La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 37)
Suite de l'épisode 35)
5- La Salle de SM du donjon.
Le retour au château se passa en silence et le valet roula doucement suite à lépais
brouillard. Walter avait limpression en effet de rouler dans une nappe de coton blanc
dune beauté ouatée. Arrivés au château, le majordome fit entrer fanny par une porte
dérobée. Elle le suivit dans les dédales de couloirs tous plus luxueux les uns des
autres, quand il stoppa devant une plus petite porte qui semblait moins sculptée. Oui
cette porte moins travaillée par rapport à celles qui lui succédaient dans ce long
couloir capitonné. Ce couloir aux murs dun épais velours bordeaux aux bordures en
reliefs vert sapin foncé. Le valet ouvrit, cette porte et fanny suivit lhomme qui
referma la porte aussitôt derrière. Sans préambule, il lui dit dun ton sévère :
- Déshabille-toi et remet ton collier et laisse afin que je puisse temmener dans la
salle SM du donjon.
Fanny hésita de se dévêtir devant lui mais neut pas à réfléchir trop longtemps
apercevant Walter brandir une cravache sortie de nulle part. Il samusait dailleurs à
fouetter lair plusieurs fois en donnant des coups secs et précis et réguliers qui
frôlèrent la soumise. Une fois fanny dénudée, Walter lui adapta le collier et la
laisse, en prit le bout et tira dessus en se dirigeant vers une autre petite porte au
fond de la pièce, toute semblable à la première. Fanny fut bien obligée de suivre
étant entraînée comme une chienne que lon promène. Le majordome traversa alors avec
la soumise, toute une série de pièces et couloirs aux décors digne dun palais. Pour
finalement arriver devant, cette fois une énorme double-porte massive où étaient
sculptée en gros les armoiries des Evans. Tous deux entrèrent et Walter dit calmement
:
- Voici la salle SM de ton Maître.
Une pièce circulaire, (normal pour un donjon) denviron 10 mètres de diamètre. Des
murs aux pierres équarries cachés par des tentures de soie luxueuse à la couleur jaune
or foncé. La pièce était haute avec un magnifique plafond à la française avec au
centre un énorme lustre de bougies dun siècle ancien. Contre les murs et tout autour
de la pièce sur toute la circonférence il y avait des croix St-André en 2 poutres
croisées à la vertical. Il y en avait en tout 8 toutes espacées denviron dun mètre
chacune. Ce que remarqua tout de suite fanny sétait quà chaque croix, il y avait un
ou une soumise attaché et nu, portant juste un collier. En position bras et jambes
écartées. Ils étaient tous bâillonné par une ceinture-boule et avaient pour les 4
mâles, le sexe libéré avec la cage de chasteté posée au pied de leur croix. Et pour
les 4 femelles, la ceinture de chasteté posée à lidentique. Ils firent des yeux tout
ronds à lentrée de fanny et cette dernière remarqua de suite les érections des mâles
et une certaine humidité qui coulaient sur les cuisses des femelles. Fanny remarqua
que chacun de ses esclaves étaient marqué du sceau des armoiries des Evans entre leurs
seins. Incrustée à même la peau sur le centre de leur poitrine, cette empreinte
indélébile était noire et denviron 5 centimètres de diamètre. Lempreinte identique
pour tous se différenciait pour chacun par un matricule inscrit ; Elle put lire les 4
plus proches delle : serf69MDE, e541MDE e46MDE et e722MDE
Ce que remarqua aussi
fanny, ce fut pour chaque esclave les traces de fouet sur leur ventre, les peaux
rougies par des stries récentes.
- Regarde bien ces quelques esclaves de ton Maître, ils font partie des plus
performants. Ils nont pas joui depuis plusieurs semaines. Je les ai libéré de leur
cage ou ceinture juste avant ta première arrivée
Bientôt tu seras comme eux
totalement avilie et heureuse de lêtre pour ton vénéré Maître
Oui tu seras comme eux
marquée dans ta chaire des armoiries des Evans avec ton futur matricule, si ton Maître
le décide bien entendu, ha ha ha
Magnifiques armoiries dailleurs, ces 2 lions aux
pattes avant levées qui saffrontent
Ne serait-ce pas le symbole de lappartenance
totale envers ton Maître que davoir le grand privilège de les porter en toi
ha ha
ha
! Mais tout dépendra de ton obéissance totale
.
Il y avait aussi un long et massif établi de chêne où de multiples accessoires étaient
entreposés, des fouets, aux cravaches, aux divers et multiples instruments de
s. Des palans et des chaînes accrochées au plafond haut ne manquaient pas.
Un chevalet était là aussi, et au centre de cette salle SM abondement bien fournie,
une balancelle avec un siège à accoudoir. Celle-ci était reliée à un palan électrique
pour la monter ou la descendre à souhait. Une petite table haute était à proximité
avec quelque chose dessus dassez volumineux le tout recouvert dun drap, ce qui en
cachait la nature.
- Allez assis-toi là, vautre-toi bien dans cette balancelle et écarte bien tes jambes
en les mettant de chaque côté sur les accoudoirs, quon voit bien tes fesses et ta
chatte de chienne, dit Walter sans pudeur.
