Vous Cherchez Une Baby-Sitter?(Chapitre 4)
Chapitre 4 Mardi 18 avril
((( Elodie continue à partager son temps entre ses cours à la fac et ses occupations
annexes : baby-sitting, massages
un emploi du temps bien rempli. Nina ? elle aime
bien Nina
et on est mardi, jour de massage
elles discutent. )))
- Vous vous êtes connus comment ?
- Chez les scouts, et on était dans le même lycée.
- Ça fait longtemps alors ? tavais quel âge ?
- 15 ans.
- Cest à peu près à cet âge que jai commencé aussi, il sappelait Gérald ! Il
était timide
tas plein de petits boutons, dans le dos, là, tu sens ?
- Eh ! pas avec tes ongles !
-
il osait pas ! Comme si javais pas remarqué la bosse de son pantalon ! Et
puis jai deux grands frères, alors, les garçons, je savais déjà comment ça marche !
ils se gênaient pas, mes frères ! tas des frères, toi ?
- Une sur aînée, elle a 8 ans de plus que moi.
- La première fois, cest moi qui ai tout fait ! Il était complètement paralysé
!
Elodie était assise sur le haut des cuisses de Nina pour lui masser le dos. Elle sest
penchée vers son oreille et lui a soufflé en riant :
-
mais il avait un gros sexe
je men souviens encore. Bon, il savait pas
trop sen servir au début, mais il a vite fait des progrès ! et toi, la première fois
? cétait bien ?
-
on était un peu fatigués
on a attendu le lendemain.
- Le lendemain de quoi ?
- Du mariage.
Elodie sest arrêtée net, les mains à plat au creux des reins de Nina ; elle sest
mordue les lèvres pour ne pas rire :
- Et
vous êtes mariés depuis quand ?
- Ça fera quatre ans cet été.
- Mais tas quel âge ?
- 26.
-
tas pas eu dautres petits amis ?
- Non, que lui.
- Eh ben ! Je résume
tes avec lui depuis
11 ans, tas fait lamour avec lui
le lendemain du mariage, il y a quatre ans, et
entre temps ? vous faisiez quoi ?
-
- Mais il a jamais essayé ?
- Une ou deux fois, au début
mais on avait décidé dattendre.
Elodie sest tue un long moment, continuant à masser le dos de Nina, doigts largement
écartés, remontant en appuyant des pouces de chaque côté de la colonne vertébrale,
enveloppant les épaules, remontant sur le cou, et redescendant lentement jusquaux
reins.
- Nina
- Mmm ?
- Cétait vraiment la première fois, jeudi dernier ?
Nina, avec un temps de retard, a simplement fait « oui » en hochant la tête.
- Et
toute seule, jamais non plus ?
- Quoi, toute seule ?
- Quand tu te caressais, tu y arrivais pas ?
-
- Ça tembête quon en parle ?
-
je me caresse pas
Elodie sest penchée en avant pour poser un baiser sur son dos. Elle sest reculée en
rampant sur ses genoux pour sasseoir sur les jambes de Nina. Elle sest essuyée les
mains, effaçant les traces dhuile de massage, et a déposé une noix généreuse de crème
régénératrice sur chaque hanche, et sest appliquée à la faire pénétrer lentement :
- Et entre surs, vous nen parliez jamais ? de garçons, enfin tout ça, quoi ?
- Elle était pas souvent à la maison
et puis
non, on en parlait pas.
- Moi, avec mes frères, on se racontait toutes nos petites histoires ! Et Marc
le plus jeune, cest avec mes copines quil sortait, alors ce que lui ne me disait
pas, cétait elles qui me le racontaient !
Nina ?
ton mari, Philippe, lui non plus
il a pas eu dautres filles ? avant toi ?
Nina a haussé les épaules :
- Je sais pas, mais je crois pas
tu sais, lui aussi il voulait attendre quon
soient mariés.
- En tout cas, je le connais pas remarque, mais vu comment étaient mes frères et
les autres garçons
lui, il devait se masturber
au fait
tu
tu tes occupée de
lui, un peu ?
