Un Si Bel Été Et Ses Suites-6
Un si bel été et ses suites-6
En cette première semaine de novembre, je ne vois pas Cécile, partie en province pour le compte du magazine auquel elle collabore. Il fait gris, lil pleut et je me sens seul. Les plaisirs solitaires naguère si agréables ne me satisfont plus tellement. En un mot, Cécile, sa chatte, son cul me manquent. Heureusement, une surprise mattend.
Nous sommes vendredi. Fin daprès-midi toujours pluvieux. Le téléphone sonne :
« Allo, oui ?
-Bonjour, cest moi ; Agnès, la mère de Cyril ; tu te rappelles ? »
Mon cur bat. Si je me rappelle !
« Bien sûr, Agnès !
-Je suis à Paris pour mon travail. Jai pensé quon pourrait peut-être se voir. Dans la soirée, ce serait possible ?
Je suis encore là jusquà demain matin
» ajoute-t-elle.
Je mempresse daccepter, je me change, je laisse dur la table un mot pour ma mère lui disant que je dormirai sans doute chez un copain, et je cours rejoindre Agnès, plein despoir.
Elle est au bar de lhôtel, attablée devant un thé. Vêtue dun tailleur élégant, dun chemisier blanc, coiffure soignée et discret maquillage, elle est superbe, mais plus intimidante que dans ses tenues décontractées des vacances, jeans, shorts ou légères robes dété Elle se lève, nous nous embrassons sagement sur les joues. Assis face è face, nous bavardons, je demande des nouvelles de Cyril, elle mexplique les raisons de son séjour, nous devons donner limpression dêtre un fils et sa mère, ou une tante qui retrouve son neveu.
« Tu ne veux pas quon monte dans ma chambre ? » minterrompt-elle soudain en posant sa main sur la mienne.
Sitôt refermée la porte de la chambre, nous nous étreignons.
« Oh, mon petit brigand, comme je suis heureuse de te revoir ! »
Fébrilement, noud nous déshabillons mutuellement et tombons sur le lit. Nous roulons lun sur lautre, tantôt dessus tantôt dessous, en nous embrassant. Et puis je me retrouve sur elle, et comme la première fois mon sexe en érection entre tout naturellement en elle.
Nous restons un moment enlacés, silencieux. Puis elle se redresse sur un coude, se penche vers mon sexe, y dépose une bise et sadressant à lui : « Enchantée, cher monsieur ; je suis ravie de vous revoir, vraiment ! » Nous éclatons de rire tous les deux, et elle me demande : « Tu peux rester avec moi cette nuit, jespère ? Tant mieux ! Alors sortons manger quelque chose, jai à peine eu le temps de déjeuner et je meurs de faim ! »
Nous avons trouvé un petit restaurant asiatique près de lhôtel. Nous dinons en bavardant. Agnès me demande si jai une ou des petites copines. Sans entrer dans les détails je lui parle de Cécile. Comme elle sétonne que je nai pas de fille de mon âge, je lui dis en riant que cest peut-être de sa faute à elle, qui ma fait apprécier les femmes plus matures. Elle rit aussi et me répond : « Et moi si je prends goût aux petits jeunes, ce sera de la tienne, chenapan ! »
Je tiens, par fierté, à régler laddition au demeurant assez modeste. Elle comprend et me laisse faire : « Je vous remercie, galant jeune homme. » Nous avons tous deux hâte de regagner lhôtel.
Nous nous déshabillons cette fois plus calmement et nous enlaçons sur le lit. Nos bouches se retrouvent pour un baiser passionné, nos mains parcourent nos corps. La mienne va de sa poitrine aux tétons durcis dimpatience à son ventre et rencontre, un peu plus bas ; la petite touffe de poils épargnée par lépilation, atteint enfin sa chatte quelle recouvre. Jy introduit un doigt ; elle est délicieusement chaude et humide. Agnès, elle aussi, a trouvé mon sexe, elle a pu en constater lérection. Elle esquisse un mouvement, je comprends quelle sapprête à me faire une fellation, mais je la devance : je veux, moi aussi, profiter de sa chatte. Je me place prestement en position pour un 69.
Dans les bras lun de lautre, nous reprenons notre souffle. Elle membrasse, cale sa tête au creux de mon épaule et murmure : « Je suis heureuse que tu passes cette nuit avec moi
-Moi aussi, Agnès. Tu sais, cest la première nuit que je passe avec une femme.
-Eh bien, je suis vraiment la femme des premières fois, ma canaille chérie »
Je ne sais pas lequel de nous deux sest endormi le premier. Ma-t-elle regardé dormir comme je le fais maintenant ? Il fait nuit, mais la lampe restée allumée au chevet me permet de la voir. Elle dort, lovée contre moi, nous avons dû nous couvrir machinalement car seule émerge sa tête, le visage apaisé, détendu, les cheveux un peu ébouriffés ; elle est belle. Je repousse drap et couverture pour découvrir son corps abandonné dans le sommeil. Une vague de désir me submerge, je replonge le visage entre ses cuisses qui souvrent immédiatement.