Comme fanny hésitait de s installer pour être exhiber sexe bien en vue devant le
valet, celui-ci lui donna une coup sec de cravache sur les fesses, ce qui fit
obtempérer la soumise. Une fois installée comme le majordome lavait exigé, et dans
cette position, la chatte de fanny fut bien écartée à la vue de Walter. Mais celui-ci
était déjà occupé à attacher les 2 pieds et les 2 bras de la belle. Pendant ce
ligotage fait dans lart, fanny eu tout à loisir de regarder le grand tableau dépoque
en face delle en plein dans son champ de vision. Il y avait de peint, deux hommes qui
posaient fièrement dans de beaux habits en apparat, et aux longues et nobles
perruques. Un de ces hommes ressemblait étrangement au Marquis dEvans et pour cause,
lhomme représenté sur cette belle toile colorée était son ancêtre. Quant à lautre,
fanny le reconnu tout de suite, il sagissait du fameux Marquis de Sade. Il y avait
aussi, une pancarte sous ce tableau où état inscrit « A mon vieil ami, le Marquis
Charles-Edouard dEvans pour le refuge et laccueil chaleureux que je reçus en cette
année 1784 , signé Marquis Donatien De Sade » (voir les Origines de la Saga)
Fanny, séduite par la beauté de ce tableau, elle restait comme figée devant cette
uvre digne dun grand peinte et elle ne fit pas attention quand Walter lui mit un
bandeau sur les yeux, ce qui coupa net ladmiration de loeuvre.
- Tu admiras lancêtre de ton Maître une autre fois, je vais finir de te préparer et
après jirai le prévenir que tu es prête et à sa disposition !
Walter tira approcha deux chaînes vers la poitrine de fanny. Ces chaînes suspendues au
plafond avaient au bout, pour chacune, un mousqueton métallique. Le majordome accrocha
1 pince à chaque téton quil accrocha aux mousquetons. Puis il tendit vers le haut les
chaînes, ce qui étira au maximum les seins de la soumise.
Puis il souleva le drap de la table haute. Fanny aurait été très surprise si elle
avait pu voir ce qui se cachait sous le drap. En effet cétait une perceuse montée à
lhorizontal sur un socle. Mais une perceuse spéciale car à la place dune mèche
perforante, il y avait un volumineux gode dune vingtaine de centimètres de long
adapté sur le mandrin de loutil. Walter approcha la machine près du sexe de la
soumise, fit quelques réglages pour automatiser les avancées et les retours
millimètrés du god ainsi que sa vitesse à tourner, qui de ce fait fera des vas et
viens circulatoires calculés. Puis il mit la perceuse en marche, ce qui fit tourner
lentement mais régulièrement le phallus horizontal. Fanny entendit le petit bruit du
moteur et sinquiéta. Walter la rassura, pendant quil lubrifiait abondemment le god
tournant sur son axe.
- Prends pas peur, tu vas très apprécier, je pense, cela devrait texciter en
attendant la belle queue de ton Maître que je vais tout de suite aller chercher
ha ha
ha
Voila tu es prête, et sil nest pas disposé à venir tout de suite te voir, je
reviens dans la foulée pour goûter une nouvelle fois au délice de ta bouche. Après
tout, une deuxième pipe, me ferai le plus grand bien ha ha ha ! Dit-il en ricanant
vicieusement et en séloignant dun pas rapide
Elle ne dût pas attendre trop longtemps car une bonne dizaine de minutes sétait
écoulée et fanny navait pas pour autant froid.
Il faut avoué que pour fanny, ces minutes fut plus une succession de plaisirs, de
spasmes multiples quune attente. Les seins tendus vers le haut, bâillonnée, attachée
ainsi à cette balancelle fixe rappelant plutôt une table de gynéco avec ses
accoudoirs, elle était trempée tant le système de pénétration lente, très lente par
ses avancés et reculs et par la lenteur du tournage du god mécanique qui la pénétrait
avec la régularité dun métronome. Elles gémissait pleinement son plaisir devant les
yeux des 8 esclaves attachés qui avaient lair vraiment de lenvier.
Puis un léger frisson la traversa quand elle entendit des pas revenir. Un homme entra
et sapprocha, mais fanny ne put lapercevoir à cause du bandeau. Il commença par lui
caresser le visage et fanny dit spontanément :
-Non Monsieur Walter, pas vous encore, je vous en supplie ...
Elle avait à peine terminé sa phrase quon lui retira le bandeau et saperçut de son
erreur. Lhomme qui était là était grand, dune grande prestance, un sourire aux
lèvres et des yeux dominant qui comblait fanny. Elle lavait tout de suite reconnu,
cétait enfin son Maître. Enfin oui car tous ses doutes se dissipèrent, toutes ses
espérances avaient enfin trouvé leurs réponses. Il était là.
-Alors petite chienne, on a fait du zèle aujourdhui ? On a voulu son Maître en
premier avant dobéir à tout ce quil exigera ?