Nina ?
-
non
- Toses pas ? Cest ça ?
- Je suis pas très douée
- Et
la dernière fois, quand je tai massée
ça ta pas donné envie ?
cest
des trucs dont vous parlez pas, hein ?
- Non .
- Et ta rééducation, je parie que tu lui en as pas parlé non plus !
- Non.
Elodie a remis deux longues traînées de crème sur les fesses de Nina :
- Tas déjà la peau plus douce
on sentait la peau dorange, avant, cest plus
lisse
tu vas avoir un cul denfer !
Nina a été secouée de hoquets de rire. Elodie riait aussi.
Elle sest agenouillée à hauteur de ses hanches, entre le lit et Nina, face aux
miroirs de larmoire.
Elle a gardé sa main droite sur ses propres genoux. Du dos de lindex de sa main
gauche, elle a caressé sa taille, le renflement du sein écrasé sous son torse. Elle a
glissé sa main dans ses cheveux, caressé sa joue, effleuré ses lèvres :
-
Nina ?
Je tai volé ton plaisir la dernière fois
javais envie, moi
Nina
- Oui
-
dis-moi
Nina a poussé un profond soupir :
-
quoi
- Si tu veux
encore
Nina se redresse et sassoit sur ses talons en tournant le dos à Elodie. Elle baisse
la tête, le visage caché par ses cheveux ; elle referme les bras autour de sa poitrine
avant de lever les yeux, croisant quelques secondes le regard dElodie dans le miroir,
de baisser les yeux à nouveau.
-
tu mas rien volé
Bien sûr quelle a envie des mains dElodie sur elle, retrouver le plaisir reçu de ses
mains. Mais elle nest pas prête à le reconnaître, culpabilise, balance. Elle sen
veut. De ne pas décider. De sen remettre à Elodie. Le désir est fort, pourtant. Cette
fille est une des plus belles choses qui lui soit arrivée depuis longtemps. Amie,
confidente
maîtresse ? elle y pense comme ça, « jai une maîtresse », de ce plaisir
donné, qui aurait dû venir de son mari
En se déplaçant sur les genoux, Elodie sapproche dans le dos de Nina et la prend dans
ses bras, la joue posée sur son épaule ; lencadrant de ses genoux, elle se colle à
son dos.
Elle dénoue les bras de Nina pour prendre ses seins dans ses mains, glisse ses mains
dessous, comme pour en apprécier le poids, cherchant les tétons du pouce.
Nina redresse la tête ; leurs regards se croisent dans le miroir ; Nina lève un bras,
passe ses doigts dans les cheveux dElodie et fixe ses yeux, regard anxieux.
Elle penche la tête en arrière, frotte sa joue sur la joue dElodie en sentant les
doigts pincer ses tétons, les mains descendre sur sa taille, son ventre, les deux
mains forcer un passage entre ses cuisses.
Elle écarte ses genoux, soffre aux mains sur son intimité, le front barré dune ride
et bouche entrouverte sur un gémissement quand Elodie ferme une main sur son sexe,
plonge dun seul mouvement de poignet deux doigts entre les lèvres, dans le vagin,
accueillant, déjà tapissé dun jus collant en la serrant contre elle dune main sur
ses seins.
Elodie interrompt sa caresse, abandonne son sexe brûlant et pose sa main sur la main
de Nina, nouant ses doigts aux siens pour lentrainer entre ses jambes.
Elle résiste ; Nina baisse les yeux sur leurs mains nouées quElodie attire sur sa
toison, quelle libère pour appuyer sur sa main et la guide, lui donne le mouvement,
le rythme.
Le regard de Nina va de leurs mains réunies aux yeux dElodie, qui ne laide quasiment
plus, ne garde plus sa main sur la sienne que pour la rassurer.
Nina jouit de sa main, corps arqué, caresse bloquée, et seule, reprend, plus vite,
plus fort, et cette fois crie son plaisir dents serrées, les traits crispés, manquant
renverser Elodie des secousses dun second orgasme, à peine le premier apaisé.
