Sévices Militaire 3Ème Partie

Sévices militaire 3ème partie
Par Ballet boots - Le 17/02/2012

Mes joues me brulent, j'ai l'impression que ma tête vas exploser.... J'ouvre les yeux
!.... Je me rends compte que je suis entrain de recevoir des claques. Je referme les
yeux croyant faire un cauchemar, mais rien ne change, ma tête est projetée de droite à
gauche. Je me souviens d'un seul coup de tout : De la combinaison en caoutchouc, du
chef qui m'a ligoté, du hangar à l'écart de tout, des sévices de la veille, de mes
mains menottées dans le dos, des fellations, du sac de couchage, des lanières et d'un
seul coup je sens l'urine qui à glissée dans le bas de mon corps et qui me donne cette
impression tellement désagréable d'être trempé. Je vois le visage de mon maître juste
au dessus de moi entrain de prendre son élan pour me frapper. Je reçois encore une
claque qui me provoque un flash blanc. Je grommelle dans mon bâillon des sons
incompréhensibles, comme pour crier au secours, mes yeux sont écarquilles. Il s'arrête
d'un seul coup voyant que je suis réveillé.
- Et ben ma cochonne, j'ai bien cru que j'y arriverais pas....T'as le sommeil lourd,
salope !
Il se tient à califourchon sur moi. J'ai du mal à émerger, j'ai la tête en feux
certainement à cause des claques mais aussi à cause du somnifère pris la veille, avec
qui plus est de l'alcool. Il se relève et se met à me faire rouler sur moi même d'un
bout à l'autre du lit. Je sens l'urine se déplacer tout autour de moi. Il m'assoit au
bord du lit toujours saucissonné dans le sac de couchage en caoutchouc.
- J'vais pouvoir commencer à m'occuper d'toi maintenant ! J'tai laissé faire la grasse
mat, mais maintenant c'est fini !
Il sort de la pièce, j'entends la porte d'entrée claquer. Pendant plusieurs minutes je
reste là assis au bord du lit à me demander ce que je fais ici, et surtout à me
demander ce qui va m'arriver.

Je me souviens du coup de file à mon père pour lui dire
que je ne viendrais pas en permission, j'ai à nouveau les larmes aux yeux.
Il réapparait avec dans ses mains un bout de tuyaux d'arrosage et un entonnoir. Il
m'att par le cou pour essayer de tirer un peu ma capuche. Mais avec la bande
adhésive qui enserre ma tête il à beaucoup de mal à la décoller. Il enfile le tuyau
d'arrosage que je sens descendre le long de mon ventre. Puis arrivé au raz de mon cou,
il place l'entonnoir dans l'orifice du tuyau qui dépasse tout près de ma joue. D'un
seul coup je réalise ce qui va se passer....! Il sort son sexe de son pantalon en cuir
et vient se placer juste a dessus de l'entonnoir.
- J'ai une grosse envie de pisser d'pui que j'm'suis réveillé et j'm suis dit qui me
manquait un urinoir....Et ben voilà..! C'est fait !
Il se met à uriner immédiatement. Tout de suite je sens le liquide chaud couler sur
mon ventre, puis descendre le long de mes jambes jusqu'à mes pieds. J'essaie de bouger
un peu, mais je comprends vite qu'il n'y a rien à faire. Cela dure une éternité, j'ai
l'impression d'être rempli jusqu'au ventre. Le jet se résorbe, je sens les dernières
gouttes arriver, il les dépose sur mon nez sur lequel il se frotte longuement en
s'excitant.
- Ah ! Ça va mieux, j'avais une de ces envie....Putain d'envie !
Il retire l'entonnoir, puis m'att au niveau des épaules pour me trainer jusque
dans la salle à manger, ou il me poser sur une chaise en métal. Il att dans un sac
posé sur la table une longue corde. Méticuleusement il me ligote sur la chaise. Cela
prend beaucoup de temps, car à chaque fois qu'il n'est pas satisfait de la manière
dont il m'a attaché, il repart en arrière pour recommencer.
Par dessus mon bâillon, constitué de la chaussette enfoncée profondément dans ma
bouche et de la bande adhésive passée par dessus pour le maintenir, il se met à faire
plusieurs tours de cordes, puis il tire la corde dans mon dos m'obligeant à basculer
ma tête en arrière, il fixe l'autre extrémité à mes pieds qu'il a fait revenir sous la
chaise.
Je n'ais plus le choix soit de basculer ma tête en arrière pour libérer mes
jambes, soit de ramener mes jambes au maximum en arrière pour soulager ma tête. Il se
recule, me regarde avec un petit sourire, puis s'en vas vers la chambre.
