Confessions De Françoise, Le Lendemain Suite 1
Le lendemain matin, Jean-Pascal est arrivé vers 9 Heures,
Demblée il a donné le ton, malgré la présence de ma fille dans sa chambre, il ma
embrassé comme si nous étions de vieux amants, en profitant pour poser sa main sur ma
poitrine et malaxer mes globes charnues quelques instants. Ton corsaire te va à
merveille mais jaurai préféré que tu sois habillée avec une jupe où une robe me dit-
il. Je lui ai servi un café avant quil ne se mette à louvrage, le chantier ayant
pris un peu de retard hier. Il ma demandé si javais bien dormi et si javais repensé
à nos ébats.
Le sommeil fut bon que je lui répondis et je ressens encore en moi les frasques de
notre relation. Il sest levé, séclipsa au garage pour se changer et mappela :
Françoise pourrais tu venir une minute, ce que je fis, pensant quil cherchait
quelque chose mais ne le trouvait pas
.au lieu de cela il était debout son sexe à la
main, déjà bandé.
Tu nes pas fou lui murmurai-je, Flavie est à létage, elle va partir au travail,
range ton attirail.
Au lieu de mécouter, il mempoigna, me fit mettre à genoux et posant sa mentule sur
mes lèvres me fit comprendre de lui prodiguer une petite gâterie avant les travaux. Ne
voulant pas faire desclandre, jentrouvrais la bouche et du bout de la langue
flattait son méat. Ecoute si elle narrive pas lui murmurai je, avant que son membre
investisse les lieux. Il se saisit de ma tête et donna la cadence, enfonçant sa queue
jusquaux amygdales. Il était très excité et très rapidement son sexe gonfla dans ma
bouche, un flot de sperme soutenu emplit ma gorge, jai dégluti un maximum et je
crachais lexcédent dans la poubelle, puis je prenais un Sopalin et messuyais le
visage.
Cest bon, tu peux te mettre au boulot à présent
..
Quelques secondes plus tard ma fille entrait dans le garage, elle nous regarda
bizarrement et partis pour son boulot.
Chacun de nous se mit à son travail, avant midi, la préparation du repas terminé, je
suis montée à létage, jai retiré mon corsaire et mon tee-shirt et jenfilais une
robe boutonnée sur le devant, prenant soin doublier de fermer quelques boutons aussi
bien sur le haut, laissant le sillon de ma poitrine très visible, que sur le bas afin
de dénuder mes cuisses à chaque mouvements. Un sifflement admiratif se fit entendre
dès quil maperçu ainsi.
Tu me gâtes me dit-il, tu mas mise en appétit que je lui répondis
..il me prit dans
ses bras et ses mains ségarèrent sur mon corps et nos lèvres se soudèrent.
Il déboutonna entièrement ma robe et me demanda de servir et manger comme cela.
Jétais un peu gênée de me montrer de la sorte, mon soutien gorge blanc très
pigeonnant laissant ma poitrine comme à nue et mon tanga tout de dentelle ne cachant
rien de ma toison pourtant blonde ni du renflement de mon sexe particulièrement
marqué.
Chaque fois que je me levais pour servir, je jetais un il du coté du voisin me
sachant sans doute observé par ce malade, dautant que Jean-Pascal mimposait de
passait devant la porte fenêtre, my exposant inévitablement si il faisait le guet.
Inutile de décrire dans quel état je me trouvais, attendant la fin du repas pour
monter dans la chambre des s pour laisser libre cours à nos ébats.
Tout le repas nous échangeâmes sur nos relations passées.
Tu es une belle catin sous tes airs de sainte nitouche
.me lança t il pour conclure
!!!