Elodie continue à la bercer dans ses bras, longtemps, un bras autour de sa taille.
Elle caresse ses seins dune main, joue sur sa toison de lautre, tout doucement, le
visage dans le cou de Nina quelle pique de petits baisers mouillés.
-
il faut que je bouge
jai mal aux genoux
oh ! merde !
- Quest-ce quil y a ?
- Jai tâché la moquette
mais rigole pas ! cest nul !
- Je vais te mettre une couche ! comme aux bébés !
- Arrête !
- Eh ! cest rien ! tu sais, y a des filles qui font pipi en jouissant, ça
arrive !
- Bah !
- Je te jure, cest vrai ! une fois avec une amie
eh ! me regarde pas comme ça
! quest-ce que jai dit ?
- Non, rien
cest juste que
- Que quoi ? parce que jétais avec une fille ? Cest ça ? Nina
enfin ! Bon,
je continue, moi je la caressais avec un gode, et elle sest mise à faire pipi, mais
fort ! l y en avait plein le lit !
ah ! tu vois ! ça te fait rigoler !
- Cest
pas croyable ! tu es incroyable !
- Quoi ?
on na pas ment besoin des garçons
bon, vu ce que tu mas dit
de la frénésie de ta vie sexuelle, je pense pas quun gode, ten aies déjà vu un de
près, mais tu vois de quoi je parle, quand même ?
- Eh ! me prends pas pour une demeurée !
Nina sest levée en sappuyant dune main sur lépaule dElodie, et a enfilé sa robe
de chambre. Elle a ouvert la porte de larmoire et en a sorti une grande boîte en
carton, quelle a posée au pied du lit.
Elodie bien sûr, connaissait bien cette boîte et son contenu, depuis la toute première
soirée de baby-sitting chez Nina, le soir où elle avait « visité » son armoire. Elle
sest assise au bord du lit, guettant la réaction de Nina pendant quelle ôtait le
couvercle, curieuse de voir sa réaction, si toutefois elle se rendait compte que le
contenu avait été déplacé.
Effectivement, Nina a eu un petit froncement de sourcils, fugitif, sa main un temps
suspendue au-dessus de la boîte ouverte, et en a sorti le gode quElodie connaissait
déjà. Elle le tenait entre deux doigts en le montrant à Elodie :
- Cest bien de ça que tu parles ?
- Nina ? Quest-ce que tu fous avec ça ?
- Cétait au début, un jour Philippe est arrivé avec
- Il la fait mouler sur le sien ?
- Tes bête ! non ! cest
lui, il est
plus petit.
- Ton mari, ou le gode ?
- Mon mari
il est plus petit.
- Jen reviens pas que taies un truc comme ça, ça te ressemble pas !
- Cest lui qui la acheté.
- Il ta acheté un gode ! mais
tu mas dit que tu te caressais pas !
- Une fois, cest tout, et cest lui qui
qui le tenait, pas moi.
Elodie a avancé la tête au-dessus de la boîte ouverte. Elle en connaissait déjà le
contenu, et ne voulait pas que Nina sarrête en si bon chemin. En plongeant la main
dans la boîte, elle en a sorti les boules de geisha :
- Waouh ! mais tes super équipée !
Nina riait, finalement plus à laise quElodie ne laurait imaginé. Elle a compris
cette décontraction à la remarque de Nina :
- Je me suis jamais servi de ces trucs, moi !
Elodie a aussi sorti le harnais de cuir. A sa vue, Nina a rougi, et le lui a pris des
mains pour le remettre dans le carton :
- Eh ! laisse-moi voir !
Elle la à nouveau sorti du carton et la étiré de ses mains haut levées devant elle,
et a inséré le gode dans lanneau prévu pour le recevoir :
- Un gode-ceinture ! Il met ça, ton mari, pour
eh ! rougis pas comme ça, Nina,
cest la vie ! Il ta fait lamour avec ?
-
non
- Ça non plus, ça na pas servi ?
-
pas souvent
Debout au pied du lit, Elodie était en train de lattacher autour de sa taille.
- Euh
jamais ou pas souvent ?