« Reprends-moi, murmure-t-elle.
-En levrette, tu veux bien ? »
Elle ne répond pas mais se met en position, en appui sur les avant-bras, le front contre loreiller, croupe offerte. Je passe vivement derrière elle et présente mon gland au bord de sa chatte. Mais jai soudain un autre objectif. Tout en la pénétrant lentement, je pose un doigt sur son petit trou et opère quelques pressions.
« Je nai jamais fait ça
-Laisse-moi faire. »
Le bout de mon index sest introduit dans son anus, mais elle est très contractée. Jinsiste un peu, mais je crois nécessaire de lubrifier lendroit pour parvenir à y entrer sans douleur.
« As-tu une crème ou quelque chose pour
-Dans mon vanity, il y a une crème de soin pour la peau. »
Je mempresse daller chercher ça. Elle na pas bougé, elle mattend.
Je me rappelle ce jour où je lui passai la crème solaire. Cette nuit lapplication est beaucoup plus locale. Elle porte ses fruits : son anus se décontracte peu à peu et souvre sous mes doigts. Quand je juge le moment venu, jy pose mon gland ; mon érection est à son paroxysme.
« Fais doucement, sil te plait » me demande-t-elle.
Je la pénètre lentement. Passé le premier moment, je vois ma bite disparaître progressivement. Agnès respire de plus en plus vite et soudain :
« Ooooh putain. Putain putain putain
Oh putaiiin
»
Agnès, prise de soubresauts incontrôlables, se laisse aller à plat ventre sous moi, le visage enfoui dans loreiller qui étouffe ses cris. Surpris autant quexcité par ce langage auquel elle ne mavait pas habitué, je redouble dénergie et lâche mon sperme quelle reçoit pour la première fois au fond de son cul.
Nous restons lun sur lautre jusquà ce que mon pénis se rétracte et sorte de lui-même dentre ses fesses.
« Oh, cest incroyable, tu sais, cétait si fort ! Je ne lavais jamais fait
-Tu vois, je serai aussi pour toi celui dune première fois ! »
Nous rions tous les deux, parfaitement heureux.
Cette fois cest elle qui me réveille. Il fait jour, et enfin beau semble-t-il, si jen juge par la lumière qui baigne la chambre. Jai senti sa main sur ma bite. Elle me branlait lentement et il ne men fallait pas plus pour une belle érection matinale.
Me voyant réveillé, elle membrasse et :
« Je peux te demander quelque chose ?
-Bien sûr, Agnès.
-Tu veux bien me sodomiser encore une fois ? »
Je suis surpris dune demande aussi directe, mais il faut reconnaitre quelle menchante et me prouve que jai fait découvrir à Agnès un plaisir insoupçonné.
Elle se met vivement en position :
« Viens vite, je ten prie ! »
La crème de soin est heureusement restée à portée de main et je mapplique à préparer sa petite rondelle qui palpite sous mes doigts et souvre progressivement. Agnès gémit déjà doucement et je ne tarde pas à pénétrer son cul offert. Je lui tiens fermement les hanches, et ses mouvements de croupe suivent le rythme de mes va-et-vient. Ses gémissements se transforment en cris étouffés par loreiller et, submergée par lorgasme, sabandonne sous moi qui continue à mactiver entre ses fesses jusquà léjaculation finale. Mais je me retire rapidement et, profitant de mon érection encore assez satisfaisante, je mintroduis dun coup dans sa chatte pour quelques coups de reins supplémentaire. Elle pousse un cri et réagit aussitôt par un second orgasme.
Cette fois nous restons un long moment pantelants et moites de sueur sur le lit en désordre. Puis Agnès mentraine avec elle dans la salle de bain. Sous la douche, nous nous savonnons mutuellement, pretexte à de nouvelles caresses. Agnès se laisse glisser à genoux et reprend mon sexe dans la bouche, mais il reste cette fois inerte et sans réaction. Comme elle sétait déjà amusé à le faire, Agnès sadresse à lui :
« Vous avez bien mérité un peu de repos, cher monsieur ; cette nuit vous avez été parfait. »
Elle se relève : « Dépêchons-nous si nous voulons avoir le temps dun petit déjeuner avant lheure de mon train. »
Nous avons convenu déviter les adieux de quai de gare, mais elle ma promis de me revoir à son prochain séjour à Paris.
De retour chez moi je constate que le mot que javais laissé à ma mère est demeuré sur la table. Elle non plus na donc pas dormi ici. Tant mieux ; je froisse le papier et le jette, je naurai pas besoin de lui mentir.
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