- Oui, je ne demandai que ça, mais
Une gifle fusa :
- On dit : Oui Maître et ici on ne demande pas, on supplie
compris dit le Marquis
dEvans sur un ton calme, froid mais paradoxalement autoritaire
- Oui Maître, je .. je vous aime
Je
- Alors fait silence sinon je te bâillonne comme les chiennes qui te regardent en ce
moment
Puis il sortit son sexe de sa braguette le présenta à la bouche de fanny :
- Tu ne vas refuser à ton Maître, ce que tu as accepté à Walter
Allez suce petite
putain
Et elle entreprit une lente fellation. Enfin elle avait la queue de son Maître en
bouche, ce moment tant attendu. Alors elle sappliqua de son mieux. Elle y mettait
tout son amour, tout son savoir-faire et ce fut avec délectation quelle fit son
travail de langue. Le sexe du Marquis devenant de plus en plus raide, il savait
modérer la pénétration afin de ne pas l et quand il samusa à enfoncer sa
bite jusquau fond de sa gorge, il savait la retirer à temps pour laisser respirer la
soumise. Quand au bout de 5 minutes il explosa en de longs et épais jets de sperme
dans un râle dénotant sa forte jouissance, en pleine bouche, elle avala tout en
léchant, nettoyant cette queue royale. Elle était si heureuse davoir apporté du
bonheur à son vénéré dominant.
Puis le Marquis se positionna vers la perceuse et en arrêta le mécanisme, il lévacua
avec la table et prit la télécommande du palan. Il appuya sur un bouton, ce qui fit
monter le siège de fanny et détendre les chaînes fixées à ses tétons. Il arrêta la
montée de la balancelle quand le sexe et les fesses de la soumise furent à hauteur de
la bouche du Marquis. Ainsi il navait pas besoin de se baisser pour commencer le
sulfureux léchage de langue quil entreprit dans le sexe de fanny déjà bien trempée.
Il sattarda longuement sur son clito , le fit sortir de son capuchon, enfonça sa
langue dans les parois des lèvres puis du vagin. Ecartant de ses doigts les lèvres qui
prenaient du volume. Les spasmes redoublèrent encore. Le Marquis était un expert en la
matière et les gestes buccaux et manuels étaient précis. Pendant quil sactivait, il
entreprit de lui doigter lanus afin de le dilater pour la suite et cest dans des
gémissements de plus en plus accentués que fanny multiplia les orgasmes qui se
succédèrent à un rythme effréné. Elle ne retint aucun cri et laissa exploser sa
jouissance en de puissants râles et cris de bonheur.
Puis le Marquis sarrêta, laissa fanny reprendre son souffle, pendant quil alla
chercher une espèce de raquette de ping-pong mais avec un manche un peu plus long. Il
fit descendre un peu la balancelle et une fois à la bonne hauteur il entreprit de
faire rougir les fesses de fanny. Il frappa en des coups réguliers une fesse puis
lautre. La soumise criait mais ça lexcitait tellement quelle disait :
Plus fort Maître oui encore
»
Alors le Marquis frappa et frappa encore sous les yeux des soumis attachés qui
bandèrent de plus belle. Les cris, la jouissance provoquée par le plaisir ressentie
par la femelle, redonna de la vigueur au Maître qui stoppa les coups et abaissa à la
hauteur désirée le siège. Puis sans prévenir il la pénétra dun coup en de forts coups
de reins :
-Tu voulais que ton Maître soit le premier à te baiser, chienne de rue, et bien voila,
la pute est servie
Et il redoublait ses assauts, elle était possédée très profondément et de sa mémoire
navait encore jamais ressentie de telles sensations. Il lui doigta de nouveau lanus
tout en la baisant comme une chienne en chaleur. Elle criait de plus belle son bonheur
dêtre ainsi pénétrée, sauvagement, puissamment à la hussarde. Quand le Marquis décida
de changer dorifice, il la sodomisa quasi bestialement. Elle ne put retenir un cri
de douleur, le sexe énorme dans son fondement certes dilaté mais pas suffisamment pour
accueillir ainsi une volumineuse verge regorgeant de raideur. Mais les premiers cris
de douleurs se changèrent vite en cris de jouissance tant lexcitation était à son
zénith. Au bout de plusieurs minutes de ses vaillants assauts le Marquis se mit de
nouveau à éjaculer en de longs râles mais en elle, il ne se retira pas en un coït
profond. Fanny hurla son orgasme mais un orgasme différent des autres, cétait un
orgasme anal, le premier de sa vie mais dune puissance tel quelle ne sera pas prête
de loublier.
Au bout de plusieurs minutes en coït immobile, tout deux reprirent leur esprit. Puis
le Marquis se retira
Il se réajusta le pantalon et regarda la soumise :
-Je ne regrette pas davoir changer davis en te faisant revenir. Je savais que tu
devais revenir. Seulement, je lai compris quune fois que tu étais à la gare. Tu vas
faire partie dorénavant de mon cheptel, tu seras marquée à vie à la poitrine de mes
armoiries et de ton futur matricule. Mais avant je vais te détacher et voila ce que tu
vas faire
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!