-
cest lui qui me le met
- Il te le met ? sur toi ?
-
oui
- Ah ouais !
Elodie avait fini de fixer la ceinture autour de sa taille et entre ses jambes. Elle
sest approchée de Nina, le faisant bouger de droite à gauche devant son visage.
-
arrête
- Je joue au mec
et quand il te le met
cest toi qui lui fait lamour avec ?
-
pas souvent
ça fait longtemps.
- Et taimes bien ?
Nina détournait les yeux, faisait non de la tête :
- Jaurais pas dû te montrer ça
Elodie a pris une main de Nina dans la sienne et la posée sur le gode. Elle a pris
une grosse voix :
- Allez chérie, branle ma grosse queue, fais-moi gicler !
Nina secouait la tête et riait. Elle a tout de même gardé la main sur le gode, en
regardant Elodie, les joues enflammées. Elodie a serré ses doigts sur ceux de Nina,
les faisant aller et venir sur le gode. Elle a attiré la seconde main de Nina, la
portant sur le moulage réaliste des testicules, et toujours avec la même voix grave,
contrefaite :
- Oh oui, vas-y, tripote-moi les couilles !
Elodie ne guidait plus aucun des gestes de Nina. Elle caressait sa joue dune main,
caressait ses cheveux de lautre.
Nina caressait le gode comme elle aurait caressé un sexe dhomme, lentement.
Sous les petits coups de reins dElodie, ses doigts sous le gode, effleuraient le
collant de laine. Elodie sentait un doigt timide se redresser, appuyer sur elle à
peine plus fort, séchapper et revenir, geste masqué, caché par la parodie de caresse
sur le gode.
Elodie, quand elle sentait le contact sur elle, allait au-devant, accentuait le
contact, avançait le bassin en un simulacre des coups de reins de lamour, appuyait
son sexe sur les doigts repliés de Nina. Elle savait que Nina noserait pas delle-
même aller plus loin ; elle lisait sur son visage ses hésitations, lébauche dun
sourire vite réprimé, elle a préféré arrêter ce jeu elle-même ; elle prendrait son
temps, elle donnerait du temps à Nina.
- Tu vois, tu sais quoi lui faire à ton homme
bon, je vais enlever ça
le
sentir appuyer contre moi, ça me fait des choses
je vais salir mon collant, sinon !
Nina a détaché les sangles sur les hanches dElodie et a rangé le harnais dans la
boîte.
- Ça doit être amusant, de faire lamour à son mari avec ça
-
un peu
bizarre, non ?
- Pourquoi ? si il aime ça
pourquoi pas ? et ça ? les cassettes ? cest quoi ?
cest des films pornos ?
- Non ! cest
rien, je sais plus !
Nina a rangé tous les objets dans la boîte, bien au fond, en reposant par-dessus les
foulards qui les cachaient.
Elle regrettait limpulsion qui lui avait fait ouvrir ce carton, davoir dévoilé à
Elodie ce secret de leur vie de couple qui la mettait mal à laise, comme la mettait
mal à laise cette relation très particulière entre Elodie et elle.
Pendant quelle rangeait le carton, Elodie a ramassé le drap de bain sur lequel elle
avait massé Nina et a remis en place loreiller à la tête du lit.
- Laisse ça, je rangerais, tu vas pas te mettre à faire le ménage, en plus !
- Ça me gêne pas ! au tout début, cest ce que je faisais à la « Maison bleue »
! ça et la toilette des pensionnaires avec les filles de salle !
- Jaurais pas aimé, moi !
- Faire la toilette ? bof, cest pas toujours ragoûtant, cest vrai ! à la
limite, je préfère les handicapés aux vieux ! surtout les femmes ! elles râlent tout
le temps, on fait jamais bien !
- Cest des handicapés comment ?
- Moteurs. Des gens qui ont des malformations ou qui ont eu des accidents, ça
dépend. Cest avec eux que jai commencé les massages, un kiné savait que jétais en
médecine, il ma montré
il trouve que je suis douée !
