A Moi La P'Tite Anglaise !

Un jeune couple d’étudiants anglais vient d’emménager juste à coté de chez nous,
mariés ? Copains ? Autre ? Nelly, une petite blonde a la peau très blanche, et John,
rouquin, farci de taches de rousseurs, typiquement anglais, je dirais même que cette
fille qui est avec lui sait donner de la confiture a un cochon !
La seule chose que je reproche a la jeune femme c’est qu’elle est toujours en
bluejean, moi qui aime voir les jambes et pourquoi pas les cuisses je suis déçus !le
point positif c’est qu’ils sont très collants et dessinent une de ces paire de fesses
Ha ! Devant le mont de vénus est bien visible aussi, je me suis toujours demandé si la
couture grossière de ces pantalons n’étaient pas néfaste au clitoris ? ( Dites-moi
mesdames ? elle vous masturbe à chaque pas cette couture ? Slip dessous ou sans slip ?
) Dans la même lignée j’ai horreur de ces soutient gorges épais qui ne laissent pas
deviner vos tétons, quel dommage !

Ma femme les a invités à l’apéro pour faire connaissance, l’accent de la fille est
adorable, j’ai pleine vue sur son entre jambe bien écarté car protégée par le futal
elle ne s’en prive pas, en lui parlant j’ai les yeux fixés sur le renflement prononcé,
quel petit bijou ce cache là-dessous ? Les seins ? Je les devine menus mais surement
agréables, en parlant j’ai appris qu’ils avaient vingt deux ans, j’en ai exactement le
double
Si je ne me prive pas de mater son entre jambes, je peux dire qu’elle ne se prive pas
l’air de rien de regarder la bosse formée par le mien
Le lendemain j’ai une agréable surprise en faisant des courses a l’hyper marché, je
tombe sur Nelly qui fouille dans les jeans
- Tien ! Bonjours Nelly quelle bonne surprise
- Hello Georges ça va ? Vous tombez bien savez vous ou est la cabine d’essayage ?
- Là-bas tout au fond, je vais vous accompagner je garderais votre caddy
- C’est gentil à vous mais je ne veux pas r
- J’ai tout mon temps ne vous en privez pas
La fille disparait derrière le rideau, j’entends le froissement du vêtement ôté … si
j’osais j’écarterais ce maudit paravent ! Elle doit être en slip … là, elle enfile le
neuf ….


- Zut ! Il est trop grand
- Passez le moi je vais aller le changer
- Merci Georges
Deux minutes plus tard j’écarte légèrement le rideau pour lui passer le nouveau, mince
! Pas de bol elle tient devant elle son jean ; j’ai quand même pris le temps de voir
ce qui dépassait !
- Georges voyons !! Je suis à moitié nue !
- Excusez-moi Nelly
J’entends son petit rire cristallin, je reste prés du rideau
- Ha ! Celui va bien, regardez
J’écarte le tissu, elle tourne sur elle-même pour me faire admirer son jeans. ……
- Vous pouvez refermer j’achète celui là
Je referme mais je laisse pendre mon bras a l’intérieur, a nouveau le froissement …
elle retiré le jeans… pour plaisanter j’avance mon bras ver le centre de la cabine, a
nouveau son petit rire sonore, et là, surprise Nelly saisit mon poignet ma main entre
en contact avec une fesse rebondie que je m’empresse de palper, ma main guidée par la
fille se déplace sur l’autre coté, au centre je touche la bande étroite du string ,
voilà l’autre fesse ….Mon slip devient vite étroit, quelle sensation …….
Soudain elle se retire, la récréation est terminée ?…Je m’apprête à retirer mon bras
quand a nouveau elle me le saisi a deux mains cette fois ….Je rêve ? Le dos de ma main
effleure le string que je devine baissé entre ses cuisses écartées, ma main guidée
appuie sur la chatte j’étends mes doigts, les poils sont là … mon index et mon majeur
suivent la ligne de la fente, son bassin fléchit mes doigts sont avalés par son puits
d’amour, Nelly se sers de ma main comme d’un sexe, elle s’empale sur mes doigts qui
grattent le point g a tout vitesse, le vagin se liquéfie, je perçois des bruits
mouillés , soudain ,une légère plainte ses cuisses se resserrent sur ma main
immobilisée ,la jeune fille vient de jouir ….l’étau se desserre , je retire ma main a
regret , discrètement je porte mes doigts a mon nez .
. Hummmm quel parfum, tout aussi
discrètement je les lèche minutieusement
- my god …. Partez maintenant Georges ….

Depuis quand je la croise elle me dit bonjour les yeux baissés, il faut mettre les
choses au clair
- Nelly, je regrette si je vous ai offensée l’autre jour
- Non George c’est ma faute … et puis … c’était bon, au revoir !