Après un bon quart d'heure passé à lutter pour soulager soit ma tête, soit mes jambes,
il vient s'assoir face à moi sur mes genoux. Dans une main il tient une bière dans
l'autre une cigarette.
- J'vais aller récupérer tes affaires perso dans ton casier, et puis j'passe boire un
pot avec des potes pour fêter..... J'sais même plus quoi, mais c'qui compte c'est de
picoler un bon coup ensemble. Ça va bien t'occuper comment j't'ai ficelé, t'auras pas
l'temps de t'emmerder.
J'ai beaucoup de mal à ramener mes pieds sous la chaise à cause de l'épaisseur du sac
de couchage qui m'oblige à un faire un effort considérable pour plier mes jambes.
- J'vais re-tendre un peu tout ça, ça m'a l'air un peu mou !
Il défait le nœud, ce qui pendant quelques secondes me soulage, puis le retend au
point que je n'arrive même plus à bouger ni ma tête ni mes jambes. Je gémit pour lui
faire comprendre que c'est trop serré, mais rien n'y fait.
En se relevant il att mon nez dans sa bouche pour le mordiller et le sucer
alternativement. Il en profite aussi pour roter copieusement dans mes narines, ce qui
me fait à chaque fois pleurer les yeux.
- J'y vais.... J'vais finir par louper l'apéro !
La porte se referme, j’entends la clé tourner dans la serrure, les pas s'éloigner dans
le couloir, puis le silence, juste ma respiration très rapide.
Je cherche une position qui me soulage un peu, mais je n'ais pratiquement plus
d'alternative.
J'essai de me calmer, de me détendre, mais les cordes qui passent autour de ma bouche
se resserrent dés que je relâche mes jambes. Ma tête est tellement basculée en arrière
que je ne vois plus que le plafond et l'ampoule éteinte qui sert de plafonnier.
Je me
mets à penser à mes camarades qui doivent être entrain de quitter la caserne pour
rentrer chez eux, je pense aussi à mes parents qui se faisaient une joie de m'avoir
pour quelques jours avec eux....
Je ne peux pas dire combien de temps s'écoule avant que je ne perçoive le bruit d'une
voiture au loin, peut être une heure, peut être deux. J'ai la bouche tétanisée par la
corde. Je dois ressembler à une loque, saucissonnée sur cette chaise en plein milieu
de la pièce.
La porte s'ouvre, son visage apparait au dessus de moi :
- Ah putain... Qu'est ce qu'on s'est mis ! T'as l'air bien ma poule !
Je n'arrive même plus à gémir. Il se rapproche de ma tête et commence à me lécher le
visage. Son haleine empeste l'alcool. Il ouvre sa barquette et se met à frotter son
sexe sur mon visage qui doit être écarlate.
- J't'ai amené un p'ti déj.... Surprise !
Après quelques minutes de masturbation sur mon visage, il se dégage pour me détacher
de la chaise. Le décrochage de la corde qui relie ma tête à mes pieds provoque un
basculement de ma tête qui revient violement en avant. Je n'arrive plus à la redresser
pendant quelques minutes.
- J'vais te débouchonner, mais si j'entend le moindre mot inutile sortir d'ta gueule,
j'referme tout hermétiquement, et j'te punis comme t'imagine même pas ! T'as bien
compris ma p'tite soubrette ?
Je hoche la tête tant bien que mal. Il retire sans ménagement la bande adhésive qui
recouvrait ma bouche et une partie de ma tête, puis ôte la chaussette de ma bouche.
J'ai la bouche paralysée, j'arrive à peine à la refermer.
Il revient de la cuisine avec des gants en caoutchouc roses qui servent à faire la
vaisselle. Il prend sur la table une boite de Boursin, puis vient se poster devant
moi. Son sexe est toujours sorti de son pantalon, il le colle sur mon visage et
commence à s'exciter.

- Suce moi juste l'bout pour me faire bander !
Je laisse entrer juste son gland que je me mets à aspirer avec application. Très
rapidement son sexe se gonfle. Une fois bien gonflé il le retire, il ouvre le boursin
le coupe en deux avec les mains, puis s'en enduit le sexe en se masturbant. Très vite
son sexe est recouvert de fromage. Il revient se poster devant moi :
- Voilà ! C'est ton p'ti déj chérie. Tu vas pouvoir te régaler.
Il s'approche et m'enfourne son sexe dans ma bouche. Après l'avoir sucé quelques
minutes, je me rend compte que je fromage qui est assez gras est très adhérents et que
je vais mettre un certain temps à tout nettoyer. Je sens aussi mon sexe se gonfler
avec son mouvement de vas et vient. Dés qu'il sent qu'il pourrait jouir il se retire
quelques secondes, puis revient de plus belle. Après un bon quart d'heure il se retire
de ma bouche :
- C'est quand même mieux qu'le Faste Food.... En plus servi tout chaud !
