Un Mari Défoncé
Je suis un homme marié de 37ans et j habite Marseille dans le 5e
Javouerais qu à 37ans, ma sexualité n était plus aussi débridée, me contentant de
rapports conjugaux de moins en moins fréquents. Sportif, bien bati et très poilu, je
suis larchétype du bon père de famille sans histoire. Il m arrive parfois de rentrer
déjeuner chez moi entre midi et 2. Je croisais à plusieurs reprises un éboueur qui
avait lhabitude de garer sa 206 bleue dans ma rue.
Grand gaillard de 50 ans, 1m90 aux épaules larges avec une grosse moustache aussi
chatain grisonnante que ses cheveux coupés courts
Le croisant souvent dans sa tenue
bleue ciel aux bandes jaune fluo, nous avions pris lhabitude de nous dire bonjour. Un
jour il avait assisté à une dispute entre moi et ma femme devant chez moi en faisant
semblant de rien entendre.
Le lundi suivant, cétait au mois de mai, il faisait chaud je rentre chez moi entre
midi et 2 et je le croise et le salue comme dhabitude. Il me salue et me dévisage de
façon plus insistante. Je repense à la scène et je suis gêné quil mait vu me faire
engueuler
Jouvre la porte qui donne à mon immeuble et troublé je le regarde son balais à la
main me suivre du regard
Jenvie ce macho bourru qui lui doit mener les meufs à la
baguette
Je monte les escaliers qui mènent à mon appart, la porte de mon immeuble est
ancienne et se referme parfois mal. Arrivé en haut je glisse ma clef dans la serrure
dentrée ouvre ma porte, entre et au moment de la refermer jai la surprise de me
retrouver avec mon gaillard devant moi qui bloque la porte avec sa grosse grôle de
chantier.
Là tout se passe très vite, sans que je l y ai invité il entre chez moi me saisis, me
plaque contre lui et sans même refermer la porte, baisse son visage vers moi. Je sent
sa grosse moustache sur mes lèvres
je tente de repousser ce baiser, rouge de
surprise, de honte et de peur.
de plus belle et avance dun pas pour refermer la porte . je me retrouve à la merci de
cet homme que je ne connais pas, chez moi dans mon entrée ses lèvres contre les
miennes mempêchant de respirer. Insistant de plus belle, je sent alors une grosse
langue forcer le passage entre mes lèvres et sa grosse moustache qui frotte sur mon
visage
Mon cur bat la chamade, je ne pense plus a rien et jouvre la bouche. Cest
alors une explosion de plaisir qui mélectrise et me paralyse tout le corps. Je ne
pense plus à rien et me laisse rouler une grosse galoche par cet mec qui fouille avec
sa grosse langue divinement ma bouche. Je suis au 7e ciel, moi le mec marié .
Il desserre alors létreinte et je me surprend à vouloir prolonger sans fin ce baiser
langoureux. Nos langues senroulent lune à lautre et je sents un plaisir immense
irradier mon corps comme jamais auparavant je navais éprouvé un tel transportement.
Sa grosse main se glisse alors dans ma chemise et caresse mon torse poilu. Puis il se
met à me lécher la le cou, descend sur ma pomme dadam et ouvrant dun coup sec ma
chemise en faisant sauter les boutons par terre, il me lèche vigoureusement tout le
torse, sattardant sur mes tétons qui se dressent et le creux de mes aisselles.
Je gémis de plaisir, lextase est trop forte, je suis le jouet de ce bucheron
Sa
langue descend alors vers mon nombril, je tressaille de tout mon corps au contact de
cette caresse buccale mais ne suis pas au bout de mes peines. Car il dégrafe avec
autant de vigueur la braguette de mon jeans. Je me retrouve en boxer noir dans les
bras de léboueur du quartier. Et là oh surprise le tissu de celui-ci est gonflé par
une magistrale érection, jai honte de moi mais jai envie que cela dure encore. Là,
il descend mon boxer quil fait glisser en même temps que mon jeans sur mes talons.
un clin dil il saisit ma queue gonflée, malaxe mes testicules, puis toujours dans
cette entrée, descend sa bouche et me lèche le gland
je craque, et gémis de plaisir,
il engloutit ma queue qui n est pas très grosse mais épaisse et courbée Cela fait
une éternité que je navais pas été sucé ainsi
Puis lui toujours habillé, je me
retrouve à même le sol de mon entrée , couché sur le dos et soulevant avec ses deux
bras mes jambes , revient se positionner sur ma bite. Mon jeans et mon slip viennent
sur son dos puissant en crissant bruyamment dans cette position peu confortable. Il
prodigue alors à mes organes génitaux des soins que jamais auparavant je navais
subis. il descend et lèche mon scrotum ce qui me fait littéralement crier de plaisir
puis, oh extase des extases, sa langue se fraye un passage au travers de ma raie
poilue de mâle déchu jusquà ma rosette serrée. Jamais je navait pu imaginer un tel
bonheur ! je néprouve alors plus aucune honte, et au contraire nai plus quune seule
envie : me faire baiser comme une meuf
Il en profita pour ôter mes basquets une à une puis mon jeans et mon slip. Puis il
enlève mes chaussettes blanches et me léche avec délectation les pieds.
