Dominé Par Une Jeune Black De 18 Ans (Première Rencontre)

Rencontre avec Son Altesse M. :
Dimanche après-midi, promenade en famille avec parents, frère, belle-sœur, sœur,
neveux et nièce sur une plage de galets de Seine-Maritime. Appel en absence, numéro
bizarre commençant par 09. Je rappelle, une voix assurée répond « tu sais c’est qui
tarlouze ? ». Cette voix hypnotisante me coupe de la réalité du moment présent. Je
ralentis le pas pour laisser un peu d’avance à la famille et pour pouvoir continuer à
discuter plus librement.
« Oui ma princesse, je suis tellement content d’avoir de vos nouvelles, je n’arrivais
plus à vous joindre depuis jeudi.
- Ta gueule, j’ai eu un problème de phone et d’internet depuis jeudi, on n’a pas
pu se voir hier matin dommage, tu reviens quand dans la région parisienne connard ?
- Je retourne chez moi demain, donc je transite par paris demain matin mais
pendant à peine quelques heures.
- Ouais, bah t’as intérêt à ramener ta face de cul blanc sur le Blanc Mesnil
demain matin, je m’en fous comment tu te débrouilles mais je serais à la gare RER à
09h00, t’as intérêt à y être toi aussi si tu veux continuer à être l’un de mes larbins
officiels. Ya un parking fermé à gauche en sortant de la gare, on s’y retrouve. Tu me
ramènes 250 euros.
- Mademoiselle, il faudra sûrement que je change mon billet de train avec des
frais, car il faudra que je prenne le premier train du matin pour être à l’heure, 250
ça va être chaud, peut-être 200 si ça vous va ? Mais je vous apporte le plus que je
peux de toute façon.
- OK tapette, à demain, je crois pas trop que tu viendras vu que sur ton blog tu
dis toi-même que t’es un mytho mais bon, tu m’as bien payé ma recharge en temps et en
heure alors, je te laisse une chance sale clebs. »
Tout le reste de l’après-midi ne sera que pensées floues, je suis physiquement avec ma
famille mais ma tête est bien loin.

Obligé de trouver des excuses pour dire que je
partirai plus tôt le lendemain matin, cette double-vie ne fait qu’engendrer petits
mensonges et fausses excuses.
Lendemain matin, à 05h45 à la gare de Rouen, je change mon billet de train, 45 euros
de plus, oui, je ne pourrai que donner 200 à Son Altesse M.
Somnolence dans le train, avec de temps en temps, maux de ventre d’anticipation et
d’excitation.
Arrivé en gare St Lazare, obligé de regarder comment faire pour se rendre au Blanc
Mesnil, ouah, c’est cool, c’est sur la même ligne de RER que l’aéroport Charles De
Gaule, je connais bien, donc facile. J’arrive à la minuscule gare RER du Blanc Mesnil
à 08h30, 30 minutes d’avance, assez pour réfléchir, trop pour rester calme.
J’attends la Demoiselle en dehors de la gare, accoudé à un mur, faisant semblant de
lire une brochure publicitaire. L’heure fatidique est dépassée, il est déjà 09h30, je
ne peux pas l’appeler sur son numéro de téléphone en 09 car elle m’a interdit de le
faire et elle n’a plus de portable. Je suis quasi certain qu’elle ne viendra pas. Je
me dis que j’attends 10h00 avant de partir.
Vers 09h40, je vois une silhouette lycéenne avancer vers la gare et y entrer. C’est
Elle, je La reconnais à ses photos que j’ai du admirer des dizaines de fois.
Aujourd’hui, elle arbore une coiffure très fashion, jeune et plutôt excentrique, mais
ça lui va terriblement bien. Un petit blouson en skaï noir sur une chemise à carreaux
bleue ouverte sur un joli décolleté, un pantalon jeans avec déchirures, des petites
baskets bleues et blanches, de grosses boucles d’oreille fantaisie, un gros collier en
chaîne avec de nombreux pendentifs, deux très gros bracelets au poignet gauche et de
multiples bracelets fins au poignet droit, 3 grosses bagues à chaque main parsemées
entre les différents doigts dont les pouces. Elle semble concentrée dans sa musique
s’échappant de ses écouteurs de I-pod.