Il reprend la deuxième moitié du fromage et recommence à se l'appliquer
méticuleusement sur le sexe, en plus il s'en enduit les testicules.
- Tu vas commencer par bien m’nettoyer les couilles, puis tu finiras avec ma bite.
J'te réserve une bonne sauce en accompagnement !
Il soulève son sexe pour me présenter ses testicules couvertes de Boursin. Je lèche
pendant plusieurs minutes tous les interstices, les poils, tous les recoins dans
lesquels le fromage est entré. Semblant satisfait du nettoyage il rentre à nouveau son
sexe gonflé dans ma bouche. Sa pénétration me fait un effet instantanée, je me met à
couiner, ce qui à pour effet rapidement de rendre son excitation incontrôlable, il
s'enfonce de plus en plus profondément dans ma gorge, je sens le fromage couler tout
au fond. Puis d'un seul coup il se contracte en écrasant ma tête sur son pubis. Je
sens tout au fond de ma gorge ses giclées de sperme. Il reste comme ça enfoncé
quelques minutes, alors que j'ai l'impression que je vais je me met à jouir à
mon tour. En se retirant il me demande :
- Alors il était comment l'plat du jour ?
- Très bon maitre.
- Tu vas finir de m'nettoyer tout ça. Tu vas commencer par les gants. Il me rentre un
par un les doigts en caoutchouc, je termine le nettoyage de son sexe qui s'est mis au
repos.
- Allé sac à pisse !
Il reprend l'entonnoir et l'enfile à nouveau dans le tuyant toujours en place dans ma
combinaison.
- Avec c'que j'viens d'picoller faut bien q'vidange !
Il se remet à uriner dans ma combinaison. Ça dure tellement longtemps que je me
demande si ça ne va pas finir par déborder.
- Tu vas avoir l'droit à la dernière goutte. J'veux pas voir une goutte se perdre !
Il arrête volontairement d'uriner pour me mettre son sexe dans la bouche, puis il
laisse sortir une première giclée qui remplit pratiquement ma bouche.
- Avale salope, si non j'te dérouille comme jamais !
J'hésite un instant à recracher tellement je suis dégouté. J'ai l'impression d'être
devenu une véritable pissotière. Mais j'ai trop peur des conséquences d'une rébellion,
alors j'avale d'un seul coup en faisant la grimace. Instantanément j'ai droit à une
deuxième puis une troisième rasade que j'avalé instantanément.
- Pour faire passer ça j'tai amené une cuvée Nicolas cinq étoiles de derrière les
fagots.
Il débouche la bouteille, puis sans ménagement m'enfonce le goulot dans la bouche pour
faire couler le vin. Je bois pendant quelques minutes. Lorsqu'il s'arrête je me rends
compte que je viens de terminer la bouteille. Je sens ma tête tourner et mon corps
devenir bouillant. Il reprend la chaussette encore pleine de salive qui lui sert à me
bâillonner depuis hier, et me l'enfonce fermement dans la bouche. Puis il me recouvre
à nouveau la tête de ruban adhésif. Il ne doit plus y avoir que mon nez qui sorte et
deux trous pour mes yeux. L'effet de l'alcool monte doucement, je me sens de plus en
plus mou. Je me rends compte en le voyant sortir de la pièce que je vois double.
Il revient avec un diable. C'est cette sorte de chariot avec deux roues qui servent à
transporter des caisses empilées. Il le pose juste devant moi.
- C'est ton nouveau carrosse, première classe !
Il pose sur le socle en bas un oreiller plié en deux, puis m'att toujours ficelé
dans le sac de couchage, pour m'agenouiller face aux montants métalliques du diable. A
l'aide d'une longue corde il me fixe au chariot. Il remonte ensuite le bas de mes
jambes pour les plaquer contre mes fesses, puis les attaches solidement contre mes
cuisses. Il s'éloigne un peu pour admirer son travail.
- Ça vaut bien une photo ça. La classe !
Il sort son téléphone pour faire plusieurs photos de différents points de vue. Je me
retrouve à nouveau incapable de faire le moindre geste. Juste ma tête placée entre les
deux poignées qui servent à manipuler le chariot, peut légèrement bouger.