Il se leva, jen fis autant et il me poussa face à la porte fenêtre, fit tomber ma
robe au sol. Jétais exposé à ce gros vicelard de Pierre si toutefois ce dernier était
en planque derrière les rideaux. Je limaginais son sexe en main entrain de se
masturber. Jean-Pascal me demanda de mettre mes mains sur ma nuque mobligeant à
bomber un peu plus le torse et donnant à mon 95 C encore plus de volume, sa main
glissa sous lélastique de mon tanga et instinctivement jouvris un peu plus le compas
de mes cuisses lui donnant plus despace pour permettre à sa main de posséder ma
chatte.
qui nattendait que ce contact gonfla davantage.
Cest dêtre ainsi exposé qui te fait mouiller de la sorte, ça texcite de te montrer
devant ce pervers, je suis certain que tu as envie quil vienne se vider les couilles
dans ta chatte
.Baisse ton slip, montre lui ton sexe. Comme une automate je fis ce
quil me demandait, il en profita pour défaire mon soutien gorge pendant que je
baissais le dernier rempart de mon intimité à mi-cuisse. Il me redressa tout en me
plaquant contre le carreau, javais les seins et le ventre collé à la surface de
verre, son doigt fouillait à nouveau mon nid damour, je ruisselais davantage, je me
sentais chienne, soumise
.
Dit le que tu aimes être baisée de la sorte. En attendant cest moi qui vais te baiser
et sous ses yeux, après je lui dirais de venir, tu sentiras sa bedaine sur ton corps
et sa queue dans ton ventre, je lui demanderais de texploser le cul. Je me laissais
emporter dans un orgasme imaginant la scène à laquelle il rêvait de me voir
participer. Il ne me laissa pas le temps de récupérer.
Il me fit plier en avant, les mains sur la clenche et son sexe perfora ma chatte,
après avoir jouis sous son doigt, jallais jouir sa queue dans mon ventre. Je
regardais chez Pierre et je pouvais constater quil nous regardait sans aucune gène,
nos regards se croisaient, je le fixais les yeux dans le vague, la mentule de Jean-
Pascal pilonnant mon vagin, il ny a pas dautres termes, je sentais son sexe grossir
et le suppliait : vide tes couilles, regarde Pierre il se masturbe, en effet le
mouvement de son bras ne laissait aucun doute sur ce quil faisait. Ce vicieux
sastiquait en voyant mon corps et ça mexcitait de le voir, bourre moi mon amour.
Cette fois cest moi qui sortait des insanités, il se bloqua au fond de mon utérus et
une déferlante de sperme fusa en moi.
malade, jimaginais avec dégoût son corps sur moi et son sexe fouillant mon intimité.
Jean-Pascal nen avait pas fini, il me redressa. Jétais face à Pierre, nue, offerte,
je ne bougeais pas, poupée de chair dans les bras de mon amant. Les cuisses
disjointes, ma chatte plus que visible, le trop plein de Jean-Pascal coulant le long
de mes jambes. Il recueillit quelques gouttes sur son doigt et les porta à ma bouche,
faisant comprendre à notre voyeur quil avait marqué mon corps de son empreinte. Il me
fit pivoter et nous montâmes les escaliers pour rejoindre la chambre complice de nos
étreintes.
Avant cela il ouvrit la porte dentrée.
Quest ce que tu fais ?
Toccupes et monte,
Je le précédais et je ressentais ses yeux sur ma croupe. Je mallongeais sur la
couche, ouvrant mes cuisses, je voulais sentir sa langue en moi. Il ouvrit la fenêtre
en grand puis vint me rejoindre en se mettant tête bêche, présentant son sexe à ma
bouche, ses mollets collés à mes oreilles, jengloutis sa mentule pendant que sa
langue agaçait mon clito toujours aussi excité. Mis à part ses fesses je ne voyais
rien, je nentendais rien, notre jeu buccal durait depuis plusieurs minutes et
jaspirais à changer de position. Cest à ce moment que je ressentis une présence.
Dans leffroi, jessayais tant bien que mal à me détacher de Jean-Pascal, lorsque jy
parvenais, cétait pour voir Pierre debout, nu son sexe en main.
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