Pendant que je l’observe, elle inspecte la gare à la recherche du blaireau qu’elle
veut dépouiller, elle en ressort et je m’approche d’elle à ce moment-là. Elle n’hésite
pas une seconde quand elle lève les yeux sur moi, elle susurre à voix basse quand elle
passe à côté de moi :
« C’est toi le bouffon ?
- Oui Mademoiselle M. Merci d’être venue, je suis si cont……
- La ferme, bon, je ne veux pas qu’on me voit en la compagnie d’un boloss comme
toi, je suis connue ici, tu me laisses partir devant et tu me suis, tu laisses de la
distance, allez grouille toi. »
Je suis estomaqué par l’assurance et le charisme que cette jeune fille de 18 ans
dégage en présence d’un homme de presque le double de son âge, elle connaît sa
supériorité et sait en user.
Je la laisse passer devant et m’engage, tirant ma petite valise à main. On part sur la
droite de la gare, on passe sur un pont suspendu, elle marche très vite, même en
voulant lui laisser de la distance, je suis tout de même obligé d’appuyer ma cadence
pour pouvoir la garder à distance de vision.
On redescend du pont suspendu, on s’engage sur la gauche dans une petite ruelle
pavillonnaire, des maisons individuelles cachées derrière de hauts murets. Focalisé
sur ma marche olympique e, je m’étais déconcentré un peu de sa silhouette et
quand je me recentre de nouveau sur Elle, je la vois, m’attendant impatiente dans une
sorte de tout petit parc isolé non loin d’un autre autopont suspendu. Elle est debout
à côté d’un gros bac à fleur en béton dont les rebords sont aménagés en petits bancs.
Elle me crie dessus de me dépêcher, contredisant son ordre précédent de laisser de la
distance entre elle et moi. J’arrive à son niveau, elle s’assoit sur le banc et
insulte encore ma lenteur.
Elle est assise, la jambe gauche croisée sur la cuisse droite, son pied droit tapotant
le sol, son impatience est réellement perceptible, tout son corps semble en trembler.