Revenu de la chambre avec un sac en bandoulière il prend le chariot pour me faire
pivoter. Je me retrouve à quelques centimètres de la braguette de son pantalon en
cuir. Puis nous sortons dans le couloir. Nous nous dirigeons vers une grande porte qui
donne sur l'immense hangar que j'avais aperçu hier. Après avoir fait le tour sur une
passerelle, nous entrons dans une sorte de monte charge. Les secousses pendant la
descente me cognent les genoux malgré l'oreiller posé en dessous de mes genoux. Je
suis comme un paquet qu'il transporte, sans ménagement. Nous arrivons rapidement à une
grande camionnette qui ressemble à une bétaillère. Celle ci est garée contre un quai
de chargement. Après avoir ouvert la porte arrière il me fait entrer jusqu'au fond.
L'odeur est insoutenable, la bétaillère à du servir à transporter des porcs, car il
reste encore des traces de lisier au sol. Il fait faire un demi tour au chariot, ce
qui à pour effet de me placer face à des barres métalliques qui doivent servir à
protéger la cabine. Il plaque le chariot sur les montants, contre le dos de la cabine.
Mon visage vient s'écraser sur une petite trappe métallique qui doit certainement
servir à observer le chargement à partir du poste de pilotage. Mon nez est écrasé à
tel point qu'i m'est difficile de respirer. Il fixe le chariot solidement à l'aide de
courroies. En se mettant à rire aux éclats il me dit:
- Allé ! Bon voyage mon cochon.... J'espère qu'les odeurs de porcs te dérangent pas.
J'tavais pas dit j'habite dans une ferme !
En disant cela il se met à me claquer violemment le haut de mes fesses qui se trouvent
exposées. Après m'avoir fessé une bonne dizaine de minutes je l'entend s'éloigner puis
fermer la porte. Je me retrouve dans le noir complet, juste un petit filet de lumière
sort de la trappe sur laquelle est plaqué mon visage.
Au bout de quelques minutes j’entends la porte de la cabine s'ouvrire, puis le moteur
démarrer. Subitement la petite trappe sur laquelle est collée mon nez, s'ouvre. Comme
je n'ais pas eu le temps de reculer ma tête mon nez racle fortement le long du métal.
Je me retrouve le nez et les yeux dans une petite ouverture qui donne dans la cabine.
Mon front et mon menton restant appuyés sur la paroi.
- Une p'tit clope pendant que l'moteur chauffe ça te dis !
Il att mon nez dans sa bouche et se met à le sucer de toutes ses forces. Puis il
allume une cigarette qu'il me rentre dans une narine. La fumée pénètre instantanément
dans mes poumons. Je fume pratiquement la cigarette complète comme ça.
- Et en voiture Simone !
Il tire brutalement la trappe pour la refermer ce qui à pour effet de racler à nouveau
mon nez et de me plonger dans le noir. Le véhicule démarre.
Je suis complètement ivre de la bouteille de vin que je viens de boire. En plus la
cigarette que je viens de fumer par le nez m'a mis dans un état second.
Nous nous arrêtons certainement au poste de garde de sortie de la caserne. J'entend au
loin la voix de mon maitre qui échange quelques mots, puis nous redémarrons. Après
quelques minutes de roulage, la trappe devant mon visage s'ouvre à nouveau, comme la
première fois mon nez frotte tout le long de la plaque métallique, créant une douleur
aigue sur ma peau.
- J'te laisse admirer un peu le paysage chéri.
En disant cela il m'att le nez entre ses doigts et le secoue violement.
Je regarde l'heure sur le tableau de bord, il est presque midi. Nous roulons un bon
quart d'heure jusqu' à ce que nous arrivions dans les faubourgs de Châteauroux.
- Bon, j'vais refermer ta petite fenêtre de fiotte, j'voudrais pas qu'on voie ta
gueule comme un trophée d'chasse à l'arrière de la cabine. J'vais m'arrêter un peu en
ville pour faire quelques courses et manger !
J'vais m'occuper d'ta garde robe de pute !
Il ferme à nouveau la trappe sans ménagement. Après quelques minutes notre véhicule
s'immobilise. Sans se donner la peine d'ouvrir la trappe il me dit :
- Repose toi bien ma petite cochonne !
La porte de la camionnette se referme. Le véhicule doit être garé le long d'un
boulevard car la rue est très animée. Même si je me mettais à gémir dans mon bâillon
personne ne me remarquerais. Et puis je n'en ai pas la force, l'odeur devient aussi
insupportable. Je me sens vaciller, je me rends compte que je suis entrain de rentrer
dans une histoire incroyable, par ce que j'accepte la situation dans laquelle je suis.
J'ai encore envie de pleurer, mais les larmes ne viennent pas.
J'écoute les bruits des passants qui sont à quelques centimètres de moi.... J’entends
des s jouer, des conversations passer. Tous ces bruits s'embrouillent, je me
sens fatiqué, la rue devient comme un bourdonnement. Je me sens tout mouillé. Je me
sens partir.....
A suivre...


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