Leslie Hd75

Leslie HD75 – Vacances espagnoles, suite

Après les deux belles journées passées en compagnie des cousines de Stéphanie je me
disais que les vacances en Espagne commençaient bien et que certainement elles ne
seraient pas de tout repos, enfin côté sexe pour parler simplement, mais cela ne
serait pas pour me déplaire.
La journée suivante se passa dans le repos total à profiter avec Stéphanie à nous
faire bronzer sous les rayons du soleil de la terrasse de la maison de la mère de
Stéphanie, Milena. Celle-ci fut au petit soin pour nous et la journée fut
merveilleuse.
Le lendemain Stéphanie devait aller à Almerimar avec sa mère, mais ne voulant pas me
laisser seule dans la maison d'El Ejido la maman me proposa de me faire déposer chez
sa sœur, Ornella, la mère de Luciana et Pilar, qui possède une maison dans la même
ville.
- Ainsi, me dit Milena, en présence des cousines de Stéphanie tu passeras une
belle journée et tu resteras dormir car nous viendront te rechercher le lendemain soir
après avoir régler avec Stéphanie nos affaires.

Stéphanie et sa mère m'ont déposée le lendemain chez Ornella ou je fis la connaissance
de la sœur de Luciana et de Pilar, nous avons toutes les quatre passée une
merveilleuse journée à la plage et de retour à la maison Luciana m'aida à préparer le
lit qui m'était destiné pour la nuit. Pendant les préparatifs Luciana se fit toute
chatte et me dit :
- Vivement ce soir que je vienne te retrouver.
En fait je me dis que j'avais bien fait d'amené aussi un tube de lubrifiant car on ne
sait jamais, je lui dis qu'elle savait où me trouver si l’envie d’être enculée la
prenait mais qu'elle s'arrange pour que ses sœurs ne soient pas là.
- Pas de problème, me dit-elle, elles vont chez des copines et mon compagnon
travaille toute la semaine en ville il ne rentrera que demain.

J'ai été me couchée tôt prétextant une fatigue et un coup de soleil, et je me suis
installée dans ma chambre, nue sur le lit, à la lumière d’une bougie et j'ai écoutée
de la musique aux écouteurs de mon MP3.

Peu de temps plus tard la porte de ma chambre s'ouvrit sur la silhouette de Luciana
qui se glissa sans bruit dans la chambre, doucement dans un murmure elle me dit :
- Nous devons faire vite car je dois retourner dans ma chambre avant que ma mère
aille se coucher, mais j'ai trop envie.
Elle portait une nuisette sans rien en dessous.
Elle s’est étendue à côté de moi sur le lit et m’a embrassée, je sentais qu'elle avait
une envie folle de baiser et s'est mise aussitôt sur le dos en me disant :
- Prends-moi !
J’ai posé ma main sur sa chatte au pubis rasé, puis j’ai glissé un doigt entre les
lèvres, Luciana est déjà trempée prête à être pénétrée. J’ai engagé mon gland entre
ses lèvres lisses, elle a gémit, je me suis enfoncée au plus profond d'elle pendant
qu'elle râlait de plaisir.
Mais Luciana n'était pas venue pour que je la baise, elle voulait se faire sodomiser,
alors elle s'est mise à plat ventre en me demandant de lui lubrifier l'anus. J'ai
sorti mon tube de lubrifiant et je le lui ai lubrifiée le trou du cul sans oublier
dans mettre un peu sur mon sexe. Elle a écartée, avec les mains les lobes de ses
fesses et je me suis mis sur elle.
Lorsque je lui ai pénétrée l'anus elle a criée un peu de douleur et aussi de plaisir,
son sphincter très serré me donnait l'impression qu'elle était encore vierge du cul.
Je l’ai pénétrée à fond et je suis restée ainsi incrustée en elle une minute, le temps
qu’elle s’habitue à la pénétration. Puis j’ai commencée mes va et viens doucement,
elle haletait de plaisir, tout en criant des :
- Ohhh, que c’est bon, continue, comme ça doucement, ohhh mon dieu que c’est
bon.
J’allais doucement en elle et elle cambrait son derrière chaque fois que je la
pénétrais. Elle était horriblement heureuse d’être enculée sana un mot, simplement par
envie, elle la lesbienne qui ne se cachait pas de montrer son homosexualité aux
autres.
Elle prend gueule en jouissant à son premier orgasme.
Elle se dégage et redresse son cul afin de se présenter à quatre pattes, en position
de levrette son petit trou entrouvert est apparu à la lumière de la bougie.
- Encore, me dit-elle, sans pudeur, encore !
Je me suis enfoncée une nouvelle fois dans son cul et j’ai commencé a la ramoner tout
en lui titillant le clitoris d'une main libre, quand je m’enfonce en elle, elle recule
pour s'enculer sur mon sexe, elle halète et prononce des mots en espagnol, je suis au
bord de la jouissance et je sens que je ne vais pars tarder à lui remplir les reins.
Plus vite, me dit-elle.
Alors je l'encule de sauvage façon, elle crie sans se préoccuper de savoir si sa mère
ne sera pas alerter et jouit en même temps que moi.

J’éjacule un torrent de sperme dans ses entrailles intimes, tandis qu'elle gémit de
bonheur.
Peu de temps après elle se dégage et se lève et me dit :
- Je dois m’en aller.
Elle se lève remet sa nuisette, m’embrasse et me dit :
- A la prochaine, ma chérie.
Et elle s'en va, comme elle était venue.

Nue sur mon lit je me suis mise à lire un peu avant d'éteindre la bougie qui diffuse
une douce lumière dans la chambre, la maison était plongée dans le silence de la nuit
et je me laissais aller dans cette douce torpeur.

A suivre…