Je ne sais pas trop quoi faire, je laisse ma valise sur le côté et me plante devant
elle, baissant les yeux naturellement. Après quelques secondes, son nouvel ordre
claque :
« Qu’est-ce-que t’attends ? C’est où ta place ? Et regarde, ma basket est sale, t’es
censé faire quoi dans ces cas-là ? »
Aucune alternative. Je m’exécute en quelques secondes sans poser aucune question. Et
pourtant, je ne suis pas très expérimenté en soumission en lieu publique mais,
aujourd’hui, la soumission est instinctive.
A genoux devant cette Demoiselle, je me penche et dépose quelques baisers sur sa
basket gauche.
« C’est bon ! Regarde moi ! »
Je redresse le torse mais reste agenouillé. Je croise son regard quelques centièmes de
secondes mais ne peux le soutenir, mes yeux se détournent alors vers son décolleté
(très très joli, j’ai honte) et sur son collier. En fait, il n’y a qu’un seul
pendentif, un gros cœur en strass et couleur argent. Le cœur, un symbole d’amour et de
tendresse, de la féminité. Ce que je croyais être d’autres pendentifs sont en fait
d’autres grosses bagues fantaisie passées dans la chaîne. J’avoue que ça m’hypnotise
un peu.
Je suis rappelé à l’ordre par Son Altesse M. qui toque sur ma tête avec sa main
gauche. J’entends le bruit de ses gros bracelets qui s’entrechoquent.
« Ouhouh, ya quelqu’un là ???? »
Elle me pince la joue gauche pour me tourner la tête vers la droite.
« Regarde là-bas, sous le pont, ya des SDF, tu m’inspires la même chose que ces gens.
Pour moi, tu es un moins-que-rien. »
Elle me gifle la joue droite pour me remettre le visage dans le bon axe.
Elle fait semblant de renifler l’air :
« Sniff, sniff, c’est quoi cette odeur ? C’est toi qui pues comme ça bâtard ? Putain
tu te laves pas le matin ou quoi ? »
J’essaye de me défendre un peu tout en acquiescant le coup :
« Je ne sais pas Mademoiselle, pourtant je me suis lavé ce matin.
»
Elle me reprend tout de suite, sans même y réfléchir, pour elle, la réponse semble
sincère :
« Je suis sûre que tu passes juste sous la douche pour te mouiller mais que tu te
laves même pas avec du savon. Vous les blancs vous êtes trop dégueulasses. En plus
vous avez une odeur naturelle horrible. »
Cette affirmation innocente est ponctuée par un coup de pied puissant dans mon
entrejambe qui ne s’y attendait pas du tout et je suis plié en deux de stupeur et de
douleur. Elle a juste eu à tendre sa jambe gauche et la force derrière a fait tout le
reste.
« Putain, là, tout ce que j’aurai envie de faire c’est de te cracher à la gueule mais
je ne veux même pas gaspiller ma salive pour une sous-merde comme toi. »
J’ai assez de volonté pour me redresser et ainsi voir sur son visage le dégoût et la
haine que j’évoque en elle.
« Oui Altesse, je suis tellement désolé d’être une sous-merde comme ça. »
Ca fend le cœur et l’esprit d’avouer ce genre de choses, mais il faut savoir ouvrir
les yeux sur la réalité des fois.
Cette fois, c’est son poing droit qui est décroché dans mon ventre, me coupant le
souffle. Que cette jeune femme de 18 ans possède de la force.
« Altesse, Altesse, tu ne sais dire que ça ou quoi ? Tu avais la langue bien plus
pendue au téléphone. Il y a d’autres mots pour t’adresser à moi. Je veux être ta
princesse, ta reine, ta déesse, ton univers. »
Pas le temps de respirer, son coup de pied est à nouveau rechargé, mais au contraire
de la première fois, où le pied m’a tapé d’un mouvement remontant dans les testicules,
cette fois-ci, il est frappé de façon à m’écraser les parties sensibles d’un mouvement
de poussée horizontale. L’effet d’écrasement est intense et je lâche un râle d’agonie.
Au même moment, un vieil homme passe en vélo derrière Mademoiselle M. La vitesse avec
laquelle il roule me fait penser que :
- Soit il roule sur le plateau 3 et la vitesse 6 de son vélo et donc le
mouvement de pédalier est très dur
- Soit il est surpris d’être témoin de cette scène insolite et son étonnement a
réduit sa vitesse de pédalement
Son Altesse M. ne porte pas grande attention à ce genre de détail. Mon petit cri de
souffrance suite à son dernier coup a du lui donner des envies sadiques et avec sa
main gauche, elle me pince la joue, vrille complètement la peau, et ses ongles assez
courts me déchirent l’épiderme. Là, j’ai carrément les larmes aux yeux mais elle
s’étonne agréablement du fait qu’elle vienne juste de réussir à me faire de la
joue.
« Oh regarde, je t’ai fait » en me montrant la petite tâche rougeâtre sur son
joli doigt.
Je veux moi aussi toucher la cicatrice pour connaître l’ampleur des dégâts mais elle
me décroche deux coups de poings puissants, un en plein sur la poitrine et l’autre sur
le côté droit du front, je sens le froid et la dureté de l’acier de ses bagues.
« Bon, on en oublie le but de notre rencontre bouffon, il est où mon fric ? »
La semi-érection que je porte depuis plus de 20 minutes se durcit dès qu’on parle
d’argent. Je porte la main au porte-monnaie et en retire les 200 euros prévus. Comme
d’habitude, dans ce genre d’occasion, l’envie de donner est trop puissante pour la
réfréner et, lorsque je vois les deux derniers billets restant seuls dans ce
portefeuille triste, je ne peux m’abstenir de les sortir et de les tendre humblement à
cette jeune fille qui a une totale emprise physique et psychologique sur moi.
Elle me les arrache des mains, les compte avec un grand sourire et je n’obtiens que
comme simple remerciement son crachat jeté avec force au visage et dans les yeux.
« Bah finalement, tu as bien mérité un peu de ma salive ducon. En plus, ça te
nettoiera ta joue ensanglantée.
- Merci ma Princesse » est tout ce que je trouve à dire, fier de ce présent
divin.
« Tu as vu comment j’ai réussi à te faire venir ici alors que je suis en galère de
téléphone ? Tu te rends compte du pouvoir que j’ai sur toi ? A partir d’aujourd’hui,
tu n’es qu’à moi. Tu es le genre de larve que j’adore racketter et garder dans mes
contacts. Je vais te faire devenir ma pute blanche. »
Un merci est encore de rigueur.
« Bien, j’ai séché un cours pour ta sale tronche de pigeon toubab, alors je dois y
aller mais avant j’ai un dernier cadeau, ouvre ta bouche boloss. »
Je m’exécute et je la vois retirer de sa jolie bouche glossée son chewing-gum à la
menthe et elle me le met dans la bouche.
« Bien, je veux que tu le gardes dans ta bouche jusqu’à ce soir, comme ça tu penseras
bien à ta nouvelle Princesse. Maintenant, je veux que tu te casses, tu marches vite et
tu te retournes pas, sinon je te tabasse, t’as compris tarlouze ?
- Oui oui, ma Princesse, vous êtes si géniale, merci pour votre temps, pour …… »
Encore une gifle bien placée résonne sur ma joue gauche, l’effet de la main bien à
plat et de ses grosses bagues fantaisie est énorme, encore des larmes à l’œil.
« Ta gueule, casse toi en courant si tu veux pas que je te remonte tes petites
couilles dans le fond de la gorge. »
Je me lève, essaye de reprendre un peu de consistance, pas facile avec une érection
d’enfer, des douleurs vives un peu partout et des faiblesses dans les jambes à force
d’être resté à genoux si longtemps.
Je prend mon bagage et commence à partir, j’ai terriblement peur d’elle et essaye de
ne pas me retourner, je prends le chemin, elle me suit de loin, je l’entends crier «
marche plus vite bouffon », et mes pas se font instinctivement plus rapides, à la
limite de l’allure du trot.
Je fuis cette jeune fille qui se moque royalement de moi, j’ai tellement honte de moi
mais je lui appartiens corps et âme désormais.

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