La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 41)
(Suite de l'épisode N°38)
7- Le marquage de fanny
Une bonne semaine sétait écoulée. Fanny occupait désormais le cachot N°3 dans la
crypte du château pour les nuits où son Maître ne faisait pas appel à sa présence dans
son lit pour agrémenter sa sexualité selon son bon plaisir. Une chaîne denviron 2
mètres était accrochée à lanneau métallique quelle portait désormais au pied.
Lautre extrémité de cette chaîne étant scellée à un épais anneau au mur de pierre. Un
matelas tot de même confortable et de chaudes couvertures en guise de literie. 4
esclaves occupaient aussi ce cachot, une autre femelle e46 et 3 mâles encagés serf69,
e541 et e722.
Quand aux journées, elles se passaient avec des rites ordonnés et réguliers. Comme par
exemple, dès le lever, préparation et prise du petit déjeuner dans le réfectoire des
esclaves, pièce accolée aux cuisines du Château. Fanny avait été affecté pour aider
Marie (la Cuisinière). Celle-ci habituée à diriger les nouvelles venues, commandait
sans concession fanny qui souvent subissait le sadisme de la gouvernante. Limage de
la pauvre Cendrillon récurant le carrelage à genoux par terre prenait tout son sens, à
la différence que fanny navait pas de haillons mais était plutôt dénudée. Souvent
Marie inspectait la propreté, et nhésitait pas à lui donner le martinet sur les
fesses de la soumise. Il arrivait aussi quun dominant passant dans les couloirs,
venait prendre fanny en levrette pendant que celle-ci frottait cul nu et relevé le sol
avec une brosse.
Les corvées dépluchage des légumes étaient aussi très avilissante car assise et
systématiquement plugée à la longue table de chêne massif. Fanny ne devait en aucun
cas lever la tête, et avec ses congénères, elle devait sappliquer à la tâche sans
dire mot. Le silence des esclaves était une règle dor.
La douche aussi était humiliante puisque il ny avait aucune intimité, et les esclaves
se lavant toujours tous ensemble. Et de nombreuses fois, elle était doigtée, pénétrée
par des doigts ou la queue du vicieux Walter ou par dautres esclaves femelles ou
mâles.
Le lendemain dune soirée où fanny avait été prêtée à des notables de la ville,
invités du Marquis, ces bourgeois avaient su apprécier cette chienne offerte pour leur
unique plaisir. Le lendemain donc, en début daprès-midi et alors quelle rangeait la
volumineuse vaisselle dans une imposante armoire dépoque, Marie lui dit sèchement :
- Quand tu auras fini, tu viendras avec moi à la grande salle de bain. Nous aurons du
travail avec quelques chiennes, à te préparer pour la cérémonie de cette fin daprès-
midi
- Bien Ma.. Madame Marie
Mais
quelle cérémonie, sil vous plait, Madame Marie ?
demandait fanny avec crainte
- Comment, ton Maître ne ta rien dit ? Cest dans deux heures que tu seras marquée au
fer rouge des armoiries des Evans. Ici on ferre les esclaves depuis les années 1750,
dit Marie avec fierté. Il y a même un ancêtre de Monsieur le Marquis qui a fait ferrer
de jeunes soumises à lépoque, en présence du fameux Marquis de Sade en personne. Ca
devait être dans les années 1784 si je ne me trompe pas (voir les Origines de la Saga
des esclaves
)
Fanny était comme foudroyée par cette annonce. Elle qui avait toujours rêvé porter
cette marque dappartenance totale était heureuse de lhonneur de recevoir en sa chair
ce noble sceau. Heureuse mais peureuse, oui ce quelle appréhendait plus que tout,
cétait limmense douleur physique quelle devrait supporter une fois le fer au
contact de sa si douce peau.
Une dizaine de minutes après, cest avec un certaine appréhension, quelle suivit la
cuisinière.
carreaux de marbre, il y avait déjà 2 soumises qui attendaient fanny devant une
immense baignoire de marbre blanc remplie deau mousseuse aux effluves des plus
parfumant. Elle était carrée denviron 5 mètres sur 5. Apparemment profonde puisque on
pouvait tenir debout en son milieu. Des marches descaliers tout le tour donnait accès
par nimporte quelle face. Ce luxueux spa moussant proférai une érotisme envoûtant
lorsque fanny fut priée de se baigner.
