Jeune Nudiste En Rut
C'était pendant Lété de mes xx ans, (en fait j'étais trop jeune pour avouer mon âge
dans ce blog ! je ne connaissais tout au plus que la fellation pratiquée avec des
garçons de l'internat du bahut) Nous avions une grande maison de vacances proche de la
Grande Motte où nous invitions des amis. Nous étions tous naturistes. La plage
naturiste était proche. Tous revêtaient un short et un tee-shirt avant dentrer sur
la terrasse de la maison. Mais ma mère admirative de mon jeune corps, souhaitait me
voir encore nu et je ne revêtais un short que dans la maison pour les repas. En fait
jétais à cet âge, un joli garçon mais garni de fesses larges et charnues,
caractéristiques qui me passeront quand les deux prochaines années allongeront ma
silhouette. Mes organes de devant tant la verge que les organes pendants étaient gros
et devaient le rester. Cette particularité étonnait sans doute les hommes « amis de
la famille ». Lun dentre eux, professeur duniversité, profitait de labsence de
tous pour me prendre sur ses genoux comme un gamin que j'étais et partager la lecture
de mon livre de latin avec moi tout en remuant ses cuisses maigres. Il ne manquait pas
de se lever au bout dun moment pour changer son short nimaginant pas que je ne me
doutais des raisons de cette interruption soudaine ! Tout le monde sait que les
vacances dété, surtout à la mer, sont propices aux rencontres et jai vécu là une
vraie crise dérotisme
mais je ne devais pas être le seul ! Un garçon de mon âge,
sil nattire pas spécialement les filles, peut avoir des désirs fous. Les filles sur
cette plage nudiste, ne me laissaient pas indifférent. Allongé sur ma serviette, je
sentais ma jeune virilité leur rendre hommage. Je me levais pour me ploger dans la mer
toute proche.Elles me donnaient de telles visions sensuelles que je devais rester sur
le ventre par décence et me baigner quelques minutes pour redevenir présentable.
à cet âge, on recharge rapidement ses batteries
Ma cousine de 19 ans prenait une douche en rentrant de la plage. Jallais aussi à la
maison en shorty au même moment, alors quelle sy promenait encore en petite tenue.
Mon supplice se prolongeait donc alors que jétais seul avec elle. Jétais figé par le
désir quand je la voyais évoluer si près de moi. Elle avait bien dû sapercevoir de
leffet quelle provoquait sur le très jeune ado que jétais alors, et cela devait
lamuser. La salle de bains, que je nutilisais que lorsquelle nétait pas à la
maison, était près de sa chambre et de la mienne. Javais observé quelle se
contentait de pousser la porte sans la fermer totalement. Aussi, au risque dêtre
surpris, je me faufilais, pieds nus et vêtu de mon seul short, derrière cette porte et
jattendais le bruit caractéristique de la douche pour la pousser légèrement et
lentrebâiller de quelques centimètres. Je la voyais alors entièrement nue et cela me
donnait comme un vertige de désirs les plus variés. Je mimaginais passant mes mains
sur tout son corps
Et ma bouche ! Lexcitation me faisant perdre toute prudence, je
nhésitais plus à baisser mon shorty pour dégager mon gros membre érigé à lextrême.
Peu à peu, je ressentais une sorte divresse en contemplant le corps de ma jolie
cousine.
Se doutait-elle de cette manuvre ? Elle me croisait avant de se doucher et savait que
jétais dans la maison. En fait à cette heure, nous devions être seuls. Pourquoi sa
porte nétait-elle jamais complètement close ? Etait-elle poussée par un désir
dexhibition qui ne pouvait que me provoquer ? Je me caressais régulièrement comme le
font les garçons de ce jeune âge si facilement excités, mais un jour, une maladresse
de ma part occasionna un léger bruit. Je neus pas le temps de fuir. Ma cousine,
faisant fi de sa nudité, sortit et me saisit par le bras, mon shorty était descendu
sur mes chevilles et mon membre perdait déjà de sa fierté
Tout maccusait !
