refusé tout au long de ces sages années.
Mes couilles tapaient maintenant régulièrement sur la base du sexe de Fanny et mes
bras posés sur ses épaules me donnaient le sentiment de pouvoir la transpercer à
chaque coup de boutoir.
Clothilde vint se placer près de Fanny et après lui avoir « roulé une pelle »
mémorable commença par lui caresser les seins, puis lentement une de ses mains
descendit jusquau petit bouton de Fanny et je sentis très clairement aux contractions
qui comprimaient maintenant ma queue quelle appréciait terriblement la sollicitation
de cette zone.
Alors que les deux femmes senroulaient mutuellement la langue, je laissais échapper
dans un soupir de satisfaction une éjaculation stockée depuis une semaine, tout en
maintenant ma queue dans ce cul que je naurais jamais imaginé pouvoir visiter un
jour.
Fanny dans le même temps, prit par une vague orgasmique déclenchée par les
sollicitations manuelles de Clothilde, laissa échapper un râle de plaisir qui
finalement me laissa sans voix.
Clothilde navait pas jouit et jempoignais le gode et ma meilleure volonté pour
réparer cette injustice.
Comme je présentais lengin sur sa petite rondelle, elle appuya de tout son corps et
il faillit disparaître dans son tréfonds, je plaçais mes mains sous chacune de ses
fesses et entrepris un cunnilingus qui semblait la combler daise.
Excitée pour tous ces jeux érotiques, elle partit dans un orgasme violent qui faisait
plaisir à voir.
J.F. lui, avait remis son caleçon et abandonné discrètement les lieux, pensant
certainement que nous pourrions avoir une discussion houleuse.
Ayant pris conscience que les instincts prennent souvent le pas sur la raison, je ne
cherchai pas à le culpabiliser, il avait profité dune situation déclenchée par une
promiscuité de circonstance, les uns et les autres comblant un manque, et Fanny
assouvissant finalement ces désirs quelle nosait déclencher avec moi par
pudeur
..comme une bonne mère de famille.
Elle allait devenir une nouvelle maîtresse, nous nous apprêtions à explorer des axes
nouveaux dans la sexualité et certainement à relancer notre désir et notre mariage sur
de nouvelles bases
..
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