- Première chose, petite chienne, dit la cuisinière, cest que tu sois propre, belle
et parfaitement présentable. Les 2 chiennes ici vont soccuper de toi pour te laver,
coiffer, parfumer, maquiller, parer
Et bien entendu thabiller de la belle robe
blanche bordée de fils dor et quasi totalement transparente. Cette robe est
obligatoire lors du rite du marquage
On viendra te chercher dici environ 2 heures.
Une fois Marie sortie, fanny regarda les 2 charmantes soumises qui lui sourirent.
Elles avaient comme tenue uniquement leur épais collier. Fanny remarqua la marque des
Evans apposée entre leurs seins et elle ne put sempêcher de demander :
- Ca fera mal ?
Aucune réponse. Fanny se rappela alors que les esclaves du Marquis nont pas le droit
de se parler entre eux. Les 2 soumises se contentèrent de lui sourire aimablement tout
en lui caressant les cheveux. Fanny était assis sur les marches et leau lui arrivait
au niveau des seins. Puis une des deux soumises immergea sa main munie dune éponge
douce et parfumée et lapprocha su sexe de la soumise. Elle commença à frotter sa
chatte, ce qui émoustilla de suite fanny. Elle avait à peine levé la tête pour
regarder la belle brune qui la caressait ainsi que celle-ci avait déjà approché sa
bouche de celle de fanny. Les 2 visages se trouvèrent alors très proches et les
langues se joignirent sans un concert de caresses douces.
inactive et plongea doucement dans leau pour caresser les seins de fanny tout en
mordillant la nuque de la belle.
Et les 3 chiennes échangèrent les langues, les caresses, attouchements et doigtages
réciproques et cest dans un érotisme fou quelles se mirent à jouir simultanément. En
principe, elles nont pas droit de se faire jouir entre elles mais elles navaient pas
leur ceinture de chasteté et pour cause, elles avaient reçu pour ordre de jouir avec
fanny.
Deux heures plus tard, alors que fanny était extrêmement belle, parée de diamants et
rubis dune valeur inestimable ainsi que des parfums les plus rares, elle attendait
assise devant une volumineuse coiffeuse au miroir orné de petites sculptures, quon
vienne la chercher. Une des 2 soumises finissant de lui poser une grosse fleur rouge
dans les cheveux pour ensuite lui apposer un voile aux dentelles raffinées sur le
visage.
Sa robe était une robe de rêve, elle ressemblait plus à une chemisette de nuit. Mais
avait un large décolleté qui laissait voir sa poitrine et surtout le libre accès entre
ses seins.
Puis la porte souvrit. Fanny sattendait à voir Walter ou la cuisinière. Elle fut
surprise de voir entrer un colosse homme de couleur. Un géant noir très musclé de plus
de 2 mètres à la carrure digne des plus grands catcheurs. Il était nu et seul un pagne
cachait son sexe quon devinait volumineux. Il avait à chaque oreille une énorme
boucle en or dun diamètre dun bol. Sa grosse tête lui donnait un air imposant avec
des yeux avides de plaisirs, il avait un aspect sadique, quon devinait juste en
croisant simplement son regard. Son sourire pervers montrant de parfaites dents
blanches complétait cette apparence vicieuse.
Il sadressa de suite à fanny en lui disant laconiquement dans un accent africain :
- Vient avec moi.
Fanny, presque apeurée par ce géant, se leva craintivement et le colosse sapprocha,
lui banda les yeux, lui mit une menotte à chaque poignet, puis à laide dun
mousqueton, il relia cette paire de menotte à une laisse et franchit la porte tirant
fanny vers lextérieur de la pièce. Ne voyant rien la peur au ventre, elle neut pas
dautre choix que de suivre.
Après une suite de couloirs parcourus lesquels elle commençait à connaître les recoins
en temps normal, c'est-à-dire les yeux ouverts, elle ne put évaluer sa destination les
yeux bandés. Mais cest avec certitude quelle sentit une forte assemblée présente
quand le colosse et elle franchirent une porte pour accéder à une pièce dont elle
ignorait la nature. On la força à entrer jusquau milieu de celle-ci. Elle sentit
quon lobligeait à pivoter et à simmobiliser ensuite. On lui fit lever les bras en
croix ainsi que les jambes. Elle compris quon était en train de lattacher ainsi
debout bras et jambes déployés. Puis on lui enleva le bandeau. Quelle ne fut sa
surprise de constater quelle avait été attachée à lintérieur dun grand cercle
métallique vertical et creux, monté sur un axe pivotant. Ainsi il était aisé de lui
mettre la tête en bas et la remonter tête en haut juste en faisant pivoter dun tour
complet lensemble (tel un miroir pivotant).