Elle me fit entrer dans la salle de bains.
quelle simposait face à un garçon de près de xx ans ! En fait, javais peur du
scandale quelle pouvait faire et maccabler ainsi. Dans la salle de bains, que cette
fois elle ferma au verrou, elle me mit le marché en mains : elle me dénonçait à la
famille ou elle me donnait une bonne fessée. Il est évident que je choisis demblée la
fessée, solution quelle devait aussi préférer ayant horreur du scandale ridicule. Je
devrais recevoir ce châtiment totalement nu, les deux mains sur le bord de la
baignoire. Je pris position mais il fallut rectifier : étant trop grand déjà, je dus
prendre appui sur le bord opposé, contre le mur. Rendu docile par cette position,
jattendais. Après quelle eut passé sa main sur mes fesses comme pour en prendre
possession et contrôlé ma position, je sentis les claques appuyées quelle se mit à
madministrer. Cétait un peu douloureux mais supportable. Je gémissais sans trop de
conviction. Elle eut vite mal à la main et continua mon « supplice » avec une brosse à
long manche de bois. La douleur devint alors plus vive et sans doute mes fesses
virèrent-elles au rouge vif ! Mes gémissements étaient ceux de la souffrance, mais
jétais pris entre la douleur et lexcitation sensuelle
Jignore si ma cousine sen
apercevait
Mais cette excitation me faisait naître une érection plus forte encore que
lorsque je me masturbais ! Une érection qui, en raison de la proportion naturellement
importante de mon membre que javais même lorsquil était « au repos », semblait
maintenant disproportionnée à ma taille. Cest alors que ma cousine le vit ! Et
brutalement, le plaisir me foudroya. Une éjaculation de plusieurs jets alla sécraser
sur le mur au dessus de la baignoire ! Tous deux étions stupéfaits. Linstant daprès,
nous éclations de rire. Le ton était changé
Le lendemain, elle me proposa une fessée « érotique ».
nétait plus question pour elle de « me faire mal » mais de palper et masser tout mon
corps, avant de mappliquer la fessée qui mamenait à lextase quelle avait pu
constater
Le lendemain elle me quitta elle-même le short. Je bandais déjà bien entendu et
mappuyais que les bords de la baignoire. Ravie de minfliger ce supplice, elle me fit
écarter les cuisses. Un miroir placé sur lautre mur me renvoyait limage de mon train
arrière et surtout celle de mon organe pendant, contenant mes deux boules, quelle
sappliquait de temps à autre à caresser en les étirant un peu. Elle me fessait, puis
découvrit en raison de lécartement de mes cuisses quelle pouvait écarter les deux
globes de mes fesses et y faire entrer son doigt. Les multiples bains dans la mer
mavaient rendu parfaitement propre. Je gémis par cette caresse et cela fit jaillir
violemment mon sperme. Elle caressa affectueusement mes fesses et y introduisit à
nouveau un doigt. Certes, je rechargeais vite à cet âge et peu de temps croyant mêtre
« vidé » de mes désirs je fus tout de même étonné que cette intromission me rendit
avide de « remettre ça ». Cest alors quelle mordonna quelque chose de différent.
Sétant assise sur un tabouret elle me fit mettre à genoux devant elle.
Javais déjà vu un organe féminin pas daussi près. Alors elle mapprit à le caresser
de ma langue. Je lentendais gémir. Son corps vibrait. Apparemment satisfaite elle me
fit lever. Je compris ce quelle voulait faire de moi car des copains mavait déjà
initié à cette caresse. Elle prit délicatement ma tige turgescente et introduisit son
extrémité dans sa bouche. Je fermais les yeux tant le plaisir me sembla fort. Ma
respiration était régulière et quand elle vit que tout mon corps vivrait elle eut
lhabileté de diriger mon membre vers la baignoire.
« Tu es puceau me dit-elle, tu verras. Demain tu ne le seras plus ! »
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