Plus rien jusqu’a ce mati ou le téléphone sonne
- Georges ? C’est Nelly excusez moi pourriez vous venir ce suite ? Ma bouteille de
gaz a lâché quand j’étais sous la douche, mon copain n’est pas là pour la changer
- J’arrive !
Elle m’ouvre vêtue de sa robe de chambre, mais je devine que dessous il y a une
serviette de bain comme celle nouée sur ses cheveux mouillés
- La bouteille pleine est dans le cellier, la vide est sous l’évier
La bouteille cachée sous un simple rideau sous l’évier est facile a attr, la fille
reste debout prés de moi, accroupis j’aperçois le haut des cuisses entre les pans
Je vais dans le cellier chercher la bouteille pleine ; quand je reviens la robe de
chambre a disparut, une serviette nouée sur sa poitrine lui arrive a ras le bonbon
…..Je reste médusé à regarder le merveilleux spectacle …..
- Georges vite la bouteille j’ai froid !
- Oui ! Ouii bien sur je me dépêche
Là encore le temps que je procède à l’échange la fille reste plantée prés de moi, a
nouveau les cuisses apparaissent ….Nos regards s’accrochent ….je me lave les mains
- Voilà ça doit fonctionner, vous n’aviez pas fini de vous laver ?
- Hé non, je suis mouillée et j’ai froid
Elle ôte la serviette qui couvre ses cheveux mêlés qui lui font une adorable bouille
Debout tout prés d’elle la tension devient palpable ….
- Vous êtes mouillée et vous avez froid, je ne vois qu’une solution !!!!
Dans la foulée je la prends dans mes bras pour lui frictionner le dos la serviette se
dénoue, nue comme au premier jour ses seins écrasés sur ma chemise, son corps épouse
le mien, elle noue ses bras autour de mon cou, nos lèvres se cherchent dans un baiser
fougueux
Mes mains palpent ses seins, menus, puis je descends plus bas, ses cuisses s’ouvrent,
mes doigts fouillent l’entre jambe encore moite de la douche interrompue
- Georges, c’était merveilleux au super marché, j’avais envie que vous me léchiez
je n’ai pas osé vous laisser entrer dans la cabine
Je la soulève sous les bras pour la déposer sur la table
Elle dénoue ses bras et s’allonge les talons sur ses fesses, offertes, indécente, je
n’ai qu’à me plier pour cueillir l’abricot fendu et surement juteux
Tout en léchant je me débarrasse de mes vêtements encombrants, puis je joins mes
doigts a ma langue, elle se tortille comme un ver en mordant sa main
La cyprine coule à flot, je lape cette liqueur exquise, je reconnais l’odeur que
j’avais sur les doigts au magasin et comme dans la cabine elle serre ses cuisses sur
mes oreilles en geignant, j’arrête le cuni car le clitoris devient très sensible après
l’orgasme
- Ça va Nelly ?
- my god ! Foudroyant, comme l’autre jour ! … vous aimeriez que je vous ….
lèche moi
aussi ?
- Comme tu veux mais ne t’y sent pas obligée
- Mais si ! comment disent les jeunes ici ? Je kiff trop !!Je loll !
- Alors voilà, il est à ta disposition
Elle descend et se courbe en deux
- vous êtes …gros ?
- On peut dire ça, avale ce que tu peu, et … est ce que tu bois tout ?
-- J’adore ça !
Et elle se jette sur mon membre pour me téter comme une affamée sa petite bouche gobe
une longueur appréciable de chair, ses doigts font coulisser la peau, déjà très excité
pour lui avoir mangé la chatte je ne vais pas tarder à lui balancer mon foutre sur les
amygdales
- Attention Nelly ça vient ….
- MUUUUUUMMMMM !!!!!!
- HAAAaaaaaa …….
- Huuuummmm…. Huuuuuummmmm haaaaaaaaaaaaa !!!!!!!! ……. My god , quelle dose !!!!!
- Si tu en veux ailleurs il m’en reste …….
- HOOOOOO, vous voulez dire me baiser ?
- Hé oui !!
- Au magasin je n’ai pas osé vous faire entrer avec moi, mais aujourd’hui je suis
prête !
Et elle saute le cul sur la table en écartant les cuisses, son con me sourie, les
lèvres en accents circonflexe, ce vagin n’attend plus que ma queue
Comme au début elle s’accroche à mon cou et prend ma bouche, a tâtons je cherche
l’entrée de sa moule, en la maintenant par les fesses je la tire a moi ma queue
pénètre en entier dans sa minette gluante
Qui a dit que les anglaises ne bougent pas pendant l’amour ? En tout cas celle-ci se
démène sur mon bout, ses minis seins frottent mon torse, sa langue fait des huit dans
mon palais, très vite presque sans apparences extérieures je décharge au fond se son
petit con, sans arrêter mes vas et viens je repars pour une deuxième tournée
Mais la position ne me plais pas je ne peux pas la limer comme je veux, alors je la
décroche et l’allonge sur la table ; en la saisissant sous les genoux elle est a ma
merci, ses reins sont mis a rude épreuve sur le bois dur de la table, ses seins
tressautent comme deux petits flans, la bouche grande ouverte elle cherche l’air en
poussant des cris qui ressembles a des piaillements
Ma queue extrêmement lubrifiée par mon sperme et la mouille de son vagin luisante a
chaque sorties, sans peine j’atteins le fond de sa gaine ont entend des bruits d’air
et de liquide chassé
Je la secoue comme ça pendant un quart d’heure, par trois fois Nelly a jouis, je vais
abréger ses souffrances en me laissant aller
je lâche mon foutre dans sa minette, elle accuse le coup en hurlant a la mort !
Nous reprenons difficilement notre souffle, ma queue glisse hors du vagin libérant mon
sperme qui tombe par gros paquets sur le carrelage

- Georges ….
tu m’a bien faite jouir… je t’apprécie beaucoup ….bon, je vais aller me
laver pour de bon cette fois, j’en ai besoin ! Mais revient quand tu veux, il y aura
toujours une bouteille de gaz à changer ………et la serpillère à passer sur le carrelage
!!!!!!









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