La deuxième surprise fut de découvrir ce qui lentourait. Elle était dans une pièce
magnifique ou le plafond immense était un dôme en verre sombre qui montait pour la
pointe en flèche très haut. On distinguait la lumière du jour au travers les immenses
baies vitrées de cette magnifique toiture. Elle avait été installée au milieu de la
pièce sur un parquet tout semblable à celui de la salle du casino. A 5 mètres de fanny
et tout autour, hormis une allée centrale par laquelle elle avait du arriver, il y
avait des chaises confortables et une assemblée de nobles perruqués étaient assis
tranquillement à bavarder en la scrutant sous tous les angles. Les commentaires
allaient bon train et fanny compris quelle était le sujet principal des discutions.
Fanny chercha son Vénéré Maître mais en vain elle ne le voyait pas et cela
linquiétait beaucoup.
Quand tout dun coup, le bruit sourd dun gong se fit entendre de on ne sait doù. Le
silence se fit de suite pour laisser place à des sons résonnant de tambours et djembés
ainsi que des cris chantés tels ceux de peuplades primitives. Lassemblée tourna alors
la tête dans la direction de cette musique africaine pour découvrir une entrée des
plus colorées. En effet, un groupe dafricains arriva, quasi nus mis à part colliers
et bracelets ainsi que des décorations diverses sur leurs corps comme tatouages ou
petits crânes squelettiques danimaux divers. Il y avait 6 femmes nues qui dansaient
de leurs corps recouvert de peinture aux couleurs très vives. Les 12 hommes aussi
étaient peints mais ce que remarqua de suite fanny, ce fut ce qui suivait derrière
eux. Toute une queue leu leu desclaves à 4 pattes.
Elle reconnut de suite parmi eux, ses compagnons de cachots tel que e46, serf69,
e541,e722. Sans un mot walter qui fermait la marche, fit mettre les soumis au nombre
de 8 côte à côte en levrette face au public et cul relevé. Les 12 hommes africains se
divisèrent alors en deux groupes. 4 gardèrent leurs djembés et allèrent se mettre à
côté du groupe des soumis. Les 8 autres sinstallèrent en sasseyant à lenvers pour
chacun sur le dos dun esclave face à fanny et ainsi tournant le dos à lassemblée.
Les esclaves firent ainsi un excellent siège et les africains pouvaient se servir des
fesses des soumis comme peau de tambour. Quand les djembés se remirent en action, les
fessées claquèrent sur les fesses des esclaves au rythme de la musique. Et ce fut une
volée sans discontinue de fortes claques aux fesses que reçurent les esclaves. Ils
servaient ainsi de tambours. Les esclaves criaient leur douleurs mais leurs hurlements
ne se fit pas entendre, couverts par les djembés des 4 autres africains
Une des africaines sapprocha alors, tout en dansant, de fanny avec un bol en bois et
fumant dune mixture douteuse. Elle força fanny à sabreuver de ce bouillon aux herbes
mystérieuses. Puis la belle africaine à la poitrine généreuse se remit à danser tout
autour de la belle fanny. Au bout de quelques instants, le rythme de la musique aidant
conjugué à la drogue que fanny venait dabsorber malgré elle, la tête commença à lui
tourner. Des sensations étranges et presque hallucinogènes lui monta au cerveau. Il
lui semblai planer et ne sentait plus son corps. Comme si son esprit se détachait »
de tout son être.
Et cest dans cette semi somnolence où une dangereuse et douce euphorie de bien être
gagnant son esprit quelle aperçut le géant noir qui était venu la chercher tantôt. Il
poussait à lui tout seul une énorme forge montée sur roulette et avança jusquau bord
du parquet. Dans cette forge mobile, un brasier rouge donnait une généreuse fumée qui
montait jusquau dôme. Un fer rougi des armoiries des Evans baignait dans les tisons
bouillants.
La musique sarrêta en même temps que les innombrables fessées données aux soumis
devenus pour loccasion des instruments à peaux. Rarement on avait vu des fesses
aussi rougies.