-
moi aussi
- Mais toi, tas un traitement spécial ! je fais pas ça à tout le monde !
- Jespère bien !
Nina a brusquement porté la main à sa bouche et a rougi après ce « jespère bien » qui
lui était venu si naturellement et prononcé dune voix claire comme une évidence.
En éclatant de rire, Elodie a passé ses deux bras autour du cou de Nina :
- Tu serais jalouse ?
- Nn .. non
elle bafouillait, rougissait encore plus
-
cest pas ce que je voulais dire !
- Ah ! dommage
parce que moi aussi je taime bien
Elodie lui a fait une bise très appuyée sur la joue et sest détournée très vite :
- Bon, je te laisse ! je vais aller travailler chez moi, préparer mes partiels !
on se voit jeudi ?
-
jeudi
je te raccompagne
Sur le pas de la porte, cest Nina qui lui a fait une longue bise sur la joue.
Elodie est passée voir Myriam avant de rentrer chez elle :
- Salut « ma rouquine damour», tu bosses ?
- Tu ferais mieux de ty mettre toi aussi !
- Jy vais, je passais juste te faire un petit coucou avant daller menfermer
chez moi.
- Tas pas de boulot dehors ?
- Rien jusquà jeudi après-midi.
- Eh ! quest-ce que tu fais ?
Elodie avait posé ses deux mains sur le cou de Myriam, massait larrière du crâne de
ses deux pouces, puis plongeait ses deux mains dans léchancrure du chemisier jusquà
la naissance des seins.
- Arrête, Elo, joue pas avec moi !
- Je joue jamais, Myriam, avec personne
cest toi qui ma foutue dehors !
Myriam avait posé une main sur les mains dElodie pour lempêcher de bouger :
- Tu parles ! Arrête ! noublie pas que tu mas raconté ce que tu faisais avec
les nanas que tu masses !
- Et alors ? ça veut pas dire que je joue ! Jaime la peau ! Jaime toucher la
peau ! et y a pas de mal à faire du bien, si ?
- Texagère
et là, cest pas seulement ma peau, cest mes seins ! et ça fait
une petite différence !
- Toute petite !
Myriam a relâché la pression de sa main sur les mains dElodie qui en a profité pour
se faufiler plus bas en riant.
- Cest ça ! fous-toi de moi, en plus ! Je le sais que jai de petits seins et
un gros cul !
- Oh ! allez ! te fâche pas ! Je me moque pas
Tes trop compliquée, Myriam !
Laisse-toi un peu aller ! Je ne me moque pas.
Elodie a écarté les cheveux dune main sortie du chemisier de son amie, et a plongé le
visage dans son cou pour lembrasser. Elle murmurait à son oreille :
- Lautre soir, je taurais donné du plaisir, cest mal ? Je parie que tu tes
caressée après
et tas bien fait ! Ecoute plus ton corps et moins ta tête ! tes
trop compliquée !
- Dans deux minutes tu vas me dire que jai la tête dans le cul !
- Quest-ce que tes vulgaire ! Tu sais que cest pas beau pour une fille ? Et
puis cest pas ça que ça veut dire !
- Je temmerde ! Laisse-moi bosser !
- Tes seins sont pas daccord
Cest tout pointu, là !
Myriam, je te parle de
plaisir, cest vrai, pas damour ! tes pas amoureuse de moi, je suis pas amoureuse de
toi
et ça te plairait pas, de toute façon
mais on est amies
dune manière ou
dune autre, on saime quand même, alors on peut se lâcher un peu, de temps en temps
un gros câlin
y a pas de mal à se faire du bien ! ça te fait peur, je crois
quest-ce qui te fait peur, Myriam ?
Elle la encore embrassée dans le cou et sest redressée :
- Mais bon, puisque tu me chasses
tavances bien ?
- Ça va, je reprends la physio et cest bon
on se fait une séance-question
demain ?
- Daccord ! Viens chez moi, cest plus grand ! midi ? ça va ?
- Ça marche, jamène la pizza et je mettrai une culotte propre !
- Des promesses ! Ciao, ma belle !
(à suivre)
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