il se relève alors et revient membrasser fougueusement. Sans mot dire on se relève et
le prenant par la main je lentraine vers la chambre à coucher. Je le fais assoir sur
le lit conjugal et jôte fébrilement sa veste bleue puis son t shirt blanc.
Quelle carrure ! Un torse puissant le double du mien , couvert de poils longs et
luisant châtains grisonnants par endroits, des pectoraux de gladiateur avec des
auréoles larges.
Je descends les bretelles de sa combinaison et jouvre nerveusement sa braguette.
Quelle stupeur, quand japerçoit le bout de son slip blanc immaculé qui laisse deviner
un gros sexe énorme moulé dans ce tissu au point de craquer!! Il fut amusé par mon
expression et se baissât pour ôter ses grosses chaussures.
descendre d un trait pantalon de combi et slip et se dégagea pour offrir à ma vue son
gros dard. Je me retrouve ainsi face a une queue dau moins 23 cm, plus épaisse
encore que la mienne droite et aux larges veines apparentes avec un gland énorme en
forme de ballon de rugby. Un peu affolé mais terriblement attiré je me penche pour
soupeser cet énorme saucisse et je suis tout aussi surpris de soupeser dénormes
couilles très pendantes . Son pubis était lui aussi couvert dune épaisse toison mais
dun châtain plus vénitien que son corps . Je commence maladroitement à le branler
quand il sassoit sur le lit et écartant les cuisses il me dit : suce moi la bite mec
!!!
jen frissonnais denvie, et dirigeant mes lèvres vers son sexe je fus agréablement
surpris par lodeur enivrante qui se dégageait de cette superbe queue..un doux parfum
de propre à laquelle on se sattendait pas. Magrippant par les cheveux il imprime a
ma tete des mouvements qui ont pour conséquence de faire pénétrer son organe viril au
plus profond de ma bouche et de ma gorge. Cest lextase ! Puis il me couche sur le
dos et viens sur moi fourrer à nouveau son sexe dans ma bouche. Puis il vient écraser
ses larges fesses rebondies sur ma figure .Je me hasarde à sortir ma langue et à lui
lécher dabord de façon hésitante puis de façon plus approfondie sa belle rondelle
plissée.
Je bande comme un taureau et lui aussi
je n en peux plus et il le comprend, il se
dégage alors et ses yeux dans les miens il écarte mes cuisses pose mes jambes sur ses
épaules et me demande si jai un préservatif . Je lui en tend un qui se trouve dans la
table de chevet. Il lenfile, puis crachant dans sa main il lubrifie son sexe se
penche et vient membrasser fougueusement comme pour obtenir mon approbation puis
doucement pousse sur mon sphincter
j ai mal, mais peu a peu il rentre sa queue dans
mon intimité la plus profonde.
commence une douce branlette
Puis constatant mon extase, il commence à me besogner
dabord en douceur puis sentant que mon cul souvre en douceur il accentue ses coups
de reins virils et puissants comme sil niquait une femme ! C est lextase, je me
surprend a l encourager en lui disant :
Oui vas y défonce moi ! oui je suis ta meuf ! prend moi ! casse moi le cul !met moi
ton manche a balais dans la chatte !
Il accentue ses mouvements comme un forcené tout en me branlant vigoureusement
Puis dans un ultime assaut il se contracte et me donne un violent coup de rein et
expulse sa semence virile dans mes entrailles meurtries mais protégées. A cet instant
sentant son sexe tressaillir en moi en plusieurs saccades, je décharge à mon tour.
Inondé de foutre et de sueur il sécroule sur moi et me mordille les lobes des
oreilles tout en restant en moi comme pour mieux me féconder.Au bout de quelque
seconde il retire sa queue de mon petit trou de balle béant et viens membrasser.
Puis il se rhabille à la hâte, jette la capote dans les wc apres avoir lavoir rempli
d eau et disparait sans un mot.
Je me retrouve couché et extenué sur le lit conjugal le bas ventre gluant de ma
semence me sentant honteux, souillé mais formidablement saillie par mon bel éboueur.
Je retourne au bureau comme sur un nuage. Et le soir, venu jhonore ma femme comme
jamais en pensant à mon étalon.
Le revairais je ? C est une autre histoire !
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