Puis un homme majestueux, avec sa haute tiare sur son crâne et tout vêtu de blanc
telle une aube de prêtre et assis sur un trône aussi monté sur roulette arriva. Ce
haut siège était tracté par 2 esclaves noirs et musclés portant des illères à la tête
telles des bêtes de somme. On aurait cru voir des bufs, tant ils paraissaient
costauds. Le trône dépassa lassemblée, les musiciens et leurs instruments
humains, puis les danseuses garées sur le côté et stoppa à quelques mètres de fanny.
Celle-ci sous leffet de la drogue somnolait en dodelinant de la tête mais reconnut
tout de même son Maître descendant de son trône. Lassemblée se leva pour acclamer le
Maître des lieux, le Marquis dEvans. Et tous les esclaves autres que ceux déjà
utilisés comme siège et djembé, se prosternèrent.
Dun geste de la main, ce fut le silence. Et le Noble, regardant lassemblée, prit la
parole dune voix forte, claire :
- Mes amis, vous êtes rassemblés aujourdhui comme à chaque marquage de mes esclaves,
dailleurs, pour assister à celui de ma nouvelle chienne. Elle porte encore le nom de
fanny mais dès quelle aura mon sceau en sa chair, elle deviendra officiellement
esclaveLunaMDE et sera à vie ma propriété.
Le Marquis sarrêta et les acclamations fusèrent. Dun autre geste de la main la
musique de danses africaines repris et les fessées de plus belle aussi. Les danseuses
tournèrent de plus en plus vite dans un tourbillon rapide où les sens de fanny furent
entremêlés à cette ambiance de rituel africain. Ambiance à la fois magique et
ensorcelée amplifiée sous les effets de la mixture. Fanny était dans un autre monde,
elle voyait son Maître mais ne pouvait sortir un seul mot. Elle était complètement
e quand le Marquis muni dun gant de protection empoigna le fer pour le sortir
du brasier. Il sapprocha le bras levé avec le tison au bout rouge qui crépitait dans
lair. Quand il stoppa à quelques centimètres de fanny, celle-ci ne réagissant même
pas avec ses yeux fixes qui regardaient le rouge du fer mais sans le voir, la drogue
agissant pleinement. La musique monta dintensité quand le Marquis visa doucement
lentre deux seins pour venir y plaquer un bref instant le bout ferreux et fumant.
Fanny hurla dun coup. Un cri de douleur très bref presque sans sapercevoir quelle
venait de crier pour tout de suite sévanouir. Une odeur de peau brûlée séchappa de
son buste...la marque des Evans était désormais en elle pour la vie.
Ce nest que le lendemain matin quelle se réveilla dans un lit douillet. Ce nétait
pas celui du Marquis et elle fut surprise de nêtre pas dans sa cellule. Quand elle
ouvrit les yeux, elle aperçut son Maître qui lui sourit gentiment. Elle regarda autour
delle et vit quelle était dans une chambre digne des Contes des Mille et une Nuits.
Tout était beau, luxueux, capitonné. Le lit, on aurait dit celui dune reine comme la
chambre dailleurs.
- Mais
Mais où suis-je ? demanda faiblement fanny sans bouger en souriant à son
Maître
- Tu es dans la chambre royale, dans les appartements privés. Rares sont celles qui
ont droit de coucher ici. Mais je te toffre ce privilège
- Mais quest-ce qui mest arrivé, demanda-t-elle en essayant de réunir ses pensées
encore un peu confuses
Ah oui, je me souviens jétais attachée
la danseur
africaine
. jai bu et
. (et réalisant)
Ho mon dieu mon marquage, je
Fanny porta sa main à sa poitrine pour sapercevoir le volumineux pansement quon lui
avait posé et qui était fermé par des bandes stérilisées entourant son buste
Alors
son Maître lui dit dune voix douce :
- Tu es désormais sous crème anesthésiante sur ton marquage pour plusieurs jours.
Jusquà complète cicatrisation. Tu recevras les soins nécessaires en te reposant ici.
Tant que tu ne seras pas complètement remise, tu seras traitée comme une reine
- Mais Maître, je
disait fanny de ses yeux pétillant démotions et damour
- Chut, lui dit le Marquis en lembrassant tendrement sur ses douces lèvres chut !
esclaveLuna ..
- Maître, Mais je
je vous aime
, eut juste le temps de dire fanny avant ce baiser
damour
